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Ma sœur enceinte, la suite

Chapitre 6

Inceste
Notre projet familial occupe désormais tout notre temps libre. Je dois dire que ce n’est pas pour me déplaire, Manon ne refuse aucune occasion de faire l’amour, comme ce dimanche midi, après le repas…
Je viens de coucher Margaux pour la sieste. Lorsque je rejoins Manon dans la cuisine, ma chérie est en train de faire la vaisselle. Je me place derrière elle et l’embrasse dans le cou, pendant que mes mains caressent ses hanches et son ventre.
— Oh toi, tu n’as pas envie de m’aider à faire la vaisselle, dit-elle.— Heu… Non, j’ai d’autres envies… Réponds-je en remontant mes mains vers ses seins.
Mes doigts descendent vers son bassin et déboutonnent son pantalon, que je fais glisser le long de ses jambes. Je m’accroupis derrière Manon et je tire sur son string qui tombe à ses pieds. Ma sœur tente de poursuivre son activité, pendant que mes mains pétrissent ses fesses et que mes doigts glissent entre ses cuisses.
La cyprine qui recouvre aussitôt mes doigts confirme que Manon est aussi excitée que moi. Tout en essayant de continuer sa tâche, elle se penche pour me faciliter l’accès à son sexe et je l’entends gémir, alors que je pénètre deux doigts dans son vagin…
Je pénètre son sexe et j’embrasse ses fesses en même temps, avant de lui dire :
— Tu me rejoins dans la chambre quand tu as fini ? — Quoi ? Tu t’arrêtes comme ça ? Demande-t-elle. — Bah, tu as l’air occupée… Je ne voudrais pas t’empêcher de… — Qu’on soit clair, mon chéri… Je vais m’arrêter maintenant pour que tu me fasses l’amour et que tu jouisses en moi ! Mais… — Mais, quoi ? Demande-je surpris. — Mais… C’est toi qui feras la vaisselle après, sinon on ne fait rien ! Répond-elle avec un sourire. — D’accord, j’accepte !
Quelques secondes plus tard, on se retrouve dans la chambre. Manon retire ses vêtements et je l’imite rapidement. Nous sommes nus et Manon me pousse sur le lit. Je m’allonge et ma sœur vient se placer en soixante-neuf sur moi.
Je suis à quelques centimètres de son sexe qui brille d’excitation. Manon se penche et rapidement, je sens sa langue parcourir mon sexe, avant de l’accueillir dans sa bouche. Elle me suce divinement, comme à chaque fois. Je sens sa langue tourner autour de mon gland et ses lèvres sucer ma queue.
De mon côté, je ne me prive pas pour lécher sa chatte ruisselante et je m’attarde sur son clitoris. Ma langue joue avec, le lèche et le suce pour le plaisir de Manon que j’entends gémir.
Après plusieurs minutes de plaisir mutuel, Manon se redresse et se retourne. Elle me chevauche et se place pour que mon sexe la pénètre. Je sens mon sexe s’enfoncer entre ses lèvres et Manon commence de lents mouvements. Elle monte et descend sur mon sexe et gémit à chaque fois que mon sexe remplit le sien.
Elle se penche vers moi et m’embrasse, tout en continuant ses va-et-vient sur ma queue. Mes mains parcourent les formes de ma compagne, de ses fesses à ses seins, puis je retourne sur ses fesses, que j’agrippe. Je relève un peu mes jambes et je prends le contrôle de la pénétration. J’accélère le rythme et mes coups de reins plaisent à Manon qui gémit davantage :
— Oh oui ! Encore, plus fort. C’est trop bon !! Gémit-elle.
Après deux minutes intenses, je ralentis le rythme et incite Manon à prendre ma place. Elle obtempère, s’allonge et ouvre les cuisses pour m’accueillir. Je me place face à elle et la regarde. Qu’elle est belle, quelle chance j’ai de vivre avec elle.
Je fais glisser mon sexe le long de ses lèvres pour la faire languir… Et ça marche. Je recommence et sans s’y attendre, je la pénètre et ma queue plonge au plus profond de son intimité. Manon hurle de plaisir au moment de la pénétration et continue alors que je la prends à un rythme soutenu.
L’excitation est à son maximum et je libère mon sperme qui se répand dans sa chatte dans d’ultimes mouvements de bassin. J’embrasse Manon avant de me retirer. Elle place alors un coussin sous ses fesses, cherchant à garder ma semence en elle…
— C’était trop bon, dit-elle. Mais…— Mais il me semble que tu n’as pas joui !!
Manon acquiesce de la tête. Je m’allonge à côté d’elle, je commence à l’embrasser et ma main se faufile jusqu’à son sexe. Mes doigts s’empressent de jouer avec son clitoris et, en moins de trois minutes, ma sœur atteint l’orgasme et tout son corps se fige.
* *
Nous avons fait l’amour des dizaines… Non, des centaines de fois avant de parvenir à notre but. Bien évidemment, nous avons pris énormément de plaisir et à aucun moment ça ne m’a semblé une obligation !
Même si les premiers mois, nous guettions l’arrivée des règles de Manon avec appréhension, nous n’avons jamais perdu espoir. Au contraire ! Nous redoublions d’efforts pour y parvenir, pour notre plus grand plaisir.
* *
Un soir, alors que je rentre du travail, Manon m’accueille avec un large sourire et un petit cadeau que Margaux me tend. J’ouvre la boite et je comprends immédiatement, en voyant le test de grossesse. Pas besoin de lire le résultat pour comprendre.
— On… On va avoir un bébé ? Demande-je souriant. — Oui !! Répond Manon émue aux larmes. Tu vas être papa ! — Mais tu es déjà mon papa, réplique la petite Margaux. — Tu as raison, ma chérie, dis-je ému à mon tour. Et toi, tu vas être une super grande sœur !
Manon est en pleurs alors qu’elle nous regarde avec sa fille.
— Ça ne va pas ma chérie ? Demande-je inquiet. — Tout va bien, ce sont des larmes de joie ! Je suis tellement heureuse de vous avoir auprès de moi. Je vous aime tellement.— Je t’aime aussi, Manon. Tu viens de m’offrir le plus beau des cadeaux ! Ajoute-je en l’embrassant.
Le soir, après avoir couché la petite, Manon me rejoint dans le salon et s’installe à califourchon sur moi. Elle m’embrasse tendrement et me dit :
— Tu ne regrettes pas ? Tu es content que je sois enceinte ? — Quelles questions ?! Pourquoi regretter ce dont je rêve depuis des mois ? Et je suis plus que content, je suis véritablement aux anges, ma chérie. - Un petit être issu de notre amour grandit dans ton ventre. C’est fantastique !— Je ne sais pas pourquoi je doute… Sans doute des souvenirs de ma dernière grossesse… Dit-elle. — Tu peux arrêter de douter, tu sais ! Je ne suis pas l’autre co***rd. Je ne vais pas te tromper, je ne vais pas t’abandonner ! Je t’aime trop pour ça. — Je sais ! Je pense que j’ai simplement besoin de l’entendre, sourit-elle. — Je pourrais te le répéter tous les jours s’il le faut ! Je suis heureux, je t’aime.
Manon m’embrasse. Nos lèvres se frôlent, puis nos langues se cherchent et se trouvent. Le baiser semble durer des heures tellement il est exquis. C’est Manon qui brise l’étreinte.
— Max… J’ai envie de toi, susurre-t-elle à mon oreille. — Je ne voudrais pas décevoir une femme enceinte, souris-je. Tu veux aller dans la chambre ? — Non ! J’ai envie qu’on fasse l’amour ici… Et tu sais quoi ? Dit-elle en souriant.— Dis-moi… — On peut refaire tout ce qu’on veut et tu peux jouir où tu veux… Ajoute-t-elle avec un clin d’œil. — Oh !! Dis-je surpris. C’est vrai. Tu as des envies particulières ? — Si tu es assez endurant… J’aimerais beaucoup te sucer jusqu’au bout… Et qu’ensuite, tu me prennes par derrière ! Sourit-elle. — J’adore ton programme. Je valide à 100 % !
Manon se relève et debout devant moi, elle commence à se déshabiller. Elle déboutonne son chemisier, dévoilant un superbe bustier blanc, puis elle dézippe sa jupe qu’elle fait tomber à ses pieds. Elle porte un porte-jarretelles blanc et des bas de la même couleur. Elle me regarde et se penche pour commencer à déboutonner mon pantalon. Je l’aide en me soulevant et Manon tire sur mon jean et mon caleçon pour le retirer. Elle s’agenouille face à mon sexe bandé.
— Oh, on dirait que mes dessous te plaisent ? — Oui, j’adore ! Tu es magnifique dedans. — Profites-en, je risque de ne plus pouvoir mettre le bustier très longtemps… — Peu importe. Tu seras toujours aussi belle.
Manon se penche vers mon sexe et l’enfonce dans sa bouche. Elle tourne sa langue autour de mon gland, puis elle s’applique à l’enfoncer de plus en plus dans sa bouche. Je reste bouche bée devant le plaisir que me procure ma sœur. Elle me suce plusieurs minutes jusqu’à ce que je sente que je ne pourrais pas tenir très longtemps.
— Manon, je vais jouir, dis-je entre deux gémissements. — J’ai soif ! Sourit-elle avant de reprendre sa fellation.
Ma queue coulisse dans la bouche de Manon et sa succion me fait jouir. J’éjacule de longs jets de sperme sur sa langue, que Manon avale sans attendre. Elle continue de me sucer pendant un moment, me permettant de conserver une certaine excitation. Puis Manon se tourne, se met à quatre pattes et dit :
— Place à la suite ! Sourit-elle. — Mais, tu ne veux pas que je m’occupe un peu de toi… — Ne t’inquiète pas ! Je suis déjà suffisamment excitée !! Je me suis caressée en te suçant !— Oh ! Et ton petit trou est prêt aussi, dis-je en découvrant le plug qui décore son derrière.
Je me place derrière elle et doucement, je la pénètre. Son vagin est chaud et humide. Je sens le jouet dans son cul, bouger à chaque va-et-vient. Mais je veux remplacer le sextoy. Je tire doucement dessus et le plug anal étire l’anus de Manon, avant de se rétracter.
— Prends-moi ! Baise mon petit cul, s’il te plaît, réclame Manon.
Je sors du sexe de Manon. Ma queue est lubrifiée par l’excitation de mon aînée. Je place mon sexe sur sa rondelle et d’un mouvement, je m’enfonce dans son cul. Mon sexe la sodomise presque entièrement, puis après quelques secondes de répit, je reprends les va-et-vient, comme quand j’étais dans son vagin.
Manon crie de plus en plus son plaisir, même si elle essaie d’étouffer les gémissements avec un coussin. Je l’encule avec vigueur, comme rarement, je l’avais prise. Dans un râle, elle jouit et son corps se tend. Ses muscles se contractent et son anus se resserre autour de mon sexe. Je continue néanmoins mes mouvements, jusqu’à jouir une nouvelle fois dans son cul.
Lorsque je me retire enfin, Manon s’allonge sur le sol du salon. Elle me regarde et il me semble déceler une larme sur sa joue.
— Ça ne va pas, ma chérie ? Dis-je inquiet. — Tu as été très… Vaillant, quand tu m’as sodomisé… J’ai eu un peu mal au début ! — Oh, je suis désolé, dis-je confus. — Je ne sais pas si je dois t’en vouloir… ou te remercier. Car au final, j’ai pris mon pied, sourit-elle. — Tu ne m’en veux pas ? Demande-je soulagé. — Non ! Mais sois plus doux la prochaine fois, dit-elle.
J’aide Manon à se relever et j’embrasse ma sœur, la femme de ma vie, la mère de mes enfants. Nous restons un long moment dans les bras l’un de l’autre. C’est Manon qui brise cet instant :
— Comment va-t-on annoncer ça à maman ? — Je ne sais pas, réponds-je. Ça risque d’être un choc pour elle…
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