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Ma sœur enceinte, la suite

Chapitre 5

Inceste
Bientôt un an que nous vivons ensemble, Manon, sa fille Margaux et moi. Nous sommes une famille comme les autres à ceci près que Manon est ma sœur et que Margaux est ma nièce…

Aujourd’hui, je vais chercher Margaux à la crèche, comme chaque vendredi. Elle court vers moi et me saute au cou, en criant « Papa » ! Si ces quatre lettres m’ont surpris au début, ce n’est plus le cas. Je considère Margaux comme ma fille, et même si ce n’est pas le cas, la relation unique qui nous lie est aussi forte que celle d’un père et de son enfant.
Pour la première fois, une baby-sitter vient garder Margaux pour la soirée. Nous sortons avec Manon. Je l’invite au restaurant, pour fêter notre premier anniversaire de couple… Nous avons trouvé une petite annonce dans le hall de l’immeuble. Zoé, une jeune résidente de 18 ans, cherche à se faire de l’argent de poche. Nous l’avons rencontré et le feeling est passé immédiatement avec Margaux.
Malgré la réticence initiale de Manon, cette dernière a accepté de laisser sa fille le temps d’une soirée. Lorsque Manon rentre du travail, Zoé est déjà en train de jouer avec Margaux. Elle file dans la chambre pour se préparer et ressort une dizaine de minutes après, plus belle que jamais, dans une robe noire tombant au-dessus des genoux et un décolleté qui met sa poitrine en valeur. Même Zoé remarque la beauté de Manon et n’hésite pas à lui dire :
— Vous êtes très belle madame, dit-elle.— Merci Zoé, mais tu peux m’appeler Manon ! Madame, c’est pour ma mère, sourit-elle. — Zoé a raison, tu es magnifique ma chérie. Mais on risque d’être en retard si on ne part pas bientôt…
Manon donne les dernières consignes à la baby-sitter et nous partons. Sur la route, bien que concentré sur la route, je pose mon regard sur les jambes de Manon à chaque feu rouge… Sa robe remonte à mi-cuisses et je suis attiré par sa peau douce. Je pose ma main sur sa cuisse et la caresse doucement.
Je glisse mes doigts sur sa peau et passe sous son tissu. Je sens la respiration de ma sœur s’accélérer alors que mon petit doigt s’approche de son sexe. Mais il est temps de repartir. Je retire ma main jusqu’au prochain feu rouge, où ma main reprend son exploration, avant de repartir de nouveau.
— C’est une torture ce que tu me fais, rigole Manon. — Je… Quoi ? Dis-je étonné. — Tu sais très bien… Tes caresses que tu interromps sans cesse…— Je n’y peux rien si les feux passent au vert ! — Mouais… Dit-elle dubitative.
Au feu suivant, mes doigts glissent plus rapidement sur sa peau, remontant vers son intimité. Lorsque mes doigts entrent en contact avec son sexe, je comprends sa remarque. Manon ne porte pas de culotte et elle mouille abondamment.

Je glisse deux doigts sur sa chatte, ce qui a pour effet de la faire gémir. Je caresse son clitoris alors que le feu reste rouge. Pour une fois, je suis bien heureux de patienter. Lorsqu’il est temps de repartir, je retire ma main à regret. Manon aussi semble déçue.
— Je ne sais pas comment je vais tenir la soirée, excitée comme je suis… — Pourtant, il va falloir, ma chérie. Nous arrivons !
Nous descendons de voiture et entrons dans le restaurant. Nous nous installons à table. Le serveur nous apporte les cartes et nous passons commande. Le repas est plutôt calme et tout se passe bien. Nous discutons du travail, de Margaux et d’autres sujets…
En attendant le dessert, nous parlons de mon adaptation, depuis mon arrivée.
— En tout cas, je suis fière de ton implication, de ton intérêt, de ta disponibilité avec Margaux, dit Manon. — Je dois t’avouer que moi aussi, souris-je. Je pensais que ce serait plus compliqué que ça, mais notre fille est tellement adorable, que ça facilite les choses.
Manon sourit à mes propos et semble émue. Je peine à comprendre…
— Qu’est-ce qu’il y a ? Demande-je. — Tu as dit « notre fille », répond Manon. — Oh pardon… Je… — Non, ne t’excuse pas ! Ce n’est pas une critique, au contraire. Ça me touche que tu considères Margaux comme ta fille.— Je… C’est vrai, depuis quelques semaines, j’ai l’impression d’être son père… — Tu l’es ! Ce n’est pas pour rien qu’elle t’appelle papa !— Je sais, d’ailleurs… Je voulais profiter de cette soirée pour te parler de quelque chose… Dis-je sérieusement.— Oulah, rien de grave au moins ? Dit Manon.— Non, non ! Dis-je en souriant. Voilà, tu sais que je t’aime et je considère Margaux comme ma fille. La voir grandir et s’épanouir, c’est génial de vivre ça. Mais…
A cet instant, le serveur nous apporte les desserts. Je commence à manger une bouchée quand Manon me relance :
— Mais quoi ? Demande-t-elle. — Mais j’ai souvent repensé à ce que tu m’avais dit, avant que j’emménage… Et… Et j’y ai beaucoup réfléchi ces derniers temps… Je crois que… Je ne sais pas comment le dire… — Tu voudrais que Margaux ait un petit frère ou une petite sœur… Dit Manon.— Oui ! Réponds-je surpris. Comment tu sais ? — Parce que j’en ai envie aussi, mon chéri. Je ne savais pas comment t’en parler, je ne savais pas si c’était le moment ou non… — Donc, je peux te poser la question… Est-ce que tu veux avoir un bébé avec moi ? — Oui, bien sûr que oui, dit Manon rayonnante de bonheur.
Nous terminons le repas rapidement et quittons le restaurant. En sortant, Manon que glisse à l’oreille :
— Rappelle toi que je n’ai pas de culotte et je suis encore plus excitée qu’avant le repas…— Tu crois que tu vas pouvoir attendre jusqu’à la maison ? Demande-je.— Je ne sais pas… J’ai vraiment envie de toi !!
Nous montons en voiture et je commence à conduire. Au premier arrêt, ma main glisse sous la robe de Manon. Effectivement, elle est excitée, mes doigts sont recouverts de cyprine en quelques secondes. Alors que je redémarre, c’est la main de Manon qui se pose sur ma cuisse et remonte vers mon entrejambe. Elle caresse la bosse qui déforme mon pantalon, tire sur les boutons de mon jean et glisse sa main dans mon pantalon pour prendre mon sexe dans sa main.
— Je ferais peut-être mieux de m’arrêter, dis-je sans quitter la route des yeux. — Oui, trouve un coin tranquille, j’ai envie de toi !
Une centaine de mètres plus loin, je m’arrête sur un parking isolé. Je détache ma ceinture en même temps que Manon, qui se penche alors vers mon bassin. Elle sort mon sexe et l’enfonce dans sa bouche. Elle commence à me sucer comme elle en a l’habitude. Je profite de ce dessert surprise. J’essaie de tendre le bras pour atteindre ses fesses, que je caresse doucement, remontant sa robe. Puis je passe sous son ventre pour atteindre son sexe. Mes doigts glissent sur son clitoris et poursuivent sur ses lèvres.
Je joue avec son clitoris, ce qui fait gémir ma femme. J’adore entendre ses gémissements atténués par ma queue, qui va-et-vient dans sa bouche. J’arrive également à enfoncer un doigt dans sa chatte, mais l’angle n’est pas pratique…
Je retire ma main et caresse de nouveau ses fesses. Mes doigts se perdent entre ses deux globes et mon doigt vient caresser son petit trou avant de s’enfoncer dans son cul. Manon gémit encore, mais après quelques secondes, elle se redresse. Elle me demande de reculer mon siège au maximum et elle s’installe à cheval sur moi.
Mon sexe, excité par la fellation qu’elle vient de m’offrir, ne met pas longtemps à trouver l’accès vers son plaisir. Manon va-et-vient sur ma queue, elle ne gémit plus, elle crie son plaisir. Elle accélère les mouvements pendant que je prends ses seins dans mes mains. Elle remue à un rythme effréné sur mon sexe, jusqu’à ce que, dans un râle de plaisir, Manon jouisse.
Lorsqu’elle se retire, Manon constate que je n’ai pas joui en même temps qu’elle. Elle reprend alors la fellation débutée quelques instants plus tôt et en moins de deux minutes, ma sœur parvient à me faire jouir. Elle ne laisse échapper aucune goutte de mon précieux liquide, avant de se redresser.
— Ce n’était pas la position la plus confortable, mais c’était trop bon ! Dit-elle. Par contre…— Quoi ? Demande-je. — Même si j’aime beaucoup quand tu jouis dans ma bouche, c’est pas comme ça qu’on va faire un bébé… Rigole-t-elle. — Oui, bien sûr ! Souris-je. D’ailleurs, tu vas arrêter quand la pilule ? — Ce soir ! Mais avant que je tombe enceinte, je pense qu’il va s’écouler plusieurs semaines. Et il va falloir redoubler d’efforts…— Oh ! ça me va, rigole-je.
Quand nous rentrons à la maison, Margaux est déjà couchée. Zoé est installée dans le salon. Elle révise ses cours. Nous nous empressons de savoir si tout s’est bien passé :
— Oui, dit-elle. Margaux est une petite fille adorable. On a joué, on a lu des livres… Elle a bien mangé ce soir et après trois histoires, elle s’est couchée. Je n’ai même pas eu de crise, ce qui est déjà arrivé avec d’autres enfants que je gardais… Vraiment, elle est adorable. — Super, dit Manon soulagée. J’avais un peu peur de la laisser, mais si tout s’est bien passé, on refera sans doute appel à toi pour d’autres soirées, rigole-t-elle. — Oh ! Avec plaisir. N’hésitez pas, je ne suis pas loin, ajoute Zoé. Et vous ? Votre soirée s’est bien passée ? — Très bien, dis-je. Le restaurant était très agréable.— Oui, j’ai passé une excellente soirée, répond Manon en souriant.
Nous libérons Zoé, qui n’a qu’à descendre deux étages pour rentrer chez ses parents. Nous allons nous coucher, Manon lovée dans mes bras.
— Tu es sûr de toi ? Demande-t-elle. — Pourquoi ? Avoir un enfant avec toi ? Réponds-je. — Oui… — Je n’ai jamais été aussi sûr de moi ! — D’accord, sourit-elle. Ce n’est pas juste parce que tu fantasmes sur les femmes enceintes ? — Non, pas du tout ! Et puis, je fantasme uniquement sur ma sœur enceinte, rigole-je.
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