Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 140 J'aime
  • 11 Commentaires

L'enfer de petite bite

Chapitre 2

Un pari stupide

Inceste
Petit rappel des faits, moi Léo, dix-neuf ans, petit geek renfermé dans sa chambre. Qui passe son temps à jouer, dans le but de fuir ce monde injuste, car je suis né avec une petite bite. A été interrompu pendant sa session de jeu par sa grande sœur qui me demande actuellement de venir montrer ma bite à elle et ses amies.
— Oui j’y viens une minute ! Alors en fait... Comment dire... OH ! Bon ça me soûle tu dois nous montrer ta bite !
À cette demande, je sens mon cœur se contracter, comment ma propre sœur peut-elle me demander quelque chose d’aussi étrange à moi, son propre petit frère. Surtout qu’il est évident que je ne souhaite pas montrer au monde que je ne suis pas très bien membré.
— Hein quoi !? Mais tu es malade !— Oh Allez ! Léo tu peux bien faire ça pour moi non ?— Non, mais n’importe quoi, t’as vu ce que tu demandes là !— Ce n’est rien qu’un petit service que je te demande là !— Non justement ce n’est pas qu’un petit service de te montrer ma... C’est hors de question ! Et puis comment t’en es venue à devoir me demander ça !?— On parlait des mecs, de nos aventures au lit... et on a commencé à parler de la taille de leurs bites. Puis la conversation a tourné vers toi et on a décidé de faire un pari. On a misé de l’argent 50 € chacune et celle qui est la plus proche de la taille de ta bite remporte toute la mise.
Un pari, sérieusement, tout ça pour une histoire de pari avec ses copines. Un pari vraiment con en tout cas, non, mais qui parie sur la taille d’un sexe et va ensuite demander au petit frère d’une des participantes de montrer sa propre bite.
— Tu peux toujours rêver pour que je participe à cette connerie.— On le savait déjà, c’est pour cela qu’on a aussi un gage pour la perdante. Celle qui est le plus loin de ta vraie taille devra... — Elle devra ? — Ah finalement ça t’intéresse maintenant ! La perdante devra te montrer ses seins !— Réellement !?
L’idée de voir de vrais seins devant moi ? J’avoue que rien que d’y penser, je sens ma bite durcir dans mon caleçon. Je n’étais habitué alors qu’aux seins des hentai. Ayant déjà vu les amies de ma sœur, je sais déjà que peu importe la perdante, le spectacle sera magnifique. Mais entre toutes ces beautés et ces paires de seins, c’est surtout ceux de ma sœur que je rêve de voir.
— Léo ? Allô t’es dans la lune ou quoi ? Dépêche-toi de te décider !— C’est bon j’accepte...
— Ah je savais que tu allais dire oui, on va descendre tous les deux sinon tu risques de changer d’avis !
Et voilà comment je viens littéralement d’accepter de montrer ma petite bite à un groupe de filles canons et surtout à ma propre sœur. Bon maintenant, c’est un peu tard pour refuser, ma sœur me tire par le bras dans les escaliers pour descendre au rez-de-chaussée. Très rapidement, je me retrouve au salon devant un groupe de trois filles, dont ma sœur, soit quatre véritables canons.
— Regardez qui j’ai ramené de sa chambre.— On va enfin pouvoir voir qui a gagné.— C’est donc lui ton frère ? Je suis un peu déçue.
Littéralement, je ne me sens pas à ma place au milieu de ce groupe, toutes ces filles si jolies devant un ermite qui passe son temps à jouer. Je pense qu’une description détaillée de chacune de ces filles s’impose. J’ai déjà parlé de ma sœur, alors commençons par sa plus proche amie.
Stéphanie, vingt-et-un ans, est une petite brune qui ne dépasse pas les 1,65 m de taille, mais largement compensés par sa taille fine, un bonnet A qui lui va à ravir sur son petit haut et un jean serré qui englobe parfaitement ses fines cuisses et laisse un parfait visuel sur son entrecuisse que l’on peut deviner parfaitement lisse, vu que Stéphanie a horreur des poils, en tout cas, c’est ce que j’ai entendu lorsque ma sœur parlait au téléphone avec elle.
Lucie la vingtaine pile est une magnifique rousse, c’est notre voisine d’en face, forcément ma sœur n’a eu aucun mal à se lier d’amitié avec elle avec toutes ces années de complicité. Lucie possède la même paire de seins que ma sœur, mais une paire de fesses bien plus prononcée, elle a tout d’un mannequin. Et ses 1, 80 m le prouvent encore plus.
Marie qui a vingt-et-un ans aussi est dans la même classe que ma sœur à l’université. Elle est aussi sa voisine de palier pour les chambres étudiantes. Ainsi à force de se croiser tous les jours, elles sont devenues amies, et lorsque les vacances sont là, elle passe souvent voir ma sœur. Marie fait 1, 70 m, c’est sans doute la fille dont je peux me sentir la plus proche. Je sais grâce à ma sœur que c’est une gameuse, alors forcément, j’ai un petit faible pour elle. Sa paire de seins, un bonnet C, me convient parfaitement, et j’ai l’impression lorsqu’elle passe à la maison qu’elle fait exprès de rouler son petit derrière devant mon regard.
Ainsi, je me retrouve face à ces trois beautés, et ma sœur dans mon dos qui me pousse gentiment au milieu du salon juste en face du canapé. Elle passe ensuite devant moi pour prendre place aux côtés de ses amies et me regarde. Chacune d’entre elles sort un petit papier de sa poche. Un tas de papier se forme sur la table basse à ma gauche au nombre de quatre. Ma sœur prend ensuite la parole.
— Voilà, chacune a noté son nom et son pari sur la taille de la bite de mon frère. La gagnante repart avec 4 x 50 €, soit 200 € au total, et la perdante devra montrer ses seins à mon frère pour sa participation. Aucune objection ?
En chœur, je peux voir Marie, Lucie et Stéphanie répondre un non collectif avant de tourner leurs regards dans ma direction.
— Bien petit frère, tu peux y aller, on te regarde !
À ce moment-là, une pression énorme surgit dans mon esprit, je viens de perdre toute envie de le faire, en effet, même avec la forte envie de voir des seins, je n’oublie pas que je suis muni d’une bite vraiment pas très imposante. Comment je pourrais la dévoiler comme ça devant des filles aussi jolies, il est évident qu’elles vont se moquer de moi.
— Bah alors ? Il a peur de la sortir ton petit frère ?— Léo dépêche-toi... Tu me colles la honte là.
Honteux, je place juste mes mains sur mes hanches, je les laisse glisser vers le bas jusqu’à atteindre mon short de sport. Celui-ci commence à glisser sans problème, j’aurais dû le garder plus serré contre moi... Mais maintenant, c’est trop tard, je le sens descendre sur mes jambes, me laissant à la vue de tous avec juste un simple caleçon pour cacher mon endroit le plus intime. Je relève les yeux vers l’assistance, tous les regards sont en direction de mon caleçon. Peuvent-elles déjà deviner ce qu’il y a en dessous...
— Allez Léo, nous on attend de voir ta bite.— La bite ! La bite ! La bite !
Et voilà que ces quatre magnifiques jeunes femmes me regardent en criant en chœur pour voir ma bite devant leurs yeux. Jamais je n’aurais imaginé que cela serait possible pour moi, même si la situation est bien différente de mon imagination. Mais le suspense a suffisamment duré pour ces dernières. Cette fois-ci, mes mains se placent sur mon caleçon, délicatement je fais descendre ce fin bout de tissu, mon dernier rempart vers la nudité de mon bas-ventre. Avec l’effet du stress, autant dire que ma bite n’est pas au meilleur de sa forme. C’est littéralement un fin spaghetti qui apparaît à leurs yeux. En quelques secondes, je vois leurs expressions passées de la surprise à une sorte de déception.
— Heu... Il n’y a pas un problème là avec sa bite.— Je crois bien qu’il ne bande pas.— Mais comment on va faire pour savoir qui a gagné ?— Léo sérieusement tu ne peux pas faire un effort ?

Comme si c’était facile de bander dans une telle circonstance, pour l’instant je m’en sors plutôt bien, en effet avec l’excuse du fait que je ne bande pas, personne ne sait que ma bite n’est vraiment pas plus grande que cela.
— Je suis désolé, mais je ne peux pas vous aider dans ces conditions...
Je pense que sur le moment j’ai gagné, si je ne bande pas, toute trace du pari est perdue et personne ne pourra m’en vouloir. Alors me voilà libre de pouvoir retourner dans ma chambre.
— Attends Léo ! On ne va pas te laisser partir non !
Je me tourne mon regard alors et là, la surprise est de mise, les filles se sont concertées et se déshabillent toutes légèrement au niveau du haut. Je vois différentes couleurs et différentes tailles de soutien-gorge. Je ne peux qu’imaginer ce qui se cache en dessous et il n’en faut pas plus pour que mon esprit de puceau réagisse au quart de tour. Ma bite se dresse, elle durcit devant ce spectacle magnifique. Mais malgré toutes leurs bonnes volontés, ma bite ne s’allonge pas d’un pouce, elle ne fait que grossir en se gorgeant de sang. Très rapidement, je vois donc leurs magnifiques visages à nouveau déçus. Honteux cette fois, je n’ose rien dire du tout. Un gros blanc s’installe pendant quelques secondes et c’est finalement ma sœur qui décide de prendre la parole.
— Je ne m’y... attendais pas.— Tu es à fond là ?— C’est plutôt petit non ?— Oui je confirme... Je n’avais jamais vu de bite aussi petite.
L’étonnement passé, je les vois finalement exploser de rire. Devant mon ridicule pénis, je vois quatre magnifiques jeunes femmes en soutien-gorge dont une est ma propre sœur se foutre de ma gueule, et pourtant je ne réagis pas. Encore pire, ma ridicule bite durcit d’autant plus face à ces remarques. Je ne comprends pas mon corps, je suis en train de me faire rabaisser et cependant j’aime ça. Finalement au bout d’une bonne minute de fou rire presqu’à en venir aux larmes, je les vois se calmer et se rassoir en soupirant.
— Eh bien j’avoue être déçue maintenant.— Sérieusement Glow (le surnom de ma sœur pour ses copines) je pensais qu’avec ton corps de rêve ton petit frère aurait au moins eu un bon côté !— Ouais tu as raison, vraiment Léo tu n’as pas honte, range ça vite, je veux plus la voir !
Sur le coup, toute l’excitation de la scène redescend en flèche. Bien que je sois un homme, de telles remarques me blessent vraiment et je suis presque sur le point de pleurer. Au dernier moment, je vois Marie, celle pour qui j’ai un petit faible, s’avancer vers moi avec une règle. Puis la voilà qui prend la parole.
— Bon moi j’ai quand même bien envie de gagner alors on va mesurer !
À ce moment-là, je vois le visage de ma sœur se crisper légèrement comme revenu à la réalité de la situation et surtout comme si elle ne s’attendait pas à ce qu’on me la mesure vraiment. Marie pose alors sa règle froide et métallique sur le côté de ma bite, elle fait bien attention de ne pas me toucher une seconde puis regarde le résultat.
— Douze centimètres de long... C’est...— C’est petit ! cria alors Stéphanie en rigolant à haute voix.
Sur le coup, j’en viens à baisser les yeux vers le bas, je regarde ma petite bite scrutée de toute part par Marie et Stéphanie qui la rejoint pour vérifier par elle-même. Marie et Stéphanie reculent, laissant ma bite en paix. Je les vois retourner au canapé puis se poser dessus.
— Non, c’est bien douze centimètres. Bon le pari tient toujours ? — Évidemment ! Au moins on sait déjà que la perdante sera doublement dégoûtée.— Ouais t’as raison. Heu... ça ne va pas Glow ? Bon on va passer au résultat !
En effet, ma sœur semble dans la lune, regardant fixement le tas de papier. Se pourrait-il qu’elle ait mis un pari trop haut ? Je suis chargé apparemment de montrer les résultats. Je prends le tas de papier et je montre un à un les résultats. Il me faut déplier chaque petit papier et montrer le résultat.
— Stéphanie seize centimètres ; Lucie dix-sept centimètres : Marie quinze centimètres ; Glorianne dix-huit centimètres.— Mais qu’est-ce qui t’a pris Glow, tu es folle, dix-huit centimètres ?— Ouais je sais... Mais comme mon frère est toujours enfermé dans sa chambre, je ne pouvais pas savoir... Et puis avec mes seins, je pensais que ce serait pareil pour sa bite quoi ! Je suis dégoûtée.
Hormis ma sœur, les trois autres explosent de rire, Marie ne perd pas de temps et s’empresse de récupérer ses gains ? Son large sourire montre bien que sa soirée n’est pas du tout perdue, au contraire de ma sœur qui fixe le sol.
— Eh bien on fait la gueule Glow, dit alors Marie en montrant son argent.— Oh la ferme !— En tout cas maintenant tu dois respecter ta part !— Eh oui Glow, la perdante doit montrer ses seins !— Mais je ne peux pas, ça reste mon frère quand même ! — Frère ou pas frère, tu dois le faire sinon on ne viendra plus !— C’est bon ! C’est bon... Je vais le faire.
Ma sœur est prise au dépourvu, là devant moi et ses amies avec son simple soutien-gorge pour la protéger de mon regard. Ma bite reprend presque toute sa vigueur lorsque je vois ma sœur placer ses mains dans son dos pour dégrafer son soutif. Je pense qu’à cet instant, je dois avoir des étoiles dans les yeux, car là devant moi je vois ce dernier rempart tomber au sol. Devant mes yeux, je vois la plus belle chose que j’ai jamais vu de ma vie. Les seins de ma grande sœur.
Diffuse en direct !
Regarder son live