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Emmanuelle découvre les penchants de son époux

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Michel a des spasmes comme si il allait éjaculer, mais il se contente de parler : je vous présente mes excuses maîtresse Emmanuelle, puis je espérer être sodomisé par votre doigt ? J’éclate de rire, mais en fait mes tétons se sont violemment dressés et mon sexe s’humidifie puissamment, je me mords les lèvres pour éviter de me comporter en femelle chaude. J’appuie sur sa tête pour le mettre à quatre pattes et accroupie je pose un doigt ganté et enduit de crème oh sa rosette se spasme et s’ouvre sous la pression, je suis en train de doigter mon époux !!!!! Il se cambre et pousse pour accueillir mon doigt ! J’ose alors, « salope de Michelle si tu veux deux doigts il va falloir me le demander très poliment et me raconter tes désirs tes fantasmes », et de l’autre main je prends des micropinces a cheveux (qui doivent dater du séjour ici de ma nièce ou de ma fille) et je lui caresse les tétons. Michel implore « oui MAITRESSE EMMANUELLE épouse divine mes tétons sont à toi et mon cul attend tes doigts ».
Il prend une monumentale claque sur les fesses lui une autre en plein visage, je murmure sèchement, « mais qui vous a autorisé à tutoyer votre merveilleuse épouse et maitresse, salope de Michelle future esclave sissy ! » Je m’étonne de savoir être si dure et je sens mon bas-ventre et mes seins réclamer le prix de cette domination, mon plaisir monte en moi mais avec des demandes contradictoires que je n’arrive pas analyser. Mon pauvre Michel n’en mène pas large et supplie de lui pardonner, car cela est nouveau pour lui mais il saura se plier à tous mes désirs ! Cela tombe bien car après avoir glissé deux doigts, je lui ordonne de m’implorer de le mettre en cage pour la soirée ou plus !!!!! Il ne peut que se confondre en demande vile !!! Je m’assois sur son dos à califourchon, regardant ses fesses cambrées et installe la boule puis la cage, « alors tu l’as achetée où ma Michelle que je vais dresser toute cette nuit? »
Michelle se laisse faire en pleurant, « je ne l’ai pas achetée, je l’ai réalisé sur moulage au laboratoire », Je savoure et insiste : « alors tu vas pouvoir réaliser tous les outils, jouets dont nous aurons besoin, mais quel laboratoire ? »Il avoue : celui si complet de la faculté les jours de fermeture ! Hum sans te faire surprendre par des collègues féminines ou des étudiants ou étudiantes ? Cela serait excitant, hein ma salope d’époux esclave ? Il se laisse encager, et avoue qu’il serait heureux de réaliser des jouets sur mesure pour toutes ses relations féminines mais surtout pour moi. Je le fais se redresser à genoux et pose fièrement le cadenas avec sa clef de sécurité que je me dépêche remettre à la chaine de sécurité de mon bracelet (offert pour nos 20ans de mariage !!!)
Maintenant je n’ai qu’une envie me faire lécher le sexe (il adore le faire et m’a fait souvent jouir ainsi, sans que je lui avoue), je relève ma robe ouvre mon body et appuyée debout contre le mur je plaque sa tête sur mon bas-ventre !!!!! Je sens monter un plaisir fou mais que j’essaie de contrôler, et je le rabroue !!! Habille-toi, avec cet ensemble de soie verte et cette robe qui va être bien courte, quel plaisir de le voir se tordre pour s’habiller, serre taille (hum ce ventre à rentrer), bas, culotte soutien-gorge, puis la robe, oh il manque des chaussures, mais Michelle prend sans coup férir les vieilles mules à talon dorées de ma mère !!! Ce n’est pas possible il doit les mettre tous les soirs ! Assez pour l’instant allons à table mais en laisse, je lui installe sa laisse, mais mon côté femelle excitée est trop inscrit en moi, et par provocation : pour te remercier Michelle tu as le droit dème mettre délicatement mon collier assorti ! Ses doigts tremblent, je lui ordonne mais les yeux baissés, il s’exécute et me pare de ce collier de 13cmde hauteur qui me va à merveille, et alors que j’en frémis, il pose la laisse, devant. Je suis tout sourire (avec des frissons dans la peau : domina ou soumise je ne sais encore), je l’embrasse en lui indiquant qu’il manque un accessoire, une perruque ! Il rougit et, oh me révèle sa cache : juste dans le couloir accédant à la salle de bain tout le placard qui contient les produits d’entretien pivote comme une porte et révèle rangements et accès à la glace du lavabo qui est sans tain ! (il a dû reluquer toutes les femmes qui sont passées ici !)
Là sont rangés tous les anciens vêtements sexy et accessoires des femmes ayant vécu ici (ma mère, moi ma nièce ma fille) et oui il avoue qu’il les porte ! Et les trois perruques de soirée de ma mère, une cheveux argentés bouclés, une asiatique cheveux noirs longs et une rousse en carré !)J’hésite, lui impose la perruque argentée et l’aide à l’installer (elle est un soupçon petite et le prend en laisse pour aller vers la salle à manger où nous attendent entrée et tajine marocain, et vin capiteux. O h l’interphone sonne !!!!!! Nous allons devoir accueillir Dominique (j’ai pensé MAITRESSE DOMINIQUE), Michel inquiet veut regarder par la fenêtre et rouvre à une des fenêtres les volets intérieurs (oh les rideaux en face qui bougent !) il ne voit pas grand-chose. Je le laisse aller répondre à l’interphone, mais je n’ose refermer les volets ! Michelle essaie de comprendre qui peut être là, au bout de l’interphone, j’entends un « salope » tonitruant, « ouvre à maîtresse Dominique » et cela continue ! Michelle se liquéfie et n’arrive même pas à se rebiffer et indique « troisième étage, maîtresse » (oui j’ai entendu !) Il se retourne vers moi affolé, tu lui as donné notre adresse ? Elle arrive et nous devons être à genoux tous les deux !!
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