Chapitre 3Des mains glissent le long de mes jambes, nous sommes toujours dans la pénombre du matin, Florence sans un mot passe sous la couette, elle me chevauche, mais sa tête reste au niveau du gode ceinture, elle soulève le phallus artificiel, et le prends en bouche, elle le lubrifie, car elle se redresse, la couette tombe le long de son dos, elle le guide, elle prend mes mains pour que je le maintienne, et doucement elle s’empale sur ce dernier, et commence des vas et vient, elle jouit en silence cette fois-ci.Toujours sans mots, elle se lève pour aller aux toilettes. Elle revient :— Bonjour Julie, tu me fais ma toilette intime ?— Bonjour Florence, oui, bien sûr !Elle s’allonge sur le dos, écarte les jambes, m’offrant ainsi son intimité, ma langue lui nettoie parfaitement ce magnifique sexe épilé, je pensé avoir terminé, quand je dus aussi vers derrière, ce sera comme ça tous les matins, me dira-t-elle !— Merci Julie, c’est parfait, à toi de faire ta toilette, prends une bonne douche, profite de celle-ci pour nettoyer le gode ceinture et la bête.Elle me détache le gode.— Dis-moi, pour moi ? ma toilette intime ?— Oups, regarde dans l’armoire à pharmacie, il y a une poire à lavements, tu seras aussi propre à l’extérieur qu’à l’intérieur.— Merci Florence.Dans la salle de bain, je prends la poire, une petite giclée dans mon trou, et assise sur les w.c, je fais pipi et caca, je me redonne 3 ou 4 fois un lavement, la poire n’est pas bien grosse.Je tombe la perruque, et passe sous la douche, quel bonheur !! Sous la douche, Florence entrouvre la porte :— Je t’ai mis un peignoir, sèche-toi et viens vite me rejoindre dans la cuisine !— Ok— Ton bijou anal est sur le lavabo, n’oublie pas de le remettre !— Je n’oublierai pas — A tout de suite.Je prends mon temps, sec, je me regarde dans la glace, revoilà Jean, si ce n’est la cage de chasteté, rien ne parait, je prends mon bijou, il entre sans problème, je passe le peignoir et rejoint Florence.— Te voilà enfin, une vraie gonzesse !— Oui, j’ai pris mon temps, trop ?— Non, on a le temps, enfin j’ai devant moi, ton toi homme, je ne sais même pas ton prénom ?— Jean— Donc Jean, heureux ?— Oui, très, j’ai passé 2 jours magnifiques, j’ai hâte de renouveler l’opération.
— C’est comme tu le veux, y a encore aujourd’hui, ce n’est que demain que tu retrouveras ta vie d’homme, vendredi tu remets ça ?— Oui, pas le choix, je suis embauchée comme soubrette chez Anne— Je te prêterais un pardessus, comme ça après ton service, tu le passes, et tu viens ici pour ton service du week-end ?— Comme tu veux !— J’insiste !— Ok.Le petit-déjeuner finit, Florence part s’habiller, pendant ce temps, je range la cuisine.Je rejoints Florence, nue, dans la salle de bain, surprise, mais m’accueille avec un beau sourire :— Je finie et après je m’occupe de toi, tu auras droit à une belle séance de maquillage, tu deviendras à force une experte, tu n’auras plus besoin de moi, s’il te plait, regarde dans le commode, 2 éme tiroir.— Et je prends quoi ?— Tu vas vite reconnaitre !Effectivement, au milieu d’une petite collection de jouets intimes, le même bijou anal que moi.— Tu m’aides à le mettre ?— Ben, oui, si tu veuxJe le lubrifie par contre, elle écarte bien les fesses, il est aussi lourd et gros que le mien, la seule différence est la couleur de la pierre, rouge pour elle, et rose pour moi. Une fois le renflement passé, il prend sa place tout naturellement.— Voilà, il ne me reste plus qu’à m’habiller, je te laisse le choix, regarde dans mon dressing !— Ok FlorenceJ’ouvre la porte de son dressing, ouah, que de fringues, tout est bien rangé, les jupes ensemble, les hauts, les chemisiers, les robes, mais je repère très vite ce qui m’intéresse, c’est au fond— N’oublie pas les dessous ! ils sont à gauche !Voilà, j’ai tout dans les mains :— Si j’avais pu parier, j’aurais gagné, j’étais sûre que tu me prendrais ce genre de tenue !— Oui, c’est évident, je n’ai vu que ça en entrant— Allez passe-moi mes affaires dans l’ordre !— Ok* une guêpière noire toute en dentelle transparente* une paire de bas couture noire* le string coordonné à la guêpière* et pour finir, une belle robe cintrée très courte en cuir noirFlorence entre dans son dressing, devant une glace, met ses cheveux blonds en queue de cheval et chausse de superbes cuissardes rehaussées de talons de 10 cm.— Il ne manque plus que la cravache, et la tenue est complète. A moi de choisir ta tenue, on fait la même taille, ce sera plus facile.Elle me donne en premier, une paire de bas blanc opaque auto fixant (donc pas de jarretelles) avec un petit nœud en satin blanc derrière, un shorty Dim, le soutien-gorge pushup coordonné. Une mini-jupe, très mini, avec plein de petits carreaux style écossaise, un chemiser en soie blanche, et aux pieds de petits escarpins blanc vernis, talons de 5cm.Séance maquillage, mais avec un rouge à lèvres très rouge, ainsi que 2 couettes.— Voilà ma petite écolière, j’adore cette tenue, je l’avais portée à une soirée année 80, j’avais fait fureur !— Je vais sortir ainsi ?— Ben oui, un problème ?— Non, juste que toutes les 2, on ne passera pas inaperçue— Oui, allons-y, Anne vas nous attendreFlorence passe un long pardessus en cuir, et elle me passe un gilet en laine blanc :— Tu n’as rien de plus long ?— Non, avec cette tenue, rien— Le gilet ne cache rien, ma jupe est si courte que l’on voit le nœud en haut de mes jambes— Tu as de magnifiques jambes !— OkUne fois en bas de son immeuble :— Il fait super beau, avec ce cuir sur moi, j’ai envie de marcher, on a pour ½ heure pour aller chez elle !— A pieds ?— Oui, il faut que t’habitue à marcher en ville avec des talons, ta démarche est encore incertaine !Et nous voici parties, bras dessus dessous, comme d’habitude, petits bisous complices. On ne passe inaperçues, des sifflets, des voitures klaxonne, mais aussi des jalouses !Enfin nous voilà chez Anne, je passe la première, 3 étages à pieds, en montant Florence ne peut s’empêcher de toucher mes fesses, et de me complimenter sur ma démarche.Je sonne :— Enfin, il est midi, je vous attendais plus !— Bonjour Anne, je te présente Florence, on est venue à pieds, 30 minutes de marche— Bonjour Florence— Bonjour AnneOn entre et on s’assieds toutes dans le canapé, apéritifs et gâteaux secs sont déjà sur la table :— Eh bien dis-donc, je ne reconnais plus ma petite Julie, je ne la reconnais plus, bravo Florence pour cette création !— Je suis une dingue de fringues, on fait la même taille, donc c’est plus facile— Oui, et toi, ta tenue, c’est…— Julie qui me l’a choisie— J’aurais dû m’en douter, son coté soumise, d’ailleurs toujours en cage ?— Oui Anne— Je donne la clef à Florence ?— J’aimerais bien, si elle veut de moi ?— Ça sera à une seule condition, j’accepte de prendre cette clef si tu acceptes que toi, ta personne, morale et physique, soit à mon entière disposition, ça va très vite, j’y ai réfléchis toute cette nuit, ton corps, ta vie, enfin tout, tu seras à moi en exclusivité, donc très vite tu viendras emménager chez moi, tu quitteras ton boulot, tes amis, etc. tu travailleras avec moi, tes comptes j’aurais procuration, tu n’auras plus besoin de réfléchir, je le ferais pour toi, aucune décision tu ne prendras, tu seras MON ESCLAVE !
