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Emmanuelle découvre la soumission

Chapitre 1

Rencontre inespérée

SM / Fétichisme
Ce récit est le fruit de l’imagination (débordante) d’EmmanuelleZ que nous avons écrit à quatre mains et que j’essaie de rendre le plus réaliste possible.
Ce matin d’octobre, Emmanuelle, universitaire bourgeoise de 52 ans à la prestance de mannequin, avait un rendez-vous important avec la doyenne, alors elle avait demandé à son époux Michel de la réveiller assez tôt et de lui laisser la salle de bain (il avait une salle de douche pour lui).
Elle savait que la doyenne allait lui demander des efforts dans la prise en charge administrative de la faculté (comme si elle n’en avait pas assez à l’hôpital !). Elle s’habille sérieuse ! Tailleur à jupe plissée à petit boutonnage sur le devant, pull cardigan fin sur un body ères avec jarretelles et bas. Elle rabroue Michel qui aimerait bien la caresser en la voyant ainsi vêtue, mais elle connaît bien son époux qui adore jouer aux soumis si cela ne dure pas trop longtemps.
Bon, il ne s’agit pas d’être en retard. Emmanuelle va prendre le bus, le métro est trop bondé vers 8hoo et elle ne supporte plus les mains lestes qui effleurent son corps et qui se posent sur ses jolies fesses.
Arrivée à la faculté, Emmanuelle passe par le local de la sous-section, et croise dans le couloir son amie Laurence X (professeure dans une autre sous-section). Un rapide bisou, un regard et un compliment sur sa tenue (petite robe de lainage boutonnée devant laissant apercevoir la dentelle noire du soutien-gorge pigeonnant (bonnet A !)) qui entraîne une réciproque amicale de la part de Laurence avec un compliment inquiet sur le décolleté d’Emmanuelle qui lui semble éloquent, trop large et qui laisse apparaître la fine dentelle mauve de son body. Emmanuelle sourit en rougissant et ouvrant son cardigan (entre amies) lui montre le body au soutien-gorge balconnet ½ seins, ce qui laisse apparaître ses tétons dressés par le frottement sur le tissu de son pull. Laurence ne peut détacher son regard de la poitrine de son amie, elle est troublée et Emmanuelle sourit in petto, très satisfaite du trouble jeté par son joli body et par ses tétons dressés.
Laurence est au courant du rendez-vous avec la doyenne. C’est, dit-elle, pour parler des problèmes de sécurité et de l’arrivée d’une personne d’expérience pour une durée limitée afin de définir les procédures à mettre en place en matière de sécurité. Emmanuelle s’étonne, car elle n’a aucune responsabilité administrative dans l’organigramme de la faculté. Laurence le reconnaît, mais comme la doyenne cherchait des personnes de bonne volonté et de comportement carré et stable, c’est elle, son amie Laurence, qui avait suggéré son nom.
Emmanuelle rentre dans le secrétariat et la Doyenne est déjà là. Elle est plus âgée, plus ronde et porte toujours des tenues qui pourraient être sexy, mais qui donne plutôt une impression de débraillée.
— Bonjour Emmanuelle, toujours aussi fashion ! Allez, entrez dans mon bureau, je vais vous présenter notre nouveau cadre de sécurité. Cela devient obligatoire avec le plan Vigipirate, les grèves et notre personnel de doctorat aux origines si mélangées, israélienne, africaine et arabe ! Emmanuelle, je vous présente Monsieur TOM, ancien militaire des services spéciaux.

L’homme se tient dans un coin du bureau dans une posture tout à fait militaire, la tête droite, les jambes semi-écartées et les mains dans le dos. Il porte un costume noir visiblement taillé sur mesure étant donné son physique. En effet, l’homme brun aux yeux verts est très large d’épaules, et l’on peut deviner qu’il est fortement musclé. Comme Emmanuelle, il doit faire dans les 1,75 m, mais cette dernière peut le toiser, car il se trouve être plus petit qu’elle à cause des talons qu’elle porte. Il a la cinquantaine et Emmanuelle constate en lui serrant la main qu’il n’est pas enclin aux sourires.
Mme la Doyenne, après les présentations, se lance dans des récriminations contre les professeurs et maîtres de conférences qui ne se plient pas aux règles, dans leurs obligations d’enseignement théorique, clinique et de recherche... Après une longue description, elle dit vouloir se reposer sur Emmanuelle qui se plie aux règles (oh, la professeure en a un frisson au bas du dos), même si elle n’est pas exempte de reproches quant à certains aspects (oui, elle refuse de diriger des thèses avec de petits flemmards ou flemmardes).
— Pourriez-vous, en binôme, réaliser la mise en place de règles pour les parties les moins contrôlées que sont nos vestiaires en sous-sol ainsi que pour la partie hospitalière ? J’ai eu le feu vert du chef de service avec qui Emmanuelle s’entend bien.
Les ordres de la Doyenne ne se discutent pas trop, cependant Emmanuelle ose un timide :

— Je vais voir si mon planning est compatible avec celui de Mr TOM ? Peut-être pouvons-nous aller travailler dans la salle de sous-section ?
Emmanuelle emmène Mr Tom pour ce petit local du 2ème étage situé au milieu des autres bureaux de sous-sections. Elle compose le code à l’entrée de l’étage (déjà communiqué au nouveau responsable) puis à nouveau elle doit composer un nouveau code pour l’ouverture de son bureau. C’est à cet instant que la voix de Mr TOM gronde dans le dos de la professeure :
— Alors ce code, ça vient ????
Emmanuelle est figée. Instantanément, elle sent ce frisson le long de sa colonne vertébrale comme pour ses premières expériences de rapports avec l’autre sexe quand elle était jeune fille. Elle s’entend balbutier et donner la réponse, comme une conne !!
— Bien ! précise Monsieur Tom, il faut donc regarder tous les plannings universitaires. Madame la doyenne m’a assuré que tout était noté et soigneusement rangé dans votre ordinateur, peut-on regarder ?
Emmanuelle ouvre l’ordinateur de la sous-section, mais il met du temps à se mettre en route. Oh, il y a un bug !! Qui donc a laissé cet ordinateur destiné à tous avec un problème en cours ? Emmanuelle appelle le responsable informatique, il va prendre le contrôle à distance, mais en attendant, l’accès lui sera réservé !Mr TOM suggère alors :
— Et votre portable, vous avez bien une copie ?
Emmanuelle n’est pas trop chaude, car son ordinateur comporte une part privée familiale et une partie professionnelle privée non hospitalo-universitaire. Elle a confiance dans ses barrages et finalement elle le branche et l’ouvre !!!!!!
Malheureusement, son Skype et son Firefox s’ouvrent sur son péché mignon et secret : des listings d’échanges épistolaires et cinématographiques de soumissions sexuelles. Emmanuelle se rassure en constatant que ce n’est pas trop visible. Vite, elle appuie sur les touches pomme H : tout disparaît.
Elle essaie donc d’ouvrir les plannings de la faculté et pendant ce temps, Mr TOM a ouvert son smartphone avec un grand sourire. Il se met à pianoter sur son clavier. L’ordinateur d’Emmanuelle sonne, et apparaît un message Skype : « Mme BATELLE, vous m’avez allumé avec vos mails et je suis là !! Signé MAÎTRE TOM !!! Alors, si nous passions aux choses réelles ! » Emmanuelle est foudroyée, l’homme lui tourne le dos et sur l’ordinateur, elle voit apparaître un ordre : « allez, demande à être la salope de pute universitaire BCBG comme dans tes fantasmes littéraires, salope ! Dépêche-toi, j’enregistre tout ». Sans dire un mot, Mr TOM pose négligemment deux cams pros sur le mobilier !!!!
— Je savais que cela pouvait être toi, et j’ai réussi à obtenir ce poste pour enfin pouvoir te rencontrer. Alors, ça vient cette demande, salope !!
Emmanuelle essaie de retrouver de la contenance, de l’aplomb, mais les ordres apparaissent sur l’écran de son ordinateur : « Si j’en crois ce que tu m’as raconté, ton armoire de sécurité conserve quelques objets compromettants ? Alors, ouvre-la-moi !! et VITE SALOPE !! Je pourrais me servir de tes achats et de tes fabrications, pour ton plaisir et le mien !
— Mais je ne vous permets pas (éclat de rire de Mr TOM), c’est impossible, ici à cette heure, je ne peux pas... balbutie Emmanuelle. — Si, c’est possible et c’est maintenant ou jamais ! dit doucement Mr TOM.
Emmanuelle se sent fondre d’impuissance sur place et avoue dans un souffle :
— Oui Monsieur, voilà ma clef et mon code personnel, mon armoire vous est ouverte !!!!!!
TOM se retourne, et lui ordonne :
— Tu vas me présenter tout ce qui est dans cette armoire, même s’il est fort probable que quelqu’un de ta sous-section passe par là et te voit à travers cette porte vitrée qui donne sur le couloir réservé aux enseignants. Et pour me prouver que tu es une bonne bourgeoise docile, tu vas me montrer tout ça nue !!
Emmanuelle est figée sur place, avec des yeux humides, mais aussi des signes qui ne la trompent pas sur les envies de son corps et de son esprit. Elle sent ses aréoles se creuser et ses tétons s’ériger malgré la chaleur du local. Ses muscles du bas-ventre sont parcourus de frissons et sa vulve s’humidifie : la dentiste est en train de se transformer en cette Emmanuelle soumise qui recherchait des sensations fortes. Elle ouvre sa veste et la dépose soigneusement sur le dossier d’une chaise, puis sa jupe et son chemisier glissent sur le sol du bureau. Sur l’écran de son ordinateur apparaissent les images des 2 caméras fixes et de celle du smartphone de Mr TOM. Emmanuelle ne peut résister au plaisir et à la honte d’ôter ses bas puis son body en se regardant sur l’écran de son ordinateur !!!!
— Bouge-toi, salope, on n’a pas toute la journée !! crie Monsieur TOM.
La professeure ouvre son placard avec cette étrange combinaison : 69 BA.
— Cela me semble être effectivement une bonne action !! dit Monsieur TOM en éclatant de rire après la découverte du code qu’Emmanuelle vient de composer.
Heureusement, dans cette armoire, tout est bien rangé, un tout petit côté vêtements avec 2 blouses et 3 paires de chaussures et sabots et un côté matériel et documents tout en caisses plastiques MUJI. Emmanuelle sort une première caisse et la pose sur la table devant le nouveau chef de la sécurité de la faculté.Mr TOM l’ouvre et siffle d’admiration : il apprécie ce moulage que la dentiste a fait de son vagin, de son entrejambe et de son cul. Il ne peut cacher l’intérêt qu’il porte à l’ébauche du sex-toy qui est placé juste à côté ! La professeure essaie d’expliquer maladroitement la découverte de Mr Tom :
— Voilà, monsieur...
Une grande claque la stupéfait et lui coupe le souffle.
— Salope !! Pour toi, en privé, c’est « Maître » sinon cela va mal tourner ! Compris la pute ! ordonne Monsieur TOM.
Emmanuelle vacille et susurre en caressant sa joue meurtrie :
— Oui Maître ! — Pardon je n’entends rien ! insiste Maître TOM. En fait il l’enregistre et elle doit répéter à plus haute voix ce qu’il souhaite entendre.— OUI MAÎTRE ! Je suis en train de fabriquer un double dildo pour moi. Je le conçois sur mes moulages personnels réalisés dans plusieurs positions : allongée jambes plus ou moins écartées, assises, accroupie ou en position de danse.
Maître Tom sort la quinzaine de moulages pour mieux les admirer et les filmer en enregistrant les explications d’Emmanuelle sur son Smartphone. L’un d’eux l’intrigue :
— Sale truie (Emmanuelle frémit) et celui-là, c’est quelle posture ?
La dentiste est sur le point de pleurer, mais Maître TOM, avec commisération et douceur, insiste :
— Allez, belle bourge, montre à ton futur Maître de quoi il retourne !!
Emmanuelle s’exécute : une arabesque grand écart, qu’il filme soigneusement alors qu’elle tient son genou gauche à hauteur de son épaule !! Maître TOM apprécie et lui demande de maintenir la position. Il lui indique que ses qualités de danseuse seront fort appréciées puis continue en lui expliquant la suite de la construction de l’objet qui doit lui remplir tous ses orifices ! Elle avoue avoir utilisé des appareils américains qu’elle a commandés discrètement. Ils sont vibrants dans plusieurs directions, extensibles et commandables à distance. Alors que Maître TOM continue de la filmer, elle ne peut arrêter son flot de paroles et lui explique qu’après les avoir réunis, elle n’aura plus qu’à les gainer de silicones. En baissant les yeux, elle lui avoue, honteuse, que cela remplira onctueusement son anus, son vagin et caressera agréablement son clitoris. Maître TOM applaudit :
— Puisque tu souhaites pouvoir être commandée à distance, je vais pouvoir le faire avec ton deuxième numéro de téléphone que tu vas t’offrir et installer dans ton Smartphone (elle avait prévu d’y mettre ses numéros perso et pro !)
Maître TOM insiste. Il va faire intervenir des amis des forces spéciales pour faire équiper son bureau de caméras et de micros. Dès qu’elle lui aura envoyé le numéro, elle trouvera un mail de sa part dans lequel il lui ordonnera d’ouvrir le tiroir du haut de son bureau et de glisser dans son oreille l’appareil auditif qu’il y fera déposer.
Maître TOM sera devant ses écrans et l’observera pour entrer en contact vocal avec elle dès que l’appareil sera en place. A partir de là, il va pouvoir lui donner tous les ordres qu’il veut et la mettre dans des situations compromettantes. Il finit de la faire plier en lui disant qu’il peut aussi s’en prendre à mon mari si elle n’obéit pas.
Maître Tom explique ensuite à Emmanuelle qu’il va stimuler sa chatte à haute intensité lorsque les personnes qu’elle a malencontreusement évoquées dans ses récits sur des sites de dépravation seront dans le bureau ou à proximité. Il connaît ses fantasmes, car elle les lui a révélés dans les nombreux mails qu’elle lui a envoyés sans le connaître. Il commence par évoquer sa cadre de santé Laetitia et ce qu’il pourrait demander à la dentiste si elle vient dans son bureau. Il pourrait lui ordonner de rester de marbre alors qu’il stimule sa chatte et son cul par d’intenses vibrations. Tout en parlant, il fait reposer la jambe d’Emmanuelle et l’oblige à se cambrer devant son bureau. Elle frémit lorsqu’il évoque le prénom de son amie Laurence. Il sait qu’elle représente l’un de ses plus grands fantasmes.
Le maître glisse deux doigts dans la chatte trempée de la professeure en lui laissant entrevoir par quelques mots bien choisis ce qu’il pourrait faire lorsque son amie viendra lui rendre visite dans son bureau.
Emmanuelle ferme les yeux en imaginant la scène et se met à gémir en sentant les doigts du Maître glisser dans le fourreau humide de sa chatte en feu. Juste avant que la jouissance ne monte, il retire ses doigts de sa chatte et quitte le bureau en lui disant qu’elle aura bientôt de ses nouvelles. La professeure s’effondre, nue dans son fauteuil, anéantie par cet orgasme avorté.
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