Quelques jours plus tard, je suis au travail lorsque je reçois un message de Manon.
[SMS,Manon,Maxime]< Coucou, je te dérange pas longtemps, juste une nouvelle à te dire. Maman retourne chez Sophie ce week-end, une visite et un spectacle de prévu apparemment...> Coucou. Super nouvelle ça !! Morgane est-elle au courant ?< Pas encore, je viens de lui envoyer un message, mais elle ne m’a pas encore répondu.> D’accord. On en reparle ce soir tranquillement… > En tout cas, j’ai hâte d’être ce week-end ! Autant dire que la fin d’après-midi m’a parue longue et que j’ai eu beaucoup de mal à me concentrer après la réception de ce message… M’imaginant déjà en train de déflorer ma petite sœur. Le soir, à table, maman nous explique que Sophie lui a proposé de venir passer la journée de samedi et dimanche à Angers pour visiter une exposition et assister à un spectacle le soir. — J’ai accepté son invitation, j’espère que ça ne vous dérange pas ? Demande-t-elle. — Bien sûr que non ! Répond Morgane. Tu as raison d’en profiter et de sortir.— Oui, reprends-je, profite bien de ton week-end ! — Ça me gêne de te laisser si près du terme ma chérie... Dit maman en regardant Manon.— Arrête maman, la coupe Manon. Il me reste plus d’un mois de grossesse. Ce n’est pas prévu que j’accouche d’ici ce week-end ! Et puis, Morgane et Maxime seront là, donc tu peux sortir, ne t’inquiète pas.— Oui, j’ai rien de prévu ce week-end, rebondit Morgane. Je vais chouchouter ma grande sœur ! Maman semble rassurée par nos paroles et le repas se termine dans la bonne humeur… * *
Lorsque je me lève le samedi matin, la maison semble silencieuse. Un coup d’œil à mon réveil m’indique qu’il n’est que 7 h 15. Ne trouvant plus le sommeil, je décide de me lever pour aller courir un peu. Je me prépare et à 7 h 40, je suis prêt à partir, lorsque je croise maman qui descend l’escalier : — Tu es matinal mon chéri, dit-elle. — Oui je n’arrivais plus à dormir… Autant en profiter pour aller courir un peu ! — Tu vas courir combien de temps ? — Une petite heure, je pense. Pourquoi ? — On se croisera avant que je parte alors, je pars à neuf heures.— D’accord, à tout à l’heure, maman. Je dépose un baiser sur sa joue et je file. Le temps est idéal pour un footing matinal. Je cours une bonne heure et sur le chemin du retour, je croise maman dans sa voiture, qui part à Angers. Lorsque je pousse la porte d’entrée, j’entends Manon et Morgane dans la cuisine. Je les rejoins. — Coucou les filles, enfin levées, dis-je en rigolant. — On s’est reposées en prévision de la journée chargée qui nous attend, dit Morgane en rigolant. — Tu as loupé maman, qui vient de partir, dit Manon.— Oui, je l’ai croisée sur le chemin du retour. On est tous les trois pour les prochaines vingt-quatre heures… Vous voulez faire quelque chose de particulier ? Dis-je l’air de rien.— Oui, on a bien une idée, disent les filles en chœur, en se regardant.— OK, je monte prendre une douche et après, je suis tout à vous ! Dis-je en quittant la cuisine. Je me déshabille rapidement et glisse sous la douche. L’eau chaude ruisselle sur moi. Je prends du shampoing et commence à me savonner les cheveux. Les yeux fermés, je me frotte la tête lorsque je sens deux mains se poser sur moi. Je passe la tête sous l’eau pour me rincer, j’ouvre les yeux et tombe nez à nez avec Manon, nue comme un ver, la main gauche posée sur mes fesses et la main droite caressant ma queue. — Coucou toi, me dit-elle en souriant. — Coucou ! Quelle magnifique surprise !!— Je voulais m’assurer que tu étais prêt pour la journée qui nous attend… Mais ce que j’ai dans la main m’indique que oui ! Je vais te laisser finir ta douche tranquillement… Dit-elle en se retournant pour sortir.— Tu comptes vraiment sortir ?! Reste, s’il te plaît ! Dis-je en lui prenant la main pour la retenir. Manon se retourne et m’embrasse. Nos langues ne tardent pas à se trouver et à se mêler, pendant que mes mains parcourent son corps, glissant de ses seins à ses fesses. Les mains de Manon reprennent leurs caresses sur mon sexe. Ce dernier ne tarde pas à être bien dur. Ma grande sœur s’agenouille et se retrouve face à ce pic dressé. Un coup de langue sur mon gland et celui-ci disparaît dans la bouche de mon aînée. Manon me suce depuis plusieurs minutes lorsque Morgane fait son entrée dans la salle de bain ! — Ah, vous voilà !! Je vois que vous prenez du bon temps !! S’amuse-t-elle. Manon, n’épuise pas notre frère, j’ai besoin de lui après...— T’inquiètes pas, je vérifiais juste qu’il était en forme pour toi ! Répond Manon. — Il a l’air en pleine forme ! Bon, je vous laisse finir votre douche, je vous attends dans ma chambre. Mais ne tardez pas, je suis déjà très excitée !! Dit Morgane en quittant la pièce. On se regarde avec Manon, à la fois amusés et excités par la confession de Morgane. Mon sexe va-et-vient dans la bouche de Manon, qui accélère les mouvements, amplifiant mon excitation. Je gémis de plus en plus, jusqu’à ne plus pouvoir tenir. Je préviens ma sœur. Elle retire mon sexe, mais continue de me masturber. Mon sperme jaillit et se dépose sur son joli visage. Sa bouche, sa langue, ses joues et son menton sont recouverts de ma semence blanche. Manon avale ce qui coule dans sa bouche, puis se redresse pour se rincer le visage. La douche s’achève tranquillement, je prends le temps de nettoyer le corps de ma grande sœur, prenant soin de couvrir chaque centimètre carré de sa peau. Nous sortons finalement de la douche, nous nous séchons rapidement puis rejoignons Morgane dans sa chambre. Lorsque nous entrons, Morgane est allongée, nue sur son lit. — Ah enfin ! C’est pas trop tôt ! Ça fait au moins vingt minutes que je vous attends ! Dis-elle un peu énervée.— Désolé, petite sœur, réponds-je, on a pas vu le temps passer. Mais on va se faire pardonner !— J’espère bien !! Dit-elle en rigolant. Vous êtes beaux tous les deux, nus comme des vers… — Oui, mais on ne t’arrive pas à la cheville, renchérit Manon. Tu es sublime !! — Merci ma belle, dit Morgane. Bon, si on passait aux choses sérieuses ? On m’a promis de me faire découvrir et aimer la sodomie… — Tu es sûre de toi ? Demande-je. Si tu hésites ou que tu n’as pas envie…— Oui, je suis sûre, Max ! J’ai envie de sentir ta bite glisser dans mon cul, s’il te plaît ! — C’est demandé si gentiment, comment refuser ? Conclus-je. Morgane me fait signe du doigt pour que je me rapproche du lit. Je ne me fais pas prier. Mon sexe déjà au garde-à-vous, je m’avance et ma petite sœur s’installe à quatre pattes au bord du lit. Son visage est à quelques centimètres de mon sexe. Un pas de plus et ses lèvres se posent sur mon gland et s’entrouvrent. La langue de Morgane commence à jouer avec mon gland et s’applique à me sucer. Manon s’est aussi rapprochée. Ses mains caressent le corps de Morgane et rapidement caressent ses fesses. Je ne vois pas ce qu’elle fait, mais je devine que les doigts de Manon s’occupent de la chatte de Morgane, aux gémissements de cette dernière. Puis je vois ma grande sœur enfoncer son visage entre les deux globes de notre cadette. Lorsque sa langue vient glisser sur son petit trou, Morgane libère mon sexe de son étreinte et gémit plus fort : — Ohhhh !! C’est bon Manon, mais qu’est-ce que tu fais ?— Je prépare le terrain, ma chérie. T’occupes pas de moi…— OK ! Hummm, c’est trop bon ! Je retrouve ma place dans la bouche de Morgane et j’accentue les mouvements, excité par la situation. Morgane gémit à chaque coup de langue de Manon. Cette dernière intensifie les choses en plaçant son index sur la rondelle de sa sœur. Elle fait quelques cercles et le doigt ne tarde pas à disparaître dans le cul de Morgane. Manon ajoute rapidement un second doigt qui accompagne facilement le premier. Quelques mouvements de va-et-vient et Manon me dit : — Mon chéri, je pense que Morgane est prête ! — Hummm oui, Max ! Viens, encule-moi !! Je te veux en moi, dit Morgane.
