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Enfin seule...

Chapitre 1

Travesti / Trans
1. Premier soir
Les vacances d’été étaient arrivées et, pour des raisons professionnelles, j’avais dû rentrer plus tôt chez moi, laissant mon épouse et mes enfants dans la demeure familiale au bord de la mer. Arrivée dans mon appartement vers 21 heures le dimanche soir, je ne devais revoir ma famille que le dimanche après-midi suivant. J’étais seule dans l’appartement, seule pendant une semaine et cela me convenait très bien.
A peine avoir jeté mon sac sur le divan, je fonçais à la cave chercher ma « valise spéciale », celle qui contenait mes « affaires », celles que je ne sortais que quand j’étais seule, celles qui allaient transformer le mari que j’étais en cette petite salope vicieuse avide de sexe que j’adorais être.
Ces affaires étaient de toute sorte. Il y avait des vêtements de vinyle ou de latex, des combinaisons zentai, des jouets, quelques effets me donnant un aspect féminin, comme ces faux seins en latex, mes perruques, et mes couches…
Oui, j’avoue, j’aime les couches, j’aime en porter et me sentir bien protégée. J’aime les remplir de ma liqueur dorée, les porter lourdes et bien humides, et ressentir cette douce et enivrante chaleur qui inonde mon bas-ventre. Oui, je suis une fanatique de l’urophilie… par contre, ne me parlez pas du reste… Là, non ! Pas de scato, j’ai horreur de ça !
Et le soir là, j’avais tenu tout le trajet sans aller une seule fois aux toilettes, j’avais une envie terrible de me soulager mais je voulais le faire une fois prête et pas avant ! Du coup, je fus rapidement nue, je posais mes faux seins de bonnet E dans le soutien-gorge sans couture et l’attachais sur ma poitrine, me donnant ainsi cette silhouette sensuelle à la poitrine plus que généreuse, j’enfilais prestement la couche et prenais en main la combinaison zentai mauve. J’allais devenir cette poupée fétiche.
Mes jambes, mes cuisses, mes fesses disparurent très vite sous cette seconde peau, puis ce fut le cas du torse, des bras et pour finir la tête et les épaules. Une légère contorsion me permet de remonter le zip dans le dos. La poupée était enfin prête !
L’envie de me soulager était forte, puissante mais je luttais encore. La poupée devait être habillée désormais. Mes mains se tournèrent ce corset qui vint rapidement sur ma taille, l’enserrant, creusant mes reins, sculptant mon corps. Lentement, je serrais et je sentais la pression continue des baleines d’acier forçant mon corps à prendre cette forme si chaude, si attirante, d’autant plus que la couche donnait à mes fesses un air bien rebondi. La poitrine lourde, les hanches creusées, les fesses généreuses, je me sentais enfin femme !
Puis ce fut le tour d’une paire de bas-résille noirs que je revêtais sur les jambes avec extase, attachant ces bas aux lanières du porte-jarretelles intégré au corset. Rapidement, je sentais le long de mes cuisses cette tension continue, délicieuse, envoutante, excitante, si excitante que mon clitoris se mit à gonfler d’envie et se prit au piège de la cage ouatée qu’était la couche.
Ce fut enfin le tour du petit jupon blanc, puis de cette robe lolita dont le bas venait juste à la hauteur des bas. Une longue perruque noire compléta l’ensemble de même qu’une paire de bottines style 1900 et des mitaines en dentelle noire. La poupée était enfin prête.
Radieuse sous ma peau mauve de poupée, perchée sur les talons des bottines, le corps sculpté et modulé, j’étais heureuse. Fermant les yeux de plaisir, je laissais mon corps se soulager, remplissant peu à peu la couche, plongeant mon bas ventre dans une lourde chaleur humide sensuelle et torride.
Je sentais cette chaleur m’envahir, remplissant pleinement ma couche. Je restais là quelques instants debout, perchée sur ces talons, savourant ces sensations. Elles étaient si sensuelles, si torrides que la poupée, une fois sa couche remplie, alla se frotter comme une chienne, procurant au clitoris enfermé de si délicieuses sensations dans son petit nid douillet, qu’il explosa rapidement, apportant une nouvelle touche humide à l’entrejambe de la poupée d’un suc blanc, chaud, onctueux, se mélangeant peu à peu avec la liqueur dorée…
Pourtant, je ne me sentais pas encore totalement satisfaite. La couche pouvait encore supporter de nouvelles envies et j’allais en cuisine chercher une grande bouteille d’eau. Était-ce liée à l’excitation, était-ce liée à la combi zentai qui m’enfermait dans un cocon de douce chaleur que ma sueur envahissait peu à peu, je ne savais pas et cela n’avait pas d’importance en fait. Ma soif était grande et boire me permis de la vaincre, tout en donnant à ma vessie de quoi alimenter de nouvelles fois mes envies de liqueur dorée.
J’allais alors m’assoir devant l’ordinateur, me connectant sur un canal vidéo pour me montrer, juste me montrer et en tant que salope, exciter sans concrétiser, j’étais bien, détendue, soulagée, sexuellement ravie et apaisée. Je savais que l’ouragan érotique et sensuel reviendrait très vite, je n’avais pas joué avec ma chatte anale et elle en avait envie...
La bouteille d’eau se vida peu à peu et, à plusieurs reprises, je savourais ce moment intense d’uriner en étant regardée sans que mes voyeurs ne sachent ce que je faisais. J’adore ce moment où se mêlent à la fois la honte de se souiller et l’excitation d’oser le faire devant quelqu’un.
Verre après verre, petit pissou après petit pissou, la couche prenait enfin le poids et l’importance que j’espérais. J’allais bientôt atteindre le point où cette couche ne pourrait plus lutter avec mes envies. Jusqu’à présent, à ce moment là, je savourais son poids et la puissance de sa chaleur en marchant, trottant par moment sur mes talons. Là, je voulais franchir un cap d’autant plus qu’une amie de mon genre, adepte de couche elle aussi, venait de se connecter. La décision fut vite prise. Je mettais rapidement fin aux conversations diverses, d’autant plus vite qu’elles ne méritaient guère d’intérêt, les correspondants ce soir là étaient totalement incapables d’apprécier mes envies du moment.
Mon amie me contacta et j’en fus ravie ! Je lui demandais un petit délai de cinq minutes avant d’activer la cam. Elle supposa que j’étais en train de me préparer et m’accorda ce délai. J’en profitais pour retirer ma robe de lolita et le jupon, ne gardant que les bas sur ma seconde peau mauve. Je sortais aussi pour la première fois une petite bâche en plastique de deux mètres par deux que j’étendais sur le sol, remontant ses bords et me plaçant au milieu. Un test rapide en local me confirma ma première impression : la bâche n’était pas visible à l’écran…
Je lançais alors l’invit pour avoir une communication audio et vidéo. Mon amie était superbe dans sa robe de vinyle noire. Elle aussi avait mis des prothèses d’une taille indécente. Et son maquillage exprimait tout à fait ce que sa nature féminine voulait être, une véritable catin. Elle était délicieuse, désirable et elle faisait partie du petit groupe restreint de personnes avec qui je crois que j’oserais franchir le pas d’une relation physique intime. Elle était belle et elle me faisait terriblement envie. Son corps exultait d’une impudeur totale et je sentais monter en moi toute la force d’un désir saphique. Si nous étions spatialement proches, je l’aurais invitée à venir chez moi, tout mon corps, mes sens, mon âme la désiraient…
Elle était assise à son bureau et je ne voyais que son buste et son visage de pute. Elle était toujours aussi belle, désirable et une part de mon être était frustrée par le fait qu’elle ne puisse pas être là physiquement à mes cotés…
Perchée sur mes talons, j’arpentais pour elle mon carré de deux mètres de cotés, je sentais la pression de la couche, lourde, si lourde, si remplie que je sentais son humidité devenir liquide, me confortant dans ma décision. Mon amie était ravie de me voir en poupée. Je savais qu’elle aussi aurait envie d’être à mes cotés.
M’exposant entièrement à son regard, plongeant mes yeux dans les siens au travers de la webcam, je laissais alors mon corps aller, laissant couler mon jus doré une fois de plus dans cette couche qui n’en pouvait plus en supporter plus…Et peu à peu, elle rendit grâce, libérant ce flux doré qu’elle ne pouvait plus garder…
Je savais que j’avais trop bu de thé et le résultat dépassa mon espérance. Devant mon amie, la poupée que j’étais se souillait ouvertement. Elle voyait la marque de mon jus doré gagné sur la toile moulante de la combinaison mauve… La sensation était dévorante ! Je me sentais à la fois honteuse de m’humilier ainsi devant elle et plongée dans une excitation prodigieuse !
J’étais trempée, mon jus doré me coulait le long des cuisses, m’inondant totalement, souillant les bas, les bottines… Du haut de mon abdomen jusqu’à la pointe des bottines, je montrais à mon amie la marque humide de ma soumission totale. J’étais à elle désormais…
Quand j’ouvrais de nouveau les yeux, je vis son regard. Elle aussi maudissait la trop grande distance entre nous. Ce soir là, je lui aurais offert totalement mon corps si elle avait été proche. Peu importe qui serait venue chez qui, la nuit aurait été saphique et délicieusement humide entre nous…
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