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Emmanuelle au couvent

Chapitre 1

Divers
Emmanuelle est une jeune femme de 25 ans à la sexualité débridée. Elle avait un amoureux avec lequel elle devait se marier. Or huit jours avant la date du mariage, le jeune homme la laisse tomber. Par dépit amoureux, Emmanuelle par ailleurs très croyante, décide de rentrer dans les ordres. En ce lundi matin de novembre un taxi la dépose devant la grille du couvent. Elle sonne et une sœur vient lui ouvrir.
« Bonjour, je suis Emmanuelle et j’ai rendez-vous avec la Mère Supérieure ! »
« Suivez-moi Mademoiselle, je vais vous conduire ! »
Elle suit la sœur dans un dédale de couloirs assez lugubres et la sœur la fait pénétrer dans le bureau de Mère Clotilde ! »
« Bonjour ma fille ! Alors vous êtes bien décidée à adopter cette nouvelle vie de prières qui va désormais être la vôtre ! »
« Oui Mère Clotilde ! »
« Vous savez que vous allez devoir renoncer à de nombreux plaisirs y compris bien entendu ceux de la chair ! Votre décision est bien réfléchie ? »
« Absolument Mère Clotilde ! »
« Vous savez que nous avons des règles très strictes à l’intérieur de ce couvent et que certaines punitions sont prévues en cas de manquement à la discipline ! »
« Je les accepte par avance Mère Clotilde ! »
« Parfait désormais vous êtes sœur Emmanuelle ! Je vais vous confier à sœur Eugénie qui va s’occuper de vous et vous conduira dans votre cellule que vous partagerez avec sœur Caroline ! »
Sœur Eugénie arrive, c’est une femme d’une quarantaine d’années aux traits réguliers.
« Je vous présente Sœur Emmanuelle qui vient de faire vœu de piété et de chasteté ! Je vous laisse le soin de vous occuper d’elle pour les détails d’intendance ! »

« Oui Mère Clotilde vous pouvez compter sur moi ! »
Emmanuelle suit sœur Eugénie qui la conduit dans la buanderie. Emmanuelle est assez inquiète et stressée par ce nouveau monde qu’elle ne connaît pas. Sœur Eugénie après avoir jaugé Emmanuelle du regard prépare toute une pile de vêtements qu’elle tend à Emmanuelle.
« Déshabillez-vous que je range vos vêtements, notre règlement interdit que vous les conserviez dans votre cellule ! »
De mauvaise grâce, Emmanuelle qui ne s’attendait pas à cela, commence par retirer sa robe noire très moulante. Elle est très belle avec ses cheveux blonds longs et soyeux qui encadrent un joli minois aux yeux de braise. Dessous elle porte un ensemble slip et soutien-gorge de dentelle rouge et noire, très sexy. Elle s’apprête à enfiler la robe de bure qui est sur le dessus du paquet de linge remis par sœur Eugénie.
« Non ma sœur, il faut vous mettre toute nue et enfiler les dessous des carmélites ! »
« Vous ne voulez pas que je me déshabille complètement devant vous ! »
« Nous sommes entre femmes, vous savez j’ai déjà vu des filles nues ! Allons dépêchez-vous ! »
A contre cœur, Emmanuelle retire son soutien-gorge dévoilant une paire de seins très volumineux en forme de poire avec de grosses aréoles.
« Le slip aussi ! »
Elle fait glisser le slip le long de ses cuisses et honteuse, dévoile son pubis tout à fait lisse à sœur Eugénie, car elle avait pour habitude de se raser le sexe pour se faire mieux lécher par son amant.
« Je vous préviens que la pratique de l’épilation pubienne est totalement proscrite dans notre communauté et peut donner lieu à des punitions très sévères en cas de manquement aux règles ! »
« Je ne le savais pas Sœur Eugénie ! »
Sœur Eugénie, l’air de rien, reluque le sexe de cette belle fille, ainsi que ses rotondités.
« Enfilez vos dessous réglementaires maintenant ! »
Emmanuelle attrape une culotte en coton blanc qu’elle enfile et qui lui arrive à la taille. Puis elle prend un soutien-gorge blanc également en coton très rêche qui lui irrite immédiatement les tétons. L’ensemble n’est pas bandant pour deux sous ! Par-dessus elle passe sa robe de bure et met sa coiffe sur la tête.
« Parfait suivez-moi ! Je vais vous conduire dans la cellule que vous partagerez avec Sœur Caroline, une nonne qui vient d’arriver au couvent le mois dernier ! »
Elle pénètre dans une petite cellule où, il y a deux lits. Au petit bureau est assise Sœur Caroline, une jeune nonne aux cheveux courts. Les deux jeunes femmes sympathisent et la vie s’écoule de façon monotone entre les nombreuses messes et les travaux d’intérêt général. Au bout d’un mois Emmanuelle commence à avoir des envies sexuelles et elle se tripote le clito sous les draps après que Sœur caroline ait éteint la lumière. Ce soir elle est particulièrement excitée et elle se branle frénétiquement le bouton ; ce qui la fait mouiller abondamment. Emportée par son excitation elle ne se rend pas compte qu’elle gémit de plaisir. Mais Sœur Caroline entend ses gémissements et elle est intriguée. Elle tend l’oreille et comprend qu’Emmanuelle est en train de se caresser. Toujours dans le noir, Caroline se lève sans faire de bruit et s’approche du lit de Sœur Emmanuelle.
« Qu’est ce que tu fais sous les draps cochonne ? »
« Rien du tout, j’ai un bouton qui me démange ! »
Répond Emmanuelle prise en défaut.
« Drôle de bouton en effet ! Tu ne serais pas en train de te taquiner le clitoris plutôt ? »
« Tu n’y penses pas Caroline ! »
« Si justement je suis convaincue que c’est ce que tu étais en train de faire ! »
Dit-elle en soulevant le drap et en se glissant dans le lit d’Emmanuelle. Elle sent immédiatement le corps chaud et nue de la jeune femme et la prend dans ses bras en lui roulant un baiser des plus voluptueux. D’abord surprise Emmanuelle ne réagit pas car elle n’est pas porté sur les amours saphiques. Caroline s’enhardit et glisse sa main sur son pubis encore partiellement imberbe puis passe carrément entre les cuisses ouvertes pour caresser les lèvres déjà bien entrouvertes.
« Et bien dis donc petite salope, tu es rasée et tu es drôlement trempée dis donc ! »
« Je n’en pouvais plus, il fallait que je me branle, j’avais trop l’habitude de me faire baiser avant de rentrer dans les ordres ! J’avoue que cela me manque et commence à m’obséder ! »
« Moi aussi cela fait un moment que je me branle, je n’ai même pas de godemiché. Mais tu vas voir, je vais bien m’occuper de ton petit minou plein de mouille ! »
Sans autre forme de procès elle sort du lit, tire le drap et enlève sa nuisette. Elle se met alors à genoux au bord du lit et écarte au maximum les jambes d’Emmanuelle qui se laisse faire. Elle est tellement excitée et en manque qu’elle est prête à se faire bouffer la chatte même si cela doit être par une femme. Caroline commence à lui laper le sexe avec un grand savoir-faire. La chatte d’Emmanuelle ruisselle de mouille qui enduit toute la bouche de Caroline de liquide gluant. Emmanuelle commence à geindre de plus en plus fort quand Caroline lui glisse un doigt, puis deux, dans sa cramouille béante. Elle la branle vigoureusement et Emmanuelle atteint l’orgasme rapidement, tellement elle avait besoin de cela. Mais la petite Caroline qui est très dévergondée et qui se livrait déjà aux plaisirs de LESBOS avant d’entrer au couvent, ne l’entend pas de cette oreille. Elle tire Emmanuelle par les pieds puis se place en position de soixante-neuf, posant sa chatte trempée sur la bouche d’Emmanuelle. Quant à elle, elle se remet à bouffer l’abricot fendu de sa compagne. Elles se bouffent les chattes comme des folles et elles gémissent de plaisir si fort que cela réveille la Mère Supérieure dont la cellule est toute proche. Celle ci intriguée, s’habille rapidement et localise le bruit. Elle a peur de comprendre. Elle pénètre brusquement dans la cellule de Caroline et Emmanuelle et allume l’interrupteur électrique. La lumière inonde la pièce faisant apparaître les deux jeunes femmes dans une position qui ne laisse aucun doute sur leurs pratiques. Elles ont toutes les deux la bouche souillée par la mouille qui sort de leur chatte juteuse.
« Jésus, Marie, je n’en crois pas mes yeux ! Seigneur faites que je rêve ! Comment des choses possibles sont-elles possibles dans mon couvent ? »
Les deux filles se séparent et se glissent chacune dans leur lit en tirant les draps sur leur corps dénudé.
« Nous réglerons cela demain après la messe de six heures ! »
Dit sœur Clotilde en tournant les talons et en claquant violemment la porte de la cellule.
« Qu’est ce que tu crois qu’elle a voulu dire ? »
Dit Sœur Emmanuelle.
« Je ne sais pas exactement mais Sœur Clotilde est très à cheval sur les règlements et elle est particulièrement sévère ! Je crains que nous regrettions notre partie de soixante-neuf ! »
« Moi pas, tu m’as bien régalée ! Il y a bien longtemps que je n’avais pas joui ainsi, j’en avais tellement envie ! Cela ne remplace pas une bonne grosse queue mais quand même c’était extra ! »
« Le pire est à craindre, tu sais elle est très méchante ! »
« Allez dors, on verra demain ! »
Le lendemain, lors de la première matine de 6 heures, la Mère Supérieure prend la parole.
« Mes sœurs il s’est passé cette nuit des faits d’une extrême gravité ! Deux sœurs se sont livrées à des pratiques absolument inqualifiables et obscènes ! Comme notre règlement l’exige, ces deux sœurs vont être immédiatement punies et ce très sévèrement. Je vous invite toutes à vous réunir dans le cloître d’ici un quart d’heure. Sœur Caroline et Sœur Emmanuelle suivez moi ! »
Tous les regards se portent évidemment sur les deux jeunes femmes, mais les autres sœurs ne savent évidemment pas de quoi il retourne. Les deux filles particulièrement inquiètes, suivent la Mère Supérieure dans son bureau.
« Je devrais en référer à Monseigneur l’Evêque, mais je vais me contenter de vous faire subir un châtiment en public ! Maintenant suivez-moi dans le cloître où nous allons retrouver les autres sœurs ! Je vous préviens, je ne veux pas vous entendre ! »
Elles suivent donc Mère Clotilde et pénètrent dans le cloître au centre duquel ont été dressés deux sortes de carcan avec des bracelets de cuir. Tout autour du cloître, situé à l’extérieur, se tiennent toutes les autres sœurs. A côté des deux carcans, se trouve Sœur Germaine un fouet à longues lanières à la main. Sœur Germaine est très grande avec un côté masculin très prononcé. Elle est connue dans la communauté religieuse pour sa force mais aussi pour sa méchanceté. Ce n’est donc pas par hasard que Sœur Clotilde l’a choisie pour corriger nos deux effrontées.
« Je vous ai toutes réunies pour que vous assistiez à la punition de sœur Caroline et Sœur Emmanuelle qui se sont livrées à des pratiques sexuelles entre elles, profondément avilissantes et répréhensives. Je veux que cela vous serve d’exemple au cas où les plus jeunes d’entre vous seraient tentées d’en faire autant ! Sœur Germaine allez-y, je veux une punition exemplaire et que ces deux brebis égarées s’en souviennent au plus profond de leur chair!»
« Comptez sur moi ma sœur, je vais les corriger dans les règles et ça va leur passer l’envie de recommencer ! »
« Que le seigneur vous exauce ma sœur ! Rien que de penser ce qu’il a pu se dérouler de telles abominations dans mon couvent me rend malade ! »
« Allez, retirez vos robes de bure toutes les deux ! »
Comme elles hésitent, Sœur Germaine assène à chacune un coup de fouet sur leurs fesses. Du coup elles font passer leur robe par-dessus la tête apparaissant chacune avec les mêmes dessous blancs en coton.
« Cela ne suffit pas ! Enlevez aussi vos soutiens-gorges et vos culottes, il faut que vous soyez complètement nues ! »
Rouges de honte, elles enlèvent leur soutien-gorge puis leurs slips de coton blancs. Caroline a de jolis petits seins en forme de poire et une chatte blonde assez poilue avec un petit cul bien rebondi. Quant à Emmanuelle, c’est l’opulence même avec ses gros lolos aux tétons érigés. Sur son pubis, les poils ont commencé à repousser mais à peine !
« Placez vos mains et votre cou dans les ouvertures ! Allez dépêchez-vous ! »
Les filles s’exécutent et Sœur Germaine rabat la partie supérieure sur leur cou et leurs poignets, les immobilisant. Puis elle attache leurs chevilles avec les bracelets de cuir aux montants inférieurs ce qui leur écarte très largement les cuisses. Cela a pour effet d’offrir une vue imprenable sur leurs lèvres sexuelles. Il fait très froid en ce jour de décembre et les filles commencent à trembler de froid mais probablement aussi de peur !
« Vous n’allez pas avoir froid longtemps, c’est moi qui vous le dis ! »
« Sœur Germaine vous pouvez commencer ! Je ne veux pas qu’elles saignent, contentez-vous de les marquer profondément ! Il ne faut pas que les traces de fouet se voient au-delà de huit jours car nous allons avoir à passer toutes une visite médicale dans dix jours ! »
« Il n’y aura pas de problème Mère Clotilde ! Elles vont recevoir chacune cinquante coups de fouet répartis sur tout le corps mais surtout là par où elles ont péché ! »
Aussitôt les coups commencent à pleuvoir sur les reins, puis sur les fesses des deux jeunes femmes qui commencent à crier. Mais le pire reste à venir quand Sœur Germaine commence à les fouetter sur les seins. Elles pleurent maintenant à chaudes larmes. Sœur Germaine leur assène maintenant de bas en haut des violents coups de fouet sur le sexe. C’est extrêmement douloureux car les chairs sont sensibles à cet endroit. Rapidement leurs corps sont recouverts de grandes zébrures rouges dont certaines commencent à boursoufler. Leurs chattes sont rougies par les lanières et les deux nonnes supplient que leur châtiment cesse. Les autres sœurs présentes sont horrifiées par cette punition car certaines ont bien sûr elles aussi péché de la même façon.
« Je vous en prie ma Mère, faites cesser cette punition, nous ne recommencerons plus ! C’est trop douloureux ! »
La Mère ne répond pas et laisse faire jusqu’au cinquantième coup asséné sur leurs chattes comme il se doit ! Puis les filles sont détachées et sont conduites nues vers leurs cellules.
« Vous serez séparées et mises en pénitence durant un mois en cellule individuelle ! »
Les deux filles sont placées chacune dans une cellule individuelle où elles resteront nues durant un mois et seront au régime du pain sec et de l’eau. Elles n’ont pas le droit de sortir sauf pour assister aux messes où leur corps meurtri est voilé pour la circonstance d’une aube blanche. Dès leur retour en cellule elles sont à nouveau mises à nu.
A suivre si vous le voulez
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