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Ma sœur enceinte, la suite

Chapitre 4

Inceste
Après avoir fait couler l’eau de la douche jusqu’à ce qu’elle devienne chaude, j’entre dans la cabine. Je profite de l’eau qui coule sur ma peau, qui a un effet relaxant après cette journée particulièrement stressante.
Je me lave les cheveux et je commence à me laver le corps quand je vois la porte de la salle de bain s’ouvrir. Manon entre et dit :
— Je peux me joindre à toi ? Je n’ai pas envie d’attendre toute seule dans la chambre… — Bien sûr ! Tu es toujours la bienvenue, souris-je. — Si tu voulais rester un peu seul, je comprends…— Non, rentre ! Je veux passer chaque moment avec toi.
Manon ouvre la porte de la douche et se colle à moi pour profiter à son tour de l’eau chaude. Elle m’enlace et nous restons ainsi plusieurs minutes, serrés l’un contre l’autre, profitant de l’eau ruisselante. Nos mains parcourent le dos de l’autre et parfois, les miennes palpent les jolies fesses de ma grande sœur.
Mon sexe a déjà repris vigueur. Manon s’en est aperçue et l’a emprisonné entre ses cuisses et le fait glisser le long de ses lèvres intimes…
— On dirait que la bête est réveillée, rigole-t-elle. — Oui, c’est grâce à toi ! Souris-je.
Ma sœur s’écarte un peu, prend mon sexe dans sa main, le masturbe et se retourne. Elle le guide entre ses cuisses et reprend ses caresses, ma queue glisse le long de son sexe. Elle s’appuie contre la paroi de la douche, se penche légèrement et d’un mouvement, s’empale sur mon sexe. Nous gémissons tous les deux lors de la pénétration.
Je ne sais pas pourquoi, mais celle-ci est différente, mais toujours agréable. Après plusieurs va-et-vient sur mon sexe, je comprends qu’un plug est calé dans le cul de ma chérie. Je continue mes mouvements de bassin et Manon gémit à chaque coup de reins…
— Oh oui, c’est bon !! Je t’aime tellement Max, j’aime quand tu me baises comme ça !! Continue… Encore…
Je continue de la prendre en levrette, les mains soutenant sa poitrine et caressant ses tétons. Après quelques instants, je libère ses seins. Mes mains glissent sur ses hanches. Je me retire et la pénètre de nouveau avec fermeté. Manon crie son plaisir alors que l’eau ruisselle sur son dos.
Je ralentis de nouveau mes mouvements pour ne pas jouir trop vite. Je rapproche mes doigts de son petit trou, caché par le jouet intime. Je commence à tirer dessus, en poursuivant mes mouvements. Manon sent son anus s’étendre et ses gémissements semblent plus douloureux. Lorsque le plug est finalement expulsé de son cul, Manon tourne la tête et me dit :

— Tu as aimé ma surprise ? — Oui, beaucoup, souris-je.
Sans attendre, je retire mon sexe de son vagin et le glisse plus haut vers son petit trou. Un coup de rein suffit pour que mon gland pénètre l’anus de ma sœur. Elle crie de surprise, en sentant mon pieu l’enculer et s’enfoncer dans son cul.
Je commence doucement mes va-et-vient dans son fondement. Les gémissements plaintifs de Manon laissent progressivement place à des cris de jouissance. J’accélère les mouvements de bassin, j’encule ma grande sœur avec vigueur. Nos gémissements se font écho.
— Oh oui, c’est bon, gémis-je.— Oh oui, encore, encore… Je vais jouir, continue, plus fort… Halète Manon.
Je sens alors l’anus de ma sœur se contracter autour de mon sexe. Manon jouit et dans un ultime coup de reins, je libère mon sperme qui s’écoule dans son cul… Je me retire et Manon se retourne, heureuse…
— Je crois que j’aime de plus en plus la sodomie, dit-elle. Je prends un plaisir incroyable à chaque fois ! — Je vois ça… Et ce n’est pas pour me déplaire, rigole-je.
* *
Le week-end fut très agréable, entre activités avec Margaux, sorties en famille et sexe avec Manon, la combinaison parfaite ! Le lundi matin, je pars confiant et déterminé, pour le deuxième entretien, obtenu le vendredi.
Je rencontre le dirigeant de la société, le DRH et je rencontre même l’équipe… De quoi repartir avec de bons espoirs. Je reçois la réponse quelques jours plus tard. Aussitôt, j’appelle Manon :
— Coucou ma belle, tu vas bien ? — Bonjour mon chéri. Bien et toi ? — Oui, ça va… J’ai reçu une réponse après l’entretien de lundi… — Alors ? C’est bon ?! Dis-moi… S’impatiente-t-elle.— Je commence dans un mois, le temps de quitter mon poste à Nantes… — Tu vas venir vivre avec nous ? Dit-elle d’un ton passionné. — Si tu veux toujours bien m’accueillir chez toi… — Bien évidemment, quelle question !! Je suis tellement heureuse… — Moi aussi ! Le boulot est vraiment super, mais l’idée de vivre avec toi, c’est ce qui rend la réponse encore plus belle !
* *
Un mois plus tard, c’est l’heure du grand départ. Je quitte la maison familiale. J’ai loué un petit camion pour emmener mes affaires. Maman a été surprise de mon annonce, mais elle a été rassurée en sachant que j’allais emménager avec Manon, pour la soutenir avec Margaux.
Après avoir monté les cartons et quelques meubles que j’avais dans ma chambre, nous fêtons notre début de vie à trois avec les filles. Manon nous sert un verre et m’offre un petit paquet :
— Qu’est-ce que c’est ? Demande-je. — Ouvre, tu verras bien… Répond-elle.
J’ouvre la boite et découvre un trousseau de clés. Je devine rapidement ce que c’est et Manon me confirme :
— Je voulais te les donner depuis un moment… Mais maintenant que c’est officiel, tu as le droit d’avoir tes clés ! — Merci ma chérie. C’est le meilleur cadeau que je pouvais recevoir, souris-je.
Manon m’embrasse et je vois Margaux sourire à côté de nous… Une vie de famille commence aujourd’hui.
Les premières semaines de boulot sont assez intenses. Je dois apprendre beaucoup, mais le travail est passionnant. À la maison, je trouve ma place petit à petit. J’aide Manon comme je peux avec Margaux. J’apprends à changer les couches, à donner le bain, à donner à manger… Mais je ne prends pas ça comme une corvée, bien au contraire. J’adore passer du temps avec ma nièce. Elle est adorable et drôle. Il ne passe pas une journée sans un fou rire.
Je vais aussi chercher Margaux à la crèche. Elle est heureuse quand je viens la chercher et n’hésite pas à courir vers moi quand elle me voit. Après plusieurs semaines de vie commune, Margaux me surprend un soir, alors que je viens la récupérer. Elle court vers moi comme à son habitude, mais ce soir, elle dit « Papaaaa ».
Lorsque j’en parle à Manon, le soir, celle-ci n’est pas surprise.
— Margaux t’adore. Elle te voit tous les jours. Ça devait arriver… — Oui, mais… Hésite-je. Je ne pensais pas que ça viendrait si tôt.— Tu es le seul homme qu’elle voit tous les jours. Tu es sa figure paternelle… Ça te gêne ? Demande Manon. — Non, ça ne me gêne pas ! Au contraire, j’adore la relation qu’on a créée avec Margaux et je la considère comme ma fille. Mais… — Mais quoi ? Demande Manon.— Je me demande ce que peuvent dire les autres…— Mon chéri, on ne connaît personne ici… Le fait qu’on porte le même prénom pourrait laisser penser qu’on est mariés, pas de la même famille… Et pour le fait que tu n’es là que depuis peu, on peut dire que c’est pour des raisons professionnelles, que tu étais obligé de nous rejoindre plus tard…— Oui, je n’y avais pas pensé… Heureusement que tu es là pour réfléchir pour deux, rigole-je. — Maintenant que ce point est réglé, dis-moi.. Ça t’as fait quoi d’entendre Manon t’appeler « papa » ? — Une fois l’effet de surprise passé, je dirais… De la fierté ! Souris-je. — Moi, je suis fière de t’avoir à mes côtés. Tu es bienveillant, disponible et tu ne rechignes pas à la tâche pour t’occuper d’elle. Merci pour tout ça.
Après avoir couché Margaux (ce soir, c’est mon tour), je rejoins Manon dans la chambre. Nous faisons l’amour comme chaque soir. Elle me suce, je la lèche, puis elle s’installe sur moi en amazone. Je peux voir ses seins rebondir à chaque va-et-vient de ma queue entre ses lèvres. Elle se penche en arrière, en appuie sur ses bras, elle continue ses mouvements. Je vois mon sexe la pénétrer et je tends la main vers son sexe. Mes doigts s’animent et caressent son clitoris.
Manon jouit rapidement. Après quelques secondes, elle s’installe à quatre pattes et me demande de la prendre en levrette. Je m’installe derrière elle. Manon prend mon sexe entre ses doigts et le guide vers son vagin. Je m’enfonce et commence à la pénétrer. Mais Manon veut mener la danse. Je reste figé et c’est ma sœur qui fait des mouvements pour s’empaler sur ma queue.
Son cul vibre et rebondit à chaque va-et-vient. Après plusieurs allers-retours, je ne tiens plus, je jouis et mon sperme coule dans le sexe de Manon…
* *
Tel est notre quotidien depuis plusieurs mois… Aller travailler, nous occuper de Margaux et faire l’amour. A aucun instant, depuis mon installation, je n’ai regretté mon choix. Je n’ai jamais été aussi heureux et je sais Manon épanouit, elle aussi.
Les quelques relations amicales que nous avons nouées à Bordeaux nous voient comme un couple marié et je ne suis plus surpris quand Margaux m’appelle « Papa ». Je suis son père, c’est ma fille et Manon est ma femme… Nous formons une vraie petite famille !
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