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Enfin libre

Chapitre 5

Trash
Enfin libre 5
– Claudine, prenez le chéquier de la société ; Viviane va vous amener faire les magasins. Je veux que toutes les deux vous soyez habillées comme des salopes, mais des salopes classe. Prends exemple sur Viviane. Cet après-midi, tu lui obéiras en tout point : si jamais j’apprends que tu lui as dit non, t’es virée.– Mais, Monsieur…– Ta gueule !! T’as vu comme t’es fringuée ? Tu ferais même pas bander un pervers qui sort de 20 ans de taule ! Viviane, après les vêtements, vous vous arrêterez dans un sex-shop ; et fais preuve d’imagination.– J’ai carte blanche, Monsieur M. ?– Oui, Viviane ; fais preuve d’imagination : revenez avant la fermeture que je voie le résultat.
Je pensais que le cauchemar allait prendre fin ; si je transformais Claudine en esclave sexuelle de mon patron, je pourrais sans doute m’en sortir…Je pris le chéquier d’autorité, les clefs de la voiture de fonction et ordonnai à Claudine :– Allez, vieille emmerdeuse, on y va : tu vas devenir une bonne salope soumise ! Tu vas commencer par déboutonner ton chemisier et enlever ton soutien-gorge pour que notre cher patron et nos collègues découvrent enfin que t’es une femme !Claudine jeta un regard implorant vers M.– Tu obéis à Viviane ou c’est la porte !
Brisée, elle défit ses boutons un à un, lentement ; bientôt sa poitrine apparut, gonflée, une poitrine lourde qui s’affaissa quand elle enleva son soutien-gorge. Elle cachait bien son jeu, sous ses vêtements informes : Claudine avait de très beaux seins, au moins un 95 D, en poire, avec des mamelons très bruns et des tétons proéminents.M., excité, s’approcha d’elle et saisit d’entrée les deux seins offerts devant lui.– Dire que je t’ai sous la main depuis des années et que je n’en ai pas profité... On va rattraper le temps perdu. Viviane, enlève-lui cette jupe ; je vais la baiser avant que vous partiez.Pendant qu’il malaxait sans douceur les seins de Claudine qui se trémoussait, je descendis la jupe longue et la triste culotte qui recouvrait ses fesses. Elle était là debout, nue devant nous, essayant de cacher son sexe velu avec une main, l’autre essayant en vain de repousser les mains de M.– Alors, qu’en penses-tu, Viviane ; on va pouvoir en faire une bonne pute ?– Avec un bon relooking, un passage chez l’esthéticienne et des dessous sexy. Ça va le faire. Tiens-toi droite, Claudine !
L’ordre que j’avais donné claqua dans le bureau comme un coup de fouet. Claudine se raidit d’un coup et baissa les yeux. Je m’approchai d’elle, palpai ses fesses.– Son cul est bien ferme…J’introduisis ensuite un doigt dans son intimité.– Elle mouille, la salope, et son clitoris est bien proéminent ; si monsieur M. veut se servir, elle est prête !
Claudine supplia. – Non, s’il vous plaît, je suis vierge… Je n’ai jamais connu d’hommes...J’étais moi aussi trempée, après avoir été soumise par tous ces hommes ; j’avais en mon pouvoir cette femme que j’allais à mon tour soumettre et humilier avec plaisir.Jean, qui jusque là était resté silencieux, s’approcha à son tour de Claudine.– Je me suis bien vidé les couilles dans Viviane, mais cette salope vierge me fait bander. On se la baise, M. ?– Oui, mais sa virginité est pour moi, Jean ; toi, je te laisse son cul à déflorer. Viviane, attrape la caméra dans le tiroir de mon bureau et filme tout : ce sera pour la fête de fin d’année des employés.Claudine le supplia.– Non, pitié… Je n’ai jamais fait ça !!
M. n’en a cure ; il pousse Claudine par les épaules et la force à s’agenouiller.Elle se retrouve une nouvelle fois avec la bite de son patron sous les yeux. Je filme tout ; ça m’excite moi aussi… D’une main, M. tire par les cheveux Claudine et lui force la bouche avec sa bite à demi-bandée. De l’autre, il triture les seins de sa secrétaire en tirant fortement sur les tétons. Claudine gémit, mais on n’entend que des onomatopées et des bruits de succion.– C’est qu’elle y prend goût, cette pute ; elle suce pas aussi bien que toi, Viviane, mais elle apprend vite !Il la tire par les cheveux, retire sa bite bandée qui est devenue énorme, épaisse, et la promène sur son visage, puis il la gifle avec son mandrin ; les claquements doivent s’entendre jusque dans les bureaux adjacents.– Ouvre ta bouche en grand, salope ! Je vais te baiser jusqu’au gosier.Claudine obtempère, et M. plonge alors les 20 centimètres de chair d’un seul élan dans la gorge de Claudine, qui s’étouffe, la bave dégoulinant sur son menton. M. lui tient la tête ; je ne rate rien de cette scène et filme en gros plan le visage de Claudine, hoquetant, le nez dans les poils de son patron. Il la relâche enfin et elle s’écroule sur le sol, essayant de reprendre son souffle…Je suis tellement excitée que je jouis en m’imaginant à sa place.M. l’attrape par les cheveux, la relève de force et la couche à plat ventre sur le bureau. Il introduit plusieurs doigts dans le sexe de Claudine, la fouille sans ménagement.– Je la dilate un peu, sinon je pourrai pas la pénétrer, tellement elle est serrée.Claudine gémit ; on sent que le plaisir monte en elle, mais M. ne veut pas de ça : il veut l’humilier, la soumettre d’abord. Il sort sa main trempée et l’introduit dans son anus. Claudine hurle sous la douleur ; elle se sent déchirée… Il introduit maintenant presque toute sa main dans le cul de sa secrétaire, mais elle est trop serrée.– Bon ; maintenant, assez joué Claudine, écarte tes fesses avec tes mains : je vais te déflorer.
Claudine, vaincue, les seins écrasés sur le bureau, glisse ses mains sous son corps et obéit. Elle écarte ses fesses ; moi, je ne perds rien : je filme sa chatte luisante et son anus dilaté. M. présente son sexe à l’entrée virginale et la pénètre lentement, sans s’arrêter, jusqu’à la garde. Claudine hurle encore quand son hymen est perforé par ce barreau de chair qui la déchire. M., les mains crochées aux hanches de sa victime, la laboure à grands coups de bite ; il sort presque entièrement de sa vulve et replonge brutalement dans le sexe offert. Après plusieurs minutes de va-et-vient, Claudine commence à gémir de plaisir ; les yeux gonflés de larmes, elle s’appuie sur le bureau. Ses seins libérés se balancent au rythme de la pénétration, ses mamelons frottent le bois du bureau, lui procurant un plaisir supplémentaire…– Tu es bonne, salope ! Ton sexe est serré, mais je vais jouir dans ta bouche, Claudine : je veux pas prendre le risque de te faire un gosse.Sur ces mots, il se retire, contourne le bureau et présente sa bite recouverte de sécrétions devant le visage de sa secrétaire.– Allez, avale, salope… Et n’en perds pas une goutte ! Tu vas devenir ma vide-couilles.Claudine obéit : elle n’est plus qu’une esclave amoureuse de la bite de son patron et engloutit avec ferveur le sexe bandé.
Jean, pendant ce temps, s’approche du cul laissé vacant par M.– Tu me donnes son cul, M. ? J’ai envie de la défoncer moi aussi. Claudine essaie de protester, mais son patron lui tient la tête et lui défonce la bouche comme si c’était un sexe.– Vas-y : son cul est à toi, Jean ; je te dois bien ça !Jean m’appelle alors.– Viens me sucer, Viviane ; et t’as intérêt à bien graisser ma bite avec ta salive, sinon ta collègue va la sentir passer ! Donne-moi la caméra pour l’instant et agenouille-toi.
En bonne soumise, je lui obéis et m’applique à bien le sucer. Lui, pendant ce temps, récupère la mouille de Claudine et graisse l’anus de sa victime. Je salive à fond sur la bite et quand elle est prête, je me relève m’approche ; de moi-même, j’écarte les globes laiteux du cul de ma collègue, permettant à Jean de pointer son chibre devant l’anus dilaté. Sa bite n’est pas très longue, mais très épaisse, avec un gland comme un champignon. Il pousse, mais l’œillet résiste ; je l’aide avec mes doigts, et enfin il rentre, du moins le gland. Claudine, sous la douleur, essaie de se dégager mais M. lui tient la tête et Jean est bien accroché à ses hanches.Il me dit alors :– Viviane, trouve un moyen de la calmer, cette salope ; je vais pas pouvoir l’embrocher sinon.Je regarde alors dans la pièce et une idée me vient. Dans une vitrine, je m’empare d’une cravache et reviens vers eux. – Claudine, dis-je, tu fais ta mijaurée et tu ne veux pas te faire enculer salope ?!Je lève le bras et cingle ses fesses de plusieurs coups violents… Elle tressaute mais je continue jusqu’à ce qu’elle s’arrête de bouger. Ses fesses sont striées de rouge, mais enfin Jean s’enfonce totalement en elle.– Ah, putain… Que c’est bon de lui défoncer le cul à cette salope ! Ca y est, Claudine : tu n’es plus vierge de nulle part maintenant. Ç’aurait été con, avec le cul que tu as, que tu ne goûtes pas à une bonne bite. C’est tellement bon que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps…
Pendant ce temps, M. crie sa jouissance et se déverse au fond de la gorge de sa secrétaire, qui doit tout avaler pour ne pas s’étrangler.– Viviane, viens me nettoyer la bite, je suis fatigué…Je me précipite et, à genoux, je m’applique à bien le nettoyer.Claudine gémit ; Jean lui défonce le cul et, dans un grognement, déverse son sperme dans le trou dilaté. Il décule enfin, fait le tour du bureau et présente sa bite souillée à Claudine.– Nettoie-moi la bite, salope ! Cette merde est à toi. Voyant qu’elle refuse d’ouvrir la bouche, il lui pince le nez ; elle résiste, mais ne peut tenir longtemps : comme elle ouvre la bouche pour reprendre son souffle, il en profite pour s’engouffrer entre ses lèvres. – Applique-toi, sale pute ! Voilà, c’est ça… Nettoie bien avec la langue ; je suis sûr que tu dois aimer le goût de ta merde !Il sort enfin, la bite propre.
– Bon, Mesdames, on a du travail ; et vous aussi, vous connaissez votre programme. Viviane, emmène Claudine dans la douche des vestiaires ; elle pue trop le sperme, cette pute.Claudine, humiliée, commence à ramasser ses vêtements pour se rhabiller.– Qu’est-ce que tu fais, Claudine ? tonne notre patron. Tu vas à la douche à poil !!– Mais tous les employés vont me voir : la douche est au bout de l’atelier.– C’est un ordre ! Je veux qu’ils sachent que tu es une pute soumise, ma pute. Viviane, amène-là, de force s’il le faut.
J’attrape la cravache et cingle les seins de Claudine qui essaie de se protéger. Elle baisse les yeux, enfin ; j’attrape un de ses tétons entre les doigts et le pince violemment. Je la tiens comme ça et la tire vers l’atelier.Nous traversons le hangar : tout le monde s’est arrêté de travailler ; elle me suit, les yeux baissés. Un murmure nous accompagne et enfin nous sommes dans les vestiaires.Je la pousse sous la douche et fais couler de l’eau froide.– Tu es à moi, maintenant ; tu le sais ?Frigorifiée, elle me répond :– Oui.Je la cingle avec la cravache.– Oui qui ?– Oui… Maîtresse.Elle est brisée.
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