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Enfin offerte

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
PETITE ROMAN INTIME ET INTIMISTE

Chapitre un
La maison est à Bougival lui A dit Philippe, j’ai pris rendez vous pour qu’on la visite cet après midi, c’est petit mais ca a l’air confortable.Tu n’es pas dupe car il en a déjà parle mais au fond de toi tu trouves ca assez excitant, tu vas visiter avec ton homme une maison habitée par deux hommes et il a évoqué le fait qu’ils étaient assez libérés.
Tu connais ton homme, tu sais qu’il t’aime et tu as confiance en lui, alors la situation te semble en effet plutôt excitante, d’autant que tu sais qu’il ne te forcera jamais en rien et qu’il recherche surtout votre plaisir de couple.Mais faire l’objet de la convoitise et du désir d’hommes te rend toute chose, être une femme désirée qu’elle bonne chose et puis c’est valorisant, même pour lui.
Tu choisis soigneusement ta tenue, surtout pas provocante mais avec des dessous plutôt affriolants, un petit string aérien et fendu, des bas fumes tenus par un porte jarretelle noirs comme le string et complète par un soutien gorge très pigeonnant qui met bien en valeur ta poitrine menue mais de bonne tenue.Et par-dessus toujours très féminine, une jupe claire mi longue très classe bien qu’un peu serrée mais fendue sur un coté pour faciliter les mouvements surtout avec ce chemisier a la limite de la transparence et ces escarpins beige aux talons assez hauts très élégant et qui mettent bien en valeur tes superbes et longues jambes.
Tu vois a son regard quand tu descends qu’il apprécie, comme d’habitude, ta tenue, toujours féminine, toujours suggestive et ses caresses appuyées quand tu le rejoins te confirme que tu as vu juste et que tu as déjà éveillé du désir chez lui.
Pendant le chemin, d’un commun accord muet, vous ne parlez pas de la visite mais l’atmosphère est un peu lourde, tendue et chargée de désirs, de plus ses mains te caressent sans cesse remontant jusqu’à ton string, tu as bien écarté les cuisses pour lui faciliter les choses et ses doigts ont vite atteint ta petite chatte déjà humide a travers la fente du string et ta jupe s’est bien remontée, jusqu’à la limite de tes bas découvrant la chair fine et blanche de tes cuisses musclées.

Il a compris à cette humidité que la situation t’excitait et que sans doute tu imaginais déjà de sentir le désir glauque des hommes de cette maison, tu te demandes juste comment il a prévu que cela se passe et ca t’excite encore plus cette petite angoisse si érotique, elle te remémore des scènes de romans lestes que tu as lues et qui a l’époque t’ont donné de longs orgasmes sous les caresses de tes doigts et même parfois de ton gode.Tu t’es aussi assurée (comme si tu en doutais) de son désir en flattant la bosse qui gonfle son pantalon, tout dans l’atmosphère et vos gestes appelle la sensualité, la sexualité, le plaisir et le désir des choses interdites.

Chapitre 2 :
Lorsque nous arrivons notre excitation est a son comble et tu as déjà eu un orgasme rien que sous le contact de me doigts qui te fouillent a travers le string et sans doute aussi en pensant avec une petite pointe d’inquiétude a ce qui allait se passer ensuite, mais comme je l’ai remarqué tu aimes ca, imaginer et qu’on admire ta féminité.Je suis très fier de t’avoir déjà donne du plaisir et surtout que tu me fasses confiance en te donnant comme ca et en te laissant guider, j’en serais digne évidemment car tu sais que mon amour pour toi ne me ferait jamais faire des choses soit qui ne te plairaient pas soit qui seraient contraire à notre entente si parfaite et complémentaire.Pendant ton orgasme tu as saisi et serre très fort mon sexe a travers la toile fine de mon pantalon, tu sais que j’aime ca et surtout te sentir très excitée comme tu l’es la.Je suis sur aussi que si on avait eu le temps et que ce soit été dans d’autres circonstances tu aurais sorti mon sexe et m’aurais suce comme tu sais si bien le faire et cela me rappelle le délice de ta langue sur mon gland et la sensation extraordinaire de tes lèvres lorsque dans la voiture, dans le midi, tu t’es penchée sur moi et tu m’as pompe le sexe pendant que mes doigts exploraient ta grotte humide en roulant.
Je gare la voiture pendant que tu te rajustes et reprends un peu ton souffle, nous sommes dans une avenue tranquille de Bougival, devant une petite maison coquette avec un petit jardinet très bien entretenu derrière une grille.Tu es descendue avec élégance,, ta jupe remontant très haut sur tes cuisses et le coté de la fente montrant la lisière de tes bas et l’attache serpentine du porte jarretelle, la féminité personnifiée , je ne pers rien du spectacle et te soupçonne même de l’avoir un peu provoqué pour rajouter à mon désir, car je te trouve très désirable comme d’habitude mais en plus le petit parfum d’aventure et d’inconnu te rend encore plus sexy et transcende ta féminité presque animale en ce moment.
Je sonne…….
Chapitre trois :
On attend quelques secondes, il te serre contre lui, amoureux et fier, toi tu a un peu d’appréhension mais aussi tellement d’excitation, tu sens l’humidité revenir dans tes parties intimes, quel suspens.Ca bouge, la porte s’ouvre, un loquet électrique, je pousse la porte et on pénètre sur l’allée gravillonnée, petit jardin bien tenu, bien fleuri, on sent qu’ici tout est propre, soigné, il referme derrière toi , quelques marches et on est devant la porte d’entrée, cossue et bien cirée, elle s’ouvre…………………
Un homme nous ouvre et s’efface, bien bâti, grisonnant, assez costaud, très bien habille, très classe dans un costume fonce de bonne coupe, il sourit d’un air aimable : » entrez entre nous vous attendions. »
Ils s’effacent tous les deux, tu as juste cru déceler un petit regard de connivence entre eux mais très discret et presque rassurant.Tu passes devant eux et entres.La première chose qui te frappe c’est la température, assez élevée, un très fort contraste avec le temps gris et humide de l’extérieur, c’est une petite entrée un peu sombre mais tendue de toile de jute et ne comportant, a part trois portes fermée, qu’un grand porte manteau et une banquette ainsi qu’un grand bac contenant déjà deux parapluies.
Ils te suivent et l’homme passe devant et ouvre une porte, tu entres en passant devant lui, la pièce est très claire car il y a au fond une grande baie vitrée qui donne sur le jardin arrière de la maison , aussi bien tenu que l’autre .En passant devant lui, tu devines son regard appuyé qui passe de ton décolleté à ton petit fessier qu’on devine bien moulé sous ton imperméable.La pièce est accueillante, très beau parquet au sol, les murs sont tendus de toile de Jouy sobre et claire, meublée en ancien mais les teintes sont claires, chaudes et accueillantes.
L’homme se présente, je suis Henri, débarrassez vous, il t’aide galamment à enlever ton imperméable et semble apprécier ( je le comprends) ce qu’il découvre en dessous, il est vrai que tu es sexy et désirable dans ta tenue élégante et très féminine.Il pose nos manteaux dans l’entrée et nous dit de nous installer dans le canapé qui nous tend les bras, un magnifique canapé en cuir fauve, cossu et à l’air confortable.Tu t’assois et es un peu surprise de sa profondeur, tu pars en arrière et ne peut t’empêcher un petit cri, du coup ta jupe remonte très haut sur tes cuisses et tu t’empresses de la rabaisser sur tes genoux d’un geste très féminin, mais tu as bien senti le regard de l’homme qui a plonge entre tes cuisses lourd et intéressé, et malgré toi ce regard te rend toute chose, tu sens déjà l’envie chez lui et tu comprends qu’il s’est arrangé à se trouver en face de toi juste quand tu allais t’assoir, il doit avoir l’habitude de ce genre de réaction.Je m’assois a tes cotes en faisant attention de ne pas me faire piéger comme toi mais il faut dire qu’une fois dedans on a vraiment envie de se laisser aller.L’homme s’assoit, en face de nous, il y a deux fauteuils, très profonds aussi du même modèle que le canapé et tu es juste séparée de lui par une superbe table en verre et bois très basse sur laquelle repose un plateau en ébène et quatre coupe de très belle facture, tout ici respire le luxe et le raffinement.La table arrive en dessous de tes genoux et les regards de l’homme semblent assez souvent attirés par tes jambes que tu a croisées avec élégance et féminité, la finesse de tes chevilles encore plus relevée par tes hauts escarpins.
A peine quelques banalités échangées, une porte s’ouvre et apparait un autre homme un peu dans le même genre, peut être un peu plus grand, assez mince mais qui émane une sorte de puissance tranquille, lui aussi grisonnant et vêtu en tenue de campagne très classe, veste en loden et pantalon de velours, très gentleman farmer , il porte un seau à champagne et une bouteille en dépasse.
Henri nous dit, ha voila Jean avec le champagne ; il pose le seau et te serre la main doucement presque une caresse en te disant de ne pas te lever, ce qui t’arrange car tu ne vois pas comment tu pourrais le faire sans offrir un spectacle sur tes cuisses et ton petit string.Apres avoir salué ton compagnon, il débouche la bouteille et nous sert une première coupe, l’atmosphère se détend un peu, vu la chaleur, une autre coupe suit vite la première, tu commences à être détendue, la conversation pour le moment court sur la région, la maison que nous allons visiter, le temps et les banalités d’usage.La bouteille est vite remplacée par une autre et les coupes s’enchainent, tout va bien.Un des deux hommes nous explique que l’avantage de ce jardin c’est qu’il n’a aucun vis-à-vis et qu’il permet même si on veut de se faire bronzer sans problème surtout qu’il est très ensoleillé.Il te demande si tu te fais bronzer l’été et te dis que jolie comme tu es tu dois aimer avoir le teint halé que donne les premiers rayons de soleil et que ton compagnon dois être un homme comblé, ici tu pourras même le faire nue sans que personne ne te dérange , il a un regard un peu appuyé et chargé de sous entendus mais cela reste assez soft et sobre, plutôt comme un compliment que tu apprécies comme tel.Il te demande si tu aimes bronzer nue et sentir le soleil sur toutes les parties de ton corps.
Et toi, un peu pompette et sentant les regards envieux de ces deux hommes tu en rajoutes un peu, leur expliques que tu aimes sentir les rayons du soleil lécher ton corps pour le réchauffer, que tu adores rester exposée au soleil pour bronzer et pouvoir ensuite porter des jupes courtes et de beaux décolletés…, en fait tu entres un peu dans le jeu de la séduction vis-à-vis d’eux.Je t’écoute , très fier et je me rapproche de toi, ma main sur ta nuque, je te caresse doucement le cou à la naissance des cheveux, on reboit encore une coupe, l’atmosphère devient un peu lourde, chargée de désir et d’images plutôt excitantes avec ce que tu à raconté , tu t’es détendue et à décroiser les jambes, a leurs regards je vois que tu dois , inconsciemment les avoir un peu écartées, et la fente de ta jupe laisse apparaitre le haut de ta cuisse, a la limite du bas et l’attache du porte jarretelle, tu es la féminité même comme ca, un peu pompette et détendue et il émane de toi un charme fou et un peu vénéneux, j’adore et a priori eux aussi.
Au bout d’un moment, ils se lèvent, bon si vous voulez visiter, vous aller voir, c’est petit mais très confortable et surtout très tranquille et très intime, on peut y faire ce qu’on veut.la fin de la phrase est pleine de sous entendus qui ne t’échappent pas et qui font naitre chez toi des images érotiques.
Henri te tend la main car le canapé est très profond et tu es un peu pompette, il t’aide gentiment a te relever et Jean ne perds pas une goutte du spectacle car quand tu te lèves, ta jupe remonte très haut sur tes cuisses, il a un regard appuyé, on sent que tu les excites beaucoup et ca me plait que ma femme attire comme ca le regard et le désir des hommes.Tu te mets debout, tu perds un petit peu l’équilibre car tu es coincée entre le canapé et la table basse, il te rattrape par la taille, d’un geste souple et élégant et tu sens au contact de sa main le désir qui sourd de lui, avec la grosse chaleur de la pièce l’atmosphère est vraiment chargée
Bon, on va commencer par la cuisine et la salle de bains, je te prends par la main, nos mains sont un peu moites, autant par la chaleur que par les relents de désirs vicieux qui ont régnés il y a u instant, on sort encadres par les deux hommes prévenants et aimables…..

Chapitre quatre :
Belle petite salle de bains, bien équipée, appareils de luxe, très propre et fonctionnelle, malgré toi tu t’imagines, nue dans la superbe cabine de douche massante, ils nous expliquent qu’elle fait aussi sauna et que c’est très agréable surtout qu’on peut y tenir à deux, tu me jettes un regard et je sens que comme moi, tu nous vois enlacés et se caressant sous la vapeur décontractante, hum je sens que je recommence a bander un peu et je vois que tes pointes de seins se remarque plus sous la légèreté du chemisier, preuve de ton excitation.Je pense que les deux hommes ont bien senti qu’il se passait quelque chose entre nous deux mais ils restent discrets et continuent de nous guider.
On passe à la cuisine, claire et bien équipée, la pièce est quand même petite pour nous quatre et tu es entourée de très près, tu te colles a moi pour les laisser passer et tu sens que je ne suis pas, indifférent, loin de la à la situation….
A près quelques généralités sur les joies d’une cuisine fonctionnelle et bien équipée nous sortons dans un couloir assez sombre, au bout deux portes, un bureau et la chambre.
Tout est absolument nickel on voit que ces hommes sont très propres, très soigneux, c’est bien l’impression qu’ils m’avaient donnée.
On pousse la porte de la chambre, très cosy, très confortable presque surchauffée, une grande penderie avec des glaces qui illuminent la pièce, un très grand lit à colonnes mais qui ne choque pas car les couleurs sont pales et très pastel, un dessus de lit très cossu en satin épais, tout respire le confort et le luxe ici.Cette pièce a une atmosphère bizarre, comme si elle était chargée de tout ce qui a du s’y passer, on se prend vite a imaginer des couples sur le lit, des ébats très agites, des choses même plus sulfureuses, étonnant comme certains lieux incitent à entrer dans un état d’esprit prédéfini ; tu t’es rapprochée de moi et je sens que tu n’es pas non plus insensible aux émanations de ce lieu.On entre tous les deux, ils sont restés sur le pas de la porte et nous disent qu’on prenne notre temps, ils vont régler quelques affaires pour qu’on visite ensuite le garage et les caves.Nous sommes à coté du lit, comme pour faire de la place je te prends par la taille et mon regard se pose sur la table de nuit, je te fais un petit signe, il est posé dessus des revues plutôt lestes vu les couvertures. J’en attrape une et la feuillette pour nous deux, de belles photos, on voit des femmes et des hommes dans des positions et des ébats qui ne laissent aucune équivoque, c’est très excitant.Je serre ma main sur ta taille et je te sens souple et disponible, tout en regardant les photos très évocatrices, ma main descend sur ton petit fessier que j’aime tripoter et petit a petit remonte la jupe jusqu’à ce que j’atteigne la dentelle de ton petit string, je sens bien que tu es très excitée, surement par les images, l’atmosphère et sans doute aussi par la situation, te retrouver seule avec moi, caressée et découverte dans une maison inconnue avec la présence de ces deux hommes proches te rend très réceptive et j’en profite pour accentuer ma caresse sur tes petites fesses tout en t’embrassant , nos langues s’entrelacent et je titille avec délicatesse le bout de tes seins qui pointent avec indécence sous le chemisier, le tissu ténu du soutien gorge ne pouvant pas camoufler leur prise de volume subit.
On oscille, oubliant presque où nous sommes, tu te vois dans les glaces de la penderie, troussée et abandonnée entre mes bras, mes caresses te rendent folle, mes mains parcourent tes petites fesses, tes longues jambes en s’arrêtant souvent à la limite des bas et en jouant avec les serpents du porte jarretelle, petit a petit j’ai même réussi a sortir un tétin du chemisier et de son bonnet et le tète avec délicatesse pour t’exciter encore plus entre deux coups de langues inquisitrices dans tes petites oreilles.Je sens encore monter ton désir en même temps que le mien, tu halète et écartes tes cuisses pour permettre à mes caresses de te parcourir sans contrainte et ta main file entre mes jambes pour flatter la bosse de ma braguette, preuve de mon excitation et de mon désir.On oscille en se caressant et je te pousse vers le lit, on a oublié ou on était et j’ai envie de te prendre sur le lit maintenant sans m’occuper du reste.Mon regard se pose sur la porte entrouverte comme attiré par une présence, elle est disposée de telle sorte qu’on voit le reflet des deux hommes qui, eux même voient tout ce que nous faisons dans la glace des penderies et n’ont sans doute pas osé rentrer dans la pièce vu la façon dont on se comporte.Et puis sans doute que le spectacle ne leur déplait pas, j’avais bien vu qu’ils avaient l’air un peu vicieux et puis, je les comprends, une très belle femme dénudée et caressée devant eux, après tout pourquoi se priver du spectacle.J’atténue un peu mes caresses et laisse retomber ta jupe sur tes cuisses, sous la surprise tu prends aussi conscience de leur présence discrète et du fait qu’ils ont du nous voir nous caresser depuis un moment, je me recule un peu et prestement tu rentres ton sein dans son bonnet, le plus discrètement possible et tu essaies de reprendre ton souffle.On se dirige vers la porte un peu gênés, ils font comme si de rien n’était mais on sent bien qu’ils n’en ont pas perdu une miette et qu’ils ne sont pas insensibles au fait de nous avoir vus nous caresser, presque faire l’amour devant eux, ça charge encore plus l’atmosphère en relents de sexe et d’envies, ce n’est pas désagréable et tout comme moi cette sensation semble te plaire.
On reprend le couloir pour revenir dans le salon afin de reprendre notre discussion, une nouvelle bouteille de champagne débouchée attend dans le seau à glaces et ils nous disent de nous assoir, le canapé nous tend les bras et tu as senti leurs regards lourds et équivoques quand tu es passée devant eux…………………………………..

Chapitre cinq :
Tu t’assois avec précaution, consciente de leurs regards sur toi, un peu excitée de ce que tu suscites chez eux et surtout encore très excitée de, nos caresses dans la chambre, d’autant que tu es à peu prés sure qu’ils étaient la depuis le début et qu’ils ont du bien profiter du spectacle.
Encore une ou deux coupes de champagne, l’atmosphère est assez lourde de sous entendus et la température élevée.Tu te sens un peu pompette et on parle de choses et d’autres, sans importance, mais surtout du beau temps, des vacances, des plages. Ils nous demandent si nous sommes naturistes et même si tu aimes bronzer les seins nus sur la plage, je te laisse répondre.
Ma main se pose délicatement sur ta cuisse du coté de la fente de la jupe et l’autre sur ta nuque que je caresse doucement, tu te sens détendue, désirée et l’alcool te rend un petit peu euphorique.Je leur dit que tu ne te mets pas les seins a l’air sur la plage mais que tu pourrais car tes seins sont très désirables et feraient bien des envieuses ; ils ricanent gentiment en nous disant qu’ils ne demandent qu’à voir, tu fais comme si tu n’avais pas entendu et moi je remonte un peu ma main, découvrant largement ta cuisse jusqu’à la limite du bas et on voit bien que tu as un porte jarretelles, ils n’en perdent pas une miette et Henri avec la télécommande baisse un peu la lumière, pour que ce soit plus intime dit il avec malice.Ma main caresse doucement ta cuisse maintenant découverte et l’autre est maintenant descendue entre tes deux seins, les caressant doucement et s’attardant sur les pointes qui déforment maintenant ton chemisier.On parle peu maintenant, ils se sont bien calés sur leur fauteuil et nous regardent, leurs yeux suivent mes mains qui de seconde en seconde se font plus caressantes et plus inquisitrices, je sens que tu te laisses aller sous les caresses, que tu t’en remets à moi et j’en suis très heureux, je vais te caresser comme jamais et ces deux hommes vont bien nous mater, on va enfin réaliser notre petit fantasme, ca nous rend très excites tous les deux.
Petit a petit mes mains progressent, l’une commence à ouvrir un a un les boutons de ton chemisier bien tendu et laisse apparaitre petit a petit ton soutien gorge, il est très bouffant et a demi bonnets et met très bien en valeur tes beaux petits seins, les demi bonnets s’arrêtent a la moitie des globes laiteux et on voit apparaitre les deux tétins, ils sont très gonfles ce qui nous indique ton état d’excitation.
Mon autre main remonte le long te ta cuisse fuselée et gainée de soie, on voit bientôt apparaitre le haut du bas et la peau nue et délicate de ta cuisse au dessus et le serpent du parte jarretelle, ce symbole de la féminité, un peu sulfureux et qui sont le signe d’une sexualité un peu débridée et de l’envie de susciter le désir.
Je m’arrête un moment, tu es maintenant un peu alanguie, tu respires un peu fort et on devine très bien tes beaux seins qui ne demandent qu’à jaillir des demi-bonnets et ta petite culotte car ma main a complètement ouvert la fente de la robe et j’ai fait assez remonter le tissu pour qu’on vois bien tout.
Les deux hommes aussi respirent fort, l’atmosphère est lourde, le silence criant de sexualité et de désir, on respire maintenant le sexe ici.
Tu sembles t’abandonner a mes caresses et je comprends que je peux continuer a parcourir ton corps et a le découvrir, tu sembles très excitée par le fait qu’on nous regarde
Je comprends que je peux aller plus loin, on en avait déjà parlé, je sais que de sentir des regards de males plein d’envie sur toi t’excite et je suis moi aussi très fier de te montrer et d’exciter leur convoitise.
Ma main a progressé entre tes cuisses je t’ai maintenant complètement troussée, ta jupe remonte haut sur tes hanches et ne cache plus rien, ma main parcourent toute la longueur de tes jambes et, petit à petit, je remonte jusqu’à ta petite culotte en dentelle, mes attouchements très aériens me font quand même comprendre que tu es très excitée rien qu’a l’humidité de ta culotte ;
Ma main passe outre le symbolique barrage de dentelle et envahit maintenant ton sexe humide, je joue avec, le palpe le caresse doucement avec des doigts souples mais inquisiteurs et j’entends tes petits gémissements qui me disent que tu t’abandonnes a mes caresses et aux regards des deux hommes qui ne bougent pas et regardent de tous leurs yeux, craignant sinon de rompre le charme.
Je joue un moment avec ton sexe, mes doigts parcourant la peu sensible et se perdant aussi entre la raie délicate de ton petit cul ferme, puis petit à petit je prends ta culotte entre deux doigts et la baisse d’abord imperceptiblement puis la descendant plus vite ;Ta main rejoint la mienne, tu essaie très mollement de bloquer la descente de ta culotte mais je passe outre avec douceur car je sens bien que ce mouvement est plus un reflexe que l’envie de ne pas être dénudée devant des voyeurs alors que tu en rêvais depuis longtemps.
Je continue mon mouvement et bientôt ta petite culotte est sur tes chevilles, je te soulève un pied pour que ta culotte reste sur l’autre, c’est une vision délicieuse cette barrière à ta vertu que tu as accepté de laisser tomber, une culotte sur un escarpin cela dégage un érotisme torride, les deux hommes ont le souffle plus court et la tension monte palpable, lourde, chargée de vice et de caresses interdites.
Ton pied étant libéré doucement je t’écarte les cuisses a nouveau, afin qu’ils profitent de la vision de ta délicate chatte humide et déjà offerte a leurs regards vicieux….

Tu halètes, je te sens excitée et surtout je ressens que tu te livres entièrement, ton corps maintenant dénudé est avide de caresses.Mes mains parcourent tes jambes avec douceur, elles descendent jusqu’ à tes doigts de pieds qu’elles caressent un par un et remontent le long de tes cuisses jusqu ‘à la frontière entre la soie du bas et le petit serpent des portes jarretelles, puis elles passent a ta poitrine menue mais si féminine, elles cajolent les seins, titillent les pointes puis redescendent.
On sent ton plaisir monter, tes gémissements de plaisir ne trompent pas, tu es entièrement soumises à mes caresses et j’en use a fond, je te fais couler, tu n’es plus qu’un arc tendu de jouissance et de plaisir entre mes doigts.
Les deux hommes sont fascinés, ils regardent muets mais on sent leur excitation a leur souffle court, tu n’oses pas les regarder mais je sais que tu apprécies de savoir que tu leur inspires du désir et certainement plus, des idées très vicieuses et des envies malsaines mais tellement excitantes.
Mes caresses se poursuivent, de plus en plus précises, de plus en plus inquisitrices, je m’attarde de plus en plus sur ta chatte qui est maintenant humides et mes doigts la parcourent, d’abord superficiellement puis, petit a petit, un puis deux de mes doigts s’y introduisent, guettant ta réaction ; elle ne trompe pas, tes cuisses s’écartent d’elle-même et tu ne peux retenir un petit cri quand mes doigts t’envahissent, un peu brusquement, en conquérant.Je fais passer un de tes jambes par-dessus l’accoudoir, tu résistes a peine, les caresses te rendent docile et on sent que tu as envie de plus.
Tu entends des zips, les deux hommes n’en peuvent plus et ont sorti leur sexe, ils se caressent maintenant sans honte, la vue d’une belle femme offerte, presque nue et haletant sous les caresses de son amant les rendent vite durs.Entre deux halètements tu leur jettes un regard furtif, tu sais que c’est toi qui fait durcir leur sexe maintenant tendu et qu’ils se masturbent certainement en pensant a ta chatte ou même a autre chose. Je sens a l’humidité de ton sexe que ces pensées augmentent encore ton excitation.Je caresse encore ta chatte et un de mes doigts s’égare entre tes petites fesses dures, appuyant doucement sur ton petit trou, tu as a peine un sursaut mais tu es tellement excitée que sous la pression ton anus cède bien vite et se laisse envahir bien vite rejoint par un autre doigt.Les deux voyeurs apprécient et se permettent même quelques encouragements discrets ayant bien compris que tu étais prête a subir encore plus devant eux vu ton excitation et la mienne………………
Je me lève sans éloigner de toi la main qui caresse ta chatte.Ma braguette est au niveau de ton visage et je m’approche presqu’a ce qu’elle le touche, ma main libre me libère et tu vois avec satisfaction que je suis déjà très tendu et très dur, ma queue sort fièrement de mon pantalon et je l’approche jusqu’à toucher de ton visage.Tu ne te fais pas prier tellement tu es excitée de te montrer comme ca, sans pudeur aux deux voyeurs qui se branlent de plus en plus très excites par le spectacle.Un se risque même a t’encourager, allez petite salope suce le bien, pompe la queue de ton mec il le mérite. Je la pousse entre tes lèvres et envahit ta bouche, très très tendu, tu te rends compte que je suis comme fou, jamais tu ne m’as vu bander comme ca, tu sens mon sexe grossir encore dans ta bouche et parfois cogner au fond de te gorge.Tu es sans volonté, toute a ton plaisir, ma main caressant doucement ta chatte humide et jouant entre tes fesses avec ton petit trou et mon sexe devenu imposant dans la bouche, tu le pompes comme si ta vie en dépendait, je n’ai même plus besoin de te guider en te tenant la nuque, aussi j’en profite pour te tripoter presque durement les tétons en massant les bouts qui sont maintenant très gros et très rouges.Quand ma queue sort un peu de ta bouche tu halètes et gémit, tu es sans volonté, tendue en arc par les caresses, jamais tu ne m’as suce comme ca et je te caresse à fond, mes doigts maintenant entrant et sortant de tes trous de plaisir te tirant des soupirs excitants.Les deux voyeurs se sont rapproches presque a nous toucher, toujours en se masturbant et on les devine fous d’envie et te voir comme ça, si docile et si excitée entre mes mains et ma queue dans ta bouche.
Un premier risque juste un frôlement du dos de sa main sur ta cuisse presque comme inadvertance mais il comprend vite qu’on a dépassé le stade de la pudeur et il a vite fait de te caresser les cuisses au dessus des bas, le bout de ses doigts allant parfois à toucher les miens et tes parties intimes que je caresse.Tu as toujours les cuisses reposant sur les accoudoirs du fauteuil, offerte, indécente et très suggestive comme ca, l’autre se mets a genoux a tes pieds et fais comme s’il voulait voir de près ta chatte un peu malmenée par, maintenant, mes doigts et celui de son ami.On retire nos doigts de ta chatte , n’en laissant chacun un que dans ton petit cul, tu gémis malgré le bâillon de ma queue quand tu sens le visage de l’homme se baisser et sa langue commencer a te lécher la chatte, il donne des coups de langue et des coups de tête et tu halètes en te tendant comme un arc, prenant un plaisir sans nom, vicieux, interdit, ma queue dans ta bouche, deux doigts de deux hommes différents dans ton anus et cette langue agile qui t’envahit et te lèche avec force .Maintenant tu ne sais plus ou tu en est, les mains les sexes et les langues te parcourant, te léchant, te caressant, t’envahissant de partout sur tes parties intimes autant que sur tes longues jambes gainées de soie maintenues écartées mais caressées par tout, langue mains ..Tu ne sais plus ou tu en es et tu essaies de participer, tu donnes des coups de rein, tes mains se referment parfois sur un sexe tendu, trois hommes essaient de te donner un maximum de plaisir en te caressant comme tu ne l’as jamais été……
Chapitre six :
Il n’y a plus dans la pièce que frôlements, gémissements, cris de jouissance.Tu es tendue comme un arc, tu n’es plus que jouissance entre les mains et les langues qui t’explorent.On se relaie pour que tu aies toujours un sexe en bouche, des doigts dans le cul et bien sur une langue qui te lèche le minou à fond, en roulant sur ton clitoris gonflé et te rendant complètement à notre merci.On se sert de toi comme d’un instrument de musique, chacun à son tour prenant son rôle, te baisant la bouche, te travaillant les pointes de seins, fouillant ton anus et léchant et mordillant ta petite chatte qui dégouline de plaisir.Un des deux hommes arrête de s’occuper de toi et sort en disant, je vais le chercher je pense qu’elle est prête la.On continue a deux à jouer avec ton corps puis on te fait mettre debout entre nous deux, tu es haletante et te laisse manipuler, pleine de plaisir et d’envies mais confiante puisque je suis la donc toute à ta jouissance.
On enlève ta robe et tu es entre nous subissant nos caresses, on se recule pour t’admirer, tu chancelle entre nous , avec tes bas et ton porte jarretelles tu es encore plus nue que nue, c’est très excitant et on revient vite pour reprendre nos caresses, un devant et l’autre derrière tu es coincée entre deux hommes très entreprenants, je te soutiens un peu et on te fouille avec délicatesse, tes jambes ne te portent presque plus tant les orgasmes se succèdent.
Je te susurre, tu vas voir, tu vas adorer la suite et je termine ma phrase en te mordillant l’oreille pendant que l’autre te pistonne l’anus et le sexe avec ses doigts, tu n’es plus qu’une femme haletante et débordante de plaisir entre nos mains.Je t’attire vers moi, m’assois sur le fauteuil, l’homme qui te fouille te prend délicatement par les épaules et te fait comprendre que tu dois te laisser guider.Il te fait mettre a genoux, ta tête vient se poser sur mes genoux, ton visage en contact avec ma queue tendue a mort, tu sens l’autre qui te met en position de levrette, tu te laisse guider et te retrouve offerte, cuisses écartées, la tête sur mes genoux et j’en profites pour te tenir les épaules tandis que l’autre homme se place sur ton flanc et te tiens bien écartée, offerte, sans défense et pleine encore d’envies, d’interdits et de plaisirs vicieux.Du bruit, l’autre est revenu et tu te dis qu’enfin tu vas être prise et jouir pleinement.Mais, tu sens une langue, chaude, un peu râpeuse, énorme qui se plaque dans la raie de tes fesses et te lèche avec une force qui n’a rien d’humaine, c’est fort, inattendu jouissif, animal.Tu comprends qu’ils ont un gros chien et que celui-ci est en train de te lécher a fond, comme une petite chienne en chaleur, tu as presque honte mais justement tu te sens encore plus femme, léchée comme un animal entre les mains d’hommes qui profitent du spectacle.Les globes de tes fesses sont écartées par des mains délicates mais que tu sens possessives et directives, de toi-même tu te rends compte que tu te tends en arrière pour t’offrir encore plus a la caresse interdite de l’animal dont tu entends les grognements.Ma queue est à portée de tes lèvres et de toi-même la bouche ouverte et gémissante tu gobes mon gland turgescent ce qui étouffe un peu tes gémissements car des que tu l’as entre tes lèvres je te prends la nuque pour m’enfoncer un peu plus entre tes lèvres.Entre les vapeurs de l’alcool l’atmosphère et l’ambiance, tu es presque transportée dans un monde irréel, on avait souvent parle de ce genre de rapport mais tu ne t’attendais pas a ce que j’exauce tes fantasmes à ce point et aussi parfaitement.Tu entends les deux hommes qui commentent et encourage l’animal :« Allez Rex, vas y, lèche la bien, fais la jouir, c’est ta chienne mon Rex fais en ce que tu veux »Moi je te parle doucement pour te rassurer : « c’est bien ma chérie, abandonnes toi, laisse nous faire et tu vas jouir comme jamais, tu vois, je suis tres fier de toi et je t’aime comme un fou, tu es une vraie femme et je vais te faire donner un plaisir extrême »Tu sens mon excitation à ma queue qui durcit encore et que j’enfonce un peu plus, le gland venant frapper de temps en temps le fond de ton palais.Le chien lèche maintenant sans interruption, donnant de forts coups de tête, les deux hommes te maintiennent pour ne pas que tu sois déséquilibrée et tu n’as plus la force de tenir seule, tu jouis trop et sans arrêt.Ils s’occupent chacun d’un de tes seins, ceux-ci ballotent un peu sous les coups de tête de l’animal dont tu sens monter l’excitation, les deux hommes te titillent délicatement chaque tétin, ton corps n’est plus qu’une jouissance entière, chaque partie de ton corps est maintenant une source de plaisir des qu’on porte la main dessus.Tu es maintenant très écartée, ton instinct de femelle t’a fait ouvrir les cuisses pour t’offrir a fond a la caresse interdite et le chien le sens, sa langue se fait plus précise et plus fort, maintenant il arrive a la rentrer dans ton sexe ouvert et lubrifie et même dans ton anus que nos doigts ont si bien prépare.Je jouis de la scène, c’est extraordinaire de te voir entre ces deux hommes qui pour moi ne sont que des instruments de jouissance et de voir l’animal s’acharner sur toi a coups de langue, malgré moi je jouis, avec un grand cri, jamais je n’avais ressenti autant de plaisir, d’autant que pendant ma ´jouissance tu as un énorme orgasme qui te fais crier et te tend, une vrai tempête que ton corps apprécie …..(
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