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Enceinte

Chapitre 3

Erotique
(On retrouve Mélanie avec son amant, dans l’ascenseur. Elle vient juste de se donner une nouvelle fois à lui.)
L’homme la possède, elle est prise, baisée une nouvelle fois par cet inconnu qui la fait délirer. La queue la pistonne, s’enfonce en elle et la fait sienne. Elle se sent remplie, possédée avec bonheur, envahie par cette queue étrangère. Le plaisir vient, monte dans son corps, dans son ventre, rapidement. Elle a soudain un flash, une fraction de seconde: l’image de Jean-Paul, son mari, s’imprime dans ses yeux, furtivement, mais suffisamment pour la mettre dans tous ses états. Paradoxalement, cela la trouble et l’excite furieusement. Elle a l’impression, l’espace d’un instant, qu’il la regarde se faire pénétrer. Alors elle part, elle crie son plaisir, râle à pleins poumons en pensant à lui, comme s’il était présent.— Oh ! Ouiiii !! Mon chéri… oui… c’est bon… il me… baise… fort ! Encore. Profond. Baise-moi… Prends-moi… Fais-le ! C’est… fort ! — Oui, Mélanie… prends-moi... Tiens ! Tiens ! Oh !! Je vais… te la mettre… et te remplir… ma chérie …— Oui… oh oui… mets-moi… profond… mets-moi… Oh ! Je … je viens… je viens… ouiiii ! Oh oui… prends-moi…
L’homme ne peut se retenir plus longtemps. Mélanie sent la verge durcir, se planter au fond d’elle. Elle sait qu’il vient, qu’il va décharger dans son ventre. Cette idée la transporte complètement. Elle rue, se pâme, sa tête roule de droite à gauche, et puis … c’est l’extase... L’homme se plante en elle et explose dans son corps. Il se vide et la remplit une nouvelle fois de sa semence. C’est chaud, c’est fort, c’est excitant, c’est bon ! Les deux amants finissent de jouir ensemble. Mélanie se cramponne et se retient à la rambarde. L’homme se plante une dernière fois en elle, comme s’il voulait la transpercer. Elle crie sous la poussée, râle une dernière fois puis se relâche, repose sa tête sur ses bras, alanguie, bouillante du plaisir qui vient de la terrasser. L’homme se retire d’elle. Elle le sent farfouiller derrière elle, il lui remonte lui-même son slip et rabat sa jupe. L’ascenseur repart. C’est alors qu’ils entendent la sonnerie. Quelqu’un appelle désespérément la cage, ce qui a déclenché la sonnerie d’alarme. Au redémarrage de l’appareil, l’alarme stridente s’arrête. Complètement partis dans leur jouissance, aucun des deux ne l’avait entendue.La porte s’ouvre, l’homme sort. Précipitamment, Mélanie se retourne et sort à son tour, en croisant une vieille femme, qui la regarde étonnée. Mélanie ne se rend pas compte de sa tête. Elle transpire, est complètement décoiffée, son corsage est complètement ouvert sur ses gros seins laiteux, le soutien-gorge pendant sur son ventre. L’homme se retourne, se rend compte de la situation et la prend dans ses bras. La porte de l’ascenseur se referme sur la vieille dame décontenancée. L’homme prend Mélanie par les épaules puis lui remet son soutien-gorge. Alors seulement, Mélanie réalise la situation. Le chemisier enfin remis en place, elle le regarde, blottie dans ses bras. — Je… Je ne sais pas qui vous êtes, mais… c’était bon… Pourquoi ?— Parce que tu en avais envie Mélanie ! Tu en avais envie... — Mais… pourquoi ? Comment vous avez fait pour…?— Je te connais, Mélanie. C’est tout ce que tu dois savoir. Ne te pose pas de question. Prends le plaisir comme il vient. Vis ta passion à fond. Profite de la vie Mélanie, prends du plaisir chaque fois que tu peux, autant que tu veux. Tu as vibré, tu en as joui Mélanie, et tu t’es donnée, sans restriction. Tu as aimé, aimé faire l’amour, aimé être prise, ne freine pas ta passion ! — C’est vrai, j’ai… j’ai aimé. Je sais pas comment mais… J’aime ce que vous me faites. Vous m’avez fait… jouir !
Sur cette déclaration bouleversante pour elle, l’homme la serre dans ses bras. Elle approche sa tête de celle de son amant. Leurs lèvres se soudent. Mélanie ouvre la bouche et reçoit le baiser, pour la première fois, goûtant la langue dans son palais. Elle est prise de frissons, tandis qu’une main prend possession de sa poitrine. Mélanie se laisse embrasser, rendant le baiser d’une langue avide, tournoyant dans le palais de son amant, puis elle cesse à bout de souffle, le regard trouble, laissant la main parcourir ses seins dans un nouvel émoi. Mélanie reste confondue, étonnée de la facilité avec laquelle il l’amène à se rendre, à s’offrir à ses caresses.— Oh ! Comment vous faites… je ne… comprends pas. Pourquoi ? — Je te l’ai dit, ma chérie: ton corps a besoin de caresses. Tu débordes de désir. Le désir d’être caressée, aimée, le désir d’être prise et d’offrir ton corps. La pénétration de ton ventre n’est que l’aboutissement de tes fantasmes, de tes envies. Laisse parler ton corps. Donne-toi chaque fois que tu en as envie.— Qui êtes-vous ?— Tu le sauras bien assez tôt. Ne pose pas trop de question. Va, ma chérie. — Mais… pourquoi ? Pourquoi moi ? — Parce que… je t’ai choisie, Mélanie, et parce que… tu en avais besoin, toi aussi. Un jour, tu sauras qui je suis. Un jour !— Je… je vous reverrai ?
— Si tu le désires, Mélanie ! Uniquement si tu désires poursuivre ce que tu recherches, ces contacts charnels que ton corps réclame. Je suis ton amant, Mélanie, je pourrai devenir ton maître si tu le désires. — Je… je ne sais pas … je ne comprends pas … — Si, tu comprends, Mélanie. Si tu ne comprends pas tes envies, ni pourquoi, tu sais maintenant que tu ne peux les contenir, que tu as besoin de ressentir toute la sensualité de ton corps. C’est pour cela que je suis là, pour t’apprendre à découvrir cette sensualité qui déborde en toi, et t’apprendre à la reconnaître. Si tu veux poursuivre cet apprentissage de l’amour, le vrai, celui du désir pur et de l’extase charnelle, alors je serai ton maître autant que ton amant. Je sais que tu le veux.
Troublée, Mélanie tente d’analyser les paroles de cet homme, sachant qu’elle finira par se laisser aller à cette domination mentale et érotique qui l’attire comme un aimant. Elle ne sait pas pourquoi elle l’écoute, elle ne sait pas pourquoi elle se rend et se donne à cet homme dès qu’il apparaît, mais elle sait qu’il dit vrai, qu’il a raison. Tout cela n’est que la vérité, une vérité qu’elle se refusait à entrevoir jusqu’ici, et pourtant … Elle le regarde, de plus en plus troublée, vaincue par ces déclarations. De quelle manière cet homme envisage-t-il de la conduire ? Jusqu’où va-t-il la mener ? Elle s’interroge, déjà rendue à ses arguments, elle ne peut que constater qu’il a raison, qu’elle le désire aussi. Tout cela la trouble, lui fait perdre la tête. Mais… comment veut-il la prendre, quelles sont ses intentions... La question lui brûle les lèvres...
— Mon maître ? Je ne comprends pas… c’est …— Si, Mélanie. Tu me comprends. Je sais que tu me comprends.— Je… je ne sais pas… Comment vous voulez… ?— Si tu le désires, c’est simple. Il te suffit de faire ce que je te dirai. Te laisser conduire est la seule solution Mélanie. Est-ce qu’il t’arrive d’aller au cinéma ?— Heu … oui, des fois.— Seule ?— Non, avec Jean-Paul. — Alors, vendredi, Mélanie, vendredi, je veux que tu ailles au cinéma. Seule ! Ce sera notre secret. Tu y seras rejointe, comme tu le désires. Tu te laisseras conduire dans la découverte de tes sens. — Mais… je…— Chut ! Je ne t’oblige pas Mélanie. C’est simplement un conseil auquel tu vas réfléchir. Je te laisse avec ta conscience, tes envies et tes besoins, ma chérie. Si tu ne le veux pas, c’est simple, il te suffira de rester chez toi, mais, je sais que tu viendras, je te connais. Tu ne pourras pas résister à la tentation qui t’attire vers le plaisir et l’extase. Si c’est le cas, à la séance de 16 heures, tu iras salle 11. Tu monteras jusqu’au dernier rang et tu te mettras juste sous la lucarne du projecteur. Arrange-toi pour que personne ne vienne s’asseoir à côté de toi jusqu’au début du film. A ce moment-là, une main viendra caresser la tienne, que tu auras posée sur l’accoudoir. Alors tu sauras que ton amant vient s’asseoir à tes côtés. Tu sentiras ses mains, tu t’abandonneras au plaisir. Tu connaîtras la volupté, je te promets que tu ne le regretteras pas.— Mais … au cinéma ? Vous voulez me faire… des choses au cinéma ? C’est çà ? Ce n’est pas possible... — Tu verras bien, Mélanie. Tu verras bien ! Mais, quoi qu’il se passe, laisse-toi aller. Laisse le plaisir t’envahir. Donne-toi, comme tu sais te donner.— Au cinéma ? Vous allez… venir pour… me toucher et… Oh là, là ! Je ne sais pas si … je ne sais plus. Tout ça va trop loin pour moi.— Je suis sûr que non. Vendredi… N’oublie pas !— Mais … il y a plein de monde au cinéma ! — A ces séances, il n’y a jamais grand monde. Et puis, les rangées du haut sont pour les amoureux, ceux qui ont envie de câlins.— De… de câlins ? Des amoureux ? Je… je suis amoureuse de… mon mari. Juste de mon mari... — Oui, Mélanie, je sais. Mais tu es aussi amoureuse de ton corps, de tes sensations. Et je sais que ton corps réclame mes caresses. Tu viendras Mélanie, je sais que tu viendras, car tu en as envie !— Bon… Je ne sais pas... Je ne sais plus. — A vendredi, Mélanie.— Au revoir… et… merci.

Sur le départ, Mélanie se retourne, étonnée et inquiète, en regardant son amant s’éloigner, en cherchant à comprendre, mais en n’y comprenant plus rien. Une moue comique sur les lèvres, elle le regarde, puis tourne les talons et reprend l’ascenseur.
Une fois chez elle, elle se dirige directement dans sa chambre et s’allonge, pensive, prise de frissons de volupté en mémoire de ce qui vient de se passer. Elle ne cherche plus à analyser, s’abandonne au délice qui parcourt son échine, sans remords. Cet homme, elle ne le connaît pas, et pourtant… elle a éprouvé beaucoup de plaisir à se donner à lui, beaucoup de plaisir à sentir ses mains sur son corps. Une énorme excitation l’étreint au souvenir de ce qu’elle vient de vivre. Elle ressent encore la pénétration de son sexe par cette verge inconnue. Au retour de son mari, Jean-Paul, Mélanie le rejoint au salon, se jette à son cou et se colle littéralement à lui. Jean-Paul la regarde, pas très étonné de ses débordements de tendresse devenus habituels depuis qu’elle est enceinte, et surtout depuis quelques semaines. Cela n’est pas pour lui déplaire.
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