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Enfin elle a cédé

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
Et le pique-nique se passe, je veille à ce que le verre de mon épouse soit toujours bien rempli, et la chaleur aidant, elle est vite un peu pompette, état dans lequel elle a toujours été très malléable pour le plaisir de tous. Elle a toujours son très long tee-shirt qui lui descend à mi-cuisses sans rien dessous et qui, étant assez collant, ne laisse rien ignorer de sa magnifique plastique ; à chaque mouvement, ses seins lourds bougent, c’est très excitant. Je lui dis que je n’ai pas de café, mais que j’ai fait connaissance avec le propriétaire de la carrière voisine et qu’il va nous en apporter du bien chaud.Presque au même moment, un léger coup de klaxon et un magnifique camping-car arrive, c’est bien l’homme de ce matin au volant. Je vois de suite à son regard qu’il est très excité par Martine qui ne se rend compte de rien, je lui présente et elle se lève, titubant un peu pour le saluer.
Je lui fais signe que la voie est ouverte et il nous propose de prendre le café à bord, ce qui me réjouit, car j’adore ce genre de véhicule. On laisse monter Martine, mais la marche est haute et elle repart un peu en arrière, l’homme la rattrape par la taille et la pousse en avant, sa main presque sur son fessier. Elle ne réagit pas et on s’installe sur le canapé derrière le poste de pilotage, c’est intime et confortable, Martine a les cuisses découvertes très haut et l’homme n’en perd pas une miette.Le lieu est intime, l’atmosphère lourde et le café délicieux, Martine est dans un état second et ne réagit pas quand la main de l’homme se pose sur sa cuisse. Les tasses vidées, il nous dit qu’il va nous faire découvrir les lieux, il se lève, prend Martine par le bras et part vers l’arrière, tire un rideau et apparaît un grand lit.Il y pousse Martine :
— Allonge-toi, tu vas voir comme c’est confortable.
Elle est allongée, alanguie et offerte :
— Allez déshabille-toi «— Il l’aide à retirer son tee-shirt, elle est magnifique, sur le dos, seins tendus et cuisses légèrement écartées.
« Tu vas voir ma salope comme on baise bien sûr ce lit.
Il se tourne vers moi et comprend que je n’attends que ça.Il se déshabille, corps puissant ; sexe massif, un beau mâle et s’allonge à côté de ma femme offerte. Elle se laisse tripoter et les doigts inquisiteurs de l’homme la font vite gémir en la pénétrant sans trop de ménagement, je m’approche et elle me prend la main tout en écartant largement les cuisses ; j’adore son regard un peu effarouché quand l’homme se met entre ses cuisses, il enfile rapidement une capote et je me rends compte de la taille impressionnante de son sexe, elle va déguster ma petite cochonne.Il la pénètre d’un grand coup de reins et commence des va-et-vient puissants, un premier orgasme l’envahit et elle serre fort ma main, le regard chaviré...
Il est endurant et continue de la baiser pendant de longues minutes, elle jouit encore deux fois sous ses puissants coups de boutoir.Puis il se retire et me dit :
— Retourne-la ta salope, je vais l’enculer.
Martine, haletante, me lance un regard de pitié, mais elle comprend à mon air qu’elle va y passer aussi de ce côté, je suis très excité de la voir défoncée par cette grosse et infatigable queue, et je la dispose sur le ventre, un oreiller la cambrant, son magnifique cul offert. La voir comme ça, offerte en victime d’un super étalon me rend dingue, je bande comme jamais et la maintiens fermement. L’homme lui crache entre les fesses et se dispose, je vois son gros gland violacé sous la fine pellicule de latex qui s’appuie sur le petit trou de Martine, elle gémit, mais il commence à pousser. Martine se tend, mais je la tiens et je vois le gland comme aspiré par son petit trou puis la grosse tige rose qui entre. Il sait y faire le salaud, une fois installé, il reste immobile, le temps que le plaisir remplace la douleur.
Puis il commence un va-et-vient lent et me demande de la bâillonner, je sors ma queue tendue et lui force les lèvres, elle est maintenue et ne peut plus crier. Le fourreau chaud et humide de sa bouche est un délice pour ma queue.Je vois l’homme lui prendre les seins puis donner un formidable coup de reins, sa queue disparaît entièrement dans l’anus distendu et je devine les cris rentrés de ma femme aux vibrations de sa bouche autour de ma queue. Il se déchaîne, sa queue entre et sort jusqu’à ce qu’il pousse un grand cri et qu’il se vide, ce qui déclenche mon plaisir, et je l’étouffe de mon sperme, de la savoir prise comme ça m’a rendu fou.On se retire, elle glisse sur le côté, presque évanouie et sans force...L’homme se rajuste :
— Superbe salope que tu as, on va la laisser récupérer ; toujours d’accord pour mes ouvriers ?
J’acquiesce et on la laisse récupérer, elle est très bandante, complètement abandonnée... L’homme semble très satisfait de l’avoir baisée à fond, mais subitement, il me prend un doute, pourvu qu’ils ne me la démolissent pas, j’adore la voir se faire prendre, mais pas être trop malmenée quand même.Je crois qu’il devine mes pensées :» Ne t’inquiète pas, on sera là et je les connais, ils veulent juste se vider les couilles et ta salope va encore beaucoup jouir.Par contre, on va l’attacher, ils vont adorer ça, une belle bourgeoise offerte et à leur merci «
Devant mon manque de réaction, il prend une ceinture et lui lie les poignets dans le dos puis la retourne.Elle est magnifique, offerte, alanguie, les pointes de seins encore dressées, prêtes à l’amour, quelle chance j’ai d’avoir une femme si docile et si salope sous ses airs de bourgeoise BCBG...
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