Allongés sur le lit, nous nous embrassons pendant de longues minutes. Mes mains ne cessent de caresser le corps de ma sœur, passant régulièrement de ses fesses à sa poitrine et inversement… Les mains de Manon ne sont pas en reste, parcourant mon dos et mes fesses, pour enfin revenir vers mon sexe. Elle referme ses doigts sur ma queue et commence un léger mouvement de va-et-vient qui ne tarde pas à faire son effet. Je suis bientôt au garde-à-vous. — On dirait que tu es prêt pour continuer la soirée, dit Manon. — Tu m’as bien aidé, souris-je. Avec ta main et ton envie exprimée tout à l’heure… Mais si tu ne veux plus, on peut rester “classique” !— Oh non, j’en ai encore envie !! Mon petit cul attend depuis des semaines que tu t’occupes de lui, rigole-t-elle. — OK, alors installe-toi ! Dis-je.— Fais doucement au début… Je n’ai plus l’habitude de… Tu vois !— Bien sûr, je ne vais pas y aller comme une brute ! Tu me connais…— Evidemment, sourit-elle en se redressant. Manon se penche vers sa table de nuit et sort un tube de lubrifiant et me le tend. Elle s’installe ensuite à quatre pattes, le cul relevé. Elle est prête à se faire sodomiser. Je m’installe derrière elle, je verse une dose de gel sur son petit trou que je caresse avant d’enfoncer un, puis deux doigts dans son orifice. Quelques va-et-vient pour habituer Manon à cette pénétration suffisent pour que ma sœur gémisse. Je retire mes doigts, prend une nouvelle dose de lubrifiant que j’étale sur mon sexe bandé, avant de me présenter devant son petit trou. Une légère pression et mon pieu commence à s’enfoncer dans le cul de mon aînée. Je pousse doucement mon bassin vers celui de Manon, jusqu’à ce que mon sexe soit presque entièrement dans son cul. Je reste quelques secondes ainsi, avant de reculer, pour mieux m’enfoncer à nouveau. J’accélère progressivement le rythme de mes va-et-vient dans son cul, et Manon gémit de plus en plus fort à chaque coup de rein. Elle semble prendre beaucoup de plaisir et moi aussi. — C’est trop bon, dit-elle entre deux gémissements, mais tu peux accélérer encore un peu…— Comme tu veux ! J’aime faire plaisir à ma partenaire et si elle me demande de la prendre plus rapidement, je m’exécute ! Je l’encule plus vite et plus fort. A chaque coup de boutoir, mes couilles viennent claquer le sexe de mon amante et je sens les doigts de Manon les caresser, pendant qu’elle se masturbe. A un moment, elle se redresse, venant coller son dos à mon torse. Mon sexe s’enfonce un peu plus profondément dans son anus, mais la position me permet d’attraper et de caresser ses seins et d’embrasser ma sœur dans le cou. Mes pouces et index jouent avec les tétons durcis de Manon qui ne cesse de crier.
Lorsque je sens le point de non-retour arriver, je ne me retiens pas. Dans un ultime mouvement de bassin, j’encule Manon et déverse mon sperme dans son cul. Le sexe palpitant dans son petit trou, je fais glisser une main vers son sexe. Mes doigts s’emparent de son clitoris et s’activent pour mener ma sœur à l’orgasme. Je tourne autour de son bouton pendant quelques secondes, continuant de jouer avec son sein de l’autre main, quand je sens sa rondelle se contracter autour de mon sexe, toujours calé dans son anus. Manon jouit et s’effondre sur le lit, expulsant mon sexe de son derrière et tremblant de plaisir. Je me lève pour aller dans la salle de bain. J’ouvre l’eau de la douche pour la faire chauffer. Manon me rejoint quelques instants plus tard… — Je me suis dit qu’une douche nous ferait du bien… Dis-je alors qu’elle vient se lover dans mes bras. — Oui, tu as raison. Ce sera parfait avant d’aller se coucher, répond Manon. — Je t’aime, ajoute-je en la serrant dans mes bras. — Je t’aime aussi mon chéri. J’ai tellement hâte que tu viennes t’installer ici. Promets-moi que l’attente ne sera pas trop longue !— Je te promets de faire le maximum ! Moi aussi, j’ai hâte de venir vivre avec toi. Après la douche, nous allons nous coucher. Naturellement, nous avons trouvé notre place dans le lit. Allongé sur le côté, Manon vient se caler contre moi, la tête posée sur mon bras, tandis qu’elle guide ma main libre vers son sein. Je dépose un baiser au creux de son épaule et rapidement, je m’endors. * * Lorsque je me réveille ce dimanche matin, Manon n’est plus là. Un œil sur le réveil m’indique qu’il est bientôt neuf heures. J’entends les rires de Margaux et de sa maman venir du salon. Je me lève et rejoins les filles dans le salon. Lorsque j’entre dans la pièce, Margaux se lève et court vers moi en me tendant les bras. Je la prends dans mes bras et l’embrasse sur la joue. Manon, qui regarde la scène, sourit puis se lève. Elle nous rejoint et m’embrasse sur la bouche, sous les yeux de sa fille. Je pose Margaux qui retourne sur son tapis d’éveil. Manon m’enlace et me dit : — Bonjour ! Tu as bien dormi ? — Bonjour, oui merveilleusement bien. Tu es levée depuis longtemps ? — Margaux s’est réveillée à sept heures et quart…— Mince, je ne l’ai même pas entendue ! Dis-je gêné. — Ne t’inquiète pas, ce n’est pas à toi de te lever, répond Manon en m’embrassant. Nous passons le reste de la journée à jouer avec Margaux et nous profitons du soleil pour faire une sortie sur les bords de la Garonne. Malheureusement, en fin d’après-midi, je dois rentrer à Nantes et laisser Manon et Margaux. * * Ce week-end, passé à Bordeaux, a été le déclic que j’attendais peut-être pour trouver un travail en Gironde. Dès le lundi, je m’active et passe la soirée à scruter les sites spécialisés pour trouver un emploi. Ce soir-là, je réponds à quatre offres et le lendemain, je continue. En une semaine, j’ai postulé à une douzaine d’offres. Bien sûr, je parle régulièrement de mes recherches avec Manon, qui est aussi impatiente que moi de trouver un nouveau poste… Morgane, ma petite sœur, est aussi au courant de mes projets. Elle a été le témoin privilégié de notre rapprochement avec ma grande sœur, jouant même un rôle dans notre histoire. En revanche, maman ne sait rien. Pour l’instant, je préfère ne pas lui en parler, afin que notre « couverture » fonctionne le plus longtemps possible, même si je ne lui cache pas mon agacement face à ma situation professionnelle actuelle. Manque de reconnaissance, salaire trop bas et j’en passe, je prépare le terrain comme on dit... Quelques jours après mes premières candidatures, j’ai reçu trois réponses plutôt positives. Des entretiens sont organisés la semaine suivante. Je m’organise pour enchaîner les rendez-vous sur la journée du vendredi pour pouvoir rester le week-end à Bordeaux. Le premier rendez-vous est plutôt concluant. L’entretien se passe bien et j’ai un bon feeling avec le responsable qui me reçoit. C’est plus compliqué pour le second poste, mais je termine sur une note positive avec le troisième entretien, qui est aussi ma candidature préférée. Lorsque j’entre chez Manon, je suis accueilli avec deux grands sourires, celui de Margaux et celui de Manon. Les filles semblent heureuses de me voir et c’est réciproque. On s’installe dans le salon et je raconte ma journée à Manon, qui a été à l’écoute et de bons conseils tout au long de ma recherche. — Donc le bilan de la journée est positif ? Conclut-elle.— Oui ! A part ce deuxième rendez-vous manqué, j’ai bon espoir qu’un des deux autres rendez-vous débouche sur un autre entretien, voir plus. — Je l’espère aussi mon chéri, dit Manon. Tu as eu d’autres réponses depuis ?— Oui, trois refus et une demande de documents complémentaires pour étudier mon profil. J’y ai répondu hier. — Très bien. Ça avance, c’est super. A ce moment, mon téléphone sonne. Qui peut bien m’appeler à dix-neuf heures ? Je vais dans la chambre pour répondre. Lorsque je reviens dans le salon quelques minutes plus tard, je souris. — Qui c’était ? Demande Manon. — C’était le recruteur que j’ai vu lors de mon troisième rendez-vous. Mon profil lui a plu, il souhaite que je rencontre le directeur et le responsable des ressources humaines lors d’un nouvel entretien… — Quoi ? Dit-elle surprise. Mais c’est génial ! Ajoute-t-elle souriante. — Oui ! C’est top. J’ai rendez-vous lundi matin. J’espère vraiment que ça va marcher. Tout est parfait dans ce travail !! — Je suis sûre que tu vas assurer mon chéri et décrocher ce poste ! Le reste de la soirée est calme. Manon va coucher sa fille et j’en profite pour nous resservir un verre… Lorsqu’elle revient dans le salon, Manon s’est changée ou plutôt, elle s’est déshabillée. Elle est entièrement nue quand elle vient s’asseoir à cheval sur moi. — Mon chéri, tu as réussi deux entretiens aujourd’hui… Je pense que tu mérites deux récompenses… Je pense que tu mérites de jouir deux fois… — Oh !! Je regrette d’avoir raté le deuxième rendez-vous… Mais je pense que ces deux récompenses vont me plaire !— Oui, je pense aussi, répond Manon en m’embrassant. Mon sexe bande déjà et il est à l’étroit dans mon pantalon. Ma sœur déboutonne chaque bouton de ma chemise. Lorsque celle-ci est ouverte, elle commence à déposer des baisers sur mon torse et se laisse glisser pour tomber à genoux devant moi. Elle dégrafe mon pantalon et le retire en même temps que mon caleçon. En quelques secondes, je me retrouve entièrement nu. Manon prend soin de poser mes affaires sur une chaise et se réinstalle entre mes jambes. Mon sexe est droit comme un I. Manon commence par me masturber doucement. Elle caresse ma queue de bas en haut, puis elle rapproche son visage. Sa langue prend le relais et parcourt chaque centimètre de peau entre mes boules et mon gland. Elle prend un malin plaisir à me faire languir. Son regard, plongé dans le mien, guette toute réaction de ma part. Je ne me prive pas pour la satisfaire et gémir de plaisir. Elle décide de passer à la vitesse supérieure alors que sa langue tourne autour de mon gland. Elle pose un baiser sur l’extrémité de mon sexe, puis je sens ses lèvres glisser autour de ma tige, qui s’enfonce doucement dans sa bouche. Ma queue va-et-vient dans la bouche de Manon au rythme des mouvements de ma sœur, qui alterne entre coups de langue et succion. Elle est vraiment douée. J’observe la scène et j’apprécie toujours autant de voir mon aînée jouer avec ma bite. Manon s’active depuis plusieurs minutes à me donner du plaisir et j’essaie de me retenir au maximum, mais lorsque je vois ma queue dure disparaître dans sa bouche et ma sœur continuer les va-et-vient profonds, je ne peux me retenir. Je jouis et mon liquide se déverse dans la gorge de ma grande sœur. Manon avale chaque goutte de mon sperme et s’applique à nettoyer mon sexe de la moindre goutte. — J’ai bien failli m’étouffer avec tout ce que tu as lâché ! Rigole-t-elle. — Je suis désolé ! Mais j’adore quand tu me suces comme ça. Je ne peux pas me retenir… Dis-je désolé. — Je sais, dit-elle. J’adore ça aussi, tu sais. Mais…— Mais, quoi ? — Mais… J’aime aussi te sentir me prendre, par devant ou par derrière ! Rigole-t-elle. Donc dépêche toi de reprendre des forces.— Est-ce que je pourrais avoir le temps de prendre une douche ? Après cette journée, ça me fera du bien… — Oui, bien sûr ! Je t’attends dans la chambre, conclut-elle en m’embrassant.
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