Madame Lefouet : - Incontestablement une perle rare ! Vous avez fait appelle au Docteur Levrier, j’imagine ?...Maître Eric : -Bien entendu ! Quand j’ai présenté sissy Pascaline si impatiente d’en finir qu’elle s’est mise toute nue avant même que les présentations soient faites, Levrier a vite fait de me féliciter du choix de cette petite femelle sissy si enthousiaste. Il a examiné ma sissy avec attention et m’a confié qu’il n’y aurait aucun problème avec cette sujette. La petite nouille atrophiée de Pascaline, ses petites noisttes, tout cela mettait Levrier dans tous ses états. Je lui ai donc permis de féconder ma sissy, ce qu’il s’est empressé de faire. Madame Lefouet : - Il a un sacré coup de queue ce cher Levrier, surtout quand il s’agit d’une chatte de sissy !Maître Eric : - Oh oui et du coup il m’a offert ses services gratuitement pour faire une poitrine à ma soumise, pour me remercier. D’ailleurs Pascaline lui a bien nettoyé le phallus pour le remercier aussi. Je n’ai bien sûr pas pu refuser ce geste et il a aussitôt remis ma sissy entre les mains de sa collaboratrice qui choisit pour Pascaline des seins s’associant parfaitement à son tempérament. Une réussite n’est-il pas ?Madame Lefouet ; - Incontestablement ! Cette poitrine lui va à ravir. Suffisamment développés pour y voir une féminité perverse, des tétons constamment durs pour susciter le désir et avec cela de belles aréoles, généreuses et invitant à la luxure. Une réussite ! Ce cher Levrier a su trouver une collaboratrice de choix.Maître Eric : - Ils l’ont prise en charge le lendemain. Ma sissy m’a manqué je dois l’admettre. Elle m’avait depuis deux et demi redonné une nouvelle jeunesse, un nouvel élan dans ma conception de la vie. Et elle cuisine si bien, vous ne pouvez pas vous imaginer… Vous me connaissez très chère, je vous mentirais si Pascaline m’a redonné une nouvelle image de la femme soumise. Grâce à elle la relation Mâle/femme est à nouveau possible, épurée d’interminables compromis. En plus sa rusée collaboratrice m’avait réservé une belle surprise !Madame Lefouet : - Vous m’intrigué mon brave… Je suis déjà bien assez amusée de votre découverte, cette petite femelle sissy si singulière mais là, vous nous mettez toutes et tous dans le désarroi. J’ai bien inspecté votre créature, je n’ai rien décelé d’autre !Maître Eric sous les regards interrogateurs: - Et pourtant ! Quand ma sissy m’a montré le résultat après son opération, elle m’a tendu, en guise de trophée, un petit bocal où flottaient ses deux mignonnes petites boules, signe d’une victoire totale sur sa ridicule virilité passée. Seulement voilà, il n’y avait que les deux petits testicules.Maître Eric fait signe à ses amis de le suivre sur l’estrade où nous sommes dévêtues depuis une bonne heure à la vue de chacun/es. Je suis la sujette et mon Maître me demande de me pencher afin que l’on puisse accéder à ma chatte sans difficulté. Je m’exécute avec grâce et naturel en écartant les jambes afin que l’accès y soit plus facile. Le plug avec le cœur en améthyste y est toujours planté, il le retire délicatement de ma rosette d’amour. La stupéfaction se lit sur tous les visages, même sur celui de Madame Lefouet, habituée à ne laisser aucune émotion transparaître de sa personne.Maître Erice : - Eh oui ! Comme vous pouvez le constater par vous-même, le petit trou-du-cul de ma sissy a été remodelé en vagin de sissy !! A ce moment-là on entend Emilie pleurnicher, s’imaginant sans doute à ma place, Samantha ricaner, encore fière de n’être pas encore arrivée à ce stade mais avec un doute planer sur son visage, se demandant encore combien de temps elle pourrait garder son intégrité masculine, si intégrité masculine il y avait encore à préserver.Je sens des doigts commencer à m’ausculter ma petite chatte de sissy, on découvre mes lèvres.Maître Eric : - On a greffé la peau de ses testicules sur son anus, une première dans l’histoire. Bien entendu et comme elle n’a plus rien qu’un clito, tout son plaisir passe par la sodomie. Cette greffe ne change rien à ses sensations de femelle sissy mais cela donne un appétit largement décuplé pour un Mâle Alpha que de découvrir une chatte de femelle à la place d’un simple trou-du-cul de fiotte efféminée. Le docteur Levrier a eu l’intelligence d’élargir l’anus de ma sissy, ce qui lui donne encore plus l’air d’une bonne femelle à vagin. Moins de complication qu’une vagino-plastie, ma sissy totalement épanouie en bonne femelle, je trouve personnellement avoir pu modeler l’objet sexuel de mes rêves.Hormis mes deux copines sissies tout le monde applaudit. Je suis la reine de la journée, la parfaite soumise sissy élue à l’unanimité. Il est vrai que les sensations que me donnent les lèvres greffées sur ma chatte augmentent considérablement ma libido de femelle sissy. Déjà à l’époque où j’étais une bonne fiotte enculée et suceuse, la vue d’un phallus de mâle en rut m’excitait au plus haut point. Je sentais ma rosette palpiter de peur et de désir, impatiente de me faire enfourner par un manche chaud et viril.Puis j’ai compris tout l’attrait de la féminité, d’être féminisée un maximum pour attiser le désir libidinal des Mâles. Une peau lisse, de la lingerie fine, érotisante à souhait. Le plaisir de glisser ses jambes épilées dans une paire de bas nylon à coutures 10 deniers, sentir le froissement soyeux de ceux-ci en croisant mes jambes féminines, les écarter pour laisser mon œillet palpitant de désir se faire déflorer par une verge dure et désireuse de se décharger d’une tension insupportable en inondant mon cul de sa semence chaude et pulpeuse, d’être remerciée par cet amant d’un coup ou de plusieurs sachant au fond de moi que ces rapports contre nature avaient bel et bien une raison d’être. L’apriori dégoût d’une relation homosexuelle s’est transformé avec le temps en un rituel saphique au masculin. A suivre
