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L'enfoutreur

Chapitre 8

Je fais saillir ma mère

Trash
Je m’étais donc résolu à abandonner la partie quand je tombai sur cette annonce. J’avais déjà répondu aux plus anciennes en leur disant que je ne donnerai pas suite. Et puis il y avait celle-là.
Un classique, rien donc pour m’attirer de prime abord. Un mec qui voulait faire baiser sa femme. Le couple était jeune. Ils posaient nus. Lui roux bouclé, le corps dessiné plus qu’athlétique et sa femme, une petite nana assez mignonne à l’air innocent, presque blonde avec des seins plutôt petits, mais très ronds et fermes apparemment, et l’aréole nette, le téton pointu et assez épais. Ils pouvaient avoir entre 25 et 30 ans maximum.
Sympas, franchement baisables, mais ordinaires. Pas de quoi donc me faire revenir sur ma décision. Je répondis "non", sans plus d’explications et passais à la dernière annonce. Après, il n’y aurait plus d’enfoutreur.
C’était le même couple qui m’avait relancé à cause de mon silence. Mais il y avait un changement de taille, changement qui répondait à l’un des rares fantasmes inassouvis. La fille était enceinte.
Je répondis : " OK, faut voir si elle est encore comme ça".
Le mec répliqua presque aussitôt : "Cool, mais faudrait se dépêcher. On approche des sept mois".
— On en parle.
Je les contactai en vidéo le soir même. Ils m’expliquèrent.
Il voulait un enfant, elle n’en voulait pas. Il y eut un deal. Il faudrait que son mec accepte qu’elle se fasse baiser par moi. Elle me connaissait de réputation. J’avais baisé une de ses cousines, parait-il.
J’acceptai, mais avant, il fallait que je règle définitivement un problème qui risquait de m’inhiber, celui de ma mère.
Je ne pouvais pas réaliser que j’avais couché avec elle. Je ne me l’imaginais tellement pas faire l’amour, et surtout pas comme cela. Et, je ne sais pourquoi, mais il fallait que je la revoie avec un homme... qu’elle soit aussi salope avec un autre afin que je m’assure qu’elle était une bouffeuse de queues, peu importe le mec branché dessus.
J’en parlai à Jérem. Je lui avouai tout.
— Putain ! C’est pour ça que je te trouvais bizarre, que tu voulais tout arrêter ! Je croyais même que tu étais passé 200 % gay. Ah la vache... ta mère... ta mère...
— Et toi aussi.— Quoi moi aussi ?— Tu étais là. Tu l’as baisée aussi.— Ah mais ouais... Dingue... j’en reviens pas. Quel truc de malade ! Enfin moi, c’est moins grave...— Et je veux que tu la rebaises.— Ah ? Ouais, s’tu veux...— Et voir cela.— Pourquoi ?
Je lui expliquai. Et nous montâmes un stratagème.
Ma mère habitait une demeure bourgeoise. Elle ne le laisserait pas franchir le portail. Il fallait la surprendre quand elle rentrerait. Moi, je serais déjà à l’intérieur. Si elle n’avait pas changé les clefs.
Comme argument, il y avait les photos que nous avions prises dans cette soirée orgiaque. Il saurait en faire bon usage.
Je m’arrangeai pour garer la veille une voiture de location aux vitres teintées juste devant le portail pour filmer. Jérem porterait sur lui ce qu’il fallait pour capter le son.
Ma mère étant une femme d’habitude, je savais qu’elle allait chez son esthéticienne chaque premier samedi du mois à 14 h 00. Dans la voiture, nous la vîmes sortir, ponctuelle.
Nous entrâmes. Cerbère, le mastiff que je lui avais offert pour qu’elle soit en sécurité dans cette vaste villa me reconnut aussitôt et me fit fête. Jérem, habitué aux bêtes, fit immédiatement sa conquête.
Nous mîmes tout en ordre. Le plus dur fut d’installer la caméra pour tout voir sans être vus dans la chambre. Il faudrait impérativement l’amener là.Nous fûmes prêts moins de dix minutes avant son retour, suffisamment pour tester encore une fois le matériel.
— Tu m’entends, tu me vois ?— Cinq sur cinq ! Jérem. Tu connais ton rôle ?— Au poil.
Il se tint devant le portail.
— La voilà ! T’es toujours OK ? me demanda-t-il.— On fait comme on a dit.
Je vis maman dans le cadre de la caméra se planter devant Jérem et lui décocher d’un ton sec.
— Vous êtes devant mon portail jeune homme. Dit-elle d’un air pincé.— Je suis le ramoneur.
Le son et l’image étaient parfaits. Mon cœur palpitait d’excitation.
— Le ramoneur ? Mais je n’ai demandé personne... vous devez faire erreur... et, d’ailleurs, mes cheminées sont propres.— Mais c’est ta chatte que je viens ramoner salope !
Malheureusement, elle était de dos et je ne pouvais pas la voir, mais Jérem me rapporta ensuite qu’elle rougit jusqu’aux oreilles, ouvrant grand la bouche d’un air outré.
— Ben, te choque pas. Regarde, ça te dit rien ?
Et il lui montra sur un autre portable l’une des photos prises pendant la partouze, photo que j’avais faite moi-même pendant qu’elle suçait le type au-dessus d’elle. Heureusement, le plan était suffisamment large pour que le bas-ventre de Jérémie apparût dessus.
— Tu te reconnais bien... et cette bite toute molle avec la touffe mouillée en arrière-plan, c’est moi.
Ma mère regarda derrière elle, affolée, comme si elle craignait d’être surprise.
— Que me voulez-vous ? Dit-elle si bas que j’eus du mal à l’entendre.— Ben, remettre ça. J’aime bien fourrer la chatte de belles femmes comme toi et lui bouffer ses gros nichons.— Entrez ! Dit-elle en tapant le code et poussant le portail.
Quand ils furent dans le vestibule, elle l’interrogea.
— Comment m’as-tu retrouvée ? Cela commence à faire longtemps...— Très simple. J’ai attendu que tu sortes et je t’ai suivie.— Pourtant je ne suis pas sortie la première, il me semble.— C’est vrai... Mais tes nichons m’ont aimanté. Après, le temps de me libérer...
J’entendis un premier bruit de bisous.
— Eh, pas si vite gourmande... T’aimes la bite toi... On va dans ta chambre ?
Je les entendis monter l’escalier.
— Coucher Cerbère... Il n’est pas méchant. N’aie pas peur.— Il veut peut-être te protéger ?— Je vais le mettre dehors. Déshabille-toi. J’arrive.
Seul dans la chambre, Jérem se tourna vers moi et lança son pouce en l’air, souriant, balançant sa bite, victorieux.
Puis ma mère revint. Elle s’était déjà en partie dévêtue pendant son trajet et se promenait les seins à l’air, une énorme poitrine, très ferme, à laquelle je n’avais pas vraiment prêté attention quand on l’avait partousée, perdue qu’elle était dans la masse des autres mamelles, toutes plus généreuses les unes que les autres.
De toute évidence, elle s’en était acheté une paire neuve. Ses nibards étaient trop gros, trop ronds, trop fermes pour être naturels. Si la taille de ses nichons et leur galbe étaient proportionnels au fric qu’elle y avait mis, alors elle devait avoir gagné au loto. C’était splendide, même si je n’aime guère, en règle générale, le cul artificiel. Mais cela avait un avantage. C’était comme si ce n’était pas ma mère, mais une sorte de poupée siliconée, une milf pour film de boule.
Elle se jeta sur la bite de Jérem qui triquait déjà.
Comme je le lui avais demandé, il fallait qu’il se mette le plus possible de profil pour que je vois bien ce qui se passait et que ma mère ne soit pas trop de face, des fois qu’elle aurait eu l’idée de regarder en l’air et de repérer la cam.
A un moment, il manœuvra habilement pour la faire se déplacer, le temps qu’elle se relève pour enlever sa jupe et il la remit à genoux, dos à la caméra et lui en face. Il me faisait signe que c’était bon tout, en m’indiquant avec son index quelque chose. J’ignorais quoi, on aurait dit qu’il voulait me montrer l’épaule droite de ma mère, mais le zoom n’était pas possible pour avoir un gros plan suffisant.
Mais bien vite, elle prit l’initiative et elle s’allongea sur le lit pour se faire bouffer la chatte.
Elle l’encourageait et il répondait par les pires insultes. Il la fit mettre en 69, elle dessus, puis il la planta en missionnaire.
— T’aimes la queue, grosse truie, hein ! Tu la veux ma bite salope ?— Oui, oui, répondait-elle sans retenue.
Elle était hystérique. Et Jérem jouait le jeu. Plus elle en demandait, plus il en donnait. Les claques pleuvaient sur son cul, il lui faisait des clefs de bras, la prenait par les cheveux ou la mâchoire, crachait sur la chatte et la pine avant de la foutre. Et cela me plaisait. L’image de ma mère s’estompait. Ce n’était qu’une grosse salope affamée de sexe... et j’en étais soulagé parce que cela l’éloignait de l’image maternelle. Je me demandais si elle avait toujours été comme cela, du temps de mon père, si même c’était mon père, ou si elle avait toujours joué un double jeu. Mais de toute évidence, elle kiffait la grosse baise. Elle n’hésita pas à bouffer les roustons et la queue et même à lécher le trou de balle, ce que peu de femmes font spontanément à l’homme.
— Fourre-moi, bourre-moi, mets-moi ta grosse trique, puceau !
Elle y allait !
— J’vais t’en foutre du puceau salle chienne ! A quatre pattes, grosse truie.
Elle obtempéra, mais il la repositionna pour qu’ils fussent de profil.
Elle lui posa des questions, profitant de la baisse d’activité liée au changement de place.
— Tu connaissais tous les gars de la partouze ?— Non pas tous, pourquoi ?— Le mec avec la grosse queue...— On avait tous des grosses queues.— Ouais, mais la plus grosse, le gars qu’a pris la photo. T’avais l’air de le connaître.— Un peu pourquoi ?— Comme ça.— Non, raconte... Tu trouves que ma bite n’est pas à la hauteur ?— Non, non, elle est bonne ta bite... mais... il me faisait penser à quelqu’un.— Qui ?— Non, rien...— Mais tu vas causer salope... hein, tu vas causer... accouche...
Et pour se montrer convaincant, il exerça une forte pression sur les tétons.
— Mon... mon fils.— T’as un fils avec une grosse bite comme ça ?— J’sais pas... pas vu depuis longtemps... depuis qu’il est un homme... non, c’est le son de sa voix.— Ça veut rien dire... une voix... Moi je connais pas ton fils... allez ! prends ma bite là.— Tu pourrais me le retrouver ?— Le mec avec grosse queue... ? Elle te suffit pas la mienne salope ?— Deux c’est mieux qu’une, quoiqu’il arrive... si tu veux revenir avec des potes.— On verra.
Et il se mit à la déboîter. Tout en essayant de me montrer encore l’épaule. Avait-elle un tatouage, une marque, une cicatrice ?
Cela virait à l’obsession. Qu’étais-je censé voir ? Je regrettai de lui avoir donné les plus strictes consignes de silence. Il ne devait pas utiliser son portable. Mais il comprit mes désirs et s’adapta à la situation.
— Qu’est-ce que tu as là sur l’épaule chiennasse ?— Hein ?
Il écrasa ses joues entre son pouce et son index.
— T’es sourde salope ? Qu’est-ce que t’as sur ton épaule ?— Rien, rien... balbutia-t-elle.— Tu te fous de moi salope ? Tu crois que je sais pas ce que c’est ?— Je ne sais pas... je comprends pas... J’ai rien.— J’vais te montrer ce que tu as, au cas où t’aurais oublié.
Et il se leva pour aller chercher son portable dans la poche de son jean.Elle se leva à son tour.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je prends une photo de ton épaule, tu vas voir... allez plie-toi en deux au-dessus du lit que je t’enfonce... allez ! Obéis grosse vache !
Il l’obligea à se retourner et à se plier, et il la pénétra. Tout en allant et venant, il prit une photo et me l’envoya. On y voyait une trace de griffure, assez fraiche apparemment et profonde. Puis il la montra à ma mère.
— Tu vois ça, c’est quoi ?— C’est... un amant de passage...— Tu te fous de moi ! C’est pas un mec qui t’a fait ça ! Tiens, regarde ce truc !
Il lui montra une autre photo qu’il m’envoya. C’était un cliché qu’il avait pris lors d’un de ses séjours chez Solange où on la voyait à quatre pattes avec le chien grimpé dessus. Je compris avec horreur ce qu’il affirmait.
— Tu vois, ça c’est mon chien et ma marraine. Une bonne grosse queue bien juteuse, avec un mâle bien endurant hmmm... ça te rappelle quelque chose ?— Oh non, oh non, oh non... gémit-elle... pas dut tout.— Tu te fais grimper par ton chien aussi toi, saleté !— Non !— Regarde ce qui arrive quand Solange elle oublie de mettre des chaussettes au toutou. T’as vu ! La belle griffure ! La même ! Au même endroit. A croire que c’est le même chien !
Et je reçus ce troisième cliché... sans équivoque ! Le choc. Ma mère se faisait monter par le clebs ! J’avais trouvé cela "amusant" quant à Solange, excitant même... mais ma propre mère. Je n’y croyais pas.
— Alors, tu avoues salope, tu avoues, lui criait-il en lui pinçant les nichons.— Non, non...— Y a pas de honte. Moi j’aime bien la voir se faire saillir comme ça. Elle jouit la garce. Tu sais ce que je vais faire, je vais aller le chercher ton clebs... On va bien voir...— Non ! Non... pas ici... Il a pas le droit ici...— Où ?— C’est dans la salle de bain du deuxième.
Il m’envoya un message : "J’fais quoi maintenant" !
— C’est qu’une pute. Féconde-la et livre-la au clebs.
J’étais choqué. Jusqu’ici, la zoophilie ne me posait pas de problème. Même, voir Solange s’accoupler avec le chien m’excitait grave... mais Solange, ce n’est pas ma mère... Je ne fis plus attention à ce qu’il fit. Je ne repris mes esprits que lorsqu’il ouvrit la porte pour l’emmener à l’étage. Elle résistait un peu. Il l’attacha à la plomberie pour qu’elle ne se dérobe pas puis fit chercher le chien. Comme il remontait, je lui dis de tout filmer pendant que moi je déferais notre matériel et m’éclipserais. Il me montrerait tout plus tard.
Au moment de quitter la maison, j’entendis les cris de joie de ma mère, et Jérem qui gueulait comme un fou pour les encourager.
Il rentra longtemps après.
— Eh ben, tu y as mis le temps !— C’est que le clébard l’a montée pendant une bonne demi-heure, le temps qu’il se détache. Et puis comme je rebandais, alors je l’ai reprise... Putain, c’est une sacrée chaudasse ta mère, hein, elle aime la queue. Elle est bonne, vraiment bonne...— Apparemment...— Tu veux voir le film ? Enfin pas tout, parce que j’avais pas assez de batterie.— Non, pas maintenant.— Et on fait quoi là ?— Là, on reprend nos activités. Il y a une petite nana et son mec qui m’attendent. Je vais essayer de négocier ta présence, et pour ma pute de mère, on verra plus tard.
A suivre.
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