Je m’appelle Fabrice j’ai 32 ans et je vais vous raconter comment j’ai réussi à baiser ma belle sœur sans même mettre mon couple en danger. Au-delà d’une histoire très excitante, c’est une véritable méthode que j’ai mis au point. Prêt à tout pour arriver à mes fins, j’ai murement réfléchi un stratagème pour assouvir ce fantasme qui me hantait jour et nuit.Mais avant de vous en révéler le mécanisme, je dois d’abord me présenter davantage.
Je suis marié depuis 7 ans à une magnifique blonde que je ne me lasserais certainement jamais de sauter. A 32 ans, ma femme à tout pour plaire. Des yeux bleus azurs, un cul magnifiquement bombé et bien charnu, de gros seins bien lourds et qui se redressent fièrement. Bref, elle ne laisse généralement pas les hommes insensibles même si ce n’est pas forcément celle qu’on remarque en premier. Son charme est plus discret et plus subtil que certaines poufs tape-à-l’œil. J’ai souvent remarqué le regard que posent certains de mes amis lorsqu’un fin de soirée, l’alcool inhibe la gêne qu’ils pourraient avoir à la dévorer de la sorte dans leur état normal. Peut-être aussi parce qu’elle est hôtesse de l’air et que la plupart fantasme là-dessus.Pour ma part cela n’a jamais été le cas aussi bizarre que cela puisse paraitre. Je vais peut être vous étonner en vous disant qu’en 7 ans, je n’ai jamais profité d’elle en uniforme. J’ai souvent pris l’avion avec elle lorsqu’elle était en fonction mais je ne l’ai jamais prise à bord non plus. Un jour, cependant, alors que je me rendais au Brésil, ma femme est venue à mon siège me réveiller avec beaucoup de tendresse. Je voyageais en classe affaire. Apres un cocktail de bienvenue, une coupe de champagne, le vin pendant le repas, le cognac en digestif, je me suis endormi comme une masse. 6 heures plus tard, une voie douce comme un baiser vint me murmurer à l’oreille. La lumière était tamisée dans la cabine, je n’avais pas de voisin et la plupart des passagers dormaient. D’autres étaient plongés dans un film avec le casque sur les oreilles. Ma femme remarqua plus rapidement que moi que ce doux réveil venait accompagner d’une belle érection matinale. Je ne bande jamais aussi dur qu’au sortir du sommeil…Sa main est alors venu caresser la courbe que dessinait ma queue dans mon jean. Apres avoir jeté un regard dans le couloir derrière elle, j’ai tout de suite compris ce qu’elle avait en tête. Pour éviter qu’elle change d’avis, je déboutonnai en un geste mon pantalon. Sans quitter ma braguette du regard elle en expulsa ma bite en ouvrant mon caleçon d’un coup.Ma queue se redressa violemment et rebondit deux trois fois comme si elle était monté sur ressort.Se mordillant la lèvre pour manifester son envie, ma femme vérifia à nouveau les deux coté du couloir pour vérifier que personne n’arrivait. Personne. Elle se retourna vers moi bouche ouverte et engloutis ma queue goulument. J’avoue que cela me surpris beaucoup de sa part. D’une part parce qu’a son habitude, elle est plutôt dans la retenue quand il s’agit de sexe dans des lieux inhabituels et d’autre part parce que je ne l’ai vu que très rarement aussi avide de sucer ma bite. Voir ses lèvres pulpeuses ornées d’un rouge vifs engloutirent ma queue me fit prendre plusieurs degrés de manière immédiate. Elle prit un peu de hauteur pour mieux avaler les derniers centimètres que sa position agenouillée lui faisait manquer.Je pris réellement conscience de ce qui m’arrivait à ce moment là, puisque sa nouvelle position me libéra l’horizon. J’étais en train de me faire sucer à 10.000 mètres d’altitude par une hôtesse de l’air en classe affaire. Même les passagers de la « Première » ne pouvaient ressentir un tel confort et une telle décontraction…Je continuai quelques minutes à admirer ce chignon impeccable qui s’agitait au dessus de ma bite. Elle me pompa comme une furie et dans un souci de présentation pour la suite de son vol, j’eus le bonheur d’être autorisé à lâcher l’intégralité de mon foutre dans sa bouche. Un plaisir supplémentaire qui m’était que très rarement offert. Elle ne fut pas déçu quand elle senti la quantité de sperme que je lui déchargeai dans la bouche.Ce fut la seule et unique fois que j’eux profiter de la profession de mon épouse. Aujourd’hui encore je ne saurais expliquer ce qui provoqua son initiative mais j’en garde un souvenir imperissable. La suite a venir…
