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Enfin réalisé !

Chapitre 2

Travesti / Trans
Au fil du temps, ce besoin d’être une femme s’affirmait et se faisait de plus en plus pressant, à tel point qu’une fois rentré du boulot je n’avais qu’une idée en tête : me transformer, choisir parmi mes tenues féminines (de plus en plus nombreuses) celle qui me mettrait le plus en valeur, ou celle qui me donnerait un look "BCBG" ou encore "chienne", ou, tout simplement, "femme au foyer".
Sur un site parlant du "bondage", j’avais appris à camoufler mon érection grâce à une petite cordelette nouée d’une façon particulière autour de mon sexe ; et c’est ainsi que je me montrais sur ma webcam à un public averti et connaisseur. Pour la plupart de mes admirateurs, cela se terminait par une éjaculation en me regardant me caresser à travers ma petite culotte ; mais avec certains, j’allais jusqu’à me sodomiser avec le talon de mon escarpin avant de terminer avec mon joujou préféré : un sextoy de taille respectable qui me faisait crier de plaisir en me faisant couler de bien-être. Puis je retirais ma petite culotte et la portais à ma bouche afin de goûter, avec un regard de braise, ma jouissance.
C’est d’ailleurs sur le net que j’ai connu (son nom n’a aucune importance) celui qui allait prendre une grande place dans ma vie ; petit à petit, nous avions pris l’habitude de nous connecter à une certaine heure. Nous restions deux ou trois heures ensemble. J’’étais son soumis ; lui me commandait, me racontait ses fantasmes, ses envies. Avec lui et à travers l’écran, je n’avais aucune limite, aucun tabou ; c’est lui qui décidait de mes tenues. Il lui arrivait de me partager virtuellement avec d’autres internautes. Je pensais à lui jour et nuit, et j’attendais avec impatience de le retrouver. Il était marié, heureux en ménage, mais il aimait aussi avoir à ses ordres une petite coquine comme moi. Souvent, il me donnait des gages à effectuer le lendemain : c’est ainsi que j’ai dû aller au travail avec un plug bien enfoncé en moi, avec interdiction de le retirer. Si au début cette idée m’avait fait peur, ma crainte s’est très vite transformée en un plaisir humide, pour mon plus grand bonheur ; et le soir venu, je devais le retirer devant lui : mon petit trou élargi toute la journée ne parvenait pas à se refermer, et c’est sans peine que je m’enfilais trois doigts dans mon fondement et que je les agitais jusqu’au moment où mon orgasme me foudroyait. Puis, le corps vidé, je le regardais se masturber à son tour.
Ce n’est qu’au bout de huit mois environ qu’il se décida. – Cela fait maintenant plusieurs mois que nous nous connaissons ; j’aimerais vraiment te rencontrer. Le veux-tu ?Mon cœur martelait ma poitrine : si me dévoiler sur le net était une chose, se rencontrer en était une autre… mais je savais qu’un jour ou l’autre cela arriverait.– Euh, oui. Pourquoi pas ? Enfin, je ne sais pas trop…Pendant que nous parlions, je sentais mon corps brûler de désir ; oui, j’en avais envie, une envie folle : être sa femme pour une soirée, oh oui !– J’en suis heureux, me dit-il ; je connais un endroit très sympa et discret : ça te plaira, tu verras. Je mets ça en route et je t’en reparle ; en attendant, caresse-toi de nouveau, j’ai encore envie de jouir.
Sans attendre, reculant un peu mon siège de façon à ce qu’il me découvre entièrement, j’écartai légèrement mes jambes afin que mes mains puissent caresser l’intérieur de mes cuisses gainées de bas sombres. Je remontai lentement ma jupe jusqu’à la lisière de mes bas, puis ma culotte apparut à ses yeux ; lui, il avait sorti son sexe dressé et le faisait glisser dans sa main.– Continue, chérie ; tu es belle et excitante… Continue !Encouragé par ses propos, je glissai une de mes mains sous le fin tissu pour y trouver mon sexe attaché le long de mes fesses, mais que je sentais prêt à bondir. – Libère-le ; je veux le voir pointer vers le ciel.N’attendant que ça je tirai un bout de la cordelette, ce qui eut pour effet de libérer mon sexe gonflé de sang. N’y tenant plus, je me levai, empoignai ce pieux dressé et, sans ménagement, je le branlai, pressé que j’étais de jouir. Je n’eus pas à attendre longtemps : de long très longs frissons me parcouraient le corps, et c’est par de puissants jets de foutre que mon écran fut aspergé.– Salope… Regarde !À son tour, il approcha son sexe de son écran, et tout comme moi se déversa dessus.Je fis mine d’approcher ma bouche, sortis ma langue et léchai l’écran.– Tu m’as vidé, mon amour ; j’ai hâte de te rencontrer… Quand je pense que ma femme est au salon à regarder la télé et moi dans la chambre à me branler comme un gamin, tu es vraiment très forte !Ce compliment me fit bien plaisir, et c’est sur ce sentiment que je coupai la connexion après lui avoir donné rendez-vous pour un autre soir.
Ce soir-là, je ne pris pas de douche, et gardai ma petite culotte pleine de mon odeur pour m’endormir en pensant au soir de notre première rencontre…
Peut-être serez-vous là pour la connaître ?
À bientôt, peut-être…
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