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L'enfoutreur

Chapitre 6

Où je m'adjoins deux acolytes qui font six pattes.

Zoophilie
Mais Jérémie, par manque de pratique sans doute, s’avéra moins endurant. Alors qu’il se faisait sucer, il éjacula, mais en se retirant car il ne savait pas s’il pouvait jouir directement dans la bouche de la femme. Elle se redressa, pour profiter sans doute du spectacle ineffable d’une belle fontaine de sperme jaillissant, et elle en reçut une sacrée dose sur le visage et les nichons.
Sacré bordel de merde. Il me chauffe ce gaillard-là ! Il a les couilles aussi remplies qu’un jerrican d’essence. Jamais vu autant de foutre d’un coup ! Dit Roger qui vint se faire sucer à la place de Jérémie. Il est vrai que le gamin jutait comme un geyser.
La garce dandinait bien de la croupe, sans mollir sur le zguègue de son mari qu’elle sirotait comme du sucre d’orge. Je lui pinais le fion comme à l’exercice. Ma queue entrait, sortait, entrait, sortait... mes couilles ballottaient et j’avais envie de jouir dans ce gros cul.
Jérémie s’était approché pour me regarder faire et commentait.
— Ah dites donc, ça c’est du cassage de cul. Putain le mandrin ! il rentre tout entier et jusqu’aux couilles... je me demande comment elle peut supporter un truc pareil... Et pourtant, le mien il n’est pas petit !— Si tu veux savoir ce que ça fait dans le cul, faudra que je te pine !— Lol !— T’as jamais pris une bonne teub dans ton p’tit trou ? demandai-je.— Non, j’suis hétéro 100 %... et toi ?— Moi, je prends le plaisir d’où qu’il vienne !— Vrai ?— Tel que je te le cause... tiens chienne prends ça... tu l’aimes ma grosse bite dans ton cul là ? Repris-je à destination de la femme.— Hmmmm ! répondit la meuf qui, bien élevée, ne parlait pas la bouche pleine.— Tu veux dire que... si je bandais là... et que j’voudrais te prendre dans le cul... tu serais OK ? Me demanda le petit Belge.— J’le fais pas avec tout le monde... mais t’es bien foutu... j’pense qu’il y a moyen... Ça te dirait ?— Ben, j’ai jamais pensé à ça en fait...
Notre conversation fut interrompue par Roger qui arrivait au bout et qui gicla sur sa femme en tenant fermement son braquemart violacé en face de la tronche offerte.
— Viens là ! M’ordonna-t-il.
Je quittai la chaleur du fion pour prendre la place.
Le visage de la femme était couvert de jus ainsi que ses gros seins où dégoulinaient lentement des grumeaux qui venaient s’ajouter à la décharge de Jérémie. Le tapis de sol en avait recueilli de petites quantités tombées comme la cire d’un cierge. De l’extrémité de mon gland, je ramassai quelques larmes sur les joues de la femme et enfonçai mon zob.
La suceuse était gourmande et je kiffais à mort cette fellation bien crémeuse et experte. Mes compagnons regardaient en m’encourageant et en couvrant la femme d’insultes. A ce petit jeu, le jeune Belge s’enhardissait maintenant alors qu’il s’était jusqu’à présent tenu coi. Je n’avais pas de raison de me retenir et de me concentrer. Je me laissai aller tranquillement jusqu’au plaisir. A la demande expresse du mari, je joignis mon sperme à celui des deux autres.
Quand j’eus vidé mes couilles et qu’elle m’eut nettoyé la bite aussi proprement que l’auraient fait les rouleaux qui lavent ma bagnole dans les stations-service, je me retirai.
Tous les trois, verge pendante, nous faisions cercle autour de la femme qui eut des velléités de se relever.
— A quatre pattes, grosse truie ! Lèche le jus sur le tapis et qu’il n’en reste pas une goutte ! Et vas-y lentement, comme si c’était du sorbet, on veut bien profiter du tout.
Personnellement, cela ne me faisait pas triper mais si ça amusait les deux autres, pourquoi pas ? D’ailleurs, ça amusait aussi le chien qui s’était approché et reniflait. Son jeune maître l’écarta en le repoussant gentiment du pied.
— Couché le chien !
Au même moment, il y eut un raffut de tous les diables de l’autre côté de la canardière. Nous nous retournâmes tous les trois et nous approchâmes de l’allège pour voir ce qui effrayait autant les oiseaux.
Comme nous évoquions ce qui avait pu se passer, Jérémie se détourna et cria
— Oh, Le chien, arrête, arrête !
Nous fîmes à nouveau demi-tour pour voir le jeune gars qui se ruait sur le chien occupé à nettoyer la chatte de la femme avec sa langue. Celle-ci se laissait faire tout occupée qu’elle était à aspirer les dernières traces de sperme qui maculaient le tapis.
— Laisse gamin ! hurla Roger ! Laisse ! J’veux voir ça bordel !
Jérémie stoppa net.
— J’hallucine. Regardez-moi cette grosse cochonne ! Elle a le museau d’un clébard dans la raie... elle se fait bouffer le cul par le clebs et elle ne dit rien. !
Il se mit à genoux à côté de sa femme et lui dit à l’oreille.
— T’aimes ça grosse cochonne... Mais oui ma parole, tu jouis. T’adores qu’il te bouffe le cul... putain ça m’excite !
Quant à moi, je considérai la scène avec curiosité. J’avais été invité à venir baiser une épouse docile ; un jeune trimardeur avait pris ma place et maintenant c’était un chien. J’en avais déjà vu sur des sites pornos mais là tout de même c’était peu banal.
La femme ne dissimulait pas son plaisir. Yeux mi-clos, la langue dépassant de temps en temps de ses lèvres quand elle ne se les mordillait pas, tout indiquait que le chien lui faisait du bien.
Le petit Belge n’arrêtait pas de répéter :" ah ben ça alors, ah ben ça alors, mon toutou ! T’es gonflé ! Qui t’a permis, hein ? Qui t’a permis ?"
Et puis tout à coup, le chien s’arrêta de lécher, il renifla le cul de Solange puis commença à la grimper. Il n’eut pas trop de mal à lui monter sur le dos, la griffant au passage puis il essaya de la pénétrer.
— Putain, il la monte ! S’esclaffa le mari !— Arrête le chien, arrête ! dit son jeune maître, un peu pour la forme.— Pourquoi veux-tu qu’il arrête, pauv’ bête. Elle l’a bien chauffé, faut qu’il en profite... il a l’air équipé pour... Elle qu’aime la grosse bite, elle va en avoir..... Ils sont pas bien là tous les deux ?
Mais le chien n’arrivait pas à enfoncer son énorme tube rouge dans la raie pourtant luisante de sa propre salive. Il fallut que la femme l’aidât. Sans aucune gêne, le plus naturellement du monde, et comme si elle avait toujours fait ça, elle passa sa main droite entre ses jambes, attrapa le vit rouge, raide comme une tringle à rideaux, qui pissait régulièrement de petites giclées et le guida vers l’orifice où il disparut d’un coup, jusqu’au bulbe énorme qui vint s’écraser sur la vulve. Le chien se mit alors à pousser de toutes ses forces avec le rythme saccadé et régulier d’un marteau-piqueur.
Même si je ne servais plus à rien dans l’affaire, je décidai de rester car le spectacle était fascinant.
Solidement campée sur ses "quatre pattes", la femme avait trouvé la bonne inclinaison, le bon écartement et la bonne hauteur, bref la position idéale pour se faire saillir. Le chien y allait sans faiblir, toujours rapidement par petits coups violents. Sa langue pendait et il bavait abondamment.
Son maître lui caressait la tête en l’encourageant.
— Bien Le chien, bien ! Vas-y mon pépère, fais toit plaisir. Elle aime ça la dame.
Quant au mari, il s’était accroupi et parlait à l’oreille de sa femme, tout en lui tripotant les nénés qui ballottaient en dessous, animés par le poids et les mouvements de la bête. Il y allait aussi de ses encouragements.
— Espèce de traînée. T’es la pire chienne que j’aie jamais vue. T’aimes te faire grimper par un putain de clebs... tu kiffes ma salope, hein, tu jouis grosse pute !— Allez vous faire foutre avec vos petites bites ! Répondit-elle.— On a des petites bites les gars ! vous entendez ça ! Maintenant que Madame se fait enfiler par un molosse, elle fait la fière. Tu les aimais pourtant bien nos bites tout à l’heure, outre à sperme !— Oui vous avez des petites bites ! Lui son gros machin me percute tout au fond. J’aime sa boule qui m’écrase la vulve... c’est pas comme vos roustons minables qui me chatouillent... là y a du paquet !... et il arrête pas de juter en plus lui... Bande de bâtards ! ça c’est un mâle.
Elle était complètement hystérique.
De mon côté, je n’avais pas eu la curiosité de comparer ma queue à celle du chien qui, pour longue qu’elle m’avait semblé, ne m’avait pas cependant paru d’une telle démesure comparativement à la mienne, ni à celle de Jérémie d’ailleurs.
Je me penchai donc pour mieux voir ce qui se passait et apprécier les choses à fond.
Les testicules du chien pendaient et dansaient en cadence, mais elles ne m’empêchaient pas de voir effectivement le knot, gros comme une orange, qui écrasait la patte de chameau boursouflée. Bien que cette boule n’ait pas enflé dans la chatte de la femme et n’ait pas verrouillé le chien, celui-ci se maintenait fermement à l’intérieur du trou d’où dégoulinait sans arrêt un filet blanc qui ruisselait dans la fente avant de tomber en gouttes épaisses, comme si une canalisation fuitait, sur le tapis de sol qui en était de plus en plus couvert. J’eus la curiosité de saisir les couilles du chien pour en apprécier le poids. Je m’y pris avec précaution et il me laissa faire, captivé qu’il était par sa tâche. Elles étaient chaudes et pesantes. J’invitai le jeune garçon à regarder de plus près ce qu’il se passait comme je venais de le faire.
La femme n’arrêtait pas de gémir ou de jurer et son mari s’excitait sans pouvoir bander à nouveau cependant, à son grand dam. Il trempait désormais ses doigts dans la sauce du chien et les présentait à sa femme qui les léchait avec avidité.
— Putain, j’en peux plus moi de voir cette grosse chienne-là, dit-il en se mettant debout. Tiens prends ça dans ta sale gueule de grosse truie ! Je suis sûr que tu vas aimer.
Et il lui pissa sur le visage.
Je n’avais encore jamais fait un plan uro mais je sentis que je ne serais pas long avant de bander à nouveau. Il faut dire que le chien s’agitait bien depuis vingt minutes. Alors, j’en profitai à mon tour pour soulager ma vessie sur la femme et m’initier à ce jeu dont l’envie soudaine venait de me saisir... Le petit belge en fit autant.
Mais le chien résistait encore. La femme dégoulinait de partout, de sueur, de pisse, de sperme. Je me demandais si elle allait tenir longtemps comme cela... d’autant que ma verge, à nouveau, grossissait.
Je profitai des prouesses du chien pour faire plus ample connaissance avec son propriétaire et lui fit une proposition qu’il ne pouvait pas refuser.Je l’invitai à séjourner chez moi à Paris le temps de lui trouver un travail que je me faisais fort de lui dénicher dans la semaine, grâce à mes relations. J’avais, bien sûr, une arrière-pensée, celle de l’amener pendant ce temps à tenter avec moi des pratiques entre hommes, car il me plaisait vraiment et, pourquoi pas, vu ses généreuses dispositions à en faire un enfoutreur associé. Mais bien sûr, je ne lui en dis rien.
— Mais qu’est-ce que je vais faire de Le chien ? Je vais pas pouvoir l’amener à Paris.— Et bien je ne crois pas trop m’avancer en disant qu’il serait logé et nourri ici, au plus grand bonheur de ses hôtes, qui ne répugneraient pas non plus à ce que tu leur rendes visite régulièrement.— Oh oui, oh oui, on le garde ! Oh mon amour ? Mon Roger, hein dis oui, on le garde !— Un peu mon neveu qu’on le garde ! Une machine à saillir pareille ! A la condition mon petit bonhomme que tu grimpes la salope à chaque fois que tu viens nous voir !
Le marché semblait honnête.
— Topons là ! Proposa le gamin.— Waff ! Fit le chien comme s’il avait compris.
L’affaire fut donc conclue. Il ne me restait plus qu’à me masturber pour soulager ma tension.
— Dis-donc vous bandez bien encore hein, me dit Jérémie. — Tutoie-moi, tutoie -moi !— Quelle grosse queue !"Bientôt dans ton cul" pensai-je aussitôt.
Le chien tout de même arrivait à son orgasme. Il soufflait plus fort, il accéléra le rythme puis s’immobilisa tout à coup en se projetant bien en avant.
— Aaaaaah, fit la femme, il me remplit ! Aaaaaah.— T’es belle quand tu jouis salope, constata le mari.
Le chien descendit rapidement. Le trou exsuda une épaisse et abondante sauce blanche. J’eus un moment d’hésitation... très court. Je me remis derrière. Mes genoux rencontrèrent le matelas humide et j’enfonçai ma queue d’un coup dans la grotte pleine de foutre.
J’avais déjà purgé mes couilles dans des cons bien fécondés, mais là, j’eus l’impression de plonger mon sexe dans de la crème chaude. C’était hyper bon. Je commençai à bien bourrer.
— Retournez-vous, retournez-vous ! dit le mari.— Comment ça ?— Changez de direction pour qu’elle lèche le tapis en même temps, là où que le chien a juté.
Je libérai la femme le temps qu’elle se remette à quatre pattes et qu’elle écrase son visage sur le matelas imbibé de jute.
Le chien avait élargi le vagin et il me fallut quelque chose de plus serré alors je la repris dans le cul. Au moment de jouir, je me retirai pour déposer dans la raie culière les hommages de ma virilité.
La femme s’effondra. Le chien s’approcha et lui lécha le postérieur.
— V’nez les gars, on va prendre une douche.
A poil tous les trois, nous laissâmes la femme et son nouveau meilleur ami et nous nous rendîmes dans la maison pour faire nos ablutions.Puis nous partîmes au moment où la femme et le chien rentraient.
— A bientôt mon gros toutou, dit Jérémie.
Et nous prîmes congé avec la promesse qu’il reviendrait bientôt... transformé.
A suivre
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