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Ma sœur enceinte, la suite

Chapitre 2

Inceste
Au cœur de la nuit, une douce sensation me réveille… À moins que ce ne soit un rêve ? Les yeux encore clos, je ressens un corps doux et humide parcourir mon sexe qui a durci sous ces caresses.
J’ouvre doucement les yeux. Dans la pénombre, je peine à distinguer ce qui se passe. Mon sexe au garde-à-vous est attaqué par une langue qui joue avec et des lèvres qui l’emprisonnent. Je profite de cette divine sensation offerte par ma sœur, à quatre pattes à côté de moi.
— Bonjour ma chérie, murmure-je. — Je suis désolée, mon amour, Margaux s’est réveillée en pleurant. Je suis allée la voir et en revenant, j’ai vu ton sexe… Je n’ai pas pu résister... Répond-elle en reprenant sa fellation. — Tu es toute pardonnée, souris-je. La petite va bien ? — Oui, un simple cauchemar. Elle s’est rendormie rapidement.
Manon remet mon sexe dans sa bouche et reprend ses caresses buccales. Elle lèche, suce, caresse et embrasse mon sexe. Elle me masturbe et me reprend plus rapidement, pendant que sa langue tourne autour de mon gland. Quel plaisir indescriptible. J’adore quand elle me réveille ainsi.
Malheureusement pour moi, je ne parviens pas à me retenir plus longtemps. J’en informe ma compagne, qui continue sa gâterie, jusqu’à sentir mon sexe se gonfler et tressaillir en libérant mon sperme dans sa bouche.
Elle avale son offrande et s’allonge à mes côtés, prête à se rendormir :
— Bonne nuit petit frère, dit-elle en m’embrassant. — Tu ne veux pas que je te fasse plaisir à mon tour ? Demande-je surpris. — Non, ne t’inquiète pas, tu auras encore de nombreuses occasions de me faire plaisir ! On devrait se rendormir, Margaux est une lève-tôt.
* *
Il est sept heures et demie lorsque j’entends Margaux appeler sa maman. Manon m’embrasse et se lève.
— Tu vois, elle est matinale… Tu peux dormir un peu plus longtemps si tu veux, ajoute-t-elle en déposant un autre baiser sur mes lèvres avant de quitter la chambre.
Je reste un moment au lit, somnolant et me remémorant les événements de la nuit. Aussitôt, mon sexe se tend. Finalement, je décide de me lever, il est un peu plus de huit heures. Lorsque j’entre dans le salon, Margaux est en train de prendre son petit-déjeuner.
En me voyant, elle me gratifie d’un large sourire. Elle semble heureuse de me voir et c’est réciproque. Nous passons la matinée à jouer ensemble, puis après la sieste, nous partons à la découverte de Bordeaux, pour une balade sous le soleil.
Margaux dans la poussette, que nous guidons à tour de rôle, nous passons pour une famille normale dans cette ville où personne ne nous connaît. Je vole quelques baisers à Manon et on se tient la main comme tous les couples.
* *
Le soir, lorsque Margaux est couchée, nous nous installons dans le canapé, avec un verre de vin. Nous discutons un moment comme nous en avons l’habitude. A un moment, je lui dis :
— J’ai adoré cette journée avec Margaux et toi ! C’était top cette balade en ville.— Oui, une vraie sortie en famille, sourit-elle. J’ai beaucoup aimé aussi.
Après un silence, elle ajoute :
— Tu sais, j’ai beaucoup aimé te voir jouer, rire et t’occuper de Margaux. — Moi aussi, j’ai adoré passer du temps avec elle, dis-je. — Tu seras un papa génial pour elle. — Je… Comment ça ? Dis-je surpris. — Je n’ai pas envie de lui mentir ou de lui cacher des choses… Quand tu nous rejoindras, elle nous verra nous embrasser, dormir ensemble… A ses yeux, tu seras son papa ! — Oh ! D’accord. Mais… Et son vrai père ? Demande-je. — Ce connard ne l’a jamais reconnu. Pour moi, il n’existe pas, ajoute-t-elle énervée. — Je sais, mais qu’est-ce qui te fait croire qu’elle me verra comme son papa et non son tonton ? — Je suis sûre que tu vas l’aimer comme ta propre fille, donc elle le ressentira aussi !— Tu crois vraiment que je serais un bon père ? Demande-je curieux.— Oui, je n’ai aucun doute là-dessus ! Répond-elle immédiatement.
La discussion se poursuit encore, mais progressivement, le sujet dévie et il est entrecoupé de baisers de plus en plus fougueux. Mes mains se perdent volontairement sur le corps de ma sœur, explorant ses cuisses, son dos et ses seins.
Doucement, au gré de mes caresses, je retire les vêtements de Manon, je commence par son chemisier et son soutien-gorge. Lorsque sa poitrine est libérée, je me penche vers ses mamelons pour les lécher. Je passe de l’un à l’autre, suçant ses tétons tout en poursuivant mes caresses. Manon gémit à chaque coup de langue sur ses seins et ses gémissements s’intensifient lorsque mes doigts passent sous sa jupe pour caresser son sexe à travers sa culotte.
Le tissu est déjà humide, signe de son excitation. Je glisse mes doigts sous la fine dentelle pour caresser ses lèvres et son clitoris. Mes lèvres abandonnent (à regret) les seins de ma sœur, je m’installe à genoux devant elle et je tire sur sa culotte. Manon se soulève légèrement pour m’aider à retirer son sous-vêtement, puis ouvre ses cuisses m’offrant une vue magnifique sur son intimité.
Je dépose quelques baisers le long de ses cuisses et remonte progressivement vers l’objet de mon désir. Manon frissonne à chaque fois que mes lèvres effleurent sa peau et se rapprochent de son sexe. Un dernier baiser et c’est au tour de ma langue d’entrée en scène.
Je m’arrête un instant pour la regarder. Qu’elle est belle ma sœur ! Ce n’est pas la plus grande de la famille avec son mètre soixante-huit, mais elle compense sa taille par un corps magnifique, que la grossesse a sublimé ! Plutôt mince, Manon a retrouvé sa ligne après la naissance de Margaux, mais a conservé des hanches un peu plus larges et une poitrine plus généreuse qu’à l’origine, ce qui n’est pas pour me déplaire !
Ma langue glisse alors sur son clitoris et mes lèvres viennent entourer le bouton de chair. Je reste quelques instants à le sucer, lécher et titiller, avant de descendre entre ses lèvres juteuses. Ma langue s’active de bas en haut, récupérant le nectar sucré de ma sœur. J’alterne les caresses entre ses lèvres et son clitoris, avant d’ajouter deux doigts dans cette danse.
Lorsque mon index s’enfonce dans sa chatte, Manon gémit un peu plus fort et son plaisir augmente lorsque mon majeur la pénètre également. Les va-et-vient de mes doigts dans le vagin de ma sœur s’accordent avec les mouvements de ma langue sur son clitoris. Mes doigts ne tardent pas à être recouverts de cyprine et j’ajoute un troisième doigt qui s’enfonce aussi aisément que ses voisins.
Manon essaie de ne pas gémir trop fort, pour ne pas réveiller sa fille, mais mes caresses l’en empêchent. Je retire mes doigts de son intimité et je passe sur son clitoris et redescends vers son périnée et son œillet. Je renouvelle plusieurs fois la caresse, humidifiant son petit trou avant de venir y poser ma langue. Je tourne autour, passe et repasse sur son anus.
Surprise par cette caresse insolite, Manon reprend rapidement ses gémissements de plaisir, décuplés lorsque mon doigt s’enfonce doucement dans son cul. Je vais et viens lentement puis au gré d’un mouvement, mon index et mon majeur retrouvent la chaleur de son sexe. Doigtant les deux orifices de mon aînée, je reprends mon activité sur son petit bouton.
Elle se retient encore, mais cède finalement au plaisir. L’orgasme est fulgurant. Le corps de Manon se contracte, ses trous enserrent mes doigts, ses muscles se tendent et elle jouit. Je me recule et observe ma sublime partenaire au summum du plaisir. Elle met plusieurs secondes à reprendre son souffle.
— Oh mon dieu… Halète-t-elle.— Tu peux m’appeler Max ! Rigole-je. — Idiot, rit-elle en me tapant l’épaule. C’était génial ! Tu es vraiment doué pour donner du plaisir aux femmes.— Il n’y a qu’une femme à qui je veux donner du plaisir…— Bonne réponse, sourit-elle.
Elle m’attire vers elle pour m’embrasser. Le baiser s’éternise, mais je ne m’en plaindrait pas ! Puis elle se penche à mon oreille et me dit :
— A ton tour mon chéri…
Je m’installe dans le canapé après avoir retiré mes affaires. Manon me remplace à genoux, devant moi. Elle n’attend pas et se penche sur mon bassin pour lécher mon sexe déjà dur. Elle passe de mon gland à mes couilles avant de faire glisser mon sexe sur sa langue et de l’accueillir dans sa bouche, sa main droite me masturbant et sa main gauche s’occupant de mes testicules…
Manon s’applique à me faire plaisir et elle y parvient sans peine. Elle me suce depuis plusieurs minutes, salivant abondamment sur ma queue quand, d’un coup, mon sexe disparaît dans sa bouche. Elle reste ainsi, gardant mon sexe en bouche, plongeant dans sa gorge…
Quel délice de sentir sa langue jouer avec mon sexe, qui va-et-vient, au plus profond de sa bouche. Excité, je ne peux tenir plus longtemps et je préviens Manon. Elle me regarde et m’incite à jouir sur ses seins, ce que je fais quelques secondes plus tard. Mon sperme recouvre sa jolie poitrine, coulant vers son ventre. Elle récupère une goutte de mon liquide avec son doigt, le porte à sa bouche et le suce. Elle me regarde et me dit :
— J’espère que tu vas vite récupérer, petit frère ! J’ai beaucoup aimé tes caresses tout à l’heure et j’ai vraiment envie que tu me prennes par derrière…— Oh ! Mais je ne voudrais pas te priver de ce désir ! Que dirais-tu de poursuivre dans la chambre ? On serait plus à l’aise ?— Bonne idée…
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