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Emmanuelle au couvent

Chapitre 2

Divers
Après ce pénible événement, la vie reprend son cours et les deux filles qui ont été séparées ne se voient presque plus. Au bout d’un certain temps le vice reprend notre Emmanuelle qui se caresse à nouveau le soir dans son lit jusqu’à la jouissance. Un soir elle dérobe une courgette crue à la cuisine du couvent. Rentrée dans sa cellule elle la nettoie bien, remonte sa robe de bure à la ceinture et écarte le bord de son slip. Elle se frotte alors le clito d’un doigt nerveux puis ouvre ses lèvres et passe un doigt à l’intérieur. Quand elle se sent bien mouillée, elle se fourre la courgette qui est d’une belle taille dans sa chatte baveuse. C’est à ce moment que la porte s’ouvre laissant le passage à Sœur Eugénie qui passe comme chaque vendredi pour ramasser le linge sale. Emmanuelle avait complètement oublié que c’était aujourd’hui.
« Et bien Sœur Emmanuelle on ne s’ennuie pas à ce que je vois. La punition de l’autre jour en public ne semble pas vous avoir calmée. Vous avez le feu aux fesses ! C’est Mère Clotilde qui va être intéressée quand je vais lui raconter ce que vous faisiez avec les légumes du couvent ! »
« Non je vous en prie Sœur Eugénie, ne dites rien ! Je n’ai pas envie d’être fouettée comme l’autre jour, c’est trop inhumain ! »
« Il fallait y penser avant ma petite ! »
« Non je vous en supplie, je ferai ce que vous voudrez ! »
« Oui, tu feras ce que je veux ! Alors lèche ! »
En même temps elle relève sa robe, baisse sa culotte qu’elle fait glisser le long de ses cuisses avant de la retirer et de la fourrer dans son soutien-gorge. Elle s’assoit sur le bord du lit en écartant ses lèvres perdues dans une épaisse toison de poils bruns.
« Suce moi salope ! »
Finalement ce n’est pas pour déplaire pour Emmanuelle qui s’exécute de bonne grâce se mettant à genoux devant Sœur Eugénie et commençant à lui lécher le sexe à grands coups de langue. Eugénie mouille comme une folle et commence à râler de plaisir. Sous les coups de langue assidus elle a tôt fait de jouir dans râle de plaisir. Eugénie laisse retomber sa robe et sort de la chambre.
« Je ne dirai rien de ce que j’ai vu, car tu es une bonne suceuse de chatte ! »
« Merci Sœur Eugénie ! »
Dans l’heure qui suit, Mère Clotilde pénètre dans la cellule en compagnie de sœur Germaine.

« Alors là ma petite, c’en est trop ! Dès demain vous serez conduite par Sœur Germaine auprès de Monseigneur l’Evêque à qui vous vous rendrez compte de votre conduite scandaleuse ! »
« Je ne comprends pas ma Mère ! »
Elle attrape un petit objet dissimulé derrière le rideau de la cellule.
« C’est une caméra que j’avais fait placer là pour suivre vos moindres faits et gestes car j’étais convaincue que vous aviez le vice dans la peau et que vous pécheriez à la première occasion ! J’avais raison, mais je n’aurais jamais soupçonné Sœur Eugénie qui est là depuis 15 ans ; d’être capable de commettre une telle infamie ! Dès demain elle sera punie au cloître avec 100 coups de fouet ! Je vais lui faire passer l’envie de se faire lécher le sexe par des jeunes nonnes effrontées dans votre genre. »
« Non Mère Clotilde ne me conduisez pas devant Monseigneur, faites moi corriger au fouet si vous voulez ! »
« Non ! Vous serez conduite dès demain ! Je vous aurais bien cravaché le sexe avant mais je ne voudrai pas que vous soyez abîmée avant de vous présenter devant le conseil de discipline de l’Evêché ! »
« Je ne comprends pas, ils ne vont pas regarder mon sexe ! »
« Bon assez discuté, couchez-vous et soyez prête pour six heures car Sœur Germaine passera vous prendre à ce moment là ! »
Le lendemain après deux heures de route pour rejoindre l’Evêché, Sœur Germaine confie Sœur Emmanuelle à Sœur Léonce qui est la secrétaire de l’Evêché.
« Bonjour Sœur Léonce, je vous confie Sœur Emmanuelle qui doit passer devant le conseil de discipline à 10 heures ! »
« Asseyez-vous ma Sœur et attendez qu’on vous appelle ! »
La pauvre Emmanuelle attend toute penaude qu’on veuille bien l’appeler. Au bout d’une heure d’attente :
« Sœur Emmanuelle entrez s’il vous plait ! »
Elle pénètre dans un bureau assez sombre avec des meubles anciens et une grande table de bois dans un coin de la pièce. L’Evêque est assis au centre de la pièce sur un fauteuil confortable avec un grand dossier. De chaque côté un diacre est assis. C’est très impressionnant de voir ces trois hommes plus très jeunes, avec leurs tenues d’apparat. Une robe violette pour l ‘Evêque et des robes pourpres pour les diacres. L’évêque a la mitre sur la tête. Il a l’air sévère avec sa petite barbichette grise. A peine rentrée, Sœur Emmanuelle respecte le protocole et se met à genoux, se prosternant devant les trois hommes d’Eglise.
« Restez à genoux Sœur Emmanuelle pendant que le Père Raoul prononce l’acte d’accusation dont vous faites l’objet! »
Le Père se lève, dans sa tenue pourpre, c’est un homme de 60 ans environ, à l’air vicieux et méchant. Il commence à lire.
« Sœur Emmanuelle, vous avez été surprise en compagnie d’une autre sœur en train de forniquer et de vous sucer mutuellement le sexe ! Vous avez été sévèrement punie, mais loin de vous calmer, vous avez été surprise à nouveau en train de vous introduire un légume de grosse taille dans le sexe. Non contente d’en rester là, vous avez sucé à genoux le sexe de Sœur Eugénie, une de nos sœurs en qui nous avions la plus grande confiance ! Tout cela est d’une extrême gravité ! »
« Je vous demande pardon Messeigneurs ! »
«Nous allons vous examiner, pour voir l’objet du crime et essayez d’exorciser ce mal qui vous ronge! Retirez votre robe je vous prie ! »
« Là devant vous, des hommes ! »
« Je vous rappelle que nous sommes des hommes d’Eglise et que nous devons prendre une décision à votre encontre, après avoir jugé sur pièces. Allez déshabillez-vous rapidement, car nous n’avons pas de temps à perdre ! »
Rouge de honte et de confusion, Emmanuelle attrape sa robe par le bas et la fait passer par-dessus sa tête conservant sa coiffe. Elle se tient en soutien-gorge et slip blancs devant les trois hommes et met sa main devant son pubis.
« Allez, enlevez votre slip maintenant et gardez votre soutien-gorge pour l’instant ! »
« J’ai trop honte Monseigneur ! »
« Il est temps d’avoir honte ! Quand vous étiez en train de forniquer avec sœur Caroline, là vous n’aviez pas honte ! »
Emmanuelle enlève donc son slip et replace ses mains devant son sexe.
« Mettez vos mains sur la tête ! »
Emmanuelle obéit et les trois hommes peuvent bien voir sa chatte aux poils blonds naissants. Un des deux diacres, le Père Barnabé se lève et s’approche d’elle.
« Ecartez les jambes Sœur Emmanuelle ! »
Elle le fait et le diacre passe aussitôt sa main entre ses cuisses pour tripoter sa chatte.
« Alors comment est son sexe ? »
« Parfaitement sec ! Par contre il est très doux et chaud ! »
« Faites là allonger sur la table d’examen ! »
« Allez ma Sœur allez vous placer sur la table, écartez bien vos cuisses et soulevez les pour les placer dans les étriers que je vais mettre de chaque côté ! »
Emmanuelle s’allonge sur le dos et écarte ses cuisses. Elle se croirait à un examen gynécologique à part que le médecin n’est autre que Monseigneur DE COURTRAY Evêque de MEAUX. Ce dernier se lève à son tour et vient tripoter la chatte d’Emmanuelle. Il va jusqu’à écarter les lèvres et lui toucher le clitoris avec insistance.
« Qu’en pensez-vous Messieurs ? »
« Je pense qu’il faut faire sortir le mal de ce sexe féminin et punir d’une manière exemplaire cette sœur qui s’est écartée du droit chemin ! »
« Je suis tout à fait d’accord, je propose l’intromission d’objets religieux dans ses orifices naturels pour exorciser le mal ! »
« Vous avez tout à fait raison Monseigneur ! Mais il faudra conclure par une séance de mise en condition spéciale ! »
« C’est évident ! Il faut qu’elle soit sevrée définitivement de sexe et que grâce à une surdose elle en soit définitivement guérie ! Je vous propose de commencer immédiatement l’intromission d’objets sacrés, puis j’interviendrai ensuite personnellement pour punir cette sœur comme il se doit !»
Sous sa soutane violette, Monseigneur qui n’a pas de slip a une trique d’enfer. Il faut dire qu’Emmanuelle est particulièrement bandante avec sa chatte offerte et ses gros lolos à peine contenus dans son soutien-gorge en coton et sa coiffe. Il attrape un crucifix d’argent et se met à genoux au pied de la table face au sexe d’Emmanuelle. Il soulève le crucifix au-dessus de sa tête et prononce des incantations. Puis il se remet debout et écarte les lèvres sexuelles d’Emmanuelle et y introduit le bout du crucifix par le plus long côté. La fille n’a pas été préparée et les parois de son vagin ne sont pas lubrifiées. L’introduction est donc très douloureuse. La pauvre fille crie de douleur et pleure à chaudes larmes.
« Je vous en prie arrêtez, cela me fait très mal ! Aih… c’est insupportable ! Je vous promets que je ne recommencerai plus Monseigneur ! »
Ce dernier n’a cure des pleurs et des cris d’Emmanuelle et imperturbablement il continue à pousser le crucifix au fond de son vagin. Les pierres précieuses qui sont incrustées lui irritent particulièrement sa chatte. Enfin les bras de la croix heurtent les cuisses d’Emmanuelle. La croix ne peut plus pénétrer plus profond. L’Evêque prend maintenant sa crosse et place le bout contre l’anus tout plissé d’Emmanuelle. Là encore sans la moindre préparation il pousse le bout de sa crosse dans le rectum d’Emmanuelle qui manque s’évanouir de douleur. Il faut dire que la dimension n’est pas très importante mais une telle introduction à sec ne se fait pas sans mal. Après avoir fait rentrer environ dix centimètres dans son fondement, il se recule pour admirer son œuvre et les deux objets fichés dans les orifices naturels de Sœur Emmanuelle. Les trois ecclésiastiques se mettent alors à genoux pour prier pour le salut de Sœur Emmanuelle et pour l’exorciser du terrible mal qui lui ronge le sexe.
« Voici la première partie de l’exorcisme terminée. Nous allons maintenant passer à l’opération de mise en condition spéciale ! Père Raoul retirez les objets sacrés de ses orifices naturels ! »
Aussitôt le Père Raoul s’exécute et ses deux trous intimes restent béants après le retrait du crucifix et de la crosse.
« Père Barnabé, je vous laisse le soin de commencer la séance vaginale ! Etes-vous en mesure de pénétrer cette jeune personne ? »
« Sans aucun problème Monseigneur ! »
Répond le Père Barnabé en remontant sa soutane, qu’il coince sous le cordon et arborant fièrement un sexe bien dur et bien bandé. Il faut dire que la vue de cette sœur allongée et offerte avec ses deux trous remplis par les objets sacrés avait de quoi l’exciter.
« Je vois que vous êtes prêt ! A vous de jouer mon Père, ne la ménagez pas et ne boudez pas votre plaisir. Je vous autorise à lâcher votre sainte purée dans son sexe si bon vous semble ! »
« Merci Monseigneur ! »
Aussitôt le Père Barnabé place son gland tout décalotté devant la vulve d’Emmanuelle et pousse son sexe entre les lèvres entrouvertes. Rapidement une lubrification naturelle intervient et le sexe coulisse sans problème dans la gaine vaginale d’Emmanuelle. Elle qui n’a pas pris de queue depuis des mois ressent ce viol comme une aubaine. Quel plaisir de se faire défoncer par ce vieux curé. Rapidement elle hurle de plaisir se déchaînant littéralement sous les coups de boutoir qui la labourent. En même temps il a passé ses mains sous son soutien-gorge qui est maintenant sous son cou et il pelote comme un fou les gros tétés d’Emmanuelle.
« Oui ! Va-y ! A fond, bourre-moi bien la chatte ! Ah c’est trop bon une bonne queue bien dure ! »
Notre Sœur Emmanuelle perd toute retenue face à son plaisir sexuel si longtemps refoulé.
« Allez-y père Barnabé finissez de l’exorciser, cette femelle est véritablement en transes ! Entendez, elle va jusqu’à vous tutoyer ! C’est inqualifiable ! »
« Elle est trop bonne Monseigneur ! Je n’en peux plus, je lui lâche toute ma sainte purée ! »
Le Père qui lui non plus n’avait pas baisé depuis des mois, n’a pu se retenir de lâcher tout son foutre épais dans le conin accueillant de cette salope de Sœur Emmanuelle. Il se retire de la chatte et des gouttes de sperme et de mouille dégoulinent de sa queue et s’écrasent sur le pubis d’Emmanuelle. Monseigneur lui jette le slip en coton blanc d’Emmanuelle.
« Essuyez-vous le sexe avec sa culotte Père Barnabé ! »
Le Père Barnabé une fois son sexe essuyé se relève et laisse tomber sa soutane par-dessus son sexe.
« Cette fille a véritablement le démon au fond de son sexe ! Vous avez vu qu’elle plaisir elle a éprouvé dans cette pénétration forcée ? Allez Père Raoul à votre tour d’exorciser cette nonne ! »
«Je vous en prie Monseigneur, après vous ! »
« Allez-y, quant à moi je sodomiserai cette jeune Sœur ! »
Le Père Raoul qui a près de soixante ans, relève lui aussi sa soutane rouge pourpre mais son sexe est légèrement flasque malgré un début de bandaison provoqué par la vision de son collègue en train de baiser la jeune nonne. Il dit à Emmanuelle :
« Descendez de la table et mettez-vous à genoux en bombant les reins que je vous prenne en levrette pour faire sortir définitivement le malin qui ronge votre sexe ! »
Sœur Emmanuelle ne se le fait pas dire deux fois, tellement elle a été privée de sexe pendant plusieurs semaines. Elle se met dans la position demandée, le cul bien en bombe montrant ses deux orifices aux trois hommes. Elle va même jusqu’à écarter elle-même les lèvres de sa chagasse imberbe pour faciliter l’introduction. Le Père Raoul place sa queue à plusieurs reprises et tente mais en vain de faire pénétrer son sexe flasque dans la chatte d’Emmanuelle pleine du sperme du Père Barnabé. Après plusieurs tentatives Emmanuelle prend l’initiative.
« Mon Père donnez-moi votre sexe que je le suce pour bien vous le faire durcir, ensuite vous me prendrez en levrette ! »
Le Père obéit et place sa queue devant la bouche d’Emmanuelle qui d’une bouche goulue entreprend de le pomper en lui caressant les couilles. L’effet est immédiat et la queue gonfle tout à coup dans entre les lèvres d’Emmanuelle. Cette dernière mouille comme une folle, tant elle aime faire des pipes. Depuis des mois elle en rêvait en cachette. L’Evêque la met en garde.
« Je vous préviens ma Sœur, si vous le faites jouir dans votre bouche, vous recevrez une correction dont vous vous souviendrez. Pour la réussite de l’exorcisme il est indispensable que le sperme remplisse à ras bord votre sexe impur ! »
« Oui Monseigneur j’arrête, d’ailleurs le Père Raoul est suffisamment dur pour me prendre par derrière ! »
Elle reprend elle-même la position de la levrette et attrapant les couilles du Père Raoul par-dessous elle se pénètre elle-même le sexe dans sa fente avant qu’il ne débande. Le vieux Curé est aux anges, il lime notre salope comme un fou, mais au bout de deux allers retours il crache toute sa semence dans son garage à bites, laissant notre petite Emmanuelle sur sa faim. Lui aussi s’essuie le gland avec sa culotte déjà bien souillée.
« Gardez cette position ma sœur ! »
Dit Monseigneur qui à son tour relève sa soutane violette. Par contre sa queue est droite, longue et bien dure.
« Ne bougez-pas je vais vous sodomiser à sec ! Un tel traitement est le seul remède valable pour les dévergondées de votre espèce ! »
Emmanuelle du temps où elle était jeune fille ne détestait pas, tant s’en faut, se faire enculer. Mais à sec par un tel engin c’est assurément autre chose. Aussi elle serre les dents dans l’attente de la pénétration anale qui ne se fait pas attendre. D’un seul coup, d’un seul, il la pourfend jusqu’aux couilles puis reste quelques secondes au fond de son anus les couilles contre sa vulve rasée.
« Ah … Aih… cela fait trop mal, je vous en supplie, sortez votre sexe Monseigneur, je vous sucerai si vous voulez ! »
« Nous verrons cela une autre fois, ce coup ci c’est votre conduit anal que je vais tarauder à fond pour faire sortir le malin ! »
Heureusement petit à petit la nature fait son œuvre et Sœur Emmanuelle commence à prendre du plaisir à se faire défoncer la pastille rectale et elle est au bord de la jouissance anale quand Monseigneur de COURTRAY vide ses couilles épiscopales au fond de son cul ! Le slip étant inutilisable il s’essuie le sexe avec son soutien-gorge.
« Voilà ma sœur je pense que vous êtes en bonne voie de guérison ! Enfilez votre robe et restez nue car vos dessous sont souillés de sperme ! En partant vous passerez voir Sœur Léonce ma secrétaire qui vous remettra d’une part des dessous propres de Carmélites, mais aussi un ensemble complet de dessous en dentelle rouge et une paire de bas plus seyants que les dessous réglementaires de l’Ordre des Carmélites ! »
« Merci Monseigneur ! »
« De plus afin de vous guérir définitivement je serai probablement amené à vous convoquer pour d’autres séances d’exorcismes pratiquées par des confrères étrangers en visite dans notre évêché. Je vous demanderai à cette occasion de revêtir les dessous de dentelle et d’enfiler une paire de bas ! De plus vous vous raserez le sexe de près, je ne veux pas voir la moindre trace de pilosité sur votre sexe ! »
« Je suis à vos ordres Monseigneur ! »
« Je vous communiquerai mon numéro personnel de portable au cas où le malin viendrait à faire naître une impérieuse envie de sexe en vous ! Surtout ne recommencez jamais à vous compromettre sexuellement avec une autre sœur dans le couvent ! Ma colère serait terrible et votre sexe en garderait les marques à tout jamais ! »
« Je vous le promets Monseigneur ! »
« Allez en paix ma sœur ! »
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