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Ma sœur enceinte

Chapitre 7

Inceste
Après cet intermède coquin, Manon retourne en cuisine pour nous préparer le dessert : une boule de glace vanille-bourbon, quelques fraises gariguettes déposées autour, et quelques touches de chantilly.
Nous dégustons ce dessert en silence, mais nos regards ne cessent de se croiser, de d’observer. Je finis par briser le silence :
— J’espère qu’il reste un peu de chantilly…— Pourquoi ? Tu veux en rajouter sur ton dessert ? Demande-t-elle.— Non, mais j’aimerais bien en lécher un peu sur tes seins et ton corps, un peu plus tard…— Ah ah ! Mais je t’ai dit tout à l’heure que tu pourrais en reprendre !— Hummm, j’ai hâte d’y être ! — Mais je dois te prévenir, j’ai quelques montées de lait depuis deux ou trois jours, si tu ne veux pas sucer mes seins, je comprendrais…— Je vais prendre le risque, j’ai tellement envie de lécher tes mamelons et de caresser tes seins.
Je sens de nouveau le pied nu de Manon venir se perdre entre mes jambes. Elle fait glisser son pied sur mon sexe qui ne tarde pas à réagir. Ses yeux bleus plongés dans les miens, elle me chauffe et y arrive à merveille.
Je dégrafe les boutons de mon pantalon et libère ma queue (je porte rarement de caleçon sous un jean). Aussitôt, je sens des orteils de Manon glisser sur mon sexe. Elle continue ainsi plusieurs minutes avant de retirer son pied.
— Je vais devoir t’abandonner quelques minutes pour me refaire une beauté, comme on dit. Tu peux aller t’installer dans le salon, je te rejoins le plus vite possible, me dit-elle.— Et tu me laisses comme ça ?! — Ne t’inquiète pas, la suite va te faire bander encore plus que mon pied…
Manon se lève et quitte la cuisine pour monter l’escalier. Je la regarde en rejoignant le salon. Quelques minutes plus tard, Manon réapparaît en haut de l’escalier. Comme plus tôt dans la soirée, je ne peux décrocher mon regard de cette femme enceinte qui vient vers moi…
— J’ai tellement envie de toi, me dit-elle en arrivant en bas des marches. Sentir ton regard de braise sur moi, ça m’excite.— Moi aussi, j’ai envie de toi, de t’enlever cette robe…— Celle-ci… Dit-elle en retirant sa tenue.

Je suis assis sur le fauteuil et Manon arrive devant moi, simplement vêtue de son soutien-gorge et de ses bas retenus par son porte-jarretelles…
— Je pense que je libérerai aussi tes beaux seins…
Manon vient s’installer à cheval sur moi, passe ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Je me retrouve alors face à ses deux mamelles gorgées de lait.
Mes mains les saisissent, les palpent, mes doigts jouent avec ses tétons dressés et ma bouche vient se poser sur ses mamelons. Après quelques baisers, ma langue tourne autour de ses tétons.
Manon commence à gémir. Elle passe ses bras dans mon cou et m’enserre, alors que je continue à lécher sa poitrine, passant du sein gauche au sein droit. Je repense à ce qu’elle a dit quelques minutes plutôt. Je palpe son sein et une goutte de lait apparaît au bout de son téton. Ma langue se délecte de cette perle lactée. Je continue encore quelques instants à palper son opulente poitrine avant de retrouver ses lèvres et sa langue pour un baiser ardent, quand Manon dit :
— Je suis presque nue, et toi, tu es encore tout habillé… Tu trouves ça normal ?— Tu as raison, mais tu vas devoir m’aider, parce que là, je suis un peu bloqué, dis-je en lui donnant une légère claque sur la fesse.
Manon laisse échapper un cri et je me rends compte que je suis allé trop loin avec cette fessée.
— Oh, pardon Manon, je ne voulais pas te faire mal, je suis désolé ! Je ne sais pas ce qui m’a pris !— Tu m’as surprise, mais tu ne m’as pas fait mal ! T’inquiète, petit frère.
Elle se penche alors vers moi et me glisse à l’oreille :
— Je dois même avouer que j’adore ça, quand on me donne une petite fessée pendant l’amour !— Oh ! Très bien, balbutie-je. Je vais tâcher de m’en souvenir !
Manon sourit et se relève. Alors que je déboutonne ma chemise pour la retirer, Manon prend un coussin, s’installe à genoux et dégrafe mon jean. Je soulève légèrement mon bassin, pour permettre à mon jean de glisser pour libérer mon sexe bandé.
Ma sœur accompagne mon pantalon jusqu’à mes chevilles pour le retirer et le balancer derrière elle. Je me retrouve nu face à ma grande sœur, enceinte de six mois, elle aussi dans le plus simple appareil.
Elle vient poser ses doigts sur mon sexe et s’en empare pour le caresser. Elle se penche, dépose un baiser puis lèche mon gland, avant d’ouvrir la bouche et de laisser mon sexe glisser sur sa langue. Je gémis de cette fellation divine que m’offre une nouvelle fois Manon, qui varie de nouveau ses actions pour me faire languir de plaisir.
Alors que ses lèvres coulissent sur mon sexe, sa main droite se pose sur mes bourses et les malaxe tendrement. Je sens l’excitation de plus en plus monter en moi, mais je ne veux pas venir comme ça, je veux sentir la chaleur de son sexe, l’entendre gémir à chaque fois que ma queue s’enfoncera en elle…
— Manon, c’est bon ce que tu me fais… Hummm… Mais j’ai tellement envie de toi !! Viens…
Manon me regarde droit dans les yeux. Elle retire doucement mon sexe de sa bouche et après avoir déposé un baiser sur le bout de mon gland, elle se redresse pour venir se placer à califourchon sur moi.
Elle prend les choses en main. Un léger mouvement et je sens mon sexe transpercer ses lèvres et s’engouffrer dans son antre bouillant. Manon commence un léger va-et-vient et commence à gémir.
D’abord passif, laissant à Manon le soin de guider les choses, mes mains viennent caresser le corps sensuel de ma grande sœur. Ses seins, son ventre, ses cuisses, ses bras, ses fesses, tout y passe. En caressant ses fesses, je ne résiste pas à donner une nouvelle fessée, puis une seconde. Manon pousse de petits cris de plaisir avant de reprendre son va-et-vient.
— Tu veux bien changer de position ? Celle-ci n’est pas la plus agréable pour une femme enceinte…— Bien sûr, qu’est-ce que tu préfères ? Demande-je. — Prends-moi en levrette, c’est ma position préférée !
Manon se relève et s’installe à quatre pattes sur le tapis du salon. Je me lève et me place derrière elle, prêt à la prendre, mais… Un diamant recouvre la petite rondelle de ma sœur. Devant mon hésitation à la prendre, Manon tourne la tête vers moi et me dit :
— Surprise ! J’espère que ça te plaît ?!— Euh… Oui, c’est… Hésite-je.— C’est un plug anal ! Tu sembles surpris… Je voulais te faire plaisir, mais si ça ne te plaît pas, je l’enlève ? — Non, non, pas du tout ! J’adore ta surprise. Garde-le, ça m’excite beaucoup !
Sans attendre sa réponse, je pénètre alors Manon, qui gémit de plaisir, en sentant ses deux trous se remplir. Je vais et viens dans son sexe, alternant les mouvements lents et rapides. Je me retire plusieurs fois, avant de m’enfoncer de nouveau en elle.
Manon gémit de plus en plus fort sous mes à-coups et de temps en temps, je viens claquer ses jolies fesses, mais mon œil reste rivé sur son plug, bien calé dans son cul. La levrette se poursuit encore quelques minutes, jusqu’à ce que Manon me dise, entre deux gémissements :
— Mon amour, tu peux me retirer le plug, s’il te plaît… — Je ferais tout ce que tu veux, ma belle.— Alors, enlève-le et prends sa place !— Tu es sûre ? — Oui !! Par contre, vas-y doucement, c’est ma première fois par là…— Tu veux dire que tu n’as jamais été sodomisée ? Même avec Thibaut ?— Belle déduction, Sherlock ! Dit-elle en rigolant. Non, avec ce connard, j’ai toujours refusé. Il a bien essayé de forcer les choses plusieurs fois, mais je ne le sentais pas. Avec toi, c’est différent, j’ai confiance en toi pour arrêter si j’ai mal…
Flatté par la confiance que m’accorde Manon, j’accepte sa demande et je tire doucement sur l’objet, mais une résistance opère. J’intensifie délicatement la pression exercée. Manon laisse échapper quelques cris, alors que mon regard, toujours focalisé sur le jouet, profite du spectacle.
Doucement, la rondelle de Manon s’écarte pour prendre la forme du plug anal. Il se détend, se déforme, jusqu’à atteindre le diamètre maximal de quatre centimètres. Arrivé à ce stade, le cul de Manon expulse le reste du jouet et la rondelle se rétracte rapidement.
Je laisse tomber le jouet par terre et mon pouce vient caresser le cul de Manon encore dilaté par le sextoy, pendant que mon sexe bandé retrouve le chemin de son sexe pour quelques va-et-vient qui ne tardent pas à faire gémir ma grande sœur.
— Max, prends-moi par-derrière, s’il te plaît ! Gémit-elle.
Je sors mon sexe couvert de cyprine et glisse mon gland vers le haut pour se poser sur son petit trou, qui n’attend que ça. Je pousse doucement mon bassin vers Manon, exerçant une pression sur mon anus. Mon gland s’enfonce légèrement alors que j’intensifie la pression sur son œillet et mon sexe s’enfonce de deux centimètres dans son anus…
— Ça va, ma chérie ? — Oui, j’ai un peu mal, ton sexe est nettement plus gros que le sextoy, mais continue ! — D’accord, n’hésite pas à m’arrêter si c’est douloureux…
Sa rondelle cède sous la pression et mon gland disparaît dans son trou… Manon crie de surprise. Je m’immobilise et j’attends, afin qu’elle s’habitue à cet intrus.
— Je confirme, ta bite est nettement plus grosse que le plug ! Ça fait mal... dit Manon.— Tu veux que j’arrête ? — Non, vas-y doucement ! C’est douloureux, mais assez plaisant en même temps, je ne sais pas l’expliquer…
Je pousse délicatement mon sexe dans le petit trou de ma sœur. Centimètre par centimètre, je vois mon manche disparaître dans son cul. Alors que cinq centimètres sont déjà rentrés, je m’arrête de nouveau pour laisser à Manon, le temps de s’y faire. C’est elle qui réclame la suite :
— Vas-y, continue, mon amour ! Encule-moi…
Je me retire légèrement et reprends ma progression dans le cul de ma grande sœur. Ces lents va-et-vient semblent plaire à Manon, ses gémissements de douleur semblent laisser place à des râles de plaisir.
J’accélère les mouvements. Mon sexe va-et-vient dans l’anus de Manon comme il s’enfonçait dans sa chatte. Manon gémit de plus en plus fort sous ses coups de reins dans son cul et ses doigts qui jouent avec sa chatte. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.
— Manon, je vais bientôt jouir, dis-je entre deux va-et-vient. — Moi aussi, c’est trop bon ! Prends-moi, encule-moi petit frère !! Je t’aime tellement… viens en moi !— Oh oui, je vais jouir en toi ma chérie, je vais te remplir ton joli cul…
Sur ces mots, mon sexe explose et déverse de longs jets de spermes dans le petit trou de Manon, qui jouit à son tour, hurlant son plaisir. Je reste quelques secondes à observer ma queue dans ce cul rebondi, avant de me retirer et de m’effondrer sur le tapis à côté de Manon.
— Je ne pensais pas jouir autant par le cul ! Me dit-elle. Tu m’as fait découvrir quelque chose de génial… — C’est vrai, tu n’as pas eu mal ? — Finalement, la douleur est éphémère et l’orgasme qui vient après est tout simplement incroyable. J’ai eu raison de te faire confiance, je savais que tu serais à l’écoute. Merci mon amour.— Ce fut un plaisir ! Dis-je en souriant. Et je dois dire que moi aussi, j’ai adoré, mais je suis fatigué… Si on allait se coucher ?— Si c’est pour dormir dans tes bras, d’accord !
Nous rejoignons ma chambre et nous tombons rapidement dans les bras de morphée...
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