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L'enfoutreur

Chapitre 3

Voulez-vous saillir ma femme en public ? partie 1

Orgie / Partouze
C’est curieux le nombre de types qui ont envie qu’on saute leur femme. C’est l’une des demandes les plus fréquentes qui me soient faites.
Chaque cocu en puissance s’imagine être le seul dans ce cas-là et est persuadé que je vais immédiatement bondir sur une opportunité aussi rare. Pour les uns, il s’agit de réveiller le piquant de leur vie sexuelle devenue monotone, pour d’autres de réaliser un fantasme après de nombreuses heures à se taper une queue sur des sites pornos. Je décline très souvent par manque d’intérêt. Il faut vraiment que la nana soit belle, ou le couple pour des plans à trois qui peuvent s’avérer bien sympathiques. Donc il est rare que je souscrive à la demande.
Néanmoins l’une d’entre elles me parut inhabituelle et prit des développements inattendus, pour l’organisateur comme pour moi.D’abord parce que le demandeur me vouvoyait. La plupart de mes interlocuteurs s’imaginent en effet que le fait de voir ma queue et mes boules sur leur écran les autorise immédiatement à me tutoyer. Là, on sentait du Style.
"Cher Monsieur. Votre site a retenu toute mon attention. C’est un concept novateur appelé, j’en suis sûr, à rencontrer un très grand succès. Il faut dire que vous avez un capital de départ propre à assurer le plein essor de votre petite entreprise. Aussi serais-je enchanté si vous vouliez bien vous rendre à mon invitation afin de vous présenter un projet simple mais qui demande une certaine expertise que, je crois, vous pouvez m’apporter. Mon épouse est très infidèle et je voudrais lui témoigner, par le cadeau de votre corps, que je n’en suis pas jaloux mais que cela mérite néanmoins une petite leçon. En d’autres termes, auriez-vous l’obligeance de bien vouloir la saillir devant un public d’amis triés sur le volet.Bien cordialement"Amédée-Jacques d’Imbot-Granvy.
Suivaient des coordonnées pour prendre rendez-vous avec un collaborateur.
Je crus d’abord à une blague mais je me renseignai.
Amédée-Jacques d’Imbot-Granvy est à la tête d’un regroupement d’entreprises qui lui assurent une fortune colossale et une discrétion dont peu de milliardaires peuvent rêver.
Ses bureaux sont à la Défense. Je pris rendez-vous.
J’entrai dans une tour immense où l’on m’indiqua un ascenseur menant aux bureaux de la société que je recherchai après s’être vu confirmer que j’y étais bien attendu. On me confia un badge comme si j’avais dû visiter la banque de France.
J’arrivai dans un grand hall où l’on m’accueillit comme une altesse royale. Une hôtesse me conduisit à un autre ascenseur qui menait directement au "sein des seins". Là un secrétaire me reçut et me confia à une forte accorte jeune fille aux formes parfaites dans une tenue stricte étudiée pour les mettre en valeur sans que ce fût vulgaire. Elle me proposa avec un fort accent étranger un rafraîchissement en attendant que "Monsieur me reçoive". Je n’y donnais pas suite, préférant observer le salon luxueux, rempli d’œuvres d’art contemporaines, où je devais attendre.
Tout un coup, un homme assez jeune au physique quelconque entra dans comme une tornade.
— Cher Monsieur, désolé de vous avoir fait attendre. Imbot-Granvy, dit-il en me tendant la main.
Je me levai en me présentant à mon tour.
— Ah ! cher monsieur, cher monsieur... mais, on ne vous a rien servi... venez dans mon bureau...
Je le suivis.Le bureau était somptueux.
— Andréa s’il vous plait.— Monsieur ?
La jeune fille qui m’avait accueilli reparut.
— Servez-nous une collation je vous prie.
On me proposa du champagne et plusieurs alcools rares et de grand prix.
— Ah cher monsieur, comme je souhaite que nous nous mettions d’accord !— Voyons, Monsieur, voyons.— Tenez, voici une photo de ma femme.— Compliment Monsieur, elle est très belle... comme votre... assistante... d’ailleurs.— Pour mon malheur Monsieur, pour mon malheur. J’ai pris la succession de feu mon père, par beaucoup trop jeune. Je la néglige, je parle de mon épouse bien entendu... elle passe le temps avec mes amis, mes domestiques, d’autres encore... dès que je la laisse seule, on me la baise... je sais tout cela, comment lui en vouloir... Voyez comme elle est désirable...— En effet, Monsieur, en effet.— Donc, vous pourriez l’honorer sans difficulté ?— Au contraire, au contraire. Mais qu’attendez-vous au juste ?
L’exposé fut précis. Son infortune conjugale, il la partageait avec cinq de ses amis, riches comme lui, occupés comme lui et tous, d’ailleurs, ayant probablement sauté sa femme. Il se proposait de les réunir pour un cocktail avec leurs femmes respectives. A un moment, son épouse qu’on aurait fait patienter serait amenée dans la salle pour que je la baise devant les autres, ce qui servirait d’exemple aux conjointes des cinq autres cornards, lesquelles ne seraient pas dans la confidence au préalable évidemment.
Quant à moi, je n’avais qu’à faire ce que l’on me demanderait au moment où on me le demanderait, me foutre à poil, m’exhiber devant la société, baiser Madame.
L’accord étant conclu, je me retrouvai donc le vendredi convenu, en fin d’après-midi, au château de mon hôte.
Il y avait devant le perron des voitures de luxe dont le prix devait bien représenter en cumulé la moitié du PIB d’un pays d’Afrique.Un domestique noir, en livrée m’accueillit. Mon hôte me reçut avec la plus extrême cordialité.
— Ah mes amis, voici l’homme que nous attendions. Nous allons pouvoir passer à la surprise que je vous promettais. Suivez-moi.
Nous quittâmes le vaste salon où les vivres abondaient et où des flacons de grand prix étaient débouchés et régalaient déjà les convives. Il y avait effectivement cinq couples dont aucun ne devait atteindre la cinquantaine.
Les hommes étaient en costumes, les femmes, en robes de soirée, décolletées ; toutes très belles et croulant sous des bijoux étincelants.
Nous traversâmes une enfilade de pièces, descendîmes un escalier et nous trouvâmes dans une magnifique salle voutée, très spacieuse, éclairée avec soin, magnifiquement fleurie et aussi bien achalandée en victuailles que le salon où je n’avais fait que passer.
Pendant le transfert, les femmes s’interrogeaient sur la surprise. Les hommes tenaient des propos insignifiants. Au milieu de la pièce se tenait une sorte de ring, très très vaste avec des fauteuils tout autour. Le domestique qui m’avait accueilli était là avec un autre qu’on aurait pu prendre pour son clone et un troisième, noir aussi mais beaucoup plus âgé, bedonnant et la tête blanche.Mon hôte fit asseoir ses invités.
— Mesdames, mes chers amis, laissez-moi vous présenter mon très cher ami l’enfoutreur.
Une femme gloussa.
— Comment ? Qu’avez-vous dit ?— Vous m’avez bien compris chère amie, enfoutreur.— Mais, je ne comprends pas, quel est le sens ?
Toutes les femmes se tortillaient, inquiètes ou émoustillées, sur leur fauteuil en montrant leur apparente désapprobation face à cette vulgarité.Le mari de celle qui avait parlé lui répondit.
— Mais enfin Sylviane, vous n’êtes plus une oie blanche ! Enfoutreur, cela veut dire ce que cela veut dire.— Du reste Madame, précisai-je, ce n’est pas mon état, c’est juste une activité annexe que je rends par service, un passe-temps...— Oui, vous avez compris Mesdames. Ce jeune homme est fortement doté par la nature d’un appendice caudal propre à réaliser tous les fantasmes...
Une femme se leva sans qu’il ait eu le temps d’achever.
— Partons ! J’en ai assez entendu. Quel scandale !
Son mari lui intima l’ordre de rester d’un ton qui n’admettait pas la discussion Et pour être bien compris, il l’a saisi fermement par la main pour la faire asseoir.
— Mesdames, reprit Amédée-Jacques, dans quelques instants, nous allons aller chercher mon épouse. Vous m’avez demandé où elle était et bien vous allez la voir. Pour la mettre face à ses nombreuses infidélités, Monsieur qui est ici va la saillir devant vous...
Toutes les femmes se récrièrent, protestèrent qu’elles n’assisteraient pas à la scène, voulurent se lever.
Elles se dirigèrent vers la porte qu’elles trouvèrent fermée. Un des convives intervint.
— Allons Mesdames, point d’hypocrisie. Mes amis et moi savons tous que vous nous trompez. Nous formons un cercle de cocus plus ou moins consentants et qui, jusqu’ici faisaient semblant d’être aveugles... Vous nous trompez... Nous ignorons juste quand avec qui, pourquoi... et d’ailleurs, lequel d’entre nous n’a pas déjà fait l’amour avec la femme d’un des autres présents ici ce soir, voire de tous les autres. Notre amitié a survécu à cela. Ce soir vous allez voir ce qu’il en coûte de nous cocufier. La femme de notre ami va être offerte devant vous à l’appétit d’un mâle en rut. Je crois que vous trouverez la punition magnanime. Maintenant regagnez vos places et tenez-y vous tranquilles.
Après moult hésitations elles obéirent, rouges de confusion d’être ainsi mise à nue, si l’on peut dire et n’ayant aucun argument à présenter pour leur défense, chacune ayant bien compris que, si elle se récriait, elle serait démentie dans l’instant par l’un de ses amants présents sur place. Chaque mari fit asseoir son épouse fort galamment et dès qu’elles furent dans les fauteuils, chacun sortit une paire de menottes de sa poche. Elles se retrouvèrent attachées à l’accoudoir avant d’avoir dit quoi que ce soit.
— Maintenant cher ami, voulez-vous monter sur le lieu de l’exécution et montrer à ces dames les dimensions généreuses de votre pénis.— Certes.
Je me déshabillai donc. Les femmes ne pipèrent mot mais les hommes reconnurent que j’étais calibré comme un âne.
— Allez chercher Madame dit le châtelain à un des domestiques... mais surtout ne me la baisez pas en route !— Bien monsieur.— Je vous demande le plus complet silence. Dans un premier temps ma femme ignorera que vous êtes là. Au moment voulu nous lui enlèverons sa cagoule.
Quelques instants après le domestique entra. Il tenait la femme en laisse par le cou.Elle était entièrement nue et cagoulée de sorte qu’on ne voyait que sa bouche. Ses mains étaient attachées dans le dos. Elle portait des pinces sur ses tétons. Ses seins étaient gros et fermes.Son pubis était entretenu et sa toison formait un triangle brun parfait.Elle marchait fière, consciente de sa beauté, sur des chaussures à talon.
— Merci Syméon ! Montez ma chère, montez. Dit son mari en la conduisant par la main. J’ai une surprise pour vous— Quelle est-elle ?— A vous cher ami... Ma chère, voici l’enfoutreur. Il appuya sur le mot.

Je m’approchai d’elle, la queue tendue et l’effleurai d’abord de mes doigts puis de l’extrémité de ma bite avant de me coller dans son dos et de tirer lentement sur les pinces à tétons.
— Ah mon dieu, fit-elle... Elle est énorme !— Enorme ma chère, énorme... je n’en ai pas trouvé de plus grosse... profitez en bien !— Pas ici, pas sous vos yeux.— Cocu pour être cocu, autant que j’y participe un peu... D’habitude vous n’avez pas de scrupules pour vous faire sauter ce me semble...— Oh, que dites-vous là ! ajouta-t-elle d’un dont où il y avait plus une légère provocation qu’une réelle indignation.— Mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises.— Vraiment ?— Vous verrez.
Pendant ce dialogue, j’avais exploré des mains ce corps sublime. Puis je lui murmurai : "suce-moi"
Elle pivota, se mit à genoux et chercha ma queue. Son mari s’était déboutonné et branlait lentement une bite de taille moyenne ; Un rapide coup d’œil autour me fit voir que tous les gars bandaient sous leur costard. Les femmes baissaient les yeux tout en se dandinant sur leur fauteuil... de jalousie ou d’impatience, ou les deux ?Je détachai les mains de Maguelonne, ainsi s’appelait-elle, pour qu’elle pût me branler tout en me pompant l’extrémité du dard.
— Alors qu’en dites-vous Madame ? demanda son mari.— Exceptionnel Monsieur, exceptionnel. Long, épais, dessiné, dur...— Ne vous tarde-t-il pas de le prendre dans le cul ?
Cette question fut suivie d’un "oh !" scandalisé émanant d’une épouse de l’auditoire, choquée.
— Nous ne sommes pas seuls ? demanda Maguelonne.— Pas tout à fait.— Qui est là ?— Vous allez voir... mais d’abord, l’enfoutreur va vous pénétrer.
Je la fis mettre à genoux et me présentai par-derrière. La vulve s’écarta comme une fleur qui éclot et je poussai lentement mon énorme pieu dans ce trou accueillant, confortable et chaud.Elle gémit pendant toute l’intromission.Quand ma bite fut tout au fond, elle ne put se retenir.
— Quelle queue ! Quelle queue, déchire-moi bourrin, déchire-moi.
Alors je ne me retins pas. Mais d’abord, j’ôtais les pinces à tétons car elles me gênaient pour bien profiter des nichons.Ainsi placé, je pus voir le couple qui me faisait face et deux autres sur les côtés. Les hommes avaient tous la bite à l’air et se tenaient derrière le dossier des fauteuils où les femmes étaient assises.
Amédée-Jacques fit un signe discret aux trois valets qui se tenaient sagement au garde à vous contre les murs. Aussitôt, ils se désapèrent. Tous les trois étaient équipés de sacrés démonte-pneus !
— Et bien Monsieur, dis-je à mon hôte, il me semble que vous pouviez vous passer de moi.— Ne soyez pas modeste, vous les dépassez tous de deux à quatre centimètres au moins. Le plus âgé est Gédéon, il servait déjà mon père. C’est lui qui m’a mis au courant des infidélités de mon épouse ; Il m’a suggéré d’employer quelqu’un pour la satisfaire à domicile et la retenir d’aller voir ailleurs... et comme il ne suffisait pas à la tâche, j’ai donc embauché ces deux mire-balais qui sont là officiellement pour d’autres tâches. Sauter ma femme est un avantage en nature.
Et, ayant dit cela, il enleva la cagoule de sa femme...
Elle n’eut qu’un petit "Oh ! " de surprise en voyant les autres couples sur lesquels elle ne jeta qu’un rapide regard, mais ne dit rien de plus continuant à onduler sous mes coups de bite comme si les autres couples n’étaient pas là ou, plutôt, comme si, au contraire cela la stimulait de les voir. J’en conclus qu’en plus d’être nymphomane, elle était exhibitionniste.
Le gars du couple qui se tenait devant moi, un quadra avancé avec les cheveux blancs et dont la femme rousse avait un décolleté plongeant, quitta les manœuvres qu’il imprimait à sa bite pour dégager d’un coup les seins de sa femme en écartant les pans de la robe, libérant une splendide mamelle toute blanche aux tétons pointus.
Elle ramena la main libre, celle qui n’était pas attachée au fauteuil par les menottes, sur sa poitrine, comme pour se protéger.
— Vous êtes fou, qu’est-ce qu’il vous prend ? M’exposer ainsi... cette... débauche est déjà suffisamment pénible.— Madame, lui répondit-il, il y a plusieurs sortes d’épouses. Il y a celles qui se marient par amour, celles qu’on marie de force, celles qui épousent un étalon et celles qui se marient pour l’argent. Ces dernières sont les pires des putes et vous en faites partie.— Oh ! — Ne protestez pas ! Vous m’avez séduit par votre beauté après fait le tour de plusieurs partis pour choisir le plus riche, cela vous a bien sûr contraint à coucher un peu... Vous avez par exemple fait l’amour avec Jean-Patrick ici présent et avec mon chauffeur... mais mon chauffeur, c’était pour le plaisir, pas pour l’épouser...
— Ah ce propos dit Amédée-Jacques... si on allait les chercher nos chauffeurs ?— Pas tous Monsieur, suggéra Gédéon. Je préconise, en effet le chauffeur de Monsieur Ferdinand, il a déjà sauté Madame et elle s’en est fort bien trouvée et celui de Monsieur le baron, qui est jeune et m’a l’air fort porté sur la chose.— Allez les chercher Gédéon.— A condition, reprit le baron, que mon chauffeur ne baise pas ma femme, je suis d’accord.
Gédéon se rhabilla et pendant qu’il faisait ce qu’on lui avait demandé, le gars en face moi continuait d’exhiber les seins de sa femme. Il fit signe à un valet de venir.
— Athanase ?— Monsieur ?— Fourrez-moi cette grosse pute.— Bien Monsieur ! Certainement, avec plaisir.— Vous n’allez pas...— Si Madame, si. Vous aimiez les amours ancillaires, reprenez-en !
Le black traversa la pièce, sa grosse tige se balançant majestueusement, et se planta devant la femme soumise. Il souleva la robe, fléchit les genoux écarta la soie rouge de la culotte et entra dans la fente.
Je compris qu’on m’avait amené pour être seulement, un boute-en-train, le détonateur d’une orgie dont la pénétration à laquelle je venais d’assister ne fut que le signal du départ après les hors-d’œuvre que je venais de servir avec la maîtresse des lieux.
Les hommes se mirent à poil et commencèrent à peloter leurs femmes. Gédéon revint avec deux chauffeurs, un trentenaire et plus jeune, très costaud qui ne se fit pas prier pour sortir son zob de son costard.
La femme qui se faisait sauter par Athanase ne résista pas longtemps aux coups de manches du géant et demanda, supplia même, qu’on la détache pour se cramponner aussitôt au mâle pour qu’il la pine bien à fond... Elle gémissait déjà de bonheur.
Les autres femmes se faisaient tripoter, branlaient et suçaient. Leurs appâts se dévoilaient lentement à mesure que les hommes attaquaient la poitrine ou la culotte.Quand elles furent toutes nues, Amédé-Jacques ordonna :
— Amenez -moi toutes ces putes ici, foutez-moi leurs croupes en l’air, les unes contre les autres.
Rapidement, les six femmes se trouvèrent rangées prêtes à la levrette. Nous étions désormais deux hommes pour chaque femme, parfait équilibre, et je m’imaginai ce qui devait se passer ; Amédée-Jacques avait récupéré les pinces. Il les avait lestées plus lourdement et accrochées aux grandes lèvres de son épouse.
— Mesdames, laquelle ne s’est jamais fait prendre par le cul ?
Personne ne répondit.
— Ne faites pas les timides Mesdames, il n’y a pas de honte à cela... Aucune vraiment ? Vous connaissez déjà le bonheur de la queue dans le petit trou... Et vous mes amis, qui a déjà sodomisé sa femme ? Personne ? Elles sont encore plus putains qu’on ne pensait. Chers amis, ce soir je vous offre le cul de votre épouse... quand l’enfoutreur l’aura bien élargi... Commencez par ma femme... en attendant messieurs, chauffez-leur la raie et faites-vous pomper.
Comme je demandai du gel, on me dit qu’il faudrait m’en passer. Il fallait lubrifier à la salive ou à la cyprine.
Je commençai donc à défoncer Maguelonne qui hurla de douleur.
— Allons chérie, elle n’est pas tellement plus grosse que celle de mes valets que vous employez si souvent, du courage !
Au final ma verge entra assez facilement et je pus aller et venir dans son trou pour mon plus grand plaisir. La femme cria encore, surtout quand les mouvements s’amplifièrent et que les poids qui pendaient à son sexe se mirent à bouger.
Puis je passai à la suivante. Amédée-Jacques pénétra le cul de sa femme aussitôt tandis que ses amis montraient assez peu d’allant par crainte, je crois, d’éjaculer précocement.
Seuls les trois blacks, le jeune chauffeur et moi avions l’air de tenir la distance.
Cependant, je dois avouer que je n’avais pas une pratique soutenue des orgies et que toutes ses croupes offertes et toutes se bites dressées m’excitaient plus qu’à l’ordinaire et je dus me ralentir un peu. Je risquai de perdre le contrôle et de jouir trop vite en inondant un cul sans avoir pu forcer les autres.
Pour me contenir, je pris donc le soin, avant chaque sodomie de me reposer la trique en jouant de ma langue sur les raies du cul et les vulves avant d’y glisser mon dard. Je pus ainsi me reconcentrer et achever la tâche pour laquelle j’avais été invité.
A chaque fois qu’après avoir labouré l’anus d’une dame pendant quelques minutes je laissai place nette (enfin pas toujours si nette que ça) son mari s’y plantait et s’y déchainait brutalement. Il y avait du règlement de compte de cocufiage dans l’air. Les nanas erraient malmenées, insultées, fessées et, toujours, le mari stimulait un autre mec pour qu’il s’occupât des nichons et de la bouche.
A partir de la troisième, le mari eut l’idée de demander à un black de se glisser sous sa femme, de lui planter la chatte pendant qu’il lui fendrait les fesses.
Mes dernières patientes eurent donc droit à des doubles en bonne et due forme mais avec plus de fantaisie.
Ainsi, le plus grand de la bande, qui se prénommait Victor, haut de plus de deux mètres et qui était marié à la femme la plus petite et la plus jeune, la fit mettre debout, récupéra les poids qu’il accrocha aux petits bouts de seins tout roses sans tenir compte des protestations de l’intéressée, la fit se plier en deux et l’obligea à avaler la bite d’un des autres époux qu’il savait l’avoir cocufié. Puis il s’emballa pour lui limer sauvagement la rondelle.Quand j’eus démonté les six culs, je me rendis disponible là où on m’appelait, soit pour participer soit pour donner les conseils qu’on me demandait, surtout pour gagner en endurance...
Je pensai que la soirée allait vite toucher à son terme dès que toutes les couilles auraient été à sec. Je me trompai...
A suivre
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