Ce matin, nous avons un rendez-vous, que nous attendons tous les deux avec autant d’impatience, que d’appréhension. C’est le jour de la seconde échographie. Nous arrivons au cabinet quelques minutes en avance et nous patientons, en attendant l’arrivée du médecin. Manon semble anxieuse. Je lui prends la main et d’un regard, elle s’apaise. — Ça va, ma chérie ? Demande-je inquiet.— Je… Oui, enfin… J’ai un peu peur, répond-elle. — Je suis là, tente-je de répondre. On fera face ensemble, quel que soit le verdict du médecin.— Je sais, mon amour…— Et puis, il a été plutôt optimiste la dernière fois…— Oui, tu as raison ! Dit-elle en souriant. Au fait, on n’en a pas parlé, mais… Est-ce qu’on veut connaître le sexe du bébé ? — Je suis plutôt curieux… Dis-je en réponse. Mais si tu préfères attendre, je ne m’opposerai pas.— Non ! Moi aussi, je veux savoir !! Ca sera plus simple pour décorer la chambre et pour trouver un prénom… A ce moment, le médecin nous appelle. Nous le suivons dans son cabinet. Après quelques mots échangés pour savoir comment se porte la future maman, le docteur nous guide vers l’échographe. Manon se déshabille, conservant uniquement ses sous-vêtements, puis elle s’allonge. Le médecin dépose le gel sur le ventre de ma sœur, qui ne peut réfréner un frémissement. — Voulez-vous connaître le sexe de votre bébé ? Demande le médecin. — Oui ! Répondons-nous en chœur. — Très bien, nous allons commencer par ça alors ! Je préfère poser la question dès le début, ça évite les annonces non voulues.— Nous sommes curieux, répond Manon. Vous pouvez y aller, rigole-t-elle. Le médecin passe son appareil sur le ventre de Manon à la recherche du meilleur angle. Après plusieurs secondes, il s’arrête et observe l’écran. J’essaie de décrypter ce que je vois à l’écran, mais j’hésite. Finalement, la réponse arrive : — Je peux vous dire, sans me tromper, que vous aller avoir un petit garçon ! Vous voyez ici, dit-il en montrant l’écran, c’est le pénis de votre bébé. Manon pleure de joie en voyant notre bébé à l’écran et je suis tout aussi ému d’observer mon fils à l’image. J’embrasse Manon et nous restons un moment à regarder l’écran, sur lequel le médecin semble faire toutes sortes de mesures.
— Tout va bien docteur, demande Manon. — Dix doigts, dix orteils, des mesures dans la moyenne pour son développement… Oui, tout va bien ! Votre bébé grandit bien.— Et… Lors de la première échographie, je vous avais parlé de problèmes familiaux… — Les risques de maladies et de malformations, c’est ça ? — Oui…— Soyez rassurée, mademoiselle. Ça fait partie des mesures que j’ai prises tout à l’heure. Tout va bien, vous avez un bébé en parfaite santé ! J’embrasse tendrement Manon sur le front alors que de nouvelles larmes de joie coulent sur ses joues. Nous ressortons du rendez-vous plus heureux que jamais. Notre bébé se porte bien et nous allons avoir un garçon. Bien sûr, Margaux est la première à apprendre la nouvelle. Elle va avoir un petit frère et semble aussi heureuse que nous. Nous nous empressons ensuite d’appeler Morgane pour lui annoncer la nouvelle. — Coucou petite sœur, tu vas bien ? Demande Manon. — Ça va ! Répond notre cadette. Et vous ? — Tout va très bien, répond ma femme. Nous avions rendez-vous chez l’échographe aujourd’hui. Le bébé se porte à merveille !— Génial, se réjouit Morgane. Et vous connaissez le sexe du bébé ? — Oui ! Tu vas avoir un petit neveu.— Super !! Je suis trop heureuse. Maman vient de rentrer… Je vous laisse. — OK. Bisous. Manon semble accuser le coup. Elle aurait tellement aimé partager la nouvelle avec notre mère. Mais je compte sur Morgane pour arranger les choses. Notre petite sœur est très forte pour cela. En attendant, je tente de détourner la peine de Manon sur un sujet plus heureux. — Maintenant qu’on connaît le sexe, on va pouvoir se pencher sur la décoration de la chambre et surtout, sur le choix du prénom ! Tu as déjà des idées ? Demande-je à Manon. — Pour le prénom, j’y avais déjà réfléchi. Dans le cas où ce serait un garçon, j’hésitais entre trois… Mathis, Mael et Marcus.— Donc on reste sur un prénom en “M” ? Dis-je en souriant. — C’est un peu une tradition familiale, rigole-t-elle. Pourquoi, tu avais une autre idée ? Ajoute Manon. — Moi aussi, j’avais réfléchi à la question… Mais il y en a un que j’aime beaucoup…— Dis-moi ! S’impatiente Manon.— OK… Je dois dire que j’aime beaucoup Mael… Souris-je.— Oh !! C’était aussi mon préféré dans les trois ! Je crois qu’on a trouvé le prénom de notre fils !! Ces deux mots résonnent en moi et me donnent le sourire ! NOTRE FILS ! Notre petit garçon, Mael, fruit de notre amour, viendra bientôt agrandir notre famille atypique. J’ai tellement hâte. * * Ce soir, je rentre tard à la maison. Un de mes collègues fêtait son départ en retraite. Lorsque je rentre, Margaux est déjà couchée et Manon est allongée sur notre lit, en train de lire. Je passe embrasser notre fille, puis je rejoins ma sœur dans la chambre. — Ta soirée s’est bien passée ? Demande Manon. — Oui, très bien ! Réponds-je. — J’espère que tu n’es pas trop fatigué… Me dit-elle avec un regard coquin. — Pour faire l’amour avec toi, je ne suis jamais fatigué !— Bien ! Alors, dépêche toi de me rejoindre mon amour ! J’ai très envie de toi !! Je me déshabille rapidement et je contourne le lit pour rejoindre Manon. Elle repousse la couette et dévoile sa jolie nuisette noire, celle-là même qui m’a fait tomber amoureux d’elle. Elle se contorsionne, avec son gros ventre et s’assoit au bord du lit. Mon sexe déjà bandé, vient frôler ses lèvres. Elle donne plusieurs coups de langue sur mon gland et commence à me masturber. Sa main caresse ma queue d’avant en arrière et rapidement, sa bouche vient entourer le bout de mon sexe. Doucement, elle commence un va-et-vient. Mon sexe s’enfonce dans sa bouche, sa langue tournant autour. Je gémis sous ces caresses qui m’excitent toujours autant. Manon poursuit sa fellation. Imperceptiblement, mon sexe s’enfonce de plus en plus, jusqu’à disparaître. Manon ne me masturbe plus, c’est moi qui fais des mouvements de bassin pour pénétrer sa bouche. Mon sexe glisse sur sa langue humide et s’enfonce dans sa bouche. Très excité, je préviens ma chérie… — Je ne vais pas tenir longtemps… — Je veux t’entendre jouir et sentir ton sperme sur moi ! Ne te retiens pas !! Dit-elle avant de reprendre ma queue en bouche. — Tu veux que je jouisse sur ton visage ? Demande-je. Manon acquiesce sans arrêter sa fellation. J’accélère les mouvements de bassin et Manon ouvre la bouche pour recevoir mon sexe gonflé d’excitation. Soudain, je ne peux plus me retenir. Je jouis et le premier jet s’écrase sur la langue de ma sœur. Je recule et continue de me masturber, alors que mon sperme jaillit sur son visage. Quelle vue excitante de la femme que j’aime, les joues maculées de ma semence, avalant mon liquide qui a coulé dans sa bouche. Manon me sourit et après avoir retiré sa nuisette, elle s’allonge sur le lit. Elle me fait signe de la rejoindre. — Ça t’a plu ? Demande-t-elle. — Quelle question ?! Souris-je. Comment ne pas aimer ?! — Tu sais, mon chéri, on arrive dans les dernières semaines de grossesse… — Oh ! Plus de sexe alors… — Non ! Disons, que les pénétrations vont devenir plus compliquées… Mais je ne vais pas nous priver des préliminaires ! J’adore autant que toi les fellations !— Mais… Ce soir, on peut encore… — Oui !! J’espère bien que tu vas reprendre rapidement des forces et me prendre en levrette. Mais avant, j’ai une surprise… — Ohh !! Je suis curieux ! Dis-moi… — Je sais que tu aimes lécher mes seins… Et que tu aimais particulièrement ça quand j’allaitais Margaux…— Tu as de nouveau du lait maternel ? — Disons que ce sont les prémices… Mais je te laisse constater. Je ne résiste pas à l’invitation et j’embrasse la future mère de mon enfant. J’abandonne les lèvres de ma sœur pour embrasser son cou, son buste, jusqu’à sa magnifique poitrine qui a pris du volume au cours de la grossesse. Je commence par lécher ses mamelons. Ma langue tourne autour de ses tétons déjà dressés par l’excitation. J’embrasse les seins de ma sœur, mes lèvres entourent le téton de Manon, se resserrent autour et doucement, je suce ma tétine. Manon commence à gémir en sentant ma bouche jouer avec son sein, je compte bien la faire gémir davantage, en glissant ma main entre ses cuisses. Mes doigts coulissent le long de son sexe déjà excité. Je titille doucement son clitoris. Je continue de sucer son sein quand je sens enfin du liquide jaillir dans ma bouche. Je lèche, suce, absorbe le liquide, pendant que mes doigts s’enfoncent dans la chatte de ma sœur. Elle gémit de plus en plus sous l’action conjuguée de mes doigts et de ma bouche. Je délaisse son sein droit, mon préféré, pour son jumeau. Je lèche, embrasse et suce doucement son autre téton. Rapidement, le liquide s’écoule de son sein et je m’abreuve de ce nectar. Tout en gémissant, Manon a repris mon sexe dans sa main, me caressant doucement pour me faire bander de nouveau, ce qu’elle réussit aisément. Elle me demande de la prendre. Je l’aide à se redresser, à s’installer à quatre pattes et je m’installe pour la prendre en levrette. Je la pénètre d’un mouvement. Mon sexe perfore le sien et s’enfonce au plus profond de son intimité. Elle gémit encore à chaque mouvement. Elle crie de plaisir, m’ordonne de la prendre plus fort, de continuer, jusqu’à ce qu’elle se laisse aller et jouisse, la tête enfouie dans l’oreiller pour étouffer ses cris. Je ralentis le rythme de mes va-et-vient dans son sexe, jusqu’à ce qu’elle ait repris son souffle. C’est elle qui reprend le contrôle, en bougeant son bassin sur ma queue dressée. Elle accélère progressivement le rythme. — Oh oui, c’est bon comme ça !! Gémis-je.— Oui, mon amour !! C’est trop bon !! Mais ce soir, je veux jouir encore… Manon se penche vers l’avant, prend mon sexe dans la main et le guide vers son petit trou. D’un mouvement, elle exerce la pression qui pousse ma queue dans son cul. Je m’enfonce doucement et lorsqu’elle s’arrête, je vais et viens doucement. J’encule ma sœur avec délicatesse. Je veux jouir, mais je veux profiter de son corps le plus longtemps possible. Ma sœur gémit à chaque coup de reins. Elle crie de plaisir en sentant la queue la sodomiser. J’accélère progressivement mes mouvements, jusqu’à tenir un rythme soutenu. Manon s’enfonce la tête dans l’oreiller pour étouffer ses cris. — Oh oui !! C’est bon, encore !! Je viens, je viens… Gémit-elle. Je continue mes va-et-vient rapides, jusqu’à sentir son cul se resserrer autour de ma queue. Manon jouit et d’un ultime mouvement de bassin, je jouis à mon tour, déversant mon sperme dans son anus. Nous finissons par nous endormir. C’est la dernière fois que nous avons fait l’amour aussi intensément, avant l’arrivée de notre fils…
