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Enfin des sodomies libres dans un vrai lit:

Chapitre 1

Divers
Ma fréquentation des toilettes publiques ou je draguais des hommes pour satisfaire mes désirs sexuels m’a permis de me faire plusieurs amis. Ainsi je suis devenu grand ami d’un homme d’une  cinquantaine d’années environ et qui m’a donné des plaisirs deux fois plus qu’une.
Devenus amis, il m’a avoué qu’il était veuf depuis dix ans, qu’il avait perdu l’envie des femmes et qu’il préférait consacrer ses plaisirs aux hommes consentants. D’après ses confidences je suis le genre qu’il préférait car j’étais encore inexpérimenté  donc presque vierge pour ces plaisirs et qu’il allait me prendre à sa charge pour m’apprendre encore mieux. Il paraissait gentil et sincère et puis ses sodomies m’ont toujours données beaucoup de plaisirs. Il m’a donc persuadé de venir chez lui pour que nos nuits d’amour soient plus confortables et sans risques. J’ai donc accepté son invitation de le voir la prochaine fois chez lui.
Il habitait la banlieue dans un joli F3 propre et discret et c’est ainsi qu’à deux reprises nous avons passé des nuits en toute liberté et totalement nus dans son large lit pour profiter à fond de nos corps et de nos désirs. Inutile de vous dire que le plaisir que j’ai eu n’avait aucune comparaison avec mes aventures précédentes dans les toilettes publiques. Nous faisions l’amour deux fois la nuit puis une fois le matin avant le petit déjeuner et je le quittais assez tôt vers sept heures pour prendre le bus.    A la troisième invitation chez lui, je l’ai trouvé en compagnie d’un autre homme assez beau qui paraissait avoir mon âge mais légèrement plus corpulent et qu’il m’a présenté comme un de ses amis qu’il fréquentait et baisait bien avant notre rencontre. Crûment dite ces vérités m’ont données des frissons de plaisirs nouveaux mais j’ai accepté cela avec discrétion. 
Il a du lui parler de moi car l’homme semblait lui aussi trouver ma présence naturelle. Et en faisant connaissances il m’a d’ailleurs fait la bise sur les joues, puis il m’a embrassé sensuellement sur les lèvres. Je dois avouer qu’il savait s’y faire par expérience dans ce baisé profond qui m’a ébranlé et mon corps lui a répondu  car j’ai constaté que mon pénis  commençait à bander. La situation était très claire, nous avions un amant commun et nos corps étaient à sa disposition
Nous avons pris quelques rafraichissements et ayant pris notre invité à part je l’ai questionné sur ses expériences car moi j’étais encore novice. Il m’a avoué qu’il pratiquait la sodomie bien avant ses vingt ans et qu’il a connu depuis lors plus d’une centaine d’hommes. Mais il a une certaine préférence pour notre ami commun non seulement au physique dont il savait tirer le maximum mais surtout par leur liberté de choix et de fréquentations.
Notre soirée s’est ensuite totalement modifiée en nous mettant tous les trois à nus et nous avons fait l’amour sur le grand lit de notre ami. J’ai été le premier à recevoir la bite de notre ami dans la bouche pour la sucer et la lubrifier, puis dans mes fondements qu’il a labourés par ses coups de reins virils et qu’il a ensuite arrosé de plusieurs jets de son sperme brûlant.
Notre invité a pris la relève en nettoyant par sa langue le sexe de notre ami jusqu’à le faire bander dur à nouveau puis à le recevoir en levrette sur le lit pendant que je les observais. C’est ainsi que j’ai  constaté chez les deux amants certains mouvements corporels et certaines cadences que je ne connaissais pas et qui semblaient augmenter leur plaisir commun. Et au moment de finir, ils ont lancé en commun de grands râles de plaisir tellement profonds qu’ils m’ont aussi ébranlé et ont même fait réagir encore une fois mon corps et mon sexe s’est bandé tout seul.
Après un moment de repos, notre ami commun s’est rhabillé et est sorti pour acheter quelques provisions pour notre diner. Restés seuls, j’ai questionné notre invité sur sa technique de sodomie et il m’a informé que ce sont ses années d’expérience qui lui permettent de tirer le maximum de ces rencontres d’amour et qu’il se fera un plaisir de me les apprendre.
Ainsi, il m’a invité de venir chez lui un jour. Comme j’étais un peu étonné il m’a rassuré qu’il vivait seul depuis sa séparation avec sa femme il y a plus de huit ans. A ma question sur les gens qu’il recevait chez lui, il m’a aussi rassuré qu’il ne faisait jamais l’amour chez lui mais toujours chez ses clients comme le cas de notre ami commun ou dans un endroit spécialisé comme certains hôtels et pensions pour gays.
Et il m’a promis de me faire ses confidences sur ses expériences de sodomie. Il m’a donné son numéro de téléphone et rendez vous pris dans un bar connu pour le samedi prochain à onze heure. Notre ami commun étant revenu avec quelques provisions et boissons, nous avons repris le chemin de nos plaisirs pour une nuit chaude à trois.
Pour me faire plaisir notre ami m’a donné un avantage pour la nuit. Notre invité s’est contenté ce soir seulement de sucer et branler notre hôte et pour ma part j’ai reçu par deux fois le penis de mon amant dans mes entrailles et a éjaculé autant de fois. La première en levrette et la seconde face à face avec mes jambes bien levées pour faciliter l’accès de mon anus au gros pénis de notre ami.
Et le matin seulement, après le petit déjeuner, notre hôte infatigable a honoré pour la seconde fois le sphincter de notre invité à grands coups de vas et viens pour éjaculer en hurlant de plaisir plusieurs salves de son jus. Et quant il a sorti son sexe, c’est moi qui a eu le plaisir de recueillir les dernières gouttes de son sperme et je l’ai nettoyé avec mes lèvres à la manière que j’ai vu faire notre invité hier soir.
Notre invité est parti vers les onze heures, suivi de notre hôte qui m’a demandé de déjeuner seul et de l’attendre pour l’après midi. Moi je suis resté couché encore nu et heureux de cette liberté sexuelle dans un vrai lit. J’ai déjeuné légèrement en me promenant tout nu dans l’appartement et en goûtant cette liberté corporelle puis je me suis recouché.
Vers quinze heures mon ami est revenu et rapidement il s’est déshabillé et m’a rejoint au lit. Et nous avons eu une autre partie de plaisirs cette fois violemment déchaînée ce qui m’a surpris mais a emballé mes sens d’une façon toute nouvelle. Il me semblait que j’étais encore plus ouvert et totalement à la merci des mains et du sexe de mon ami. Il usait de mon corps comme il voulait et j’avais du plaisir à me sentit à sa merci.
Je ne comptais plus ses coups de reins et les vas et viens formidables de son gros sexe dans mes entrailles. J’essayais de m’ouvrir à lui encore plus et enfin j’ai senti les décharges de son jus dans mes fondements, cinq ou six jets chauds et puissants. Puis le souffle coupé, nous avons pris un peu de repos. J’étais tellement épuisé mais heureux que je n’ai pas pensé à nettoyer le sexe de mon ami, pratique que je commençais à aimer.
Et ce n’est qu’après, alors que  nous prenions des douches dans la salle de bain que j’ai demandé des explications sur cette violence certes agréable mais différente des fois précédentes. Il m’a avoué que quand il me baisait, il pensait à ma situation de presque vierge et il voulait me libérer petit à petit de mes désirs et fantasmes encore cachés.
C’est pour cela qu’il a décidé de me baiser différemment, me défoncer l’anus pour l’élargir à fond, me secouer le derrière pour me faire sentir son gros pénis danser à l’intérieur de mon sphincter et malaxer avec violence mes fesses et mes hanches jusqu’à les faire rougir de plaisir. Et ces pensées le rendaient fou de désir alors il m’a promis d’autres séances encore plus chaudes chaque fois que nous seront seuls.
C’était certes tout nouveau pour moi d’autant plus que j’étais totalement nu et en sécurité, que j’ai accepté avec enthousiasme et désirait encore plus de violence de ce genre. Déjà je commençais à fantasmer sur des choses jamais imaginées auparavant pour en être l’auteur et le pratiquant. J’osais maintenant créer des idées folles, des positions sexuelles comme j’ai vu dans les revues, des libérations de tout mon corps, non seulement de mes parties génitales mais aussi de mes seins, de mes lèvres et de sodomies à deux, à trois ou plus encore.
Je commençais à avoir des idées vraiment folles pour tirer le maximum de mon corps et de mon esprit. J’étais théoriquement déchainé et cela me donnait un nouveau genre de plaisir et de désirs. J’étais blotti dans les bras de mon ami, nu comme lui et je lui ai longuement parlé de mes fantasmes.
On a passé le reste de l’après midi à discuter de ces idées qu’il a approuvé totalement et m’a promis de m’aider à les réaliser avec lui très prochainement dans ce nid d’amour. Et ce n’est qu’au crépuscule que j’ai du le quitter pour ne pas rater le bus. J’étais réellement  satisfait de ce week-end rempli de plaisirs et de liberté sexuelle nouvelle.
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