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Enfance allemande

Chapitre 1

Hétéro
Allemagne, fin des années cinquante; deux sœurs jumelles plus délurées que leur camarade s’intéressent à celui-ci dans l’autorail qui les mènent tous trois au lycée de la bourgade voisine

Depuis plusieurs années, il avait été fasciné par cette règle particulière qui ne ressemblait pas à une règle d’écolier en bois ou en métal. Une étroite bande de fanon de baleine qui était merveilleusement lisse sous ses doigts et avec laquelle il pouvait tracer de beaux traits bien réguliers. Pour lui, les règles en bois n’étaient utilisables que neuves, les chocs sur leurs arrêtes créant très vite des marques, lorsque l’on tirait un trait. De plus, cette règle était l’arme absolue contre les insectes. Il la tordait et la laissait se détendre d’un coup sec. Cela faisait mouche à chaque coup. La mouche était réduite en bouillie.Il ne connaissait pas la provenance et l’utilisation originelle de cet objet qu’il avait trouvé dans sa maison et conservé précieusement comme un trésor, en le nettoyant soigneusement chaque fois après avoir tué une mouche.Concernant sa scolarité, Ulrich était un écolier studieux et appliqué. Il trouvait que le temps passé dans l’autorail qui l’emmenait sur la voie unique allant à la ville du canton, était bien pratique pour revoir ses devoirs et ses leçons. Pour aller au lycée, il s’asseyait habituellement à l’arrière du wagon.Les jolies filles jumelles de l’épicier du village, étaient pratiquement les seules jeunes à se placer régulièrement avec lui dans l’autorail, dans le compartiment des scolaires qui était sommairement équipé de bancs en bois, mais qui de ce fait avait l’avantage d’être réservé quasiment pour eux seuls. Les quelques adultes qui prenaient le train à cette heure là, pour la plupart des ménagères allant au marché avec de grands cabas, voyageaient dans la partie avant du wagon et s’asseyaient en compagnie du contrôleur. Les jumelles avaient un an de plus que lui, tout en étant dans une classe du même niveau, mais dans le lycée privé de la bourgade.Pour Ulrich, elles se conduisaient plutôt de façon inintéressante en riant tout le temps sous cape, donnant une impression dominante. Elles étaient toujours habillées élégamment comme de jeunes demoiselles, alors que lui, portait encore très régulièrement sa culotte courte tyrolienne en cuir comme beaucoup de garçons de son âge ou même plus vieux. Et il se trouvait bien comme ça.Angelika et Martina avaient souvent des exercices de mathématiques qu’elles ne savaient pas faire, alors, plus d’une fois, elles lui avaient demandé des explications, ou même la solution.Un jour elles furent surprises par la façon dont il avait souligné de deux traits le résultat d’équations à deux inconnues, une exigence du professeur que Ulrich remplissait avec application… Les jumelles semblaient trouver cela comique, et se retenaient de rire en silence. Enfin, désignant sa règle, Angelika lui demanda où il l’avait eu, et si il savait à quoi cela servait à l’origine. En rougissant, il fit non de la tête. Elles se regardèrent et éclatèrent alors de rire, amusées au plus haut point. « Ceci vient d’un corset de ta mère, c’est une baleine, elle s’est défaite de celui-ci, et tu l’as récupérée, peut être même subtilisé à l’insu de celle-ci », dit Angelika. A ce moment, les deux sœurs éclatèrent de rire encore plus fort, dans le coin opposé du compartiment. Tout rouge, Ulrich rangea ses instruments dans son cartable et pour la suite du trajet, ses yeux restèrent fixes, vers l’extérieur, sans un regard pour elles. Il ne pouvait s’empêcher d’entendre et réentendre dans sa tête les paroles vexantes d’Angelika. Enfin, un peu plus tard, il les avait entendues chuchoter pendant qu’elles le regardaient en coin, discrètement.Quelques jours après, ils se retrouvèrent dans le compartiment. L’autorail avançait en secouant par à coups ses passagers. Le contrôleur avait fini sa tournée et était reparti vers les compartiments de l’avant, les laissant seuls tous les trois. Soudain, les deux sœurs se levèrent devant lui. « Pousses toi un peu, Ulrich », dit Martina. Et elle s’assit tout contre lui. Angelika le coinça de même, en s’asseyant de l’autre côté de lui. «Tu nous as toujours beaucoup aidé pour nos exercices de maths, aujourd’hui pour te remercier, on va t’apprendre un certain nombre de trucs ». « Tu sais déjà ce que c’est qu’un corset. Maintenant ceci est un soutien-gorge ». Et elle ouvrit les boutons de sa robe, et poussa contre lui ses seins enveloppés de dentelle.A ce moment, les jumelles ne s’attendaient pas une réponse de sa part.« Ulrich, ceci est un porte jarretelle, pour tenir les bas », dit Angelika en prenant sa main et en la passant sous sa jupe de façon à ce qu’il sente bien le haut de sa cuisse nue. Il était maintenant paralysé et n’osait rien dire. Son sang lui semblait ne plus circuler, se retirer de sa figure et de sa poitrine. Sa langue restait collée au palais de sa bouche et aucun mot ne pouvait sortir de ses lèvres.Elles n’arrêtaient pas de jacasser tout le temps et énuméraient les vêtements qu’elles portaient. Le soutien gorge de Martina disparut subitement, abaissé comme par enchantement sur le bas de la poitrine. Ses seins tout ronds apparurent, semblant pointés vers lui. Les yeux grands ouverts, il était fasciné. Pendant ce temps, Angelika poussait la main d’Ulrich plus profondément sous sa jupe, entre ses cuisses. Maintenant ses doigts pénétraient dans son duvet et les replis de son intimité qui s’humidifiait. Depuis quelques jours, secrètement, à l’insu de leur mère, elles ne mettaient plus de petite culotte. Et elle s’arrêta de décompter ses vêtements lorsque elle fut sure qu’il avait bien compris qu’elle n’avait pas de culotte sous sa robe. En fait, à ce moment, il rougissait encore plus de honte. La règle en fanon de baleine était bien loin. Ne sachant plus où se cacher, c’en était déjà trop pour lui.Comme tous les parents d’enfants de son âge vivant alors à la campagne, le père et la mère d’Ulrich habillaient leurs garçons avec des vêtements solides, confortables, faciles à vivre et à entretenir, sans fioritures. Pour les pantalons, comme cela se faisait en Bavière, cela voulait dire ces culottes en cuir foncé, épais, et lisse, coupées en trois quart knickers et portées avec des grosses chaussettes en laine et des caleçons courts ou longs pour protéger du froid en hiver. Dés que possible, pour les jours plus agréables, le knicker était abandonné pour de larges culottes courtes, également taillées dans ce même cuir lourd, sans doublure, tenues avec des bretelles, et avec un rabat devant à la tyrolienne fermé par deux boutons à la place d’une braguette classique. En haut, c’était des chemises en coton à même la peau, portées sous les bretelles, et par dessus, régulièrement des pulls et des anoraks en gros feutre, comme manteau lorsqu’il faisait le plus froid, ou des imperméables. Aux pieds, cela allait des gros brodequins fermés avec des chaussettes, aux sandales nu-pieds en passant par des bottes en caoutchouc pour les jours de pluie.Aussi loin que Ulrich pouvait se rappeler dans sa mémoire, du printemps à l’automne, dés que le temps était acceptable, comme son frère ainé, il avait toujours porté ces grands shorts en cuir à la maison, en plein air, et à l’école puis plus tard au lycée. C’était très pratique pour lui et surtout sa maman ; toujours ainsi vétu, il n’avait pas besoin d’être spécialement soigneux et attentif à ses vêtements lorsqu’il allait dans les champs et dans les bois alentour de la ferme, avec son frère ou ses camarades du voisinage. En effet, autant il était méticuleux pour la présentation de ses devoirs, autant à l’extérieur, il était turbulent et aventureux comme les autres. Il n’était pas le dernier à se glisser dans l’herbe pleine de rosée d’un sentier, grimper aux arbres, ou s’asseoir sur les pierres humides et vertes de mousse du bord d’un fossé, avec les gamins du village et son frère aîné. Comme tous, ne faisant pas attention, il lui arrivait fréquemment de se salir de boue, d’herbe écrasée ou d’autre chose. Au retour, d’un coup d’éponge, les traces de saleté, de terre, ou de griffures disparaissaient du cuir comme par enchantement. Et lorsqu’il était habillé avec son large short tyrolien, Ulrich, comme son frère, et bien d’autres gamins de l’époque, était presque toujours sans rien en dessous, plutôt qu’avec un caleçon court. Ils ne connaissaient pas non plus les slips. En fait, en dehors de l’hiver, ils ne mettaient pratiquement jamais de sous-vêtements, uniquement lorsqu‘il faisait vraiment froid le matin, et encore; les caleçons leur étaient plutôt réservés pour les knickers.. Habitués comme cela depuis toujours à porter leur culottes courtes tyroliennes dès que possible au printemps, avec de grosses chaussures aux pieds, ou des bottes, ils n’avaient pas froid ni aux jambes ni plus haut.Et la maman ne trouvait rien à redire sur le fait que les deux frères ne mettent pratiquement jamais rien sous leurs shorts tyroliens, même pour aller à l’école. Dans ces années là, les deux parents, comme beaucoup d’autres dans ces contrées campagnardes, considéraient qu’en dehors de la mauvaise saison, il n’y avait pas vraiment besoin de sous-vêtements sous les habits de tous les jours, que ce soit pour eux-mêmes, le père en knickers, la mère en jupe longue, ou pour leurs enfants en culottes courtes. C’était simplement ainsi depuis toujours et, plus pratique dans la vie de tous les jours. Les deux frères avaient été habitués naturellement comme ça depuis tous petits. Pour eux, cette façon simple et rapide de s’habiller le matin était normale. Vétus comme-ça, ils s’étaient toujours sentis plus à l’aise, moins engoncés, plus libres de leurs mouvements. Ils n’y faisaient même pas attention. Dans leur famille, comme dans beaucoup d’autres, personne n’avait jamais pensé à mal de ce côté là. Après tout, ce n’était sans doute pas un hasard si les coutures des culottes tyroliennes en cuir étaient souvent retournées vers l’extérieur, évitant ainsi les aspérités à l’intérieur de celles-ci.Maintenant les jumelles s’amusaient du bout de leurs doigts sur son torse, entre les bretelles, puis à travers les boutons de la chemise d’Ulrich sur sa peau. Déjà à moitié en transe, les yeux fermés, il était incapable de penser à ce qui pouvait l’attendre par la suite. Il était en dehors du temps.Soudain, deux mains l’ont attaqué en même temps ; Martina par la large ouverture de la jambe du short, Angelika par devant, directement à travers le rabat, sous les deux boutons qui fermaient la culotte tyrolienne.Les deux sœurs furent prises au dépourvu lorsque contrairement à leur attente inconsciente, elles ne trouvèrent pas la barrière d’un caleçon ou même d’un slip, mais directement en liberté, ses attributs. La main de Martina buta sur ses boules, et celle d’Angelika, plus haut, trouva une hampe qui commençait à se durcir sérieusement. Elles ne s’y attendaient pas du tout car elles n’avaient jamais rien vu ou remarqué dans ses mouvements qui puissent trahir sa façon de s’habiller ainsi, nu sous sa culotte. Rien non plus n’avait jamais dépassé des jambes du short, fût ce le temps d’un éclair. Le cuir cachait tout, absorbait les tressautements de ce qui était en dessous…Elles avaient cependant découvert récemment, en regardant des gamins du village plus jeunes qu’elles, grimper dans des cerisiers, que plusieurs d’entre eux, débraillés, avaient leur zizi pratiquement à l’air par les jambes du short lorsqu’ils faisaient le grand écart pour monter plus haut. C’était clair qu’ils étaient nus sous leurs culottes tyroliennes, devenues pour beaucoup d’entre eux, trop courtes lorsqu’ils avaient grandi. A voir leur aisance, et leur absence de précautions dans leurs mouvements, elles comprirent que cela devait être habituel pour eux d’être comme ça, de ne rien mettre dessous. Dés le retour au sol des mômes, on ne soupçonnait plus rien. Rapidement, cela leur avait donné l’idée, secrètement, d’essayer de ne pas mettre de petite culotte, sous leur robes. Ces essais leur avaient bien plu. Maintenant, elles le faisaient de plus en plus souvent, y compris au lycée. Ulrich et son frère Helmut avaient aussi chipé des cerises dans ces arbres plusieurs fois, mais elles ne s’étaient pas trouvées là en même temps pour les regarder escalader les branches, et peut être voir qu’ils étaient habillés comme les autres gamins.Ainsi il ne leur avait même pas effleuré la pensée que le sage Ulrich du train puisse être pareil que ces garnements et aille à l’école sans sous-vêtements, comme elles-mêmes le faisaient secrètement maintenant, à l’insue de leur mère, de manière osée pensaient-elles. Cette découverte était inattendue et dans l’instant, déconcertante. Bien sûr, avec la réserve apparente d’Ulrich, cela n’était certainement pas pour les mêmes raisons qu’elles. Mais tout de même. Cependant, elles ne retirèrent pas leurs mains de l’intérieur du short pour autant, bien au contraire. Elles se regardèrent et commencèrent rougirent en silence. Martina fut la première à réagir et à reprendre ses esprits.« Ulrich, tu es grand maintenant et tu ne mets rien sous ta culotte ! Comme nous ! Tu vas voir ! Ca va être plus pratique ! », lui dit Martina qui enserrait toujours au plus profond de ses cuisses la main de Ulrich, les doigts de celui-ci maintenant engagés dans son intimité…Sur le coup, il ne comprit pas ce qui lui arrivait. Instinctivement, il s’était raidi, les jambes écartées, s’appuyant fermement peau contre peau sur les cuisses des deux sœurs, et leur donnant involontairement encore plus de facilité d’accès et d’excitation. Il aurait aimé ne pas être là, fuir, sauter du train. Mais il resta, immobile, les yeux fermés, sans voix, comme en catalepsie. Il sentait le parfum de pêche et d’amande émanant du corps des deux filles. Il respirait maintenant bruyamment. Il s’évanouit presque lorsque les deux mains des deux sœurs, libres de leurs mouvements sous sa culotte courte, commencèrent sans hésitation de doux massages rythmiques de ses parties et de sa verge gonflée, maintenant franchement dressée et en train de se décaloter, à l’intérieur du short. Au toucher, la taille les impressionna. Ce n’était plus un zizi de petit garçon, mais une bite d’homme prète à l’action.Il ne vit pas leurs visages conspirateurs devenir subitement tout rouge, ni la frayeur subite dans leur yeux. La réaction instantanée et violente de tout son corps surprit les deux jumelles au delà de ce qu’elles avaient imaginé.Sans un mot, elles s’étaient retirées instantanément sur leur banquette. Les genoux tremblants, lui, restait seul, assis dans son coin ressentant l’humidité se répandre à l’intérieur de sa culotte en cuir. Il regarda discrètement autour de lui et fit quelques mouvements qui ne firent qu’augmenter l’étendue de la sensation d’humidité, en train de devenir froide sur son ventre et entre ses jambes. De toute façon, il savait que rien ne serait visible de l’extérieur. Il n’avait pas d’autre choix que de prendre son parti de l’inconfort momentané. Il passa la main sous la bavette de sa culotte là ou Angelika venait de retirer la sienne et recalotta son sexe gluant. Finalement bien pratique, cette bavette. Ce jet allait commencer à sécher comme ça, et il nettoierait discrètement au robinet, dans les toilettes de l’école ces traces blanches, nouvelles pour lui. Bien pratique aussi, le cuir. Et tan pis pour l’humidité.Les sœurs Müller étaient maintenant assises sagement dans leur coin, et comme si de rien n’était regardaient par la fenêtre, sans oser un regard vers lui. Elles aussi sentaient une humidité nouvelle entre leurs cuisses. Par contre, contrairement à Ulrich, elles avaient peur que cela se voit en créant des taches douteuses à travers le tissu de leurs robes. L’autorail cahotait sur les aiguillages en entrant en ville et elles ne savaient que faire pour prévenir le ridicule qui risquait de les attendre en arrivant au lycée. Elles le laissèrent descendre le premier de l’autorail.L’action n’avait duré que quelques minutes, mais il se souviendrait toute sa vie de l’odeur de pêche, des formes pulpeuses au contact de son corps, de l’étreinte des mains douces à un endroit improbable et très intime encore quelques minutes auparavant.
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