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L'enfoutreur

Chapitre 7

Pochette surprise !

Avec plusieurs femmes
Mon jeune sexpadawan progressait rapidement. Pour le prendre en main, je l’associais à la plupart de mes sorties pour autant que mes commanditaires le voulussent.
Il se révéla à lui-même. Bête de sexe, aussi doué à voile qu’à la vapeur, actif ou passif, endurant et de plus en plus obscène.Mais, baiser des femmes en manque ou des garçons chaudasses des fesses ne nourrissait pas son homme.
Comme je le pensais, je lui trouvai un emploi. Un de mes amis, artisan plombier connaissait un charpentier qui cherchait de la main d’œuvre. Notre garçon fut embauché. Il donna satisfaction. Ses revenus ne lui permettant pas immédiatement de vivre sous son propre toit, nous vécûmes en colocation.
Nos week-ends étaient bien chargés. Le fait d’être à deux nous ouvrit des portes. Les plans à trois ou à quatre attirent.
Il y avait trois ou quatre mois que l’on vivait comme cela quand, un soir il me fit une proposition.
Il rentrait tard et frigorifié et était sous la douche où je décidai de l’accompagner. On se savonnait les fesses et la bite tout en nous faisant de petits bisous comme deux ados qui découvrent l’amour... Cela préludait à une chaude soirée.
— J’ai une proposition à te faire.— Laquelle ?— Mon boss et moi, on cause de temps en temps. Il est assez branché histoires de cul et propos salaces. Alors, de fil en aiguille, il m’a interrogé sur ma vie privée et moi sur la sienne...— Et ?— Il met sa femme en abattage.— Elle doit plus être toute jeune.— Comme lui, la cinquantaine bien tassée.— Bof...
Ce n’est pas que j’ai une prévention sur l’âge. Je suis capable de coucher avec n’importe qui du moment que le physique y fait. Mais, il faut reconnaître qu’il y a peu de gens qui s’améliorent avec les ans.
— Attends, attends, c’est pas tout.
— Quoi ?— Elle connaît quelques milfs qui, comme elles, voudraient se faire troncher... Femmes mariées, divorcées, veuves... et il cherche de la main d’œuvre... enfin de la bite d’œuvre pour une orgie avec ces dames.— Bof... toujours des vieilles.— Oui, mais... c’est un service qu’il me demande... j’peux pas lui refuser avec tout ce qu’il a fait pour moi.— C’est vrai... Y en aura combien de meufs ?— Sa femme et quatre ou cinq copines, l’une avec son mari. Trois mecs, cinq ou six nanas.— Quand ? — Dans deux semaines !— Pourquoi deux semaines ?
Le temps qu’on se laisse repousser le poil sur le ventre et sous les bras, enfin toi pour le ventre et nous deux pour les bras. Elles veulent des hommes.Il y avait un autre motif, plus important encore sans doute. C’était qu’il fallait pouvoir prendre le temps de faire les tests nécessaires à cette orgie qui se voulait bareback et sans risques. L’usage de la capote, de surcroit, était interdit, mais pas à n’importe quel prix. Le patron de Jérem, seul à connaître l’identité des participants, vérifierait les certificats médicaux.
— Bon, c’est d’accord. T’as des photos des meufs ?— Non, pas encore.— Tu peux en avoir ?— On va voir.
Il me ramena deux photos. Celles de la patronne, quinquagénaire rousse à gros seins, hanches larges, mais pas trop, un air bien salope, et une autre, doigt dans la chatte, même âge plus boulotte, mais appétissante, une bouche d’aspirateur à bites. On ne voyait pas le haut de son visage, elle avait un loup.
— C’est quoi ce loup ?— Il faut qu’on soit masqué.— Pourquoi ?— Elles veulent pas être reconnues. Il faudra en mettre un aussi.— Ben, pourquoi ? C’est elles qui veulent pas être reconnues...— Oui, mais elles ne veulent pas non plus être gênées si elles nous recroisent. Elles préfèrent pas savoir.— C’est con, mais bon... on va le faire.
Et le samedi soir convenu, nous nous retrouvâmes chez le boss de Jérem, dans un très beau pavillon de banlieue.
Mais, surprise, il y avait trois autres gars. Un mec par femme, ce n’est pas ce qui était prévu. J’eus la tentation de faire demi-tour, mais je restai pour Jérem.
Comme nous étions les derniers, ils étaient déjà tous à poil, attendant note arrivée pour rejoindre les femmes qui nous attendaient dans la pièce à côté. Comme il fallait préserver notre anonymat, nous avions un matricule. Bite 1, Bite 2, Bite 3 etc. Pour ne pas se tromper, nous portions un collier avec le numéro au bout.
Le patron, Adam, était un homme de 1,80 m, assez musclé, sans trop de ventre, par habitude, sans doute, de grimper sur les charpentes, avec des bras et des cuisses énormes, le crâne rond et sans un cheveu. C’était Bite 1
Bite 2, un septuagénaire sec, avec les poils blancs, était le mari d’une des femmes nettement plus jeune que lui. Il était accompagné par l’amant de cette dernière, un beur costaud à la grosse bite épaisse et circoncise, du même âge que Jérémie approximativement. C’était Bite 3.
Le quatrième était un trentenaire, célibataire roux, collègue de Jérémie qui était numéro 5, et dont le corps s’était sculpté sur les chantiers où il travaillait.
Vous connaissez déjà votre serviteur, le 6, moi.
Pour autant qu’on puisse en juger quand les queues sont molles ou demi-molles, tous ces garçons étaient plutôt bien dotés et, quand nous fûmes au cœur de l’action, j’eus la satisfaction, pour ne pas dire la fierté, de constater que j’ étais le mieux monté, encore que la queue du beur fût plus épaisse que la mienne, mais moins longue.
Après distribution, pour ceux qui le voulaient, de petites pilules bleues et une petite collation pour leur laisser le temps d’agir, on nous mit une cagoule et non un masque et nous entrâmes. Les femmes nous attendaient en cercle, à genoux, croupes élevées et offertes. On voyait peu leurs têtes, mais on devinait leurs masques ou, sur les cheveux, la ficelle qui les retenait. Elles avaient entre quarante ans à peine et un peu plus de cinquante. Cela formait une belle petite collection de culs et de chattes mouillées. Les chiennes s’étaient chauffées avant qu’on entre. Leurs abricots luisaient et ça sentait déjà bien la chnèque dans la piaule. Elles s’étaient doigtées évidemment et même gouinées.
Chacune avait un numéro correspondant au nôtre, dessiné au rouge à lèvres sur le cul et une phrase ou un mot d’invitation explicite : "Pute, prends-moi, bourre-moi la chatte, prends-moi dans le cul, Chienne en chaleur, trou à jus".
Nous devions saillir celle qui nous était attribuée pendant quelques minutes, puis on tournerait.
La mienne avait un gros cul. J’aime bien les culs bombés et musclés, mais le sien était une montagne de graisse. Je lui donnai une claque violente qui fit se trémuler les chairs. Je décidai de la sodomiser et pris l’un des nombreux tubes de gel à disposition. Le temps que j’enduise bien mon gros zob et déjà, à côté toutes les meufs couinaient. Les gars avaient tous choisi de les prendre dans la chatte en levrette à l’exception de bite 2 qui voulait sans doute ranimer sa vieille quéquette avec une fellation. La fille dégagea la voilette de son loup et avala le bâton qui avait pris une belle rigidité.
J’enfonçai mon dard dans le gros cul en faisant crier la meuf : "Aïe, elle est énorme, ça me déchire !"
— C’est fait pour ça cochonne ! Ta gueule et encaisse !
Je me mis en bouledogue sur ma grosse, attrapai sa plantureuse poitrine et la déboîtai avec rage.
Mais déjà, au signal, il fallut changer de femme. Celle-là était plus jeune.
— Sur le dos, salope !
Elle s’y mit, je lui relevai les jambes, pliées vers son torse, dans la position dite de la "fleur éclatée" et lui éclatai bien, précisément, sa chatte tout humide. Elle poussa également un cri de satisfaction et n’arrêta pas de pigner à chaque coup de bite.La pièce n’était que cris, gémissements, insultes, bruits de chairs entrechoquées.
Il y eut un deuxième changement puis tout se dérégla. Bite 1 avait fait mettre une femme en missionnaire et une autre salope était venue se mettre en 69 au-dessus. Ainsi il pouvait faire passer sa bite de la chatte de l’une à la bouche de l’autre qui se faisait copieusement casser le cul par la solide matraque de bite 3.
Chacune de ces putes avait, en quelque sorte sa spécialité. Il y avait la 2, ma fameuse pipeuse, experte en fellation. La 3 était une "rideuse", si je puis utiliser l’anglicisme ; une chevaucheuse de bites, absolument démontée quand elle enfourchait une queue et faisait un rodéo dessus.
J’aimais bien la 5, plus polyvalente car, d’après moi, plus âgée. En la grimpant en levrette, je pus voir à leur racine, dont je ne pus cependant pas nettement deviner la couleur, qu’elle se teignait les cheveux. Et comme elle n’avait aucun poil sur la chatte, j’en restai là de mes conjectures. Sa peau était bronzée, cuite par les UV. Elle avait de gros seins qui comprimaient bien la bite et, excellente pompeuse elle aussi, elle avalait en gorge profonde. Elle bougeait bien son cul quand, en levrette, je lui enfonçai le pieu à fond et ne méprisais pas de bouffer la chatte de ses copines ou de branler deux queues à la fois si les circonstances le permettaient.
Je ne pouvais pas voir son visage en entier, mais ce que j’en apercevais avait un je ne sais quoi de familier ; sans doute m’évoquait-il les traits réguliers d’une madame Sainte-Nitouche, bourgeoise apparemment rangée, mais très salope. Elle ne disait rien, ne répondant que par des gémissements ou des coups de reins quand on lui disait : "t’aimes encaisser la bite hein vieille truie" avec cet accent de vice si particulier que l’on prend et qui déforme un peu notre voix quand on queute et que l’on parle entre les dents en la forçant un peu.
Les gars étaient endurants et je m’étais laissé gagné au jeu. Je foutais ma pine dans le trou qui se présentait. Les femmes étaient très salopes, suçaient bien, bougeaient bien et quand nous étions à deux ou trois sur une de ces putes, les autres s’occupaient des mâles restant ou se bouffaient la chatte mutuellement pour s’entretenir.
Ce fut Jérem qui juta le premier, droit dans le vagin de la patronne, la seule rousse, qui n’avait donc pas besoin de masque, mais qui en portait un quand même.
Comme j’aime le sperme, je ne laissai à personne le soin de prendre la place de mon pote et plongeai mon nœud dans l’antre plein de foutre où il coulissa à merveille, emmenant la pute vers un nouvel orgasme.
Bite 2 ’s’épanchait pendant ce temps là entre les globes mammaires de la plus jeune. Quant à moi, ce fut la bouche pulpeuse de la nana que j’avais vue en photo qui avala toute ma sauce.
Les gars qui avaient eu recours à la médication se remirent illico à l’ouvrage. Quant à moi, je me retirai dans un coin, attendant que cela remonte tout seul.
Jérem fit comme moi.
Le patron, nous voyant dans l’inactivité, nous demanda de réaliser un petit reportage photographique des participants restants.
Nous nous mîmes à circuler bombardant sous tous les angles les différentes positions en écartant brutalement les femmes trop gourmandes, que nous n’étions pas en vouloir ni pouvoir de satisfaire, et que la rareté des mâles en rut rendaient exigeantes et qui cherchaient à nous palper le paquet encore mou. Elles réclamaient aussi qu’on les prit en images et pas simplement en levrette, pour garder un souvenir.
Les gars en faisaient autant, mais pour d’autres motifs. Leurs prouesses les amenaient à une certaine forme d’exhibition et de compétition et ils insistaient pour qu’on capturât leur virilité sous tous les angles et à leur avantage.
C’est lors d’une de ces prises que se produisit un incident, pire, une catastrophe.
Deux femmes étaient tête-bêche, la 2 et la 5, l’une (la 2) bouffant la chatte de celle qui était sur le dos et celle-ci tentant de lécher les couilles du beur qui sodomisait celle du dessus, lequel de temps en temps sortait du cul et lui faisait pomper son gland. Elles étaient très salopes, parlant peu, gémissant beaucoup, avides de prendre la bite.
Je les avais baisées toutes les deux avec un certain plaisir, la 5 surtout qui remuait vraiment bien quand on la bourrait, et elles essayaient encore de nous choper les roustons à chaque fois qu’on approchait l’objectif de leur groupe.
Le beur voulut les faire changer de position.
Je ne sais comment, en se déplaçant, celle du dessus se prit les orteils dans l’élastique du masque de celle du dessous. Le masque sauta.
— Bon ben puisque c’est comme cela dit-elle, tant pis !
Et, sans remettre son masque, elle se rua sur la grosse bite du beur qu’elle prétendait sucer avant qu’il l’enfile.
Je vacillai. Cette femme était ma mère !
La tête me tourna, je me reculai et sortis
Comme je restai là un moment abasourdi, Jérem vint me chercher.
— Tu viens ? On fournit plus. C’est qu’elles réclament les gueuses !— Euh, non, non... je... je ne me sens pas bien... je me casse.
Certes, je ne voyais plus guère ma mère, trop bourgeoise à mon goût, qui me harcelait pour que je me marie et me faisait des leçons de morale.Certes, veuve elle avait le droit de s’amuser un peu... mais je l’avais... je l’avais... baisée... Oui c’est cela... j’avais baisé ma mère et j’en étais écœuré.Je vomis avant d’arriver chez moi.
Je faillis tomber en dépression et cesser mon activité d’enfoutreur. Je fis de longues séances de psy pendant lesquelles on m’incita à assagir ma sexualité et réussis même à être abstinent quelque temps. Heureusement, Jérem était là et, pendant cette épreuve, je ne couchai qu’avec lui, jusqu’au jour où, visitant mon site que j’avais déserté et que je voulais clore avec mes activités, une annonce retint mon attention. Elle ne datait que de quelques jours.
A suivre
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