Madame Lefouet, satisfaite de cette première entrevue nous dit : « sissies, enlevez vos robes ! «. Tandis que l’on s’exécute, elle claque des doigts pour qu’une servante femme, totalement nue avec comme tout habillement un collier en métal autour du cou et une ceinture de chasteté apporte sur un plateau champagne et amuse-bouche. Elle sert Madame puis les propriétaires et se met à genoux aux côtés de sa Maîtresse qui la gratifie d’une caresse sur son crâne rasé. Son geste est aussi affectueux qu’une caresse sur son chien. Visiblement, sissy Emilie a de la peine à enlever sa robe pourtant de simple facture et voit son Maître fondre sur elle pour lui donner une gifle percutante : « Tu n’as pas honte de me mettre dans l’embarras ? Allez, dépêche-toi un peu, tes copines sont déjà prêtes ! ». Toute pleurnichante la pauvre Emilie s’active comme elle peut tandis que les convives s’esclaffent de la situation. La servante remplit les verres, attentive à ce qu’ils ne manquent de rien.Madame Lefouet : - Chère Gisèle, comment vont les affaires ? Votre Samantha vous rapporte-t-elle assez d’argent ?Mme Gisèle : - Ma meilleure affaire jusqu’à ce jour ! Elle me permet largement de quoi compenser l’insuccès des autres putes. Vous devriez la voir au travail, une acharnée de la queue ! Madame Lefouet : - Une bonne recrue, visiblement. On devrait prospecter plus souvent à l’armée. Il s’y cache d’authentiques lopettes à jus qui rêvent de devenir comme elle. Certains officiers ont pu abuser d’elle ?Mme. Gisèle : - Et pas qu’un peu. C’était son bizutage en quelque sorte. Je l’avais envoyé tapiner vers une caserne. Elle faisait tellement pute que personne ne l’a reconnue malheureusement mais elle, elle les a reconnu. Elle s’est faite démonté par tous les trous durant toute la soirée par ses anciens soldats et ses gradés ! Bien entendu pour sa première sortie elle a bossé gratos, vous pensez bien ! Quand elle est revenue puant le sperme et la sueur, elle chialait comme une fille. Mais depuis plus aucune plainte de sa part. Elle a bien compris la leçon et elle se tient droite, une vraie sissy-pute, hi hi hi !Madame Lefouet : - Parfait… Il est vrai que j’aurais bien besoin d’une gagneuse dans mon cheptel… L’argent facile ne se refuse pas…. Et vous très cher Marc, je remarque qu’Emilie vous donne encore du fil à retordre, je me trompe ?Mr. Marc : - Je dois l’avouer en effet. Cette vache n’a pas encore entièrement accepté sa nouvelle vie. Elle se croit toujours en position de force, pfff ! Mais croyez-moi je la fait suer à grosses gouttes. En fait cela me plaît ainsi car elle est ma souffre-douleur à moi et mon mari. Et dans la communauté gay il est toujours agréable d’avoir sa pleureuse pour pouvoir se défouler dessus, non ?Madame Lefouet : - Comme je vous comprends ! Et je crois savoir aussi que dans ce milieu une bonne petite lope blanche bien en chair est très prisée des hommes de couleur, non ?Mr. Marc : - Vous êtes perspicace Madame. Mon mari et moi l’avions remarqué lors d’une journée d’été sur une plage naturiste homosexuelle. Elle était terrorisée à l’idée d’être exhibée nue avec sa micro cage devant d’autres mâles mais comme vous ne l’ignorez pas, chaque soumise doit passer une épreuve qui valide, ou non, son titre de sissy. De ce fait nous avions pensé à l’amener en cet endroit. Etant donné sa généreuse corpulence je n’ai pas hésité à lui inscrire sur le corps au rouge à lèvres quelques petits mots doux à l’intention de la foule…Madame Lefouet : - Des inscriptions ? De quel genre ?Mr. Marc : - Lope blanche dispo, entrée gratuite au-dessus de son fessier, suceuse sur le front, j’aime les arabes sur le torse ou encore I love black cocks dans le dos.Madame Lefouet : - Quelle bonne idée, merveilleux ! Une vraie pancarte publicitaire ma parole ! Mr. Marc : - Une réussite totale à vrai dire ! Cela n’a pas mis long a attiré tous les mecs en rut de la plage d’autant plus que nous lui avions ordonné d’aller se promener parmi tout ce beau monde. Comme d’habitude avec elle, elle pleurnichait. Une bonne claque sur son cul et hop ! A l’aventure, ha ha ha ! Par chance ce jour-là il y avait de bons mâles à la peau sombre, très virils, poilus et montés comme des mulets. Deux mecs sont venus lui tâter le cul puis l’ont pris par la main et l’on accompagné dans le coin derrière les roseaux réservé à la fécondation. Quand nous sommes allés voir ce qui se passait, on a retrouvé notre pauvre petite Emilie à 4 pattes les mains attachées à un arbre en train de se faire littéralement baiser par tous ! Des mains lui malaxaient son corps d’huile bronzante tandis que d’autres faisaient la queue pour lui démonter le cul. On l’entendait respirer péniblement tellement elle avait de la bite en bouche. Un spectacle grandiose que nous avons immortalisé en la photographiant sous tous les angles. Une fois que chacun s’est repu de notre sissy ils lui ont fait un tonnerre d’applaudissements. Quand elle nous a vu se joindre à la liesse elle a compris qu’elle avait passé l’épreuve. Bien entendu elle est venue en rampant nous remercier en nous suçant tous les deux, comme toute bonne sissy-fiotte.Madame Lefouet : - Sous sa maladresse se cache en réalité une parfaite vide-couilles pour étrangers en manque d’amour. Qui l’aurait cru ? Mr. Marc : - Idéale pour vos relations à l’étranger Madame. Nous avons déjà eu des propositions de certains chefs de harem qui seraient intéressés à la prendre chez eux.Madame lefouet. – Il est vrai qu’elle me serait bien utile mais… Mr. Marc se penche vers Madame Lefouet. J’aurais un client du Sahara qui serait intéressé mais il faudrait un oennuque.. Qu’en pensez-vous ?Mr. Marc : - Je crois qu’elle n’est pas encore prête mais si vous la choisissez, vous aurez tout le loisir de l’y préparer. Elle pleurnichera mais comme il ne lui reste presque plus rien d’un homme…Madame lefouet ;- Je vais y réfléchir. En tout cas, beau travail, bravo !Mr. Marc : - Merci très Chère.Emilie avait fini de se déshabillé. La femelle soumise resservait les invités tandis que Madame Lefouet revint vers moi inspecter ma petite personne. Simplement vêtue d’une belle nuisette rose pâle à bordures en dentelles qui laisse transparaître de petits seins à mamelons fortement développés et durcis par la situation, Madame Lefouet tourne autour de moi comme une experte évaluant la valeur d’un tableau rare. Elle remarque le plug en foncé dans ma chatte anale rehaussé d’un cœur en améthyste orner l’entrée de mes fesses, exerce une pression dessus ce qui me fait lâcher un doux couinement de femelle en chaleur, revient à ma poitrine et d’un coup sec m’arrache la nuisette ! Mes petites mamelles dénudées s’exposent à la Maîtresse de maison. Elle me pince un téton, puis l’autre. Je n’ose relever la tête mais je ressens son regard sadique s’éveiller en ma présence. Elle relâche la pression de ses ongles sur ma tétine et vient me lécher le bout du sein gauche. Je ne peux m’empêcher de lâcher un hmmmm de plaisir. Elle s’écarte de ma poitrine afin d’avoir suffisamment de distance pour les gifler sèchement. Deux belles marques rougissent ma poitrine désormais. Je me tais mais une larme perle sur ma joue.Madame Lefouet se tourne vers Maître Eric : - Dites-moi mon brave Eric, que vous rapporte donc cette petite salope emasculée qui, j’avoue, ne manque pas de tenue ?Maître Eric :- Pour être tout-à-fait honnête avec vous, cette sissy ne m’apporte rien hormis mon plaisir personnel.Madame Lefouet : - Etonnant en effet. Vous dites l’avoir trouvé dans un cinéma porno à passer son temps à sucer des queues, est-ce bien cela ? N’a-t-elle pas un cursus traditionnel d’ancien mâle hétéro comme les deux autres pétasses présentes ?Maître Eric :- Ma foi non je le crains. Certes elle a été éduquée dans un milieu de petits bourgeois, a fait quelques études, sans résultats probants cela dit, mais j’ai senti en elle une sorte de... vocation.Madame Lefouet : - De vocation vous dites ? De mon vivant je n’ai jamais rien entendu de tel ! Les secrets honteux que cachent les hommes et femmes modernes, nous sommes là pour les déceler et remanier ces petits/es perverses à notre profit mais si je vous suis dans votre raisonnement, cette garce serait une sissy biologique ? Est-ce bien cela que vous voulez me faire croire ?Maître Eric : - Je crois qu’en effet c’est une authentique femelle-sissy. Constatez-le par vous-même très chère. Cela fait maintenant 3 ans que je la modèle à ma guise. Dès notre premier regard, j’ai vu dans ses yeux, dans son âme devrais-je plutôt dire, qu’elle accepterait ma totale emprise sur elle. Le pire c’est qu’elle me le demandait silencieusement. Une évidence naturelle en quelque sorte. Madame Lefouet : - A-t-elle au moins des antécédents d’hétéro arrogant avec la gent féminine ?Maître Eric : - A peine. Elle m’a avoué s’être vite faite matée par les féministes et comble de tout s’être également faite remise en place par la communauté gay. Une fiotte de base en réalité. Vous auriez dû la voir sucer les bites au cinéma, elle passait de l’une à l’autre sans même regarder la tête du propriétaire, à pomper sans rechigner à la tâche. Une fois le mec vidé, elle le remerciait et passait au suivant.Madame Lefouet : - Oui, les fiottes ne sont pas rares, certes, mais une lope attend toujours une récompense de la part d’un alpha, caresses, cadeau..Maître Eric : - Pas elle. C’est pour cela que je l’ai pris en mains. Elle a de suite accepté et est devenue très vite une bonne femelle de maison. En quelques mois elle a été totalement féminisée. Je l’ai poussé a faire son coming out devant toute sa famille et ses amis, ce qu’elle a accepté. Je me suis présenté comme son amoureux et je dois dire qu’elle a joué parfaitement son rôle de femme transgenre. Mais je savais que je pouvais aller beaucoup plus loin qu’une simple relation Mâle/ femme trans. A la fin de notre première année, alors que je la laissais encore à l’époque se tripoter la nouille, je lui ai posé une cage de chasteté. Elle m’a juste répondu que si cela était nécessaire pour elle alors je faisais le bon choix. Le croyez-vous ? La pose d’une cage de chasteté, comme vous ne l’ignorez pas, implique une grande privation, d’énormes frustrations…Madame Lefouet : -Cela implique surtout qu’une encagée devienne difficile à maîtriser, non ?Maître Eric : - Un vrai petit miracle pour sissy Pascaline. Au contraire elle est devenue très vite plus suave et langoureuse, se concentrait bien mieux quand il s’agissait de me sucer ou de sucer mes amis. Elle était même rayonnante quand je l’amenais se faire enculer par des ouvriers de chantier. Elle a vite accepté d’avoir ses orgasmes ruinés en laissant sa semence couler de sa cage pendant les multiples fécondations qu’on lui prodiguait. Madame Lefouet ; - Mais visiblement vous avez fait le choix radical de lui enlever les boules.. Judicieux pour une femelle sissy cela dit. Aucun retour possible. Comment l’a-t-elle vécu ?Maître Eric : - Cela remonte à 9 mois... Une grossesse bio en somme, hi hi hi ! Tout dans son comportement m’a décidé d’en finir avec sa prétendue virilité. Certes j’avais pu voir son ancien clito en érection quand je la laissais se tripoter devant moi au début. Un bon 18cm. Mais je voyais bien qu’elle ne savait pas vraiment s’en servir. J’ai même essayé de la faire se copuler avec une petite fiotte, elle n’y prenait pas vraiment plaisir. C’était même un pathétique de la voir faire l’active. C’est pourquoi j’ai fini par lui montrer des photos de sissy opérées, avec juste un petit bout de clito pour faire mignon. Elle a fondu en larmes tout d’abord et j’ai mis cela sur le compte de l’émotion, de l’idée que je lui proposais de lui enlever sa virilité. Madame Lefouet : - Ce n’étais pas le cas ?Maître Eric : - Le lendemain matin et comme chaque jour, ma sissy m’apporte le plateau du petit déjeuner au lit en tenu de sissy, comme ce soir. Elle me salue humblement en faisant une courbette de servante bien éduquée, pose le plateau sur le lit et étonnement relève sa robe également comme devant vous. Elle exhibe sa ridicule nouille en cage et me dit : « Maître Eric, j’aimerais tant avoir le même petit clito tout mignon comme sur les photos d’hier ». A suivre
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