Nous buvons nos coupes de champagne tous les quatre, nous discutons de tout et de rien, nous rigolons ensemble. Nous passons un agréable moment tous les quatre. Que ce soi les femmes entre elles, les hommes entre nous, ou les couples partagés. Nous passons véritablement un bon moment. Nous discutons avec Marc puis je lui fais signe de s’approcher pour lui glisser quelque chose à l’oreille en secret. Il se recule et me fait un signe, il me lève son pouce comme pour dire, c’est bon pour moi. Ma femme Élodie s’arrentent de discuter tout en nous regardant, suspicieuse. Que se passe-t-il, pourquoi ce signe,… je vois très bien dans les yeux de ma femme qu’elle se pose des questions. Marc et moi, nous décidons de poser nos verres sur la table. Je me lève, je me dirige vers ma femme et je lui tends la main pour qu’elle me donne la sienne. Chose qu’elle fait de suite. Je la fais se lever puis nous nous dirigeons vers le canapé où se trouve Marc. — Assied toi chérie, met toi à côté de Marc et laisses-toi faire. Lui fis-je avec un clin d’œil. Ma femme se met assise sur le canapé à côté de Marc comme je le lui ai indiqué. Je retourne vers l’autre canapé où une place s’est libéré. Je me mets assis à côté d’Élodie. Les deux femmes se regardent et commencent à laisser échapper un léger sourire, comme si elles commençaient à comprendre le changement de situation. Marc et moi agissons de la même sorte, c’est le plan qui est prévu. Nous nous mettons au bord de notre canapé respectif et nous mettons les femmes face à nous. Nous sommes désormais à hauteur de cuisse, d’entre-jambes de nos conjointes. Au vu de la situation, les femmes ont comprit ou on voulait en venir. Que ce soi ma femme ou Élodie, elles sont se tout de suite installer de façon à nous faciliter l’accès à leurs cuisses et à leur entre-jambes. Nous sommes tous les deux à genoux face à ces deux belles femmes. Marc et moi commençons par caresser lentement les mollets, pour remonter aux genoux et coulisser tendrement vers les cuisses. Les mains de Marc arrivent en haut des cuisses de ma femme, ils tombent sur un bout de tissu, sur un string rouge. Ils passent ses mains dessus pour proposer un premier contact à ma femme sur cette zone. Je la vois frissonner au passage de sa main. Marc recommence une nouvelle fois mais cette fois en laissant traîner son doigt sur son sexe. Sa deuxième main attrape le bout du string et commence à le faire descendre doucement pour ne pas gêner ou braquer ma femme. Cuisses, genoux, mollets, chevilles, voilà le chemin que parcourt le string de ma femme, pour enfin finir au sol. Je vois Marc qui s’avance, qui avance son buste et son bassin pour être au mieux devant le bassin de ma femme. Sa robe se lève, ses cuisses s’écartent et je vois disparaître la tête de Marc sous cette robe. Enfin, enfin ma femme va découvrir une autre langue que la mienne, allongée sur le canapé avec un inconnu, la tête entre ses cuisses, sous sa robe, les yeux fermés prêt à savourer ce moment. Pour ma part, je ne vais pas me plaindre également ! Je suis à genoux devant une belle femme en robe également prêt à me laisser la lécher. Je m’avance doucement vers ses jambes. Je pose mes mains sur ses cuisses pour ne pas aller trop vite. Je souhaite savourer aussi et profiter de ce moment. Je monte mes mains lentement pour arriver également à un bout de tissu sous cette robe courte. Je trouve un tanga noir. Ce tanga doit bien mettre en valeur son fessier, bon choix de petite tenue en tout cas. Je parcours également ce tissu avec mes doigts, je joue avec. Pour ma situation, je ne fais pas sauter le tanga, c’est Élodie qui décide de l’enlever. Elle veut que les choses sérieuses commencent. Son bout de tissu vient toucher le sol en quelques secondes. Il est passé de sous sa robe au sol en quelques mouvements. Me voilà, face à une femme qui m’offre son intimité. Ses cuisses s’ouvrent me laissant apercevoir son vagin, son petit bouton déjà bien gonflé par l’excitation. Je m’avance également pour être dans la meilleure position qui soit pour venir à son contact. Quelques centimètres me séparent de nouveau sexe féminin. Je prends place et je me glisse sous sa robe pour venir toucher pour la première fois, son sexe. Ma langue entre en contact avec elle. Je la découvre, je parcours son sexe de droite à gauche, de haut en bas tout en essayant de l’écouter pour voir où se trouve son plaisir. Pour savoir ce qu’elle aime. Je savoure, je la lèche, coup de langue, je rentre en elle,… C’est bon, j’aime ça et elle aussi. J’ai trouvé ce qu’elle aime, ce qui lui fait de l’effet et je ne vais pas m’arrêter. Je la travaille au corps, je ne cesse mes mouvements car je veux l’emmener au plaisir comme elle tout à l’heure avec sa bouche et sa langue. Marc et moi restons dans cette position plusieurs minutes. Nous entendons nos femmes gémirent, pousser des cris, respirer fort sous nos langues. Je reconnais le souffle de ma femme, je le connais je sais qu’à ce moment précis, elle savoure et elle prend son pied. Je ne peux pas la regarder car je suis sous une robe à m’occuper d’une femme mais je suis heureux pour elle qu’elle profite ainsi. Je reste concentré sur ce que je fais, tellement concentré que je n’ai pas remarqué que j’entends plus ou put aussi fort les bruits de gémissements de nos deux femmes. Pourtant je suis encore en action, je pense que Marc aussi. Malheureusement, je décide de m’arrêter quelques instants pour sortir de sous cette robe et voir ce qui se passe. Et qu’elle surprise… Je comprends tout de suite mieux pourquoi je n’entends plus rien ou très peu. Il ne faut pas oublier dans quel endroit nous nous trouvons. Nous ne sommes pas dans une maison ou un appartement privé(e), nous sommes dans un lieu ouvert à du public, et qui dit public, dit voyeur ou acteur… Nous sommes situés proches d’un escalier, je vois plusieurs couples, plusieurs hommes dans les escaliers en action en train de masturber tout en nous regardant. Des couples qui se touchent, des femmes qui se doigtent,… D’autres personnes sont plus proches de nous et surtout de nos femmes. Je n’entends plus ma femme et Élodie car deux hommes se sont invités à la fête. Ma femme toujours couchée sur le canapé à se faire lécher par Marc et également en train de sucer un jeune homme qui doit avoir une vingtaine d’années. Tandis qu’Élodie elle s’occupe d’un homme plus âgé, je dirais une bonne cinquantaine d’années. J’en profite pour regarder, admirer ma femme le temps d’un instant prendre son pied. Deux hommes qui s’occupent d’elle et je n’en fais même parti. Un s’occupe d’elle, la lèche pendant qu’elle suce un sexe d’inconnu, d’un jeunot ! Je regarde encore une fois comme pour prendre une dernière photo et l’enregistrer dans ma mémoire. Je retourne sous cette robe jouer avec ma langue. Tellement excité par la situation que je souhaite donner du plaisir à cette femme dont je m’occupe. Je glisse ma langue, la fait tourner, je passe sur son petit bouton,… je souhaite lui faire plaisir et je vais lui faire plaisir ! Je pose mon doigt à l’entrer de son vagin pour la doigter tout en la léchant mais une autre idée me vient à l’esprit. Et si madame aimait l’anal. Je teste, je pose mon doigt près de son petit trou. Je fais quelques cercles avec et je commence à pousser légèrement pour rentrer. Sans difficultés, je rentre dans son cul. Me voilà en train de lécher une femme, de lui doigter le cul pendant qu’elle suce une bite. Si on m’avait dit ça un jour… Je continue mon travaille, je sens que son plaisir arrive car le bruit de ses gémissements refait surface. L’homme d’une cinquantaine d’années a dû se lâcher dans sa bouche comme moi tout à l’heure. Maintenant qu’elle a sa bouche libre, les bruits se font entendre. « Encore », « Continue », « Va y » « Oui, c’est bon »,… Cinq minutes, voilà le temps qu’il m’aura fallu pour la faire prendre son pied depuis que l’homme est parti. Tout son corps se crispe, se durcit sur mon dernier coup de langue. Je sors de sous cette robe, ma femme est dans la même position qu’Élodie. Allongée sur le canapé, Marc à genoux devant le canapé devant toutes ces personnes se touchant devant nous, notre action. Nous restons ainsi quelques minutes, nos deux femmes allongées sur les canapés, nous à genoux devant elles pendant que des hommes et des femmes finissent de se toucher à côté de nous, excités par l’occasion. Je me relève, je me dirige vers la bouteille de champagne qui se trouve sur la table et je nous ressers à tous les quatre une coupe. Marc me rejoint, nous trinquons tout sourire de ce qu’il vient de se dérouler. Nos femmes se mettent assises et prennent leur verre également. Je vois ma femme me regarder, regarder Marc également tout heureuse.
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