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Enfance allemande

Chapitre 2

Hétéro
Avec l’été, les vacances sont arrivées dans la campagne Allemande. Les deux sœurs jumelles n’ont qu’une idée en tète : retrouver Ulrich.
Ulrich et les deux jumelles avaient repris le train ensemble mais ne s’étaient jamais retrouvés seuls très longtemps dans le compartiment depuis le jour de leur premier contact très rapproché. Ils avaient cependant échangé à plusieurs reprises des regards appuyés et complices. Assis sur les banquettes, il y avait bien eu quelques efleurements rapides des mains sur les cuisses, sous les jupes, ou sous le large rebord du short vers les sexes en liberté, comme pour se convaincre de la réalité de leur première expérience, mais la présence d’autres voyageurs avait empéché d’aller plus avant. L’humiliation de la règle en fanon de baleine était oubliée. Ce qui avait suivi ne l’était pas. Les vacances d’été étaient finalement arrivées. Ils ne prenaient plus le train. Ulrich et son frère aidaient maintenant leurs parents à la ferme ou restaient alentour dans les bois et les prés avec leurs camarades. Ils n’allaient pas très souvent au bourg du village et les deux sœurs n’étaient pas une préoccupation immédiate d’Ulrich.Cependant, il y avait pensé le soir en se mettant au lit, en se disant qu’elles étaient bien douces et excitantes. Il se caressait, nu dans son lit, en se les imaginant. Sa verge se raidissait, mais il n’allait pas plus loin. Il n’avait parlé à personne de son aventure dans le train, pas même à son frère.Martina et Angelika, elles, habitaient au centre du village, au dessus de la boutique de leurs parents. Elles savaient où se trouvait la ferme d’Ulrich et s’étaient juré de le retrouver pendant les vacances. A la grande surprise de leur mère, plutôt que des tenues d’été élégantes et habillées, objet de leurs choix habituels, elles avaient réclamé toutes les deux des culottes tyroliennes en cuir, prétextant le côté commode et pratique de ce genre de vêtement qu’elles avaient pourtant dédaigné quelques années au paravant. Plus jeunes, elles avaient considéré que c’était réservé pour les garçons turbulents qui couraient dans les champs et grimpaient aux arbres, pas pour des petites filles soigneuses et à la mode. La maman s’était laissé convaincre, exigeant cependant que cela ne soit pas le caprice d’un jour, qu’elles les portent régulièrement tout l’été. Elles avaient choisi un modèle avec deux fermetures éclair, sans bretelles, en cuir lisse, rouge pour l’une, gris pour l’autre. Elles avaient découvert le soir même de cet achat le coté sensuel du cuir porté à même leur intimité, sensation jusqu’alors inconnue et inimaginable pour elles auparavant. Une humidité leur était alors née entre les jambes, mais cela ne leur faisait plus peur. Elles avaient encore pensé à Ulrich et à son sexe en liberté en se mettant une main l’une l’autre dans leurs shorts. Et elles commencèrent régulièrement à se donner du plaisir dans leur chambre. Ces shorts en cuir allaient faire bon usage cet été là ; leur maman pouvait être tranquille de ce côté là. Plus que jamais elles continuèrent à mettre à laver des petites culottes propres… Elles ne mettaient pas non plus de soutien-gorge lorsqu’elles portaient d’amples corsages et que cela n’était pas trop voyant. Vraies jumelles, elles s’échangeaient régulièrement leurs tenues et il était difficile de dire qui était qui lorsque l’on ne les connaissait pas. Leur père, secrètement, les admirait, les trouvant ainsi très seyantes, en short, avec leurs longues jambes bronzées, et leur postérieur mis en valeur par le cuir brillant, et leurs corsages rebondis. Pour tout dire, il était fier de ses filles. On pouvait les voir sur leurs bicyclettes parcourant le village et se promener alentour, surtout en direction de la ferme d’Ulrich. Un jour, inévitablement, elles repérèrent les deux frères dans les pâtures. Ils étaient en train de faire passer des vaches d’un pré au pré voisin. Elles descendirent de leurs vélos et firent signe à Ulrich qui en retour leur fit comprendre d’approcher.Elles n’étaient pas trop rassurées à cause des vaches, qui, curieuses, s’intéressaient à elles, et se rapprochèrent, mais elles comprirent vite que celles-ci étaient placides et inoffensives. Elles répandaient une odeur un peu entêtante, excitante même.Ulrich referma la barrière et s’approcha d’Angelika Il dit à son frère Helmut : « Viens, tu vas voir, elles sont très gentilles ! » En ces journées chaudes, tous deux portaient des chemisettes à manches courtes, grandes ouvertes devant, portées par dessus les bretelles de leurs inévitables culottes tyroliennes, et non en dessous comme ils les mettaient normalement la plupart du temps.. Se souvenant de la hardiesse des deux jumelles, Ulrich saisit sans hésiter Angelika par la taille, la plaqua contre lui et l’embrassa un peu gauchement. Celle-ci lui répondit franchement en pointant sa langue dans sa bouche, tout en glissant ses deux mains par derrière, sous ses bretelles, à même la peau. Celles-ci descendirent rapidement vers les fesses, lui confirmant quelles étaient nues comme toujours sous le cuir de la culotte. Le baiser, le contact du corps d’Angelika et son odeur réveilla le membre d’Ulrich qui commença à se redresser vigoureusement dans le short et à suinter.Helmut regardait, ne comprenait pas très bien l’attitude inattendue de son frère cadet, et il n’en revenait pas. Mais avant qu’il ne sache comment réagir, Martina l’avait attiré vers elle en l’agrippant par devant, par ses bretelles. Sans un mot, elle avait directement plongé son autre main dans le devant du short d’ Helmut, par l’entrebâillement créé en tirant sur les bretelles. Elle tomba directement sans entrave sur ce qu’elle cherchait. Contrairement à la première rencontre avec Ulrich dans le train, elle ne fut pas surprise par cette bite qu’elle trouvait totalement en liberté. En fait, comme sa sœur, elle s’y attendait avec envie, depuis l’instant où elle avait vu les deux frères, torses nu sous leurs chemises ouvertes. Et elle était bien contente de ne pas avoir elle même non plus de petite culotte ni de soutien gorge. Tous quatre étaient à égalité de ce côté là. Elle lâcha les bretelles et saisit Helmut par derrière son dos, l’embrassa à pleine bouche, tout en activant son autre main à l’intérieur de la culotte. Helmut, au contact de son corps ferme et sans entrave, fut électrisé et il se durcit en quelques instants dans la main de Martina. Il commençait également à s’humidifier.Angelika relâcha la bouche de Ulrich , retira ses mains de son derrière, et suggéra d’aller un peu plus loin à l’ombre, sous les arbres, et surtout à l’abri des regards d’un passant toujours possible sur le chemin. Les vaches allaient garder les vélos. Angelika commençait aussi à mouiller à l’intérieur de son short. Martina entendit sa sœur, et, de même lâcha Helmut et l’entraina à suivre.Arrivés à l’ombre, les garçons retirèrent leurs chemisettes et s’attaquèrent instantanément sans hésiter aux chemisiers des filles. Bien que novices et encore puceaux tous les deux, la pudeur et la retenue n’était plus de mise. Les poitrines libres des filles maintenant vêtues de leurs seuls shorts en cuir exhibaient des seins conquérants avec leurs tétons pointus et leurs auréoles sombres. Les deux frères voyaient pour la première fois un tel spectacle. De leur côté, les deux sœurs les trouvaient bien virils, torse nus, avec leurs bretelles à même la peau, et une grosse bosse dans leurs culottes tyroliennes.Ils se plaquèrent et se frottèrent l’un l’autre, les deux sœurs éprouvant la puissance du torse des garçons, les frères la douceur des corps féminins.Ulrich se mit à genoux, défit la ceinture du short d’Angelika et tira sur les deux fermetures éclaires, laissant apparaître sa touffe blonde et trempée au dessous de la bavette rabaissée. Angelika défit le dernier bouton, finit d’enlever son short et se retrouva alors toute nue. Son regard tomba sur Helmut, qui, debout, admirait le spectacle, les yeux rivés sur son intimité. Elle laissa Ulrich et fila vers son frère. Elle défit les bretelles et les boutons de la bavette en un tour de main, laissant apparaître le sexe de Helmut, dressé, à travers l’ouverture de la braguette, son extrémité luisante. Le dernier bouton défait, la lourde culotte courte tomba de son poids aux pieds d’Helmut. Les deux sœurs n’avaient non plus jamais vu de garçon tout nu. Martina, pour ne pas être en reste, s’était également débarrassée spontanément de son short, sans l’aide des garçons. Sans hésiter, elle rejoignit Ulrich, qui était toujours à genoux. Celui-ci se retrouva sa motte et son odeur à la hauteur de son visage. Elle rabattit les bretelles du garçon sur le côté des épaules, se baissa et essaya de tirer sa culotte vers le bas d’un geste brusque, des deux mains. Ulrich s’empêtra et tomba sur le côté. Il défit les derniers boutons, dégagea sa hampe toute dure et décalotée et repoussa son short d’un coup de pieds. Il saisit Martina par les bras et la força sans peine à se coucher à côté de lui. L’herbe était fraiche sous les arbres et surprit Martina qui ne connaissait pas ce contact sur son corps nu. Inversement, le contact du corps de Ulrich lui parut chaud, doux et pour tout dire attirant. La bite d’Ulrich se bloqua contre sa cuisse et elle poussa un petit cri d’extase. Ulrich l’embrassa à pleine bouche, et de quelques doigts, la pénétra sans résistance ; elle était prête à s’offrir à lui. Il retira ses doigts, se mit à calafourchon sur elle, doucement frotta son sexe sur ses lèvres humides et commença à s’enfiler lentement en elle. Les deux bouches se rencontrèrent ; les yeux étaient dans les yeux.De leur côté Helmut et Angelika s’étaient également couchés dans l’herbe, Helmut dessous, Angelika dessus. Les seins fermes effleuraient la poitrine d’Helmut et il était de plus en plus raide. Ses mains palpaient l’humidité entre les deux corps et ne furent pas longues non plus à préparer le passage au travers de la touffe. Mais Angelika se redressa et admira ce sexe tendu. Elle l’approcha de son visage et l’embrassa tendrement, sans aller jusqu’à oser le mettre dans sa bouche, puis elle se ré-étendit sur Helmut qui était plus prêt que jamais à la pénétrer. Elle regarda sa sœur et comprit que du côté d’Ulrich et Martina, l’acte était consommé. Elle vit Ulrich qui maintenant s’agitait frénétiquement, redressé sur sa soeur. La figure de Martina était rayonnante, entre la douleur et l’extase. Angelika prit dans sa main la bite d’Helmut la dirigea dans sa fente humide, et recula son bassin. En réaction, Helmut se cambra instinctivement, ce qu’il fit qu’elle fut pénétrée d’un coup. Une douleur la transpersa, tétanisée comme Ulrich l’avait été dans le train, elle avait perdu sa virginité peut être plus vite qu’elle ne s’y attendait.Très vite les deux frères comprirent que l’extase était proche.
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