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Il m’engage pour draguer sa femme.

Chapitre 3

Addition de femmes… Multiplication des plaisirs

Avec plusieurs femmes
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Le tronc est réel.
Les branches, fruits d’un imaginaire fertile.
L’arbre attend votre jugement.
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Au fond de moi, j’ai une sensation plus qu’étrange. Je suis avec une femme, prête à faire l’amour avec un amant qu’elle vient de rencontrer le soir même, devant un parterre, composé de trois femmes et un homme, qu’elle vient à peine de rencontrer, avec l’aisance d’une actrice de films X, professionnelle et tellement soucieuse du rendement qu’elle offre devant la caméra.
Je décide de la laisser guider, ou même de la pousser à le faire, pour voir comment cette novice qui traîne derrière elle, une vie sexuelle, aussi plate que morne, peut se convertir en une « dévergondée » de ce genre.
Je sens ses lèvres sur mon cou, elle n’embrasse pas encore, mais effectue un balayage dans les normes, à la manière d’un engin anti-mine, qui doit opérer un ratissage dans le sens militaire. Sa jambe glisse entre les miennes, et sa cuisse effleure mon sexe, et un gémissement vient conclure cet acte.
Un gémissement, très fort, comme si elle exprime deux états : En premier, sa sensation naturelle et légitime du plaisir. En second, le « devoir » d’offrir – comme l’exige l’industrie pornographique – un excellent son, ainsi qu’une parfaite image, qui doivent capter – dans le sens théâtral du terme – toutes ces personnes qui n’ont d’yeux que pour elle et son amant.
Je la serre tendrement, assez pour qu’elle se frotte contre moi, tout en lui laissant la liberté de se mouvoir, selon son désir. Elle commence à m’ouvrir le haut de mon pyjama, après avoir pris un recul pour permettre aux personnes présentes d’admirer le spectacle. Tous les boutons ouverts, telle une danseuse, elle m’enlève le haut avec délicatesse.
A la manière d’une stripteaseuse aguerrie, elle le tourne en l’air et l’envoie en direction des trois femmes. Je sens mon tour de l’embrasser tendrement, mordiller ses lèvres, lécher son cou, tout en la prenant pleinement sa tête dans mes mains.Je mordille ses seins à travers son soutien-gorge et son kimono. Je descends encore plus, pour me mettre à genoux, et défaire avec ma bouche le nœud de son habit, qui s’est ouvert, laissant apparaître ce deux-pièces gris.
Je me lève pour me placer derrière elle, et introduire mes bras sous les siens, et malaxer les deux lobes, caresser son ventre, un léger passage sur le pubis, sans oublier un attouchement bref et fort entre ses cuisses. Elle gémit fort, mais toujours à la manière d’une actrice X.
Je fais glisser le kimono tout au long de ses épaules, en mordillant toute surface dénudée. Elle se tortille en silence en premier, puis m’insulte de tous les mots. Je sens l’excitation au plus fort.Le kimono ne peut offrir aucune résistance, surtout que ma partenaire ne veut fournir aucun effort pour le retenir. Les fleurs de cerisier sont par terre, je continue à la mordre assez fort, ses épaules.Elle s’échappe pour se mettre à genoux devant moi, et me prendre par les hanches, et poser une bise tendre sur ma bosse, puis frotter son visage dessus. Ses mains s’agrippent au pantalon du pyjama, pour le faire descendre délicatement, et embrasser la bosse et ensuite les cuisses, jusqu’aux genoux.
Je la prends par les épaules pour la mener au lit. Elle m’enlève mon tricot de peau, et embrasse ma poitrine. Je la porte délicatement au lit, et l’aide à s’allonger. Logique théâtrale oblige, je me mets de l’autre côté, pour offrir aux spectateurs, une image parfaite.
Ma partenaire allongée sur le dos, je suis à côté d’elle à genoux. Je commence par embrasser ses lèvres tendrement, pour ne pas dire amoureusement. Elle me répond en entourant ses mains autour de mon cou. On s’embrasse délicatement, puis elle envoie une main caresser ma poitrine et une autre diriger ma tête. Je lui murmure que les voyeuses doivent être folles. Elle me demande laquelle je veux baiser la première, je lui réponds, aucune pour l’instant.
Elle dirige ma tête vers sa poitrine, et je commence à mordiller ses seins à travers son soutien très léger.
— La boulangère, mets-toi en deux-pièces.— Je viens de suite.— On dit : « A vos ordres Maîtresse ».— Pardon. « A vos ordres Maîtresse ».
La boulangère porte un deux-pièces rouge vif. Elle se met à côté du lit, à l’image d’un soldat qui attend les ordres.Ma compagne lui demande de l’embrasser, elle ne se fait pas prier. Les deux femmes s’offrent le baiser d’une assoiffée, aussi bien de tendresse, que de plaisir. Surtout la boulangère.Je sens une main me tenir par la tête, et me dirige vers les deux bouches qui s’embrassent. Ma compagne veut me joindre à ce baiser, les deux me cèdent du terrain, pour que le contact se fasse équitablement entre les trois bouches.
Nous passons un moment, je sens le corps de la boulangère de loin plus chaud. Ma campagne m’ordonne de baiser cette « truie en chaleur », mais sans éjaculer, puis elle se lève du lit.La boulangère se place sur le dos, ouvre les cuisses grandes ouvertes, me bascule dedans, et les ferme, comme si elle avait peur de me perdre.Ma compagne, debout, ordonne à la blonde et à la noire de se mettre à poil. Elle s’allonge sur le dos sur l’autre côté du lit, et ordonne à ses deux femmes d’embrasser les pieds. Elle me regarde embrasser la boulangère, me caresse la tête, et ordonne :
— La grosse, à poil, et ramène un préservatif.
La boulangère obéit, et revient avec toute une boîte. Ma compagne lui ordonne d’enlever mon boxer, et de me sucer.
— Comment tu veux la baiser cette truie ?
Je réponds de suite qu’une levrette sera le meilleur choix.La boulangère m’enfile un préservatif, et se place en levrette.Ma compagne ordonne à la noire de l’embrasser, et à la blonde de sucer son sexe.Une orgie sexuelle, mais une orgie de gémissements, aussi. La boulangerie gémit avec force et se traite de salope offerte, et remercie son « adorable maîtresse », comme elle dit, pour ce « lourd gourdin ».La maîtresse de la maison assume son rôle de directrice de ce jeu d’un plaisir, pas conventionnel. Elle murmure dans l’oreille de la noire, qui part, et revient après presque une minute, portant un gode-ceinture, de bon calibre.Ma compagne tape sur les fesses de la boulangère, me demande, et ordonne à la noire de la « niquer », telle est son expression.
— Viens baiser ta pute, maintenant...
Je me débarrasse du préservatif, en faisant le tour du lit.La position de la cuillère représente l’unique choix, pour qu’à la fois, la blonde puisse poursuivre son cunnilingus, et mon sexe aller au fond de sa source, plus que brûlante.Une autre orgie de gémissements est lancée. La noire s’annonce avec sa voix forte, plus que directive. Elle ordonne à la « salope » qu’elle pénètre de se tenir tranquille :
— Maîtresse, je peux punir ma « salope » ?
Ma compagne lui accorde cette envie, et quelques coups s’abattent sur les fesses blanches de la boulangère, qui exprime sa satisfaction, et en demande encore.
— Tant elle demande... il faut la satisfaire...
La noire paraît n’attendre que cette autorisation, pour augmenter la cadence du pilonnage, et administrer une rafale de coups sur des fesses, dont la couleur a déjà viré à un rouge vif, qui contraste très fort, avec la couleur de la peau de la noire, qui tel un homme plus que viril, affiche un acharnement exceptionnel.
La boulangère jouit en criant très fort, en insultant une fois, et en remerciant par moments, la maîtresse des lieux, la noire en la traitant de « la pire des salopes », sans oublier la « grosse bite », qui a rempli ses entrailles.
Même si la position de la cuillère ne peut permettre un pilonnage fort et continu, je me force par des coups de mon bassin, à aller au-delà de mes limites.Ma compagne change de gémissements, pour émettre des sons courts, mais très forts. Elle tient une minute presque pour se crisper, et serrer mon sexe, et stopper la tête de la blonde, qui s’est avérée une soumise, qui applique bien les directives.
Mon sperme éclate avec une force telle, que ma compagne vibre à nouveau.Sans lâcher la tête de la blonde, elle lui ordonne de « tout prendre dans la bouche ».Je me retire avec délicatesse, tout en entendant la bouche de la blonde, aspirer le liquide. Elle insiste avec patience pour ne pas perdre aucune goutte.
— On prend une pause.
La noire, avec son gode-ceinture, est vraiment imposante, surtout qu’elle le tient dans sa main, à la manière d’un homme qui exhibe son sexe.La boulangère paraît plus qu’heureuse, tient le gode que porte la noire, se met à genoux, et lui offre une fellation courte, mais entreprenante. La blonde paraît étourdie, et avec un grand sourire, annonce qu’elle trouve le sexe qu’elle a sucé, plus que délicieux. Elle fait passer sa langue sur sa lèvre supérieure, et annonce que le sperme, aussi, est un régal.
— Vous deux, les deux voyeurs au fond... Pensez au moins à servir, l’acteur principal et les trois actrices.
Les deux maris restent immobiles, ma compagne ajoute :
— On a soif...
Elle marque un temps, et crie avec force :
— Bougez... Servez à boire.
J’embrasse la boulangère sur la bouche tendrement, et je la serre, elle sursaute, et s’excuse, car elle a mal aux fesses. Je regarde la noire, mais la boulangère me dit avec confiance qu’elle adore recevoir des coups sur les fesses, et assure même qu’elle en tire le plus intense des orgasmes.
Je l’embrasse tendrement, elle s’abandonne dans mes bras, en remerciant pour la levrette.La blonde me regarde avec tendresse et envie, à la fois. Je l’embrasse tendrement, et elle me chuchote à l’oreille que mon sperme est vraiment délicieux.La noire ne porte plus le gode-ceinture. Elle se jette tendrement entre mes bras, me serre avec délicatesse, et même amour, et m’affirme qu’elle est très heureuse de participer à cette soirée.Les deux hommes reviennent avec un chariot plein de bouteilles, et commencent à servir.La noire demande un jus, prend le verre, se met à mes genoux, prend mon sexe, le masturbe un peu, et l’introduit dans le verre un moment. Elle le tire, et le suce un peu.Le geste m’excite très fort. J’ordonne à la boulangère de se mettre sur le dos. Elle obéit, je regarde la noire, en lui disant de se mettre sur elle, en 69.Ma compagne, sans que je demande, vient m’enfiler un préservatif.Les deux femmes en 69. La noire m’offre ses fesses. Je la pénètre avec rage et violence. Elle gémit comme une folle, et je me lance dans des va-et-vient très rapides.
— Il est temps que tu goûtes le sexe d’une femme, non ?
Ma compagne me répond qu’elle n’attend que ce plaisir. Je lui dis que la blonde n’attend que ça.Sur l’autre partie du lit, la blonde s’est adossée à un oreiller, a ouvert ses cuisses, dans l’attente de la bouche qui va lui offrir son plaisir.La noire commence à gémir très fort, au rythme de mes coups forts et rapides. Son sexe gluant, chaud et accueillant, paraît plus étroit que sur les photos. Elle commence à se dilater, pour prendre mon 21 centimètres à l’aise, et même avec un plaisir qu’elle ne peut cacher.
La blonde, les yeux fermés, paraît dans ses nuages. Chose qui me rassure au sujet des capacités saphiques de ma compagne. Les fesses de la noire s’offrent à moi, je décide de les explorer. Je glisse mon doigt dans le sillon, et en touchant son nœud, elle sursaute. Je suis plus excité encore. J’introduis mon majeur dans son derrière, elle sursaute encore plus fort.
Avec un peu de ma salive, mes deux doigts explorent ce trou (sans jeu de mots) « noir ». Je ne suis pas l’homme épris du cul féminin. Il m’est arrivé d’enculer des femmes, à leurs demandes, mais ce cul me fascine.Je tiens les hanches par une main, tandis que l’autre cherche à dilater le trou qui s’offre à moi.Jamais une jouissance n’est arrivée à temps, comme cet orgasme. La noire ondule ses fesses, et se bloque.Je sors mon sexe, et ordonne à la boulangère de dégager les lieux, et je me présente à l’étage supérieur. Elle me dit qu’elle n’a jamais osé le faire. Je lui réponds qu’il est temps d’essayer. Elle laisse échapper un « oui » très léger, qui est plus, le fruit d’une résignation doublée d’une curiosité, plus qu’une envie rationnelle.
Mon sexe, portant toujours un préservatif, lubrifié par la cyprine gluante d’un sexe qui vient de goûter son plaisir, est pointé à l’entrée de ce « trou noir », glisse doucement, mais une assurance qui grandit au gré de la découverte de cet espace vierge encore.
Je sors de ma bulle, pour entendre la blonde jouir fortement, et bloquer ses cuisses autour de la tête de ma compagne. Mon glissement dans le cul de la noire s’effectue à une vitesse lente, sans que l’intéressée n’exprime aucun refus.Je tape ses fesses. Un coup moyen, elle laisse échapper un petit cri de douleur. Un deuxième coup, et son cri de douleur est plus fort, à l’inverse de son cul qui offre plus d’espace.
— Aie... Il m’a cassé le cul.
Un mélange de plaisir et de douleur. Ce cri a tellement résonné dans la chambre, que tous les présents se sont mis autour du lit. A la première loge.Je constate que mon sexe est arrivé au fond de ces abîmes. Elle crie encore plus fort. J’entame un va-et-vient doux et lent. Elle répond par un cri de douleur, et même me dit qu’elle a mal. J’augmente un peu la cadence, et sa douleur, tel un arc-en-ciel, vire graduellement au plaisir, et finit en gémissements du genre :
— Encore... Encore... Plus fort... Plus fort...
Je ne peux que répondre à sa requête. Elle me serre le sexe très fort, et s’abat totalement sur le lit.Je sors mon sexe, j’enlève le préservatif, et j’écule sur les fesses de cette « enculée »...Ma campagne dit d’un ton tranchant :
— Ce sperme est à moi... Uniquement à moi...
Elle lèche tout ce liquide blanc, qui se distingue très bien sur cette peau noire...
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A suivre...
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