Cela fait plusieurs semaines que nous avons annoncé à notre mère que nous étions amoureux et que nous allions avoir un enfant. La réaction de Karine fut encore plus intense que ce que j’avais imaginé et elle n’a pas hésité à nous virer de sa maison… Heureusement pour nous, Morgane, notre petite sœur, est bien plus ouverte d’esprit et accepte notre relation avec bienveillance et joie d’être à nouveau tata. Manon entame déjà le cinquième mois de grossesse. Son ventre s’arrondit de plus en plus et j’aime voir son corps se transformer. Sa poitrine aussi grossit et je dois bien concéder que je suis le premier à en profiter. Ce soir, nous sortons. C’est un petit rituel que nous avons instauré. Au moins une fois par mois, nous nous réservons une soirée rien qu’à deux. Nous appelons Zoé, qui vient garder Margaux à la maison. Les deux filles s’entendent à merveilles et Manon apprécie beaucoup la jeune femme. Lorsque j’arrive à la maison, Manon et Zoé discutent dans le salon. Je la salue et embrasse ma femme. Manon est déjà prête et elle est sublime. La robe de grossesse qu’elle porte met magnifiquement ses formes en valeur et son maquillage fait ressortir ses beaux yeux. Je m’éclipse pour aller me préparer. J’abandonne mon jean et mon polo pour un costume noir et une chemise blanche. Ce soir, nous dînons dans l’un des meilleurs restaurants de Bordeaux. Pendant que je me change, j’entends les filles rigoler. Lorsque je reviens dans le salon, Manon est la première à me complimenter pour ma tenue : — Tu es très beau, mon chéri ! Dit-elle. — Je ne t’arrive pas à la cheville, réponds-je. Tu es sublime dans cette robe. — Merci ! Rougit-elle. — Manon a raison, tu es très élégant Maxime, dit Zoé.— On devrait y aller, si on ne veut pas être en retard… Dis-je pour détourner la conversation, intimidé par la remarque de la baby-sitter. Les dernières consignes laissées, nous prenons la voiture et nous dirigeons vers le restaurant. Nous profitons de la soirée et du délicieux repas qui nous est servi. Au cours du repas, nous discutons du travail, de l’arrivée prochaine du bébé, de notre mère… Mais nous avons également des sujets plus légers, comme nos prochaines sorties ou notre baby-sitter. Alors que nous parlons de Margaux, Zoé s’immisce dans la discussion : — Elle est vraiment adorable cette fille, dit Manon.
— Oui, vous avez l’air de bien vous entendre toutes les deux ! Je vous ai entendu rire tout à l’heure…— Oui, c’est un peu grâce à Margaux qui faisait des bêtises devant nous, répond ma sœur. Mais c’est vrai qu’on s’entend bien. Elle est vraiment super avec notre fille !— Oui, en plus, elle est jolie, lance-je.— Je ne te suffis plus ? Sourit Manon. Ça y est, maintenant que je suis enceinte, tu regardes ailleurs…— Ne dis pas n’importe quoi ! Tu es la seule qui fait battre mon cœur ! Et puis, tu ne m’as pas contredit ! Elle te plaît aussi, non ?— Je… Non, enfin oui… Balbutie Manon. C’est vrai qu’elle est très jolie ! — Tu fantasmes sur la baby-sitter ? Rigole-je. — Quoi ? Non ! Je ne suis pas…— Tu t’es bien amusée avec Morgane pendant ta première grossesse…— Ça n’a rien à voir ! On n’était pas ensemble, et puis… Elle est trop jeune !— Dommage, si tu avais voulu t’amuser un peu, je ne t’en aurais pas empêché ! — Crois bien que tu serais le premier informé, mais ce n’est pas dans mes projets pour l’instant ! Sourit-elle. Nous terminons le dîner et quittons le restaurant. Sur la route, ma main se pose sur la cuisse de Manon, la caresse et remonte doucement vers son entrejambe. Je me faufile sous la robe et découvre que ma grande sœur ne porte pas de culotte et qu’elle semble très excitée. Mes doigts caressent ses lèvres et son clitoris et Manon ne tarde pas à gémir. Heureusement pour elle, nous arrivons à la maison. Je retire ma main et coupe le moteur. — Hummm… Dommage que tu arrêtes, c’était très agréable… Dit-elle calmement. — Je compte bien reprendre dans quelques minutes, souris-je. — Alors dépêchons-nous, j’ai très envie de te sentir en moi ! Nous prenons l’ascenseur et le temps de monter au quatrième étage, nous partageons un baiser passionné. Puis nous rentrons dans l’appartement. Zoé est allongée sur le canapé. Elle s’est assoupie. Nous la réveillons doucement. — Oh, pardon ! Dit-elle. Je me suis endormie. — Ce n’est rien, il est tard, dit Manon. La soirée s’est bien passée ?— Oui, très bien ! Margaux a bien mangé, nous avons lu plusieurs histoires et elle s’est couchée sans pleurs…— Super ! Elles discutent encore quelques minutes dans l’entrée. Manon donne trente euros à Zoé pour la soirée et la jeune fille retourne chez elle, deux étages plus bas. Je suis dans la chambre en train de me déshabiller quand Manon entre dans la chambre. Elle s’approche de moi et s’agenouille. Elle tire sur mon caleçon et mon sexe bandé jaillit. La langue de ma chérie lèche ma queue de la base au sommet et elle ouvre la bouche pour l’avaler. — Hummm… C’est bon, dis-je. J’adore quand tu me suces comme ça ! — J’en ai eu envie toute la soirée !! Et Manon reprend sa fellation. Sa langue tourne autour de mon gland, puis ma queue glisse dessus pour pénétrer sa bouche, pendant que sa main masse mes testicules. Je suis aux anges. Je ne me force pas pour gémir de plaisir et Manon sait très bien comment me faire jouir. Elle alterne les va-et-vient dans sa bouche, entre pénétration profonde et caresse de ses lèvres autour de mon gland. Je sais que je ne pourrai pas tenir longtemps à ce rythme. Je pourrais lui demander d’arrêter, mais je n’y arrive pas. C’est tellement bon. Après quelques minutes, je ne tiens plus. Je préviens Manon, qui me regarde avec un mélange d’amour et d’excitation dans les yeux. Elle me masturbe rapidement et tire la langue, quand jaillissent des jets de sperme qui s’écrasent sur sa langue et sur son visage. Son joli visage est maculé de ma semence et Manon continue de m’exciter en léchant le pourtour de ses lèvres pour récupérer le sperme à proximité. Puis elle se redresse et m’embrasse, alors que le liquide recouvre son visage. — Tu es très excité, mon chéri, dit-elle avec un sourire. — Oui, j’ai très envie de toi ! Et tu sais bien que je ne peux résister à tes fellations, rigole-je.— Moi aussi, j’ai très très très envie de toi, insiste-t-elle. — Oh ! Dans ce cas, je vais faire tout mon possible pour te faire plaisir… Allonge-toi. J’aide Manon à retirer sa robe et elle s’allonge sur le lit. Elle ouvre les cuisses, comme une invitation à venir déguster son intimité. Je m’approche et je dépose plusieurs baisers sur ses cuisses, jusqu’à remonter vers son sexe. Ma langue glisse doucement sur ses lèvres et commence à jouer avec son clitoris. La chatte de ma sœur suinte de cyprine et s’ouvre sous mes caresses. Manon gémit, chaque fois que ma langue tourne autour de son clitoris. Je lèche, suce, tourne autour de son bouton. La cyprine de Manon s’écoule de sa chatte et lubrifie son petit trou, que ma langue va titiller de temps en temps. Je me délecte de son excitation. Je prends plaisir à l’entendre gémir de plaisir à chaque fois que ma langue glisse entre ses lèvres. Pendant que ma langue s’attarde sur son clitoris, j’enfonce deux doigts dans son sexe et son cul. Je commence un lent va-et-vient, pénétrant ses deux orifices pendant que je continue de la lécher. Manon ne se retient pas et elle jouit. Elle hurle son plaisir en tenant ma tête, plaquée contre son sexe. Je m’allonge ensuite aux côtés de ma femme. La laissant reprendre ses esprits, je caresse doucement son corps magnifique. Mes mains caressent son ventre rond quand je perçois un coup de pied de notre futur enfant. — Oh ! Tu as senti ? Dis-je étonné. Il a donné un coup de pied. — Oui mon chéri, je l’ai senti, sourit Manon. Mais tu sais ce que je voudrais sentir aussi ? Ajoute-t-elle en me masturbant.— J’ai bien une idée, rigole-je. Manon s’installe en levrette et je me place derrière elle. Sans attendre, je m’enfonce en elle et commence un va-et-vient. — Oh ouiiiii ! C’est ça que je veux sentir ! Gémit-elle. C’est bonnnn !! Je ne retiens pas mes coups de reins et je pénètre ma sœur chérie avec énergie. Je me retire, puis plonge de nouveau mon sexe au plus profond de son intimité. Manon crie à chaque mouvement. Elle est proche d’un nouvel orgasme. Tout en la pénétrant, je caresse son petit trou fripé avec mon pouce. Une légère pression suffit pour qu’il disparaisse dans son cul et que ma chérie gémisse de plaisir. — Oui, Oui Ouiii… C’est bon, mon chéri !! Continue !! Gémit Manon.— Tu aimes ça quand je te prends comme ça, non ? Dis-je. — J’adoooore !! Exulte-t-elle. Je te veux en moi ! Par devant et par derrière !! Encule-moi, mon amour ! Je ne résiste pas et retire ma queue de son vagin. Luisant de mouille, le gland glisse sur sa rondelle et d’un mouvement de bassin, je m’enfonce dans son anus. Manon crie de plaisir en sentant mon sexe dur lui transpercer les entrailles. Je reprends mes va-et-vient énergiques, jusqu’à ce que Manon jouisse. Son petit trou se resserrant autour de mon sexe, dans un ultime coup de reins, je jouis avec elle, inondant son cul avec ma semence. Après cette belle soirée, nous nous endormons rapidement, Manon lovée aux creux de mes bras, ma main posée sur son ventre.
