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Ma sœur enceinte

Chapitre 8

Inceste
Après cette première soirée, pleine de surprises, le week-end s’annonce très bien. Nous montons à l’étage pour nous coucher. Je rejoins ma chambre et m’allonge. Manon est passée par la salle de bain, pour se rafraîchir, mais elle me rejoint quelques minutes plus tard et se blottit dans mes bras. Nous échangeons un baiser, puis nous nous endormons rapidement.
Au cœur de la nuit, je ressens une douce sensation, comme si une langue jouait avec mon sexe, glissant le long de ma tige pour jouer avec mon gland, suçant le bout de mon sexe, avant de redescendre pour lécher mes couilles. Suis-je en train de rêver ? Cette sensation semble bien réelle. J’entrouvre un œil et aperçois la tête de Manon au niveau de mon sexe…
— Coucou toi, dis-je d’une petite voix.
Manon me regarde et me sourit, avant de reprendre mon sexe en bouche et de commencer un va-et-vient plus énergique sur mon membre. Mon sexe ne tarde pas à être dur et Manon s’active sur mon sexe. Pas de doute, elle est vraiment experte dans l’art de la fellation ! Jamais je n’ai connu pareilles sensations lors d’une fellation.

Ma grande sœur sait y faire et elle sait surtout me maintenir à un summum d’excitation, sans me faire venir trop vite. Après plusieurs minutes à me sucer, Manon se redresse et vient s’empaler sur mon pieu dressé.
Je sens mon sexe s’enfoncer doucement dans le vagin de Manon. Mes mains viennent se poser sur son ventre arrondi, puis glissent sur ses hanches et ses fesses. D’un mouvement , j’incite Manon à aller et venir sur moi. Je la guide en soulevant ses fesses et en relâchant la pression pour retomber sur moi.
Il ne faut pas attendre, pour que ma sœur prenne le mouvement à son compte et ajuste le rythme. Elle se penche sur moi et me susurre :
— Je suis désolée, si je t’ai réveillé, mais j’avais tellement envie de toi, j’ai senti ton sexe contre mes fesses et ma chatte s’est mise à mouiller toute seule !— Comment t’en vouloir ? J’adore ce genre de réveil !
Manon sourit et reprend ses mouvements sur ma queue. De mon côté, je profite de la position pour l’embrasser, même si son gros ventre complique un peu les choses. Mes mains caressent son corps, alternant entre ses seins et ses fesses.
Mes doigts pincent ses tétons et massent ses seins, pour l’exciter, mais aussi pour voir couler un peu de lait. Quelques gouttes perlent sur son téton. Je m’empresse de le lécher pour les récupérer. Son téton est dressé, ma langue joue avec, tourne autour et finalement, mes lèvres l’emprisonnent et je tète le sein gorgé de lait de ma sœur. Je récupère un peu de lait, puis je lèche de nouveau son sein.
Une main glisse sur le postérieur de Manon et vient claquer ses fesses. Ma sœur gémit de plaisir puis ralenti ses va-et-vient sur mon sexe. Finalement, elle se retire et s’allonge sur le côté, la jambe droite allongée et la gauche repliée.
Je me relève et me mets à genoux, à cheval sur sa jambe droite. Mon sexe s’enfonce facilement entre les lèvres de Manon. Je commence un va-et-vient en admirant le corps sensuel de ma grande sœur, alors que ses seins tanguent au rythme de mes mouvements. Manon gémit à chaque pénétration, quand je sens ses doigts caresser mes couilles, pendant qu’elle se caresse en même temps le clitoris.

La sensation est divine. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Je préviens Manon…
— Jouis en moi, remplis-moi, je veux sentir ton sexe jusqu’au bout ! Et moi aussi, je viens… Oh oui, Max, prends-moi encore !
Ces dernières paroles m’excitent un peu plus et je sens soudain les lèvres de Manon se contracter, son corps se tend, ma sœur gémit encore plus fort. Je ne tiens plus et je jouis à mon tour. Mon sexe déverse son flot de sperme dans le vagin se Manon.
Je reste quelques secondes sans bouger, n’osant pas quitter ce fourreau brûlant. Je profite de l’instant, admirant encore une fois son corps nue de femme enceinte. Mon sexe finit par se détendre et se retire. Je viens m’allonger près de Manon, en cuillère.
Mon bras droit passe sous sa tête, qu’elle vient poser dessus, alors que ma main gauche vient emprisonner son sein. Je dépose un baiser sur son épaule et dit :
— Définitivement, j’adore ce genre de réveil ! Je t’aime grande-sœur. — Oui, c’était pas mal, répond-elle en rigolant, avant de tourner la tête vers moi et de m’embrasser.
Notre baiser dure de longues secondes, puis nos regards se croisent et je me perds dans ses beaux yeux bleus. Après quelques minutes à s’observer sans rien dire, je perçois les paupières de Manon s’alourdir.
— Tu tombes de sommeil, il est temps de s’endormir…— Tu as sans doute raison, je suis si bien là… dit-elle. — Bonne nuit ma chérie ! — Bonne nuit mon amour, je t’aime.— Je t’aime grande sœur…
Les paupières de Manon se ferment et finalement, je m’endors à mon tour, en serrant Manon dans mes bras.
* *
Lorsque je me réveille, le soleil perce à travers les volets de ma chambre. Un coup d’œil au réveil, il est près de dix heures. J’étais si bien près de Manon, que j’ai dormi comme un bébé, mais… Manon, où est-elle ? Je me lève et je descends l’escalier avant de rejoindre la cuisine. J’y trouve ma grande sœur en train de préparer le petit-déjeuner.
— Salut, la marmotte, dit-elle en souriant. — Coucou, ça fait longtemps que tu es levée ? Tu aurais dû me réveiller… — Ça fait 30 minutes que je suis réveillée. Je me suis dit que j’allais pouvoir te préparer un bon petit déjeuner ! — Merci ma chérie, tu es la femme parfaite.— Arrête, n’exagère pas ! J’aime te faire plaisir, c’est tout !
Je fais le tour du plan de travail et je viens derrière elle pour l’enlacer. Un soupir de plaisir s’échappe de sa bouche quand je passe mes bras autour d’elle et dépose un baiser sur son épaule.
Ce matin, Manon porte une petite nuisette en bleu nuit, qui peine à couvrir ses cuisses à cause de son ventre. Mon sexe, emprisonné dans mon caleçon, est bien calé entre ses fesses et durcit rapidement, surtout que Manon tend ses fesses vers l’arrière pour se coller à moi.
— Tiens, mais qu’est-ce que je sens là ? dit-elle. — Ce que tu es venue chercher en te reculant ! Réponds-je.— Hummm… Ça m’excite… Mais là, c’est l’heure de reprendre des forces et on a la journée devant nous !
Manon m’a préparé un petit-déjeuner gargantuesque, avec viennoiseries, laitages, fruits, café et jus de fruits. Nous déjeunons en parlant du programme de la journée, qui s’annonce ensoleillée…
Nous terminons et débarrassons la table. Pendant que je range les restes du petit-déjeuner dans les placards, Manon dépose la vaisselle dans l’évier. Je me rapproche d’elle et pose ses mains sur ses fesses. Elles glissent vers ses cuisses, passent sous sa nuisette et remontent sur ses hanches. Je découvre que Manon ne porte pas de culottes…
Les fesses dénudées, ma sœur repousse son bassin vers moi et se frotte contre mon sexe. Nous gémissons en même temps. Mon sexe durcit sous les douces caresses de Manon, pendant que mes mains viennent emprisonner ses seins et les caresser à travers le tissu de sa nuisette.
J’embrasse Manon dans le cou et fait glisser les bretelles de sa nuisette sur ses bras, libérant sa belle poitrine. Mes doigts s’empressent de venir titiller ses tétons. Manon gémit et susurre :
— Tu m’excites, Max, je suis trempée ! J’ai tellement envie de toi…— Hummm, je vais voir ça…
Je m’accroupis et me retrouve face au magnifique cul rebondi de Manon. Je pose mes mains sur ses fesses et j’écarte ses deux globes pour dévoiler son sexe et son petit trou, une nouvelle fois obstrué par un petit plug...
Manon se penche un peu plus sur le plan de travail, pour m’ouvrir la voie vers son intimité. Je caresse sur son sexe, qui est déjà bien lubrifié. Je me rapproche et lèche une première fois ses lèvres, les mains agrippées à ses fesses.
Ma sœur gémit sous ce premier coup de langue. Encouragé par ses murmures, je continue à lécher son sexe, titillant son clitoris, remontant entre ses lèvres jusqu’à son périnée, pour redescendre sucer son petit bouton.
Pendant plusieurs minutes, je poursuis ces caresses, ma langue pénètre parfois à l’entrée de son vagin, puis repart vers son clitoris. Je glisse alors deux doigts et tire doucement sur le jouet qui recouvre son anus. Plus petit que celui de la veille, il sort facilement.
Je le laisse tomber par terre et reprends mes caresses buccales sur son sexe. Ma langue titille le bouton de Manon, qui gémit de plus en plus fort, puis je remonte le long de ses lèvres, me délecte de son jus et je poursuis mon chemin vers le haut. Ma langue recouvre la rondelle de ma grande sœur, ce qui semble la surprendre. Mais cette caresse est rapidement suivie par de nouveaux coups de langue. Je titille le trou plissé de Manon alors que mes doigts s’activent sur son clitoris.
Ses râles se font de plus en plus forts, elle gémit sans interruption maintenant :
— Oh oui, je jouis, je jouis !! exulte-t-elle.
Mes doigts continuent de masturber la chatte de Manon, alors que ma langue alterne maintenant entre ses lèvres et son cul, jusqu’à ce qu’elle se fige, terrassée par l’orgasme…
— Quel pied ! Encore une fois, tu me fais découvrir des plaisirs inconnus ! Et ta langue fait des merveilles…
Je me relève et Manon m’embrasse et me demande :
— Tu m’as donné chaud ! Si on allait prendre une douche ? — Avec plaisir...
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