Ce matin, Emmanuelle se lève après une nuit agitée. La veille, elle est rentrée de chez ses amis Laurence et Alain après leur avoir servi de jouet sexuel. Face à son mari qui semblait ne pas comprendre pourquoi elle rentrait si tard, elle a évoqué une énième réunion avec la doyenne pour ce fameux nouveau protocole de sécurité dont elle lui parle depuis plusieurs jours. Sa retenue de bourgeoise coincée dans son carcan de bienséance l’a empêchée de révéler à son époux les réelles raisons qui l’on amenée à rentrer si tard. Elle a eu envie de lui crier le plaisir honteux qu’elle a pris à choisir ce collier enfouit au fond de son sac et d’y faire graver son nouveau prénom « Chienne ». Elle aurait aimé lui révéler ce merveilleux moment où elle s’est faite enculer par un inconnu noir à la queue monstrueuse et cette visite impromptue chez ses amis où elle s’est livrée comme une salope en chaleur. Elle a attendue que Michel s’endorme à coté d’elle pour se caresser et planter ses doigts dans sa chatte et dans son cul. Son plaisir et ses orgasmes ont été décuplés quand elle a dû se retenir de gémir et se mordre les lèvres pour ne pas crier sa jouissance. C’est quasiment sans avoir dormi de la nuit que la dentiste se lève pour se préparer à partir à l’hôpital. Etonnamment, elle se sent en pleine forme et c’est avec beaucoup d’enthousiasme qu’elle prend le métro pour se rendre à l’hôpital. Si l’on excepte la veille, depuis plusieurs jours et sur ordre de son Maître elle prend exclusivement le métro en portant des tenues qui attire les convoitises. Ses réticences du début se sont vite estompées et il lui arrive de laisser passer une rame pour monter dans la suivante plus bondée. La plupart du temps ce ne sont que frottements et caresses furtives mais il suffit d’un passager plus hardi pour que les mains se fassent plus présentes sur son corps. Sa plus belle expérience lui est venue d’une femme d’une trentaine d’années debout face à elle qui se laissait caresser la chatte par un homme derrière elle. Elle a posé sa main sur la main qui la caressait et l’a guidée vers la chatte de la dentiste. Elle s’est glissée entre le corps de l’homme et celui d’Emmanuelle en lui cédant sa place pour se retrouver derrière elle. La professeure a senti les mains de la femme se poser sur ses hanches et son souffle chaud dans son cou. Alors que la main de l’homme lui caressait la chatte sous sa jupe, les lèvres de l’inconnue sont remontées vers son oreille et Emmanuelle l’a entendu dire dans un souffle : — Tourne-toi salope si tu veux sentir sa queue !! Comme envoutée, Emmanuelle se tourne vers cette femme qui relève sa jupe dans le mouvement. La dentiste sent alors un membre chaud se presser contre ses fesses. Une nouvelle station de métro et la foule se resserre encore plus autour du trio. Les mains de la femme descendent sur ses fesses et les écarte lentement. Emmanuelle sent un gland se poser sur les lèvres humides de sa chatte. D’une seule poussée, le membre brulant entre en elle lui arrachant un râle de plaisir. La dentiste se mord les lèvres en regardant l’inconnue, droit dans les yeux. Cette dernière pose un doux baiser sur ses lèvres avant de lui glisser à l’oreille : — Il y a plusieurs jours que nous attendons ce moment, salope !!— Co… comment ?? demande Emmanuelle dans un souffle.— Mon mec a remarqué ton petit manège d’allumeuse. Je lui ai promis de t’offrir à lui et aujourd’hui tu es venue te coller à moi !! Tu la sens bien sa grosse queue ??— Hummm… ouiii !!— Elle est bonne ?— Ouiiiiiiii !!— Tu descends où salope ? demande l’inconnue alors que ses mains sont remontées sur les seins de la dentiste et que ses doigts lui pincent les tétons.— Dans deux stations, Madame !! répond Emmanuelle en commençant à haleter de plaisir.— J’ai très envie de te bouffer la chatte, salope. Appelle-moi vite et tu viendras nous satisfaire mon homme et moi !! déclare l’inconnue en glissant sa carte dans le décolleté de la dentiste.— Hummm… mon dieu… je vais jouir !! murmure Emmanuelle en se mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier. La femme pose sa bouche sur celle de la professeure et étouffe son crie de jouissance alors que la queue de son visiteur est secouée de spasmes. Après l’avoir soutenue pendant qu’elle reprenait son souffle, ses deux partenaires se sont écartés d’elle pour la laisser descendre à sa station alors que le foutre coulait lentement de sa chatte sur l’intérieur de ses cuisses. Dans la journée qui a suivi, elle a raconté son aventure à son Maître qui a récupéré la carte de l’inconnue sous prétexte de faire certaines vérifications.
Aujourd’hui, Emmanuelle n’a pas dérogé à la règle de cette main qui se pose furtivement sur ses fesses dans le métro. Elle se surprend à chercher du regard ce couple qu’elle n’a jamais revu et dont elle aurait tellement aimé le contact après cette nuit agitée. Malheureusement, elle ne les a jamais revus et c’est avec une certaine déception qu’elle sort du métro pour se rendre à son bureau. Elle est un peu morose jusqu’au moment où elle met en marche son ordinateur et trouve un message de son Maître dans sa boite mail : — Chienne, passes me voir ce midi dans mon bureau. Nous allons devoir discuter de notre soirée !!— Bien Maître, répond Emmanuelle avant de se déshabiller complètement et de remettre sa blouse de praticienne hospitalière. La dentiste s’est habituée à être nue sous sa blouse. Pour tout dire, une autre personne du service s’y est aussi habituée pour son plus grand plaisir. C’est devenu un rituel que Maître Tom approuve et encourage. Lorsqu’elle a terminé de se changer, la professeure saisit quelques dossiers, quitte son bureau et longe les couloirs pour se rendre vers celui de sa cheffe. Laetitia, sa cadre de santé, la convoque chaque matin pour qu’elle lui fasse un compte-rendu des activités de la veille. Emmanuelle arrive à destination et frappe deux coups brefs et trois coups longs à la porte du bureau. Ce code permet à Laetitia de savoir qui est derrière la porte et de se préparer à recevoir la dentiste. Comme d’habitude, Emmanuelle entend un « entrez », prononcé d’une voix claire et ferme. La professeure passe la porte et la referme derrière elle avant de s’approcher du bureau de sa cheffe. Systématiquement, cette dernière la fait passer de l’autre coté du bureau et c’est debout près de sa cadre qu’Emmanuelle fait son rapport. Invariablement, la dentiste sent la main de Laetitia glisser entre ses jambes et remonter vers sa fente luisante de mouille. Si son voyage quotidien dans le métro contribue à maintenir sa libido en éveil, cette séance matinale avec sa cheffe la met en forme pour le reste de la journée. Laetitia s’est débrouillée pour convaincre la Doyenne de maintenir le docteur Batelle à l’hôpital tous les matins et de la laisser dispenser ses cours trois après-midi par semaine. Ainsi, elle peut profiter des charmes de sa subordonnée tous les matins et lui caresser la chatte alors que cette dernière gémit en lui faisant son rapport. La cadre prend un malin plaisir à faire monter le désir de sa subordonnée et arrête ses caresses juste avant la montée de l’orgasme pour la laisser dans un état de manque et de frustration à la limite du supportable. Ce matin encore, la règle est la même et c’est la chatte en feu qu’Emmanuelle sort du bureau de Laetitia. Elle retourne très vite vers le sien et attend avec impatience que son téléphone sonne. Lorsque cela arrive enfin, elle est dans un état d’excitation maximum. La voix ferme de sa cheffe lui ordonne de se pincer les tétons avant de la traiter de tous les noms, ce qui la fait frémir jusqu’à ce qu’elle lui ordonne de planter ses doigts dans sa chatte et de se masturber jusqu’à la jouissance libératrice. Comme à chaque fois, Laetitia lui demande de lécher ses doigts pleins de mouille avant de lui ordonner sèchement de se mettre au travail. Bien entendu, Monsieur Tom profite de ce spectacle grâce aux caméras qu’il a faites installer dans le bureau de la cadre de santé et dans celui de sa soumise. Très professionnelle, Emmanuelle se met au travail et ne pense à rien d’autre qu’à ses cours ou aux travaux pratiques qu’elle dirige à l’hôpital auprès de ses internes. Elle a su durant ces dernières semaines faire la différence entre ce qui lui arrive avec Maître Tom et sa cadre de santé et son travail qu’elle doit assumer pour le bien de ses étudiants. Pourtant, lorsqu’elle travaille avec ses internes, il lui arrive d’avoir de mauvaises pensées surtout lorsqu’elle se retrouve avec ses étudiants d’origine africaine ou nord-africaine. Un court instant, elle imagine que son Maître va la livrer à ces jeunes gens, homme ou femme, dans les sous-sols de l’hôpital. Elle chasse bien vite ces pensées de son esprit et poursuit son enseignement tout en sentant sa chatte s’humidifier. La matinée passe vite et Emmanuelle est ravie de voir arriver l’heure de midi. Après les travaux pratique avec ses internes, elle empreinte les couloirs de l’hôpital pour se rendre au bureau du directeur de la sécurité. Elle frappe et, contre toute attente, la porte s’ouvre et Emmanuelle se retrouve face à face avec la doyenne. Celle-ci sort du bureau en passant devant Emmanuelle en déclamant sans se retourner : — Je vous laisse avec Madame Batelle, elle saura sûrement mieux que moi se plier à vos exigences !! Emmanuelle reste sans voix face à cette réflexion que la doyenne a déclamée en la regardant droit dans les yeux et c’est, non sans gène, qu’elle entre dans le bureau de son Maître. Elle a toutefois noté au passage que la tenue de la doyenne était loin de ce qu’elle avait l’habitude de voir. Cette femme qui est toujours tirée à quatre épingles est sortie du bureau de son directeur de la sécurité avec un chemisier plus ouvert qu’à son accoutumé et surtout une chevelure quelque peu en désordre. Emmanuelle n’a pas le temps d’y réfléchir plus longtemps car la voix de son Maître la ramène à la réalité en lui demandant de fermer la porte et de s’approcher de son bureau. Docilement, la dentiste traverse la pièce et contourne le bureau comme on lui demande. Elle s’approche de lui et le laisse glisser sa main entre ses cuisses alors qu’il tourne son écran d’ordinateur vers elle. — Chienne, connais-tu cette pièce ? lui demande son Maître.— Bien sûr, Maître, c’est mon dressing ! répond Emmanuelle avec étonnement.— Regarde bien les images qui vont suivre, déclare Lorenzo alors que deux de ses doigts glissent lentement dans la chatte de la professeure. Les images défilent et Emmanuelle voit son mari entrer dans son dressing et fouiller dans ses affaires. Cela pourrait la faire sourire mais Michel est complètement nu et cela intrigue la dentiste. Très vite, elle voit avec stupeur son époux choisir certain de ses sous-vêtements et les enfiler. Elle doit cependant admettre qu’il a très bon goût et que son corps est plutôt mis en valeur par ses propres sous-vêtements. Entre les images qu’elle visionne et l’action des doigts de son Maître dans son sexe en chaleur, Emmanuelle se met à gémir et à haleter de plaisir. Malheureusement, le plaisir s’arrête net lorsque les doigts de son Maître sortent de sa chatte et qu’il coupe la transmission de la vidéo. — Tu savais que ton mari utilisait tes sous-vêtements ? demande le Maître.— Non… non !! répond la dentiste encore haletante.— Même pas un léger doute ? insiste Lorenzo.— Il m’est arrivé de trouver ma lingerie déplacée mais j’ai toujours mis ça sur le compte de notre femme de ménage sans jamais oser dire quoi que ce soit.— Qu’en penses-tu ?— C’est… c’est troublant !! finit par répondre la professeure.— Aimerais-tu qu’il te rejoigne dans ton monde de soumission ? demande froidement le Maître.— Si tel est votre désir, je n’y verrai qu’une immense joie, Maître ! répond Emmanuelle avec plus d’enthousiasme qu’elle ne l’aurait souhaité.— Très bien, ce soir je vais faire officiellement de toi ma soumise devant ton mari et je vais l’inviter à te rejoindre dans ta déchéance de bourgeoise en rut !! affirme Lorenzo en mettant une claque sur les fesses de la dentiste avant de la congédier de son bureau. En se dirigeant vers la cantine de l’hôpital, Emmanuelle ne peut se sortir de la tête les images qu’elle vient de voir. Son mari Michel se travesti en secret avec ses propres sous-vêtements. Elle aurait dû être choquée mais il n’en est rien. Elle l’imagine à genoux à coté d’elle en sous-vêtements sexy prêt, comme elle, à exécuter les ordres du Maître dont les derniers mots résonnent encore dans sa tête : il va te rejoindre dans ta déchéance de bourgeoise en rut !!C’est à l’issue une après-midi qui lui a semblée interminable qu’Emmanuelle reprend le métro pour rentrer chez elle. Elle est troublée quand elle retrouve Michel dans le salon mais elle essaie de le cacher du mieux qu’elle peut. Elle doit lui annoncer que le directeur de la sécurité de l’hôpital va leur rendre visite dans la soirée. A son grand étonnement, son mari est déjà au courant que Lorenzo va passer : — Oui ma chérie, Monsieur Tom m’a appelé car il doit s’entretenir avec moi. Il m’a vaguement parlé de soucis de sécurité à l’université pouvant engager celle des conjoints des professeurs. Cependant, je me demande encore comment il a pu avoir mon numéro de portable.— Il a sûrement cherché dans le fichier des personnes à prévenir en cas d’accident détenu à l’hôpital ! répond Emmanuelle de manière évasive. T-a-t-il dit qu’il passerait vers 19h30, mon chéri ?— Oui et je lui ai dit qu’à cette occasion nous allions préparer un petit apéritif mais, ne t’inquiète pas, j’ai déjà tout préparé ! déclare Michel pour rassurer son épouse.— Oh, merci mon amour !! Je vais pouvoir aller me préparer pour sa venue. Je file sous la douche, déclare Emmanuelle en posant un doux baiser sur les lèvres de son mari. En se dirigeant vers la suite parentale, Emmanuelle affiche un sourire satisfait. Maître Tom pense vraiment à tout car elle n’a pas eu à justifier sa venue en cherchant des excuses auxquelles elle n’aurait pas cru elle-même. Après sa douche, elle suit scrupuleusement les ordres qui lui ont été donnés. Elle enfile une robe sage pour ne pas éveiller les soupçons de Michel mais elle est nue sous son vêtement et porte des escarpins à haut talons. Elle se dirige ensuite vers son dressing et prépare les sous-vêtements qu’elle a vu sur le corps de son époux comme le lui a ordonné son Maître. Suivant toujours les ordres du directeur de la sécurité, elle place juste à côté des sous-vêtements son collier et la laisse en devinant que son Maître va vouloir les assouvir définitivement dans cette pièce. Nerveuse, Emmanuelle quitte son dressing pour rejoindre le salon. Il va bientôt être l’heure et son mari s’affaire à dresser l’apéritif dinatoire qu’il a préparé. Elle le regarde s’affairer tout en tentant de se détendre mais elle sent bien que les lèvres de sa chatte s’humidifient à mesure que l’arrivée de son Maître approche. Le carillon de la porte la fait sursauter et Emmanuelle reste pétrifiée lorsque Michel lui fait signe de ne pas bouger. Comme dans un rêve, elle le regarde quitter le salon et, après quelques paroles cordiales dans l’entrée de l’appartement, elle voit entrer son Maitre dans son appartement, suivi de près par Michel. A l’invite de son mari, Lorenzo prend place dans le fauteuil face à Emmanuelle qui s’est assise dans le canapé après avoir accueilli son invité. Elle croit défaillir en croisant le regard de son Maître et en voyant ce geste de sa main qu’elle est la seul à pouvoir décrypter. Ce petit geste de la main lui intime l’ordre d’ouvrir les cuisses et de dévoiler sa chatte nue sous sa robe. Emmanuelle obéit en baissant les yeux dans l’espoir que son époux ne remarque rien de ce petit manège. Son Maître lui fait relever les yeux en s’adressant directement à elle sur un ton chaleureux : — Emmanuelle ! Vous permettez que je vous appelle par votre prénom Madame Batelle ? demande Lorenzo.— Tout… tout à fait !! répond la dentiste totalement déstabilisée par cette demande tant elle n’a pas l’habitude d’être interpellée ainsi par l’homme qui a autorité sur elle.— Et que dirais-tu si je t’appelais « Chienne » ? demande Lorenzo sur un ton plus ferme.— Je dirais « oui, Maitre » lance Emmanuelle sans réfléchir et en fixant Michel droit dans les yeux.— Mais… mais, je ne vous permets pas, Monsieur !! s’indigne Michel.— Toi, la lopette, tu vas fermer ta petite gueule de salope !! gronde le directeur de la sécurité en se levant de son fauteuil.— Mais, enfin… tente Michel avant d’être coupé dans son élan.— Ta gueule petite pute et regarde !! déclare Lorenzo en lançant une vidéo sur la télévision du salon. Stupéfait, Michel se voit entrer nu dans le dressing de sa femme et choisir des sous-vêtements qu’il enfile avec des gestes sensuels. Il constate que son épouse et le directeur de la sécurité de l’hôpital l’observe et il s’enfonce dans son fauteuil avec une envie irrépressible de disparaitre. Il n’a pas le temps d’avoir cette dernière pensée que la voix de Lorenzo claque : — Debout, salope !! je vais maintenant m’occuper de toi !! ordonne le Maître d’Emmanuelle. Totalement abasourdi par les images qu’il vient de voir et par le ton autoritaire de cet homme, Michel se lève et se laisse entrainer par Lorenzo en direction du dressing de son épouse. Emmanuelle suit son Maître qui entraine son propre époux vers une déchéance certaine. Sa petite chatte de bourgeoise soumise s’humidifie à l’idée que son époux va la rejoindre sous le joug de ce Maître qui bouscule tous ses sens et fait ressortir cette salope qu’elle a toujours pris soin de refouler au plus profond de son être. Arrivé dans la pièce, le Maître ordonne : — A poil, tous les deux !! Emmanuelle s’empresse d’obéir alors que Michel reste figé avec un regard interrogatif en voyant sa femme se déshabiller. Une gifle appuyée lui redonne conscience et le mari de la dentiste s’empresse à son tour de retirer ses vêtements. Un nouvel ordre claque lorsqu’il est nu comme un ver : — Chienne, en position !! Et toi petite salope, je te conseille d’imiter ma soumise !! déclare Maître Tom sur un ton autoritaire. Emmanuelle se dirige vers un coin du dressing, se place à genoux les jambes ouvertes afin que l’on puisse admirer sa chatte luisante de mouille. Elle place ses mains sur ses cuisses et baisse la tête afin de regarder le sol devant elle. Sans comprendre vraiment ce qu’il se passe, Michel rejoint sa femme et prend la même position. Maître Tom se saisit du collier de sa soumise ainsi que de sa laisse et s’approche d’Emmanuelle. Il lui fait relever la tête et pose symboliquement le collier sur son cou offert avant de lui demander de tendre les mains et d’y poser la laisse. — Chienne, je viens de poser ton collier de soumise sur ton cou et je te demande si tu veux m’obéir à jamais !! déclare Lorenzo d’une voix cérémonieuse.— J’y consens, Maître !! déclare Emmanuelle en tendant la laisse vers son Maître.— Tu es désormais à moi et tu feras tout ce que je te demande sans même réfléchir !! déclare Maître Tom en accrochant la laisse au collier de sa soumise.— Maintenant, à toi petite salope !! crie Lorenzo en saisissant Michel par les cheveux. Tu vas enfiler ces sous-vêtements que tu aimes tant pour plaire à ma soumise.— Bien Monsieur !! répond Michel en tendant la main pour prendre les morceaux de tissu que lui tend Lorenzo.— Je vois que tu apprends vite, salope !! remarque le directeur de la sécurité en regardant Michel enfiler le string et le soutien-gorge qu’Emmanuelle avait préparés. Lorenzo fouille dans les tiroirs du dressing et fini par en sortir un porte-jarretelles et une paire de bas résilles. Il tend le tout à Emmanuelle et dit : — Aides cette salope à enfiler ça, elle sera beaucoup plus sexy ainsi !!— Oui, Maitre !! répond Emmanuelle très excitée par cette situation. Michel ne peut dissimuler son excitation car sa queue enfle le tissu de la culotte en dentelle qui couvre son sexe. Emmanuelle enfile les bas sur ses jambes dépourvues de poils (elle n’avait pas remarqué que son mari s’épilait les jambes). Après avoir placé le porte-jarretelles sur ses hanches et fixé les bas, Emmanuelle sent la main du Maitre se poser sur la sienne. Il la guide vers l’élastique de la culotte en dentelle et la fait glisser doucement sur la queue de son mari. Lorenzo appuie sur les épaules de Michel pour qu’il se mette à genoux près de sa femme et sort sa queue qu’il présente sur les lèvres de sa soumise. Emmanuelle ouvre grand la bouche et suce avec gourmandise la queue de son Maître jusqu’à ce qu’il saisisse Michel par les cheveux et qu’il approche sa bouche de celle de sa femme. Il attrape Emmanuelle par les cheveux et l’oblige à lâcher son chibre. En tirant plus fort sur les cheveux de Michel, le Maître attire ses lèvres vers son gland rougi par l’excitation. — Suce-moi, salope !! Chienne, tu vas lui sucer la queue, s’il jouit avant moi il sera puni mais si je jouis avant lui c’est toi qui seras punie car cela voudra dire que sa bouche est meilleure que la tienne. A vous de jouer mes petites putes !! déclare Lorenzo en poussant la bouche de Michel sur sa queue. A partir de cet instant, une lutte acharnée s’engage et les bouches des deux époux s’activent sans retenu sur les queues tendues. En engageant ce chalenge, Lorenzo sait qu’il a déjà choisi le vainqueur de ce duel. Michel se démène sur sa queue mais ce dernier subit une double excitation que ne subit pas sa femme. Emmanuelle s’applique à sucer son mari en avalant le plus possible sa queue. Au moment où elle perçoit un léger gémissement de son Maître, elle sait qu’il va falloir agir de manière radicale. Alors que la queue de son mari se trouve au plus profond de sa gorge, elle glisse un doigt entre les fesses de son époux et entame un doux mouvement circulaire sur sa petite rondelle. Au moment où sa première phalange entre dans le cul de son mari, Emmanuelle sent sa queue tressaillir et se vider dans sa bouche. Elle avale une partie du précieux liquide mais sait qu’elle doit prouver à son Maître qu’elle a accompli son travail. Elle garde le sperme en elle et ouvre la bouche vers Lorenzo pour signifier sa victoire. — Embrasse-le !! ordonne le Maître en voyant la victoire de sa soumise. Emmanuelle passe une main dans les cheveux de Michel et pose ses lèvres sur les siennes. Totalement excité par la situation, le mari de la dentiste ouvre la bouche et plonge sa langue dans celle de sa femme. Ils échangent la semence dans un baiser langoureux jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goute. — Cessez, petites putes !! gronde Maître Tom en agrippant les cheveux des deux soumis.— Maintenant, tu m’appartiens de la même façon que ta femme est à moi !! déclare Lorenzo en regardant Michel droit dans les yeux.— Oui Maître !! répond Michel dans un souffle.— Comme tu as perdu, je vais devoir te punir ma petite salope !!— Comme vous le voudrez, Maître ! murmure Michel.
