Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 150 J'aime
  • 8 Commentaires

Enfin elle a cédé

Chapitre 3

Vacances au Sénégal

Avec plusieurs hommes
Depuis la séance éprouvante du fist, la vie avait repris un rythme plus tranquille.Martine était devenue assez docile à mes caprices, elle se laissait lier les poignets, fesser et prendre comme je le voulais et, bien sûr, elle y prenait aussi du plaisir.Je n’avais pas renouvelé cette dilatation extrême et me contentais, entre autres, de la doigter jusqu’à quatre doigts ce qui la mettait déjà assez en transe.Nous ne parlions jamais de la séance avec les deux hommes ni du traitement que j’avais permis qu’elle subisse, mais tout cela restait présent en arrière-plan chez elle, j’en étais sûr.Après une année de dur labeur, nous avions décidé de prendre quelques jours de vacances et sommes partis au Sénégal, dans un club au soleil.
Depuis quelques jours nous étions aux anges, soleil, mer chaude, farniente et, bien sûr nous faisions l’amour plusieurs fois par jour et de toutes les façons possibles tant elle était docile.La plage privée permettait le bronzage seins nus et je ressentais une certaine fierté de voir les hommes regarder avec envie la poitrine orgueilleuse de mon épouse, et j’avais l’impression qu’attirer les regards ne lui déplaisait pas non plus.D’ailleurs le garçon de plage, un beau et jeune sénégalais avait toujours quelque chose à nous dire et je voyais bien que ce qui attirait ses regards c’étaient les deux globes laiteux et fermes des gros seins en poires qui avaient pris une belle teinte ambrée sous le soleil.Nous avions fini par entamer des conversations avec lui et il nous parlait de son pays et de la jeunesse dorée sénégalaise qui vivait sur cette petite côte ou elle profitait de la manne touristique.Il en était arrivé à nous expliquer que si on voulait sortir du club, il y avait, pas loin, une boîte de nuit très sympa et bien plus couleur locale car fréquentée aussi par beaucoup de jeunes sénégalais, en général employés dans les clubs de vacances alentour.Devant sa gentille insistance, nous décidions, un soir, d’aller y faire un tour, la boîte n’étant qu’à une quinzaine de minutes de notre club.
Après un dîner assez arrosé, nous nous sommes mis en route par un chemin en bord de mer sous une température agréable.Pour l’occasion, Martine s’était vêtue d’une chemise liée sur le ventre qui laissait deviner ses seins qui bougeaient librement sous le fin tissu, d’une jupe paréo fendue très haut, assez serrée pour qu’on voie sans peine son superbe cul ferme et haut qui tendait le tissu et de sandales en cuir, elle était magnifique et très désirable.La boîte était bien au bout de la promenade, bel établissement.Intérieur classique, assez sombre et un mélange de musique qui sentait bon les rythmes africains ; on nous avait vite installés à une table un peu en retrait, quelques couples blancs et mixtes et pas mal d’Africains.Après deux ou trois danses sur la piste, très fréquentée, nous sirotions quelques verres tout en observant cette faune ; je remarquais quelques femmes sénégalaises sculpturales et très grandes, de toute beauté, et il m’a semblé que les regards de Martine étaient plus attirés par quelques jeunes gens, eux aussi très beaux.On me tapa sur l’épaule, c’était notre garçon de plage, accompagné de deux amis aussi costauds que lui et je les invitais à s’installer à notre table.
Chacun offrant sa tournée, l’alcool a commencé à faire son effet et les yeux de Martine à briller, elle gloussait aux plaisanteries des jeunes noirs.Je remarquais que leurs regards étaient très attirés par la poitrine toujours arrogante de Martine et qui bougeait, tendant le tissu, au moindre de ses mouvements.Ahmed, notre garçon de plage me demanda l’autorisation de faire danser Martine et les voilà partis sur la piste dans la foule où ils ont disparu à notre vue.Chacun à son tour a été danser avec Martine, elle est revenue un peu essoufflée et entourée des trois jeunes gens, l’alcool coula encore et je remarquais que les mains des jeunes frôlaient souvent les cuisses et effleuraient la poitrine de ma femme qui semblait ne pas s’en apercevoir.Mais je constatais qu’on voyait de plus en plus ses pointes de seins et je sais que, chez elle, ça correspond à une certaine excitation.
Après quelques danses nous nous levâmes pour partir et nos jeunes amis ont proposé de nous raccompagner, nous convainquant qu’à cette heure, même sur une petite distance c’était plus prudent.
Nous voici sur le chemin, un peu pompette, Martine titubait et Ahmed, gentiment lui a pris le bras pour la soutenir.Quelques instants plus tard, pendant que je devisais avec un des amis d’Ahmed, le troisième prit l’autre bras de ma femme qui gloussa et nous voici avançant, eux bras dessus bras dessous jusqu’à notre bungalow.Bien entendu il m’est paru difficile de ne pas les inviter à rentrer pour un dernier verre et nous voici tous les cinq, un peu serrés, à siroter une bouteille de rhum ancien et des cocas achetés à la boutique du club.Martine était entre les deux hommes, les plaisanteries fusaient, qui la faisaient glousser, elle m’a paru bien partie, puis petit à petit l’atmosphère s’appesantit et les deux ont commencé à poser leurs mains sur elle, dans le style chatouille mais aux bons endroits.Martine sembla s’en amuser et ils ont bien vu que je n’intervenais pas, ce qui les incita à persévérer.....A force de chahuter, le nœud du chemisier s’est défait et a laissé apparaître les deux globes laiteux qui font si envie aux hommes, Martine essaya sans conviction de rapprocher les deux pans du vêtement mais les hommes ont eu vite fait d’empoigner ses gros seins et de les peloter maintenant sans se gêner.
J’ai vu une main filer entre ses cuisses qu’elle n’a pas eu le temps de serrer et lorsque j’ai fait un mouvement pour intervenir, le troisième, costaud, me repousse dans mon fauteuil en me faisant comprendre que je ne dois pas bouger.Martine s’est débattue très mollement mais la jupe est vite enlevée, le chemisier aussi et je vois une main filer directement dans sa petite culotte.Les voix se firent dures :
— Toi, depuis le temps que tu nous excites, ce soir tu vas y passer ma salope et tu vas aimer ça, tu vas voir.
La main dans la culotte s’affaira et j’ai vu doucement Martine fondre, j’étais sûr qu’elle mouillait à fond et elle a cessé de se débattre, ils s’en sont aperçus et l’ont entraînée sur le lit où elle fut jetée sans ménagement.La scène m’excitait au plus haut point, ma femme maintenant complètement nue et à la merci de ces blacks musclés me donnant une trique incroyable.Mais ces salauds avaient bien compris qu’avec cette femelle docile il ne fallait pas être tendre, et je les soupçonnais d’aimer martyriser un peu une blanche consentante par vengeance.Commença alors une séance de baise et de soumission comme je n’en aurais même pas rêvé.Elle fut écartelée, un homme lui bouffa longuement la chatte puis la doigta énergiquement alors que ses cris étaient étouffés par une grosse queue qui s’introduisit facilement dans sa bouche.
Ils étaient bien montés et savaient s’en servir, pendant qu’un la baisait en lui écartant les cuisses à fond, un se faisait sucer et l’autre lui travaillait sans douceur les nichons.On aurait dit une poupée de chiffon qui passe de mains en mains et se laisse manipuler sans autre manifestation que des timides « non non pitié » quand elle pouvait parfois parler, paroles vite démenties par ses gémissements et ses cris de jouissance.Ils l’ont fait mettre à genoux puis lui ont glissé des oreillers sous le ventre, elle était complètement à leur merci, cambrée et cul offert, je craignais le pire...J’ai vu Ahmed arriver avec une petite bouteille de coca en verre que nous avons vidée avec le rhum et je l’entendis dire que ça allait servir à la préparer, je n’osais pas y penser, ils allaient sans doute la sodomiser, la pauvre, vu les calibres...Il promena la bouteille contre sa chatte dégoulinante puis posa le goulot sur l’anus offert de Martine maintenue en position par les deux autres.Personne ne s’occupa de son long gémissement quand le goulot commença à disparaître et après quelques instants, avec un regard sadique, il poussa fort et la moitié de la bouteille pénétra dans le cul de ma femme qui ne bougeait plus et ne semblait n’avoir même plus la force de gémir.
Je tentais de me lever mais à chaque fois ils m’ont repoussé durement et me recommandant de profiter du spectacle et de ne pas bouger. J’avoue que je bande à fond de la voir subir ces violents assauts et que je me branle sous leurs quolibets.D’autant que j’ai commencé à constater les mouvements du bassin de ma femme qui m’ont fait penser qu’en fait elle appréciait ce traitement que je n’avais jamais osé lui appliquer.La bouteille a pénétré jusqu’à son plus gros diamètre, l’homme la laisse un moment, sans doute pour habituer ma femme à cette dilatation extrême.Cette dernière ne réagit plus, je me demandais si elle était encore consciente, mais j’ai vu quand l’homme a retiré la bouteille qu’elle tendait son magnifique cul, sans doute pour faciliter qu’on lui enlève ce qui la distend à ce point.L’homme semblait être satisfait de sa préparation et, tout en lui claquant très fort les fesses, lui a enfilé l’objet dans la chatte jusqu’à la base étranglée ce qui fait que la bouteille est restée en place.
J’ai vu qu’ils se sont bien branlés et présentaient des pieux ébène de forte taille.Notre garçon de plage s’agenouilla derrière elle et me dit :
— Regarde bien petit toubab comment on défonce les culs des salopes blanches
Il posa sa grosse queue sur l’anus encore ouvert de Martine et, d’un formidable coup de reins, lui a rentré complètement jusqu’aux couilles.Ayant prévu le coup, une des brutes lui avait bâillonné la bouche avec sa main et on n’entendit qu’un gémissement étouffé alors qu’Ahmed commença de longs va-et-vient, il sortait presque entièrement sa queue du cul de ma femme et lui rentrait à fond, tellement fort que les deux autres devaient la tenir pour qu’elle ne s’écroule pas en dehors des coussins qui la supportaient.Bien vite chacun a pris sa place dans un carrousel d’enculage violent et profond.S’en était trop pour moi, le spectacle était tellement excitant que je jouissais dans un grand cri, envoyant de longs jets de sperme sur le plancher et sous leurs regards amusés ; c’est tellement bon que je n’avais même pas honte.Au bout d’un moment et en criant, les trois hommes ont joui dans son cul martyrisé, quand le dernier s’est retiré, j’ai vu de longues coulures de sperme qui en sortaient et coulaient entre ses cuisses.
Ahmed me dit : « T’inquiète pas patron, on est tous très sains et on se surveille, elle ne risque rien ta pute »Martine a glissé sur le côté, pratiquement inconsciente, elle n’avait même pas la force de bouger.Les trois brutes se sont rhabillées rapidement et, goguenards, m’ont complimenté sur mon épouse et sont parties sans faire de bruit, me laissant seul avec elle. Je regardais son cul superbe et, ce fut plus fort que moi, j’ai rebandé comme un fou de la voir dans cet état, je me suis approché et lui écartant les fesses j’ai contemplé son anus défoncé et encore bien ouvert.Elle semblait inconsciente, et j’ai posé ma queue tendue à mort sur son petit trou et je m’y suis enfoncé sans difficulté vu le format de ses bourreaux.A mon tour, après quelques va-et-vient j’ai joui en criant dans son ventre dévasté autant pour la sodomie que pour baigner dans le jus de ses enculeurs.
Elle n’a pratiquement pas réagi, aussi je l’ai nettoyée avec une serviette mouillée du mieux que j’ai pu après lui avoir délicatement enlevé la bouteille qui lui remplissait la chatte et l’ai recouverte d’un drap.Elle dormait d’un profond sommeil et je ne tardais pas à en faire autant, ne pensant pas encore aux conséquences possibles de cette séance.Quelle soirée......
Diffuse en direct !
Regarder son live