Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 122 J'aime
  • 11 Commentaires

Ma sœur enceinte, la suite

Chapitre 10

Inceste
Morgane a passé les derniers jours de grossesse à la maison. Elle voulait être là pour nous aider et garder Margaux pendant l’accouchement. Notre petit garçon a été ponctuel ! Il est arrivé le jour prévu.
Contrairement à la naissance de Margaux, c’est moi qui ai accompagné Manon en salle d’accouchement. J’ai pu soutenir la maman jusqu’au bout et surtout, j’ai pu couper le cordon et prendre mon fils dans mes bras.
Je ne saurais décrire toutes les émotions qui m’ont traversé à cet instant précis. Un mélange de bonheur, de fierté, d’amour et de plein d’autres sentiments indescriptibles.
L’accouchement s’est avéré plus long que pour Margaux, mais la maman va bien et alors que je porte notre enfant, elle me regarde et pleure. Je ne comprends pas, je suis perdu.
— Ça ne va pas ma chérie ? Demande-je inquiet. — Si, tout va bien ! Ce sont des larmes de bonheur ! Je suis tellement heureuse de te voir avec notre fils !! Je t’aime tellement.— Moi aussi, je t’aime, je vous aime tous les trois !!
Trois heures après l’accouchement, nous avons rejoint la chambre de Manon. Mael, dans son petit lit, dort paisiblement. Nous sommes restés de longues minutes à l’observer dormir sans parler.
— Mince ! On n’a pas prévenu Morgane, dit Manon. — Je vais l’appeler, dis-je en attrapant mon portable. — Allô ? Dit-elle en décrochant. — Coucou Tata Mo’ ! Dis-je en rigolant. — Ça y est ? Le petit bout est né ? — Oui !! Il est né depuis quelques heures… — Tout le monde va bien ? S’inquiète Morgane. — Oui, maman va bien, le bébé se porte à merveille et le papa est aux anges !— Génial !! On peut venir vous voir quand ? — Je pense que ce soir, ça va être trop tard… Mais demain matin, tu pourras venir avec Margaux, pour qu’elle rencontre son frère. — Bien sûr !! Tu restes avec Manon toute la nuit ?
— Oui, je vais sûrement dormir dans le fauteuil…— OK ! En tout cas, je suis super heureuse ! Tu fais de gros bisous à la maman et au bébé, conclut Morgane. — Je n’y manquerais pas, rigole-je avant de raccrocher.
Après avoir raccroché, je prends Mael en photo. Je commence à écrire sur mon téléphone :
[SMS,Maman,Maxime]> (PHOTO)> Bonjour Maman, je te présente Mael, ton petit-fils. Il est en parfaite santé et il aimerait beaucoup rencontrer sa grand-mère !> J’espère qu’on pourra mettre nos différends de côté pour qu’on puisse passer ses moments uniques ensembles> Manon et moi, nous t’aimons et cela nous peine de vivre loin de toi. < ...
Le message est envoyé, tel une bouteille à la mer. Je ne dis rien à Manon, avant d’avoir une réponse, ne souhaitant pas créer de faux espoirs.
Les trois points sautent sur mon écran. Maman est en train d’écrire un message. Je redoute ce qu’elle écrit autant que je l’attends. Cela dure plusieurs minutes, je reste pendu à mon téléphone, attendant le message maternel, qui arrive enfin…
[SMS,Maman,Maxime]> Manon et moi, nous t’aimons et cela nous peine de vivre loin de toi. < Bonjour Maxime, merci pour ton message. Mael est un très beau bébé. < Je suis heureuse qu’il se porte bien. Mais je ne sais pas si je pourrais venir vous voir. C’est compliqué...> D’accord... Je ne te cache pas que je suis déçu et que Manon aurait voulu que tu sois là ! Mais c’est ta décision. Nous t’aimons et nous espérons pouvoir te présenter notre fils prochainement.
Je repose mon téléphone et décide de me consacrer pleinement à ma famille, celle qui est là, sous mes yeux ! Ma femme et mon fils.
* *
Le lendemain, après une première nuit agitée, nous profitons de Mael avant l’arrivée de Morgane et Margaux. Je suis assis dans le fauteuil et mon fils est dans mes bras. Il dort paisiblement. Manon nous regarde lorsqu’on toque à la porte de la chambre.
Margaux est la première à entrer et à sauter sur le lit de sa mère. Elle l’embrasse et dit :
— Ca y est ! Il est né mon petit frère ? — Oui, mais ne parle pas trop fort ! Il dort dans les bras de papa ! Répond Manon. — Maman, on a une surprise avec tata, dit Margaux. — Tu as apporté un cadeau ?
Margaux sort de la chambre, passant devant sa tante. Morgane s’empresse d’embrasser sa sœur et contourne le lit pour venir vers moi.
— Tu es prête pour ta surprise, maman ? Demande Margaux. — Oui, ma puce ! Répond Manon.
Margaux entre en tenant sa grand-mère par la main. Manon est sous le choc et ne retient pas ses larmes. Je reste sans voix devant notre mère. Elle s’approche de sa fille et l’embrasse. Elles se prennent dans les bras et restent ainsi plusieurs minutes, sans rien dire. Morgane insiste pour prendre son neveu dans ses bras. Avec délicatesse, nous faisons l’échange sans le réveiller.
— Qu’est-ce que tu fais là, maman, lâche-je. Je croyais que… — J’ai beaucoup réfléchi après ton message hier… Dit-elle. Je… Je suis resté un long moment à regarder la photo et à relire tes messages. Finalement, j’ai pris la route dans la nuit. J’ai appelé Morgane et je l’ai rejoint chez vous.— Quelle photo ? Quels messages ? Demande Manon. — J’ai envoyé un message à maman, avec une photo de Mael, pour la prévenir. Je ne voulais pas que tu sois déçue si elle ne venait pas, donc je ne t’ai rien dit… — Qu’est-ce que tu lui as dit ? M’interroge la mère de mon fils.— Je lui ai dit que Mael était en pleine forme et que, même si nous avions des différends, nous l’aimions et nous voulions passer ces premiers moments avec elle.— Merci mon chéri !! Dit Manon avec un large sourire. C’est le plus beau cadeau qu’on pouvait me faire. Maman, je… — Comme a dit ton frère. Malgré nos divergences, je vous aime et je ne veux que votre bonheur. Si vous êtes heureux, c’est tout ce qui compte. — Je t’aime, maman ! Dit Manon. Je vous aime tous tellement, ajoute-t-elle.
* *
Notre petit garçon a pointé le bout de son nez depuis un mois maintenant. Dire qu’il nous mène la vie dure est un euphémisme. Il se réveille au moins deux fois par nuit et c’est un véritable petit chieur (au sens propre du terme ^^), mais nous l’aimons de tout notre cœur.
Ce soir, après la tétée maternelle, je prends mon fils pour notre petit rituel du soir, une balade dans l’appartement. En quelques minutes, il se rendort et je peux le reposer dans son lit. Je rejoins alors sa mère dans le lit.
Manon me regarde et sourit :
— Il en reste encore si tu veux !
Je m’allonge à côté d’elle et ma langue vient jouer avec son mamelon, mes lèvres embrassent son téton, se resserrent et je commence à sucer son sein. Le lait ne tarde pas à jaillir. Je bois quelques gorgées puis délaisse son sein pour embrasser ma jolie femme. Nos langues se mêlent avant de s’écarter. Manon tend ses lèvres vers mon oreille et me susurre :
 - J’ai très très très envie de toi, mon chéri ! — Tu es sûre ? Enfin… Moi aussi j’ai e,nvie de ton corps tout entier ! Mais…— Mais rien ! Ça fait un mois, je n’en peux plus d’attendre ! Je veux sentir ton sexe en moi… Je veux être une femme, ta femme !
J’embrasse de nouveau Manon et mes lèvres glissent ensuite sur son corps. Je m’arrête quelques minutes sur ses seins pour l’entendre gémir, puis continue vers son sexe. Je m’installe face à son sexe et commence à la lécher. Ma langue parcourt sa chatte de bas en haut et joue avec son clitoris. Manon gémit rapidement :
— Oh, oui… Ça m’a manqué. C’est tellement bon !! — Ne te retiens pas si tu veux jouir, dis-je en enfonçant deux doigts dans son vagin.— Oh !! Je ne vais pas me retenir, c’est sûr !! Doucement s’il te plait. C’est un peu douloureux…— Tu veux que j’arrête ? — Non ! Surtout pas !
Je retire un doigt et continue mes va-et-vient tout en léchant avec ardeur son sexe. En moins de dix minutes, Manon exulte et ses muscles se tendent, pour son premier orgasme depuis l’accouchement.
— C’était trop bon !! Savoure-t-elle, alors que je m’allonge à côté d’elle.
Sans rien dire, elle m’enjambe et doucement glisse jusqu’à se retrouver face à mon sexe dressé. Elle se penche et me prend dans sa bouche. Comme pour la bicyclette, Manon n’a pas oublié comment sucer une queue. Je retrouve les douces sensations qu’elle me procure à chaque fellation. Mais elle s’arrête et se redresse.
Elle s’installe à califourchon sur moi et guide mon sexe entre ses jambes. Doucement, je sens mon pieu coulisser entre ses lèvres. Mais je vois ma femme grimacer à chaque centimètre qui la pénètre…
— Ça va ? Tu as mal ? M’inquiète-je. — Un peu… Mais c’est normal, je pense… Comme c’est la première fois depuis…
Elle ressort mon sexe et tente de nouveau de l’insérer en elle. Doucement, elle s’assoit sur ma queue dure, mais elle continue de grimacer à chaque va-et-vient.
— Ma chérie, si tu as mal, on arrête ! Dis-je. — Non, j’ai trop envie… Et puis c’est plus une gêne qu’une douleur…— Si tu préfères, on peut remettre ça… — Je… Tu es sûr ? Tu ne m’en voudras pas ? — Bien sûr que non ! Je veux que tu prennes autant de plaisir que moi ! Si tu as mal, je n’y prends aucun plaisir… — Dans ce cas, on essaiera de nouveau demain et les jours suivants jusqu’à ce qu’on y arrive… En attendant, j’ai un autre trou disponible !
Manon se redresse et s’allonge sur le côté, les jambes repliées. Je m’installe à genoux et place mon sexe devant sa rondelle. Je pousse lentement et ma queue disparaît dans son cul. J’accélère progressivement mes va-et-vient. Manon gémit à chaque coup de reins.
Je profite de sa position pour caresser sa chatte et son clitoris, tout en continuant de l’enculer. J’essaie d’entrer un doigt, puis deux, dans sa petite chatte. Elle gémit en sentant les doigts étirer son vagin, mais elle ne repousse pas mon initiative. Je la sodomise depuis plusieurs minutes et mes doigts vont et viennent de plus en plus vite dans sa chatte.
Je sens que je vais bientôt jouir et finalement, c’est l’anus de Manon, se rétractant autour de ma queue qui me fait jouir, en même temps qu’elle. Je libère de longs jets de sperme dans son fondement. Je me retire et laisse son petit trou ouvert, pour m’allonger auprès de ma belle.
— Je pense que demain, je n’aurais plus mal… Dit-elle. — Ne t’inquiète pas pour ça ma chérie, dis-je pour la réconforter.— Je n’ai pas eu mal avec tes doigts, avec de l’entraînement, on devrait y arriver ! Je t’aime mon amour !! — Je t’aime aussi, réponds-je avant de l’embrasser.
* *
Il nous reste toute une vie à vivre à quatre ! Qui peut dire de quoi l’avenir sera fait ? En tout cas, je sais que mon amour pour Manon ne fait que grandir de jour en jour, que j’aime nos enfants plus que tout au monde et que rien ne pourra changer ça.
Diffuse en direct !
Regarder son live