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Enceinte, je me fais prendre par un berger allemand

Chapitre 1

Zoophilie
ENCEINTE JE ME FAIS PRENDRE PAR UN BERGER ALLEMAND
Cette histoire en partie bien réelle s’est déroulée il n’y a pas bien longtemps.Elle vous est racontée par une amie : Mélanie, petite jeune femme brune de vingt quatre ans qui est enceinte d’un peu plus de cinq mois.
Je réside dans le sud de la France ou j’ai mon travail, je suis marié à Franck depuis trois ans, mon mari pour son travail s’est exilé dans la région parisienne, nous nous retrouvons les week-ends et pendant nos vacances dans notre grande maison située aux alentours de Narbonne.Je suis assez portée sur tout ce qui touche au sexe, dans la semaine l’absence de mon époux se fait bien souvent assez durement ressentir.Avant que je connaisse Franck j’avais de nombreux copains, quelquefois, j’avoue que je regrette les parties de jambes en l’air avec les nombreux amants que j’ai pu avoir depuis ma sortie de l’adolescence.J’étais très portée sur la zoophilie, mes parents avaient deux beaux mâles rottweiler que j’utilisais fréquemment surtout quand mes chagrins d’amour se faisaient sentir, ce qui était assez courant chez moi qui suis une grande gourmande coté sexe.
Nous sommes au moi d’avril, je suis en congé parental et seule car mon mari travaille et je ne le verrai que vendredi soir.Je ne sais si c’est mon état, mais j’ai fréquemment envie de faire l’amour, de m’envoyer en l’air, c’est devenu une obsession !Pour compenser ce manque de sexe j’ai acheté plusieurs godes et plugs que j’utilise fréquemment dans mes moments de délire, je me mets sur le bord de mon lit et, la croupe excessivement relevée je m’offre à un amant imaginaire, ma chatte dilatée coule abondamment sous mes attouchements et pénétrations. Ce jour là j’étais donc sur mon lit et un godemiché de taille modeste me pénétrait par l’arrière, le cul bien cambré. Plus je faisais aller et venir le phallus en verre dans mon intimité et plus mon sexe mouillait et s’ouvrait pendant que je couinais en pensant à un amant que j’avais eu et qui me plaisait bien, tant sa longue queue me faisait jouir en me pénétrant bien à fond.Je ne prends jamais la précaution de fermer les portes de la villa quand je suis présente, mes voisins son attenant à ma propriété et possèdent un gros berger allemand de trois ans qui est impressionnant et fait bonne garde.Ce bel animal qui se prénomme sultan est une bête robuste dotée d’une imposante crinière rousse et noire, au début, il me faisait un peu peur, car on dirait un lion.Sûrement alerté par mes couinements et mes cris de femme en chaleur il s’est infiltré silencieusement dans la maison, suivant les bruits que je fais, il atterrit dans ma chambre. Je n’ai rien entendu, les émanations intimes devaient saturer la chambre car le chien sans plus attendre colla son long et imposant museau directement sur ma vulve passant une langue très longue et très râpeuse pénétrant mes chaires intimes. Sous ces attouchement et ces léchouilles je me retournais et apercevais le mâle qui était collé à ma moule toute humide et sûrement très odorante, ressentant ce bien-être bien connu, je le laissais faire en tendant encore plus mes fesses à sa langue et à son souffle chaud sur mes chairs tendres en érections.Il m’irradiait littéralement tout mon corps, des frissons me parcouraient de la tête aux pieds, je sentais sa langue qui par instant s’insérait dans mon abricot bien ouvert et tout gluant de mouille.En sautillant sur ses pattes arrière cette belle bête tentait de me grimper sur le dos, sachant bien ce à quoi je m’exposais, je pris la décision de me positionner sur le plancher à quatre pattes. Je m’installais à même le plancher en positionnant quelques coussins à cause de mon gros ventre, j’écartais en grand mes lèvres vaginales... L’entrée entre mes cuisses n’était plus une ouverture mais un trou béant, je suppliais le chien de me saillir en me cambrant du plus que je pouvais pour lui faciliter l’entrée que j’attendais impatiemment. Il parvint assez rapidement à s’insérer au fond de mon ventre, je sentais cette imposante et longue tige qui rentrait et sortait de mon sexe, je coulais en permanence. La bête m’avait saisie par le bassin, grimpé sur mon dos, il m’était impossible de bouger, prise entre ses pattes avec un tel poids sur les reins.Je subissais, les coups de queue du mâle en rut qui m’arrachaient quelques cris, il gesticulait sur mon dos en essayant d’aller plus loin dans mon ventre. J’hurlais de plaisir en me sentant ainsi pénétrée, la tige de mon partenaire me transperçait, tapait loin dans mon con, je suais et tremblais, je sentais le pilon de chair du berger s’enfonçait au plus profond de moi.L’animal devint inerte, nous étions soudés l’un à l’autre, je le sentais se déverser en moi en petits jets qui fusaient, sa boule m’écartait les parois vaginales, j’avais mal au ventre tant ma jouissance était proche. Nous sommes restés plusieurs minutes ainsi emmanchés, le temps m’avait paru long, c’était interminable, je sentais le souffle chaud de sultan dans mon cou.Finalement après cette copulation généreuse, le berger allemand à force de tirer finit par se libérer, une quantité importante de liquide fut libéré et s’écoula sur mes cuisses et mes jambes.
Je restais un long moment abattue, ravagée, le ventre lourd encore rempli de foutre en train d’essayer de reprendre mon souffle et mes esprits.J’ai eu un peu peur et n’étais pas très rassurée de rester aussi longtemps verrouillé, mais en revanche le plaisir d’être ainsi prise est indescriptible, c’est divin… Depuis ce jour, sultan est revenu me rendre visite, nous avons remis çà, et c’est bien souvent que j’attends sa visite !!!
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