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Enceinte, j'ai rêvé de nous et d'elle

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Nous n’avons pas eu le temps de roucouler en amoureux depuis longtemps. Entre nos emplois respectifs, nos engagements annexes et notre bébé, nos emplois du temps ont été chargés pendant longtemps. Aussi n’avons-nous aucune culpabilité à profiter de ces quelques jours rien qu’à nous tandis que notre mini-nous est chez ses grands-parents. Nous venons d’apprendre que je suis enceinte du petit deuxième, un bébé surprise, et nous voulons avoir du temps rien que pour nous avant sa naissance. J’en suis au début du deuxième trimestre, mon ventre est légèrement arrondi, c’est le moment d’en profiter.
Tu nous as choisi un très bel hôtel pour ce séjour. Moderne et raffiné. Nous passons nos journées dans la chambre, à regarder des émissions à la télévision en les commentant comme des commères, à vider le mini-bar de ses cacahuètes, à crapuler sous la couette ou à la piscine de l’hôtel.
Tu as réservé un massage en duo. Le spa est au deuxième sous-sol de l’établissement. L’accès y est exclusivement limité. Trente minutes avant la prestation, nous recevons un appel de l’accueil qui nous invite à nous mettre en peignoirs pour un maximum de confort. Nous prenons une douche. L’eau coule sur mon petit ventre rebondi et tu le caresses du creux des mains. Puis tes mains glissent vers mon sexe, mais je te repousse. J’ai peur que nous ne nous mettions en retard. Nous enfilons les peignoirs moelleux.
La groom frappe doucement à la porte. Deux petits coups feutrés. Nous la suivons. Nous descendons au rez-de-chaussée par un ascenseur privé. Je me dis qu’elle a tout pour te plaire. Très élégante, en jupe fuseau et petits talons, ses cheveux bruns attachés en une queue-de-cheval sévère et vraisemblablement réglementaire. Sa jupe moule un fessier discret, mais haut et rond. Elle est un petit gabarit. Je sais que tu préfères d’ordinaire les femmes pulpeuses, mais je suis certaine que son apparence stricte et ses hésitations de débutante te charment. L’ascenseur ne descend pas plus bas qu’au rez-de-chaussée à cause de travaux. Elle nous présente des excuses formelles pour ce désagrément, d’un ton d’élève qui récite studieusement un poème. Il faut emprunter un escalier qui n’a rien de glamour pour accéder au premier sous-sol.
Elle descend devant nous et ses seins fermement maintenus dans son corsage au col Napoléon font un mouvement haut bas quasiment imperceptible au rythme de ses pas de gazelle. Cela ne t’a pas échappé. Je me penche vers toi et te souffle : « Ne mets pas plus d’une femme enceinte par an. » Pour toute réponse, fripon, tu me pinces les fesses. Je me retiens de glousser.
Il nous faut traverser un couloir en travaux. Je te jette un regard à la dérobée. Je comprends qu’ils aient des travaux à faire, mais, au regard du standing de l’hôtel, je m’étonne qu’ils n’aient pas fait l’effort de rendre les lieux un minimum plus accueillant. Tu fais un geste de la main qui signifie « Ce n’est rien. ».
Nous arrivons devant un ascenseur flambant neuf. L’employée nous explique que nous sommes les premiers à l’inaugurer. L’hôtel se restructure complètement, l’ascenseur principal va être amené à changer de place et, compte tenu de l’âge du bâtiment, ce n’est pas un mince chantier donc il s’opère étage par étage. L’ancien ascenseur était assez classique, dans des teintes de bois rouge, chaleureux, un poil suranné, avec une ambiance douce. Celui-ci est recouvert de miroirs de haut en bas sur trois faces et la lumière est intense, surtout par rapport au couloir non éclairé. Elle nous explique que son accompagnement s’arrête là, qu’elle nous donne un pass pour descendre au deuxième sous-sol, où nous serons immédiatement pris en charge par ses collègues. Elle scanne le pass, nous le transmet et nous montons dans l’ascenseur.
Nous semblons oublier de suite sa présence, car il ne nous faut pas plus de deux secondes pour mettre en œuvre l’idée que nous avons de suite partagée : mettre à profit ces grands miroirs.Les barres fixées pour se maintenir sont assez larges pour que je puisse m’y asseoir et à la hauteur parfaite pour que tu puisses me prendre sans effort. Mon sexe est trempé. J’ai oublié ma crainte d’être en retard quand j’ai vu les miroirs et tu peux d’emblée m’enfiler sans contrainte. Tu te débarrasses de ton peignoir et je me délecte de la vue de tes fesses qui basculent dans le miroir d’en face. Tes aller-retour sont lents et intenses. Je sens mon clitoris se gonfler, j’essaie d’y glisser une main, mais j’ai besoin de me tenir aux barres pour maintenir mon équilibre précaire. Tes mains sont occupées à me torturer les seins et il est hors de question que tu les retires. Je grogne de satisfaction et de frustration.
Je suis soudainement prise d’un doute. Sommes-nous seuls ? Nous n’avons même pas laissé à la groom le temps de se retirer ! Je tourne la tête. Les portes sont restées ouvertes. Et elle est là. Elle nous regarde intensément, sans que je ne sache dire si elle est choquée, gênée ou excitée. Je me déséquilibre un instant pour te toucher le torse du bout des doigts et je te désigne l’employée. Tu as un rire bref et tu la pries de nous excuser, tu dis que nous nous sentions pressés, que nous n’avons pas réfléchi. Elle dit que ce n’est rien. Sa voix n’est qu’un filet tremblant. Tu lui demandes si nous l’avons mise mal à l’aise. Elle assure que non. Elle demande « Je peux ? » timidement. Je ne vois pas ce qu’elle veut dire. Je ne suis pas sûre que toi non plus, mais pourtant, tu réponds par l’affirmative.
Tu reprends tes aller-retour comme s’il ne s’était rien passé et avec le sexe gonflé et humide autour de ta verge, les seins lourds pétris par tes mains qui savent éviter les tétons trop sensibles et le plaisir dans tout mon corps, je ne m’en inquiète pas davantage. Des doigts fins et doux viennent au secours de mon clitoris tellement désireux d’être stimulé qu’il en est douloureux. Je sais d’emblée à qui ils appartiennent. Je lui jette un regard reconnaissant et son sourire authentiquement satisfait me fait tressaillir. Juste avant de refermer les yeux, j’observe qu’un doigt de son autre main est entre tes fesses. Je me demande ce qu’elle te fait précisément et mes théories me font gémir. Je déclenche un orgasme et j’ai du mal à rester en équilibre. Tu accélères, je sens son sexe sur le point de décharger. Tu te vides en moi. Nous échangeons un regard complice. Tu te retires.
Elle demande de nouveau « Je peux ? ». Je ne comprends toujours pas. Je me tourne vers toi, tu réponds de nouveau par l’affirmative. Elle se met à genoux et elle te suce. Aucune pitié pour la période réfractaire. Tu ne sembles pas la connaître, ceci dit, car ton sexe se remet d’aplomb aussitôt. Digne, au garde-à-vous. Elle m’intrigue. Elle a l’air si ingénue, si timide et si experte. Ton sexe est imposant et elle n’a pas peur de le gober tout entier, sans peine apparente. Elle lèche tes bourses avec concentration, puis ton sexe, elle te caresse. Un joli savoir-faire. J’en suis un peu envieuse. Je ne pense pas faire aussi bien au quotidien.
Elle fait une petite pause. Elle te regarde puis me regarde en demandant « Vous voulez ? ». Je ne réponds pas. Tu te tournes vers moi et tu répètes la question : « Tu veux ? » Je ne comprends toujours pas. Tu me dis que, si mademoiselle est d’accord, tu vas la saillir. Mais mademoiselle n’est pas ton épouse, elle ne peut pas avoir la même prestation. Mademoiselle devra se plier au rythme insufflé par l’épouse. Mademoiselle fera ce que l’on veut, comme on le veut, au rythme que l’on veut. Je ne sais pas comment tu as compris cela de ses quelques mots, mais elle opine du chef consciencieusement pour confirmer ta traduction. Je suis partante.
Elle se relève et elle remonte sa jupe fuseau en accordéon au-dessus de ses fesses. Agréable surprise : elle porte des bas jarretelles et une culotte noire en dentelle. Elle porte cette dernière comme n’importe quelle personne ne donnant pas dans l’apparat : au-dessus du porte-jarretelles. J’apprécie ce détail à sa juste valeur. Tu lui retires sa culotte. Tu tâtes le terrain et tu sembles satisfait de ton évaluation. Elle se penche en avant, les mains posées sur la barre, les fesses cambrées. Elles sont effectivement bien rondes et fermes. Tu la prends doucement. Elle couine un peu. La question de la protection ne semble pas se poser et comme vous semblez vous comprendre sans parler, je n’ose pas interrompre. Je me demande si elle est vierge. Elle est étroite en tout cas, mais, doucement, tu fais ton nid. Ses gémissements légèrement voilés par l’inconfort deviennent des petits soupirs d’aise.
Je te demande d’arrêter de bouger en elle. Je scanne le pass, je le lui tends et j’appuie sur le bouton « deuxième sous-sol ». Je te demande de ne plus la prendre tant que les portes sont ouvertes. Tu peux la prendre quand les portes sont fermées et que l’ascenseur est en mouvement, mais vous devez vous arrêter dès qu’elles s’ouvrent. Idem arrivés au -2 pour le retour. Je vous fais faire quelques aller-retour d’un étage à l’autre. Je sens la tension monter, majoritairement pour elle. Elle se tortille, elle tâche de s’empaler davantage sur ton sexe. Cette fille en veut, c’est certain. Quand elle s’impatiente trop, je te demande carrément de te retirer. Elle ne change pas de position, elle attend et elle espère. Je lui caresse le sexe, elle gigote. J’humidifie mes doigts et les glisse vers son clitoris. Je lui dois bien ça. Tu lui caresses le reste du corps puis tu viens déloger mes doigts pour y mettre ta langue. Je prends le relais côté caresses.
Elle jouit avec des petits cris suraigus. Ils seraient désagréables s’ils n’étaient pas si follement excitants. Tu te redresses, tu repasses derrière elle et tu lui flattes ses fesses. Tu la prends de nouveau. Tu te tournes vers moi pour me demander d’insuffler le rythme. Je vous donne comme consigne « le plus rapide et le plus longtemps dont vous soyez capables ». Je connais ton endurance. Je suis curieuse de découvrir la sienne. Avec une surprise agréable, j’apprends que je ne suis pas la seule femme à demander grâce quand tu y mets toute ton énergie et toute ta volonté. Homme galant, tu ralentis effectivement pour lui donner le temps de souffler quand elle demande pitié, mais, dans l’instant, elle s’agite dans tous les sens autour de ton sexe et elle geint, comme prête à pleurer de frustration. Le plaisir la désordonne. Monsieur aime satisfaire son public, Monsieur reprend donc jusqu’à ce qu’elle crie pitié de nouveau. Je finis par m’opposer : plus de pitié.
Quelques secondes plus tard, elle n’est plus que jouissances et vibrations, mais, docile, elle te laisse terminer tandis que son regard se perd dans le vague et que sa voix n’est que vibration. Tu exploses et te déverses en elle une belle minute plus tard.
Elle te veut encore. Je le vois dans son regard. Elle est pleine de ton foutre encore chaud, tremblante, chancelante, mais elle est affamée de toi. Cette fille a besoin qu’on s’occupe d’elle encore et encore, insatiablement. Mais nous sommes certainement déjà en retard pour notre massage. Je lui propose de venir te voir au spa après ton massage. Elle hoche la tête avec véhémence. Je pense qu’elle sera au rendez-vous. Elle sort de l’ascenseur, mal assurée, son dessous à la main. Les portes de l’ascenseur se referment tandis qu’elle se rhabille laborieusement, la bouche entrouverte, encore essoufflée.
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