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L'enfer de petite bite

Chapitre 3

Pari et conséquences

Inceste
Petit rappel du dernier chapitre :
Après avoir accepté de participer à un pari idiot qui consistait à montrer la taille de ma bite, mon public a eu le malheur de voir que je ne suis pas très bien membré. Une aubaine pour la copine de ma grande sœur, Marie, qui repartira avec 200 € de gain. Et tout le contraire pour ma sœur qui doit me montrer ses seins, maintenant.
Je me tiens là, en plein milieu du salon. Les trois copines de ma sœur ne ratent rien de la scène qui se joue devant nous. Le soutien-gorge de ma sœur vient de toucher le sol et, devant moi, je vois la plus belle chose de toute ma vie.
Devant moi, à cet instant, une paire de seins parfaits dignes d’un hentai, et pourtant, tout est bien vrai. Ronds, gros et souples, un bonnet largement D et, néanmoins, ils tiennent parfaitement en place. Des magnifiques tétons avec une auréole rosâtre et de taille moyenne. Au vu de ses seins, je mourrais heureux si j’étais étouffé avec. Ma bite ne pourrait pas être visible à l’intérieur.
Mon regard est fixé sur ces magnifiques obus que je rêve de pouvoir toucher et lécher. Le temps semble être suspendu pour moi, mais pas pour ma sœur qui, au bout d’une minute, reprend la parole.
— C’est bon, là ? Tu t’es bien rincé l’œil ? Car là, c’est terminé.
Presque avec dégoût, je vois ma sœur reprendre son soutien-gorge sur le sol et le remettre. Bien que, pour elle, cela se termine là, pour ma part, je suis encore très excité par ce qui vient d’arriver. L’état de ma petite bite le prouve bien. Elle ne semble pas vouloir redescendre d’un pouce.
— Eh bien, on dirait bien que tes seins lui font de l’effet, Glow.— Putain, ton frère bande sur tes seins.— Je suis sûre qu’il a envie de les toucher !— Fermez-la toutes ! Je ne veux rien savoir : c’était juste pour ce foutu pari ! Léo, range ta putain de bite avant que je ne me décide à mettre un coup de pied dedans !
Pour le coup, une telle menace remet en cause l’état de ma bite. Je la vois redescendre aussi vite qu’elle est montée et je me dépêche de me rhabiller avant que ma sœur ne décide de mettre sa menace à exécution.
— Dégage, maintenant. Je ne veux plus te voir, dit alors ma sœur, énervée par la tournure des évènements.
Je me dépêche de partir et de retourner dans ma chambre. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé par la suite. J’ai cru comprendre avec des bruits entendus aux alentours de vingt-trois heures que les amies de ma sœur venaient de partir. Puis un calme plat, ce qui généralement n’est pas du tout bon signe avec ma sœur et annonce le début d’une tempête.
Finalement, il ne se passe rien, ce n’est que vers deux heures du matin, après avoir surveillé ma porte, que je finis par aller me coucher. Bien que ma sœur ne soit pas venue me faire des reproches, j’ai vraiment peur de la suite des évènements à présent.
Il est vrai que, concernant ma sœur, je n’ai pas vraiment parlé de son trait de caractère et de pourquoi elle semble déjà me mépriser à ce point.
Ma sœur avait toujours été la chouchoute de mes parents, une enfant pourrie gâtée dont la vie a changé à ma naissance. Toute l’attention s’est tournée vers moi et, malgré l’affection portée par mes parents à son encontre, une grande jalousie a pris place dans son cœur. Ainsi, devant les parents, les amis et la famille, elle jouait la grande sœur modèle, mais en vérité, elle ne perdait pas une seconde pour me faire comprendre que je n’étais qu’une erreur, que j’étais non voulu et que je devais disparaître.
Heureusement pour moi, elle n’a jamais eu le courage de le faire elle-même et elle a fini par m’apprécier avec le temps. Pourquoi, me direz-vous ?
Tout simplement car elle pouvait passer sa colère et ses mésaventures sur moi. Un coup par ci, une blague par là.
Ainsi, je pense qu’elle a développé son penchant pour la domination avec moi.
Lorsque j’étais encore adolescent, j’ai appris au détour d’un appel téléphonique avec son amie que ma sœur aimait beaucoup dominer lors d’un cunni et voir l’autre lui bouffer le minou. Plus tard, en apprenant la signification de ce mot, j’ai commencé à fantasmer sur elle.
Tout ceci s’est estompé quand j’étais déjà trop grand pour qu’elle puisse dominer une bagarre. Ainsi, cela fait des années qu’à part des insultes ou des rabaissements, ma sœur n’a plus rien fait de mal envers moi.
Cependant, ce qu’il s’est passé aujourd’hui remet tout en cause, car je viens de rêver de ma sœur me forçant à lui lécher la chatte.
Je me réveille quelques heures plus tard par un bruit sourd entendu au rez-de-chaussée. Mes yeux sont encore englués de fatigue et je peine à me redresser sur mon lit. Toutefois, je prends la décision de forcer mon corps à se lever pour descendre les escaliers, il faudrait au moins que je puisse voir d’où vient ce bruit et si ma sœur ne s’est pas blessée.
Heureusement, lorsque j’arrive dans la cuisine je vois juste que ma sœur a fait tomber de la vaisselle
— Rien de cassé, Glorianne ?— Toi, tu la fermes ! Je ne veux pas te voir !
Le ton est donné, je suis pris d’une peur bleue. Je connais ce regard et il signifie très clairement que le moindre mot qui sortirait de ma bouche et qui ne lui plairait pas sera une mise à mort pour moi. Je préfère retourner doucement vers ma chambre le plus délicatement possible. Cependant, à peine un pied posé au sol, et ma sœur me fixe à nouveau presque en criant.
— Tu sais quoi ? Tu vas rester ici au final, on doit parler tous les deux !— ...— Tu te rends compte de ce qui s’est passé à cause de toi ?— Tu parles du pari... ?— Et d’après toi, je parle de quoi ? Petite bite !— P... Pardon ?— Tu as très bien compris ! Je t’ai appelé « petite bite» , car c’est vrai non ? Tu as une petite bite.— Tu n’as pas le droit de me dire ça !— Et tu vas faire quoi, hein, petite bite ? Ce sera ton petit surnom : petite bite !
Sur le coup, je ne peux rien répondre, car c’est vrai. J’ai bel et bien une petite bite et ma sœur en a largement la preuve maintenant. Je baisse les yeux vers le sol et je tente de partir discrètement.
— Non, tu sais quoi ? Tu vas faire un truc pour moi. Tu vas me rembourser l’argent que j’ai perdu car moi, je comptais bien m’offrir de nouvelles chaussures !— Je... n’ai pas d’argent.— Arrête de mentir ! Je sais très bien que tu gardes de l’argent quelque part pour acheter tes jeux !
Sur ce point, elle n’a pas vraiment tort. J’ai bel et bien une cachette secrète où je cache mon argent, celui que j’économise pour m’acheter les derniers jeux à leurs sorties. Le problème est qu’il y à un jeu que j’attends depuis des années qui va sortir et qu’il me reste juste de quoi me l’acheter. Il doit bien y avoir un autre moyen de dédommager ma sœur.
— Donne-moi l’argent maintenant.— Je... je ne peux pas.— Bon, soit tu me donnes l’argent soit... Soit, tu deviens mon esclave pendant une semaine !— Non mais tu es folle ! Hors de question !
Évidemment, dans ma tête, je veux vraiment lui dire oui. Mais le faire aussi spontanément paraitrait bizarre.
— Tu dois me rendre ce que j’ai perdu ! Alors soit tu me donnes l’argent, soit tu deviens mon esclave personnel pendant une semaine entière et, bien sûr je disposerai de toi comme je veux !
« Comme je veux » ? Ces mots résonnent dans ma tête. Je ne sais absolument pas ce qu’elle veut dire par là. Mon imagination, elle, me fait penser à de nombreux scénarios. Le plus souvent, je finis la tête entre ses cuisses. J’ai envie que cela arrive, mais, si j’accepte aussi vite, elle se doutera de quelque chose et je pourrai dire adieu à cette chance.
De plus, il y a aussi une plus grande chance que cela n’arrive jamais, mais, en même temps, aucune sœur normale sans arrière-pensée ne demanderait à son frère de montrer sa bite.
— Je n’ai pas envie d’être ton esclave ! Je ne vais pas te donner mon argent non plus !— Tu n’as pas vraiment le choix maintenant, petite bite.
Je suis comme pris au piège, même si en vérité je rêve de devenir son esclave. Encore faut-il lui laisser croire le contraire pour qu’elle ne change pas d’avis.
— C’est injuste... c’est bon tu as gagné... j’accepte de devenir ton escl... esclave...— Parfait ! Je sens que ce sera bien mieux que 50 €. Retourne dans ta chambre, je t’enverrai un SMS quand j’aurai besoin de toi !
Ainsi, je peux enfin remonter vers ma chambre. J’attends d’être enfermé pour crier victoire sans faire de bruit, me délectant déjà des demandes coquines que ma sœur pourrait me faire et qui, j’espère, arriveront bientôt. Mais voilà déjà comment mon surnom « petite bite» est apparu et surtout comment je suis devenu l’esclave de ma grande sœur.
J’attends ainsi que ma peine commence, je fixe mon téléphone devant moi. À la moindre notification, je serai prêt à sauter hors de mon lit pour obéir aux ordres. J’ai déjà un plan bien rodé, car je ferai en sorte de montrer du dégoût à obéir alors qu’en vérité, je vivrai à fond mon rêve. Aux alentours de midi, je reçois enfin un message.
— Descends maintenant pour me faire à manger.
Ainsi, je me lève et sors de ma chambre avant de descendre les escaliers. Je cherche ma sœur dans la maison, je la retrouve affalée sur le canapé sur sa longueur et devant la télé. J’ai une bonne vue sur ses gros obus dont j’ai envie de m’occuper.
— Te voilà ! J’ai bien failli attendre, tu vas me faire à manger et applique-toi !— D’accord Glorianne...— Glorianne !? Tu es mon esclave, maintenant. Un bon esclave, ça utilise « Maîtresse » quand il parle à sa propriétaire !— Bien, maîtresse...— Parfait ! Alors, moi, je veux une bonne salade fraîche aujourd’hui, je commence simple, mais plus tard, je te demanderai de faire des plats plus compliqués.— Merci... Maîtresse.
Elle me fait un signe de la main comme pour me dire de partir. Je ne perds pas de temps, il ne vaut mieux pas la mettre en colère. Je me dépêche de rejoindre le plan de travail dans la cuisine avant de sortir les ingrédients nécessaires. De la salade verte ; des tomates ; du thon en boîte ; des pommes de terre et de la sauce crudités.
Je commence par faire cuire les pommes de terre après en avoir retiré la peau. Pendant la cuisson, je peux m’occuper de prendre des feuilles de salade que je vais laver à l’eau froide. Je coupe les deux tomates en morceaux et j’ouvre la boîte de thon que je mets au fond du saladier.
Je peux y rajouter les deux tomates en morceaux et les feuilles de salade. Enfin, je peux retirer les pommes de terre de la casserole et je les égoutte, je coupe le tout en morceaux et le verse dans le saladier. La touche finale, c’est une sauce crudité faite maison. Pour cela, il faut un petit récipient avec un couvercle, une louche d’huile d’olive, une petite cuillère de vinaigre et une bonne cuillère de mayonnaise. Pour mélanger, il faut fermer le récipient et secouer le tout.
Une fois que tout est prêt, je verse la sauce directement dans le saladier et je mélange le tout. Je dois mélanger pendant une bonne minute pour que la sauce et les ingrédients soient parfaitement mélangés. Pile le temps avant que ma sœur n’arrive dans la cuisine pour réclamer son dû.
— J’espère pour toi que c’est prêt, car j’ai vraiment faim maintenant !— Oui... Oui, c’est prêt, c’est bon maîtresse...— Parfait au moins tu as compris ta place ! Sers-moi une assiette immédiatement.
Je m’empresse de prendre une assiette et de servir une bonne portion dessus. À peine je pose l’assiette sur la table, que ma sœur prend un couvert pour goûter. Je suis attentif à la moindre de ses réactions, si elle n’aime pas, je peux dire adieu à mes parties intimes.
— Pas terrible, mais ça passe pour cette fois. Tâche de faire mieux la prochaine fois.— Oui... Pardon maîtresse.— Tu peux disposer désormais.— Je peux prendre de la salade ?— Ai-je dit que tu le pouvais ? Il me semble que non alors dégage !
Ainsi, je n’ai même pas le droit de manger ce que j’ai moi-même cuisiné. Autant éviter d’énerver ma sœur, je pars rapidement pour retourner dans ma chambre. Heureusement pour moi, j’ai encore de quoi grignoter. Une fois dans ma chambre, je prends un paquet de chips dans un placard à côté de mon bureau. Je me pose sur ma chaise. J’espère qu’elle me laissera tranquille cet après-midi, car j’aimerais bien jouer un peu.
Ce n’est que vers dix-sept heures que je reçois un autre SMS de ma sœur.
— Viens maintenant, qu’il disait.
Je pose mon casque et descends les marches. Je retrouve ma sœur à nouveau sur le canapé. Cette fois-ci, elle est assise.
— Je suis restée assise trop longtemps : j’ai besoin d’un massage aux épaules.
Un massage, voilà qui va enfin me plaire, je vais pouvoir poser mes mains sur le corps de ma sœur. Ma petite bite se dresse dans mon short. Si elle le remarque, je suis mort.
— Oh et petite info : si tu tentes quoi que ce soit de bizarre ou que tu fixes mes seins, tu es mort !
Et merde, à chaque fois que la situation tourne à mon avantage, elle trouve le moyen de briser mes fantasmes. C’est comme si elle pouvait lire dans mes pensées, c’est vraiment dingue. En attendant, je peux voir ma sœur me laisser accéder à ses épaules en se tournant vers moi.
Heureusement pour moi, de cette façon, elle ne verra pas mon érection naissante. Je me rapproche doucement et je viens délicatement poser mes mains. Je fais bien attention à mes mouvements. Je n’ai pas d’expérience dans les massages mais j’essaie de faire au mieux, atteindre les zones sensibles, masser les zones tendues par la fatigue.
Ma sœur ne laisse rien transparaître, il m’est impossible de savoir si je fais bien les choses. Elle finit par me stopper dans mon élan.
— Tu peux t’arrêter là pour les épaules. Il faudra que tu t’entraînes un peu, le but est de me détendre, pas de froisser mes muscles comme une feuille de papier ! — Je suis désolé...— Tu vas pouvoir te rattraper maintenant : tu vas t’occuper de mes pieds.— De tes pieds ?— Oui mes pieds ! Il faut que je te le répète dans une autre langue ?— Non, j’ai compris...
M’occuper de ses pieds ? Pas très évident, mais le point positif est que je me rapproche de plus en plus de sa chatte. Je me déplace devant elle, je suis obligé de me mettre à genoux devant elle pour atteindre ses pieds. Pourquoi être à genoux devant une femme fait autant d’effet sur moi ?
— Retire mes chaussures doucement : tu commenceras par me masser avec mes chaussettes.
Je prends mon temps pour retirer ses chaussures, elle portait des baskets blanches qui lui allaient à ravir. Une fois retirées, j’avais un accès direct à ses pieds. Je ne suis pas très friand des pieds, mais je dois bien dire que de savoir que ce sont ceux de ma sœur qui me domine, je me sens tout chaud.
Je viens poser mes mains sur ses chaussettes blanches immaculées, après avoir bien pris mes marques sur cette forme particulière, je commence délicatement à masser ses pieds.
Chacun à leur tour, je me permets de frotter entre les orteils et sur le talon. Je fais des mouvements circulaires, cela semble mieux marcher, car je suis mon instinct.
— C’est déjà mieux ! Si tu avais massé mes épaules comme ça, je me sentirais déjà mieux, retire mes chaussettes et continue.
Je déplace mes mains jusqu’à atteindre le haut de la chaussette et je la fais descendre doucement, je fais aussi cela pour l’autre et ma sœur se retrouve ainsi pieds nus devant moi. Ses pieds sont tout aussi beaux qu’elle ne l’est elle-même. Je dois bien dire que ça remet en cause mon attirance pour cette partie du corps féminin.
— Tu attends quoi pour commencer, petite bite ? Allez !
Je m’exécute sans attendre, je prends d’abord son pied droit et je le masse comme je le faisais avant avec la chaussette par-dessus, je fais ensuite le pied gauche et j’en profite pour monter mon regard vers le haut. Je veux voir ce qu’elle en pense. Elle se fiche de ma présence, ses yeux rivés sur la télé et son émission de téléréalité débile. Le fait que je l’observe suffit à me déconcentrer. Ma sœur me regarde à nouveau et pique une crise.
— Pourquoi tu ralentis ? Je ne t’ai pas dit d’arrêter alors continue, c’est moi qui décide quand c’est fini.
Devant ce regard perçant, je baisse les yeux et je continue, mais je ne m’y prends pas assez bien, semble-t-il : elle continue de se lamenter sur ma non-expérience et finit par vraiment s’énerver. Je la vois lever son pied et me mettre ses orteils sur le visage.
— Tu ne comprends pas quand je te parle ? Continue de masser et mieux que ça !
Je sens son pied sur mon visage, cela m’excite qu’elle me rabaisse ainsi comme un moins que rien, je ne contrôle plus mes gestes et, malgré le fait que je sais d’avance que ce que je m’apprête à faire va créer une situation de crise, je ne peux pas m’en empêcher.
Je sens ma langue sortir par instinct, je suis en train de lécher le pied et les orteils de ma sœur. Ma langue passe dans les moindres recoins qui me sont accessibles et j’y prends un plaisir fou.
Ma sœur ne sait plus comment réagir, la bouche ouverte prête certainement à hurler, mais aucun son de sort de sa bouche. Je lèche pendant la plus longue minute de ma vie tellement le plaisir y était grand.
Cela se termine par un violent coup de pied de ma sœur qui me fait reculer et tomber sur mon derrière. Je vois ma sœur se lever et me regarder comme dégoûtée de mon comportement, elle n’arrive plus à parler, elle récupère ses chaussures et chaussettes et part en courant dans les escaliers. Quelques secondes plus tard, j’entends la porte de sa chambre claquer. C’est officiel : je suis dans la merde.
Je suis là, dans un état au comble de l’excitation, je ne pensais pas que je pouvais bander aussi dur. Pourtant, lorsque je me relève, je sens la pression de ma petite bite sur le tissu de mon caleçon. J’ai besoin de me masturber. Je range un peu le salon et j’éteins la télévision avant de monter vers ma chambre. Je passe devant la chambre de ma sœur, aucun son ni aucun bruit, c’est rare, même pour elle. Au vu de la situation, je comprends un peu alors je continue mon chemin. Lorsque je rentre dans ma chambre, je vais m’allonger sur mon lit. C’est à ce moment que je pense aux conséquences de mon geste : je viens de lécher les pieds de ma sœur et sa réaction ne dit rien de bon. Finalement, l’envie de me masturber disparaît.
Pendant le reste de la soirée, je n’ai reçu aucune nouvelle de ma sœur, je m’attendais à recevoir un message pour préparer le dîner. Cependant, le son de la porte d’entrée et de la conversation qui semblait parler d’une pizza me fait penser que ma sœur s’est fait livrer le dîner. Cela se confirme quand le temps avance et que je finis par aller me coucher.
Le lendemain matin, je me réveille avec appréhension. Je ne sais pas si je dois me lever ou rester au lit. Mais alors que j’y réfléchis, je sens un mouvement dans la pièce.
— Je sais que tu es réveillé, lève-toi maintenant !
Je me retourne doucement, j’ai peur d’affronter la personne dont j’ai reconnu la voix, et effectivement, ma sœur est là et me regarde.
Malheureusement, je reste bloqué quand je vois qu’elle est simplement vêtue de ses sous-vêtements et d’une nuisette qui ne cache quasiment rien en dessous.
Je ne sais quoi dire, car je ne sais pas du tout ce qui se passe.
— Redresse-toi sur ton lit, je dois te parler.
Je me redresse non sans quitter des yeux son corps parfait, j’essaie de ne pas trop la fixer, mais c’est la première fois que j’ai une vue aussi belle sur son entrecuisse, une culotte blanche qui semble garder au chaud son paradis.
— T’as fini de me mater là !?— Pardon Glorianne...— Pardon qui ! Tu as déjà oublié que tu es mon esclave ?— Non... pardon maîtresse excusez-moi.— C’est mieux ! Maintenant, je veux que tu répondes et sans mensonge à cette question : est-ce que lécher mon pied t’a excité ?— ...... Heu...— Réponds à la question !— Oui ! ... oui, ça m’a excité...— Je la savais !
Je vois un petit sourire malicieux se dessiner sur son visage, elle fait le tour du lit pour s’asseoir juste à côté de moi. C’est la première fois que je la vois aussi près avec aussi peu de vêtements. Elle me sort son téléphone et semble regarder une conversation. Je vois rapidement le nom de son destinataire. Il s’agit de Marie, la fille sur qui je crush.
— Il se trouve que j’ai un peu expliqué la situation par message, et on m’a dit qu’apparemment, tu étais peut-être du genre à aimer être dominé par des femmes, je me trompe ?— Heu... non ce n’est pas ça...— Arrête de mentir et dis-moi la vérité, fais-le et je trouverai une récompense appropriée !— Hum... oui, j’aime...— Tu aimes quoi !?— J’aime être dominé !
Ma sœur sourit d’autant plus avec cette révélation, elle envoie un message sur son téléphone puis se relève et me tourne le dos. Elle avance jusqu’à la porte de ma chambre puis se retourne enfin vers moi.
— Je t’ai promis une récompense. Alors, je vais t’expliquer une chose. Comme tu dois le savoir, ça fait quelques mois que je suis célibataire. Bien que cela ne me dérange pas, car je peux profiter pour sortir et m’amuser, ces temps-ci, il y a bien une chose qui me manque.
Ma sœur me fait signe de me lever et de m’approcher. Bien que je n’aie pas vraiment confiance en elle et ses coups bas, je me lève et me rapproche d’elle pour l’écouter. Je suis bien évidemment en pyjama et non nu.
— En fait, c’est un plaisir que j’apprécie vraiment ressentir, et je t’avoue être en manque à ce niveau-là. Je vais donc mettre à profit ton rôle d’esclave. Tu vas commencer par prendre une douche pour être propre ! Et ensuite...
Je vois ma grande sœur se baisser légèrement, elle approche ses délicates lèvres de mon oreille et me murmure avec une voix sensuelle.
— Tu viendras dans ma chambre pour me lécher la chatte.
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