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L'engrenage

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Carole, j’ai 46 ans mais je suis restée jeune dans ma tête je suis blonde (une vrai !), les yeux gris, je mesure 1,67 m. et j’ai quelques kilos de trop, je sais que malgré ça je plais, surtout mes formes car je le constate quasiment tous les jours compte-tenu des regards masculins, mais aussi féminins de temps en temps, qui se portent sur moi avec plus ou moins insistance.Je suis mariée depuis presque 20 ans avec un homme de 50 ans se prénommant Dominique qui mesure 1,80 environ pour 95 kg … et ce n’est pas du muscle .Je suis également maman d’un grand garçon de 18 ans, Raphaël, sur lequel je n’ai rien à dire, c’est un amour, c’est mon grand bébé. J’exerce la profession de secrétaire, mais par prudence et vous le comprendrez, je ne dirai pas dans quel secteur d’activité ni dans quel endroit je travaille.En ce qui concerne ma situation familiale, on peut dire qu’elle est compliquée.J’ai la chance de vivre dans une jolie maison avec piscine, je ne manque de rien, financièrement je n’ai pas à me plaindre, mon mari a une très bonne situation sur laquelle je resterai également discrète . Je ne manque de rien sauf de ce qui a une grande importance pour moi, d’où ma présence ici : le sexe ! J’ai toujours été assez portée sur le sexe. Avant mon mariage j’avais une sexualité que l’on peut qualifier de débridée.Avec le mariage, je me suis fortement assagie …Mais chemin faisant, la routine s’installant, mon mari et moi en sommes arrivés au point où il ne se passe presque plus rien et le peu qui se passe est, je n’aime pas cette expression, purement hygiénique.Il part travailler le matin, ne rentre que le soir, prend sa douche et dodo ...Si j’ai envie de lui alors que lui non et bien il ne se passera rien.Par contre, si c’est lui qui veut, il faut que je m’exécute et que j’écarte les cuisses .Une fois «soulagé», il se tourne et dodo … J’ai essayé, à plusieurs reprises, d’avoir une conversation avec mon homme, afin de trouver une solution car je supporte de plus en plus mal la situation car pour moi ce n’est pas ça une vie de couple… Mais c’était peine perdue … L’idée de trouver un amant a depuis fait son chemin dans ma tête … Je me suis même inscrite sur des sites de rencontres mais là encore ça a été une perte de temps.Les mecs ne cherchent qu’une chose : un pan cul d’une nuit , une pute gratuite !Moi je suis plus dans l’optique d’une relation suivie, un amant voire une maîtresse j’ai déjà eu des expériences avec des femmes avant mon mariage).Mais les événements qui se sont produits l’été dernier m’ont échappé, je pensais pouvoir tout contrôler et j’avais tort, ils vont s’enchaîner tel un engrenage.

Juillet 2015Après un mois de juin plus ou moins chaud, l’été était là avec son soleil et la chaleur qui va avec, c’était enfin le moment pour profiter de notre piscine...

Les vacances scolaires venaient de commençaient depuis quelques jours.Je me trouvais sur ma chaise longue, dans mon maillot de bain deux pièces, lorsqu’on sonna à la porte.Raphaël sorti de l’eau pour aller ouvrir .C’était son copain Abdallah.Raphaël et Abdallah se connaissent depuis la petite section de maternelle. Abdallah est un jeune homme d’origine sénégalaise, je connais très bien sa famille car sa maman travaille avec moi.
L’après-midi s’était relativement bien passée.Les petits s’amusaient dans l’eau, moi je bronzais.Puis, vers 16h, tout bascula, un peu comme dans la série des années 60, "La Quatrième Dimension"…Je suis allée dans l’eau histoire de me rafraîchir après un long moment passé au soleil. Les petits chahutaient.Ils sont venus sur moi pour me "noyer" mais j’ai réussi à les éviter ... A un moment, Abdallah m’a attrapé par derrière pour me tenir pendant que mon fils me balançait de l’eau à la figure . Au début, je pensais qu’il ne le faisait pas exprès, mais après quelques instants je réalisais que c’était volontaire ! En effet Abdallah était en train de se frotter contre moi !Je sentais contre mes fesses son sexe, dont j’avais l’impression qu’il était d’une taille plus que respectable . Et je vous promets que ce n’est pas une idée que je me suis faite, il se frottait délibérément ! Moi j’essayais de me dégager, mais à remuer dans tous les sens je me suis retrouvée un sein hors du maillot et forcément ils n’en ont pas perdu une miette ... Rien de bien méchant, c’était drôle ... Nous avons rigolé ensemble tout l’après-midi… Abdallah a pris sa douche avant de partir et la journée s’est terminée tranquillement.J’essayais de ne plus penser à cet épisode avec Abdallah, me disant que finalement je m’étais certainement faite des idées …
Deux jours plus tard, Abdallah revenait à la maison, toujours pour profiter de la piscine.
Rien à signaler.Tout se passait normalement, baignade, jeux, rien de particulier, bref pas comme la dernière fois. Avant de partir, je lui proposais d’aller à la douche.Je me passais mon paréo et l’accompagnais jusqu’à la salle de bain.Il rentra dans la pièce, et je constatais alors qu’il n’y avait plus de serviettes, car je les avais lavé en début d’après-midi sans en avoir mis d’autres en remplacement.Ce n’était pas un problème puisque le placard se trouve dans le couloir, face à la porte de la salle de bain. Je sortis donc dans le couloir pour lui prendre une serviette dans le placard et quand je me retourna, il avait ôté son short de bain et se tenait nu, un sexe long pendant tout en me fixant du regard. Son regard me mettait mal à l’aise, il me déshabillait carrément du regard.Je ne m’étais donc pas imaginée n’importe quoi dans la piscine, il le faisait exprès quand il se frottait et en plus il avait bien un sexe énorme.Seulement je restais là, comme une conne à le fixer comme si c’était la première fois que j’en voyais un, et j’admirais ce sexe se dresser petit à petit sous mes yeux .— «Tu ne dois pas te montrer comme ça devant moi, ça ne se fait pas . » lui dis-je en reprenant mes esprits .— «C’est toi qui me fait cet effet . » me répondait-ilEt dans le même laps de temps il plaqua ça main sur un de mes seins en le malaxant …Je lui enlevais sa main .— «Tu ne dois pas faire ça, tu es fou ? C’est la chaleur qui te rend dingue ! Je te connais depuis que tu es tout petit, tu es le meilleur ami de mon fils... » en essayant de lui faire entendre raison … Je le laissais là et rejoignais mon fils au bord de la piscineFinalement il prit sa douche, s’habilla et rentra chez lui, en nous disant au revoir comme si de rien n’était. Le soir même je reçu un SMS d’Abdallah me demandant si l’on pouvait se voir pour bavarder au sujet de ce qui venait de se passer plus tôt dans la journée.J’acceptais et nous convenions de nous voir chez lui vers 18h00 le lendemain .Ma nuit fut agitée … Je repensais sans cesse à ce sexe et je me forçais de sortir cette image de la tête, mais dès que je fermais les yeux, je le voyais dressé devant moi.
Le lendemain, mon mari rentra du travail vers 17h30, je lui expliquais que je devais passer voir Mariama, (la mère d’Abdallah), chez elle... Je pris ma voiture et me rendis chez Mariama.Abdallah m’ouvrit la porte, il était torse nu, vêtu d’un bas de survêtement. Je constatais qu’il était seul dans l’appartement ses parents étant sortis faire des courses, nous avions encore plus d’une heure avant leur retour.Abdallah me proposa à boire et nous nous sommes installés dans le canapé pour bavarder.Il prit la parole le premier et me fit tout un discours pour me dire qu’il n’aurait jamais dû agir de la sorte avec moi .Il avait retrouvait ses esprits, on allait pouvoir passer à autre chose, et notre relation allait pouvoir redevenir comme avant.En retour, je lui expliquais ce que j’avais sur le cœur .— « Je ne m’attendais pas à ce que tu agisses de la sorte avec moi, surtout avec les liens que nous avons, par contre je te demande de m’excuser si j’ai eu une attitude pouvant te laisser croire, supposer voire même espérer quelque chose.»— « Je vais franc, je ne peux m’en empêcher, je suis vraiment attiré par toi, tu as un corps superbe, j’adore tes formes, tes seins, tes fesses … D’ailleurs je me branle tous les jours en pensant à toi.»Heureusement que j’étais assise car en entendant ça mes jambes n’auraient jamais réussi à me tenir debout .J’ai voulu lui faire comprendre que c’était pas possible d’une part de se focaliser sur moi et de deux de me le raconter directement, même si j’aime la franchise, il y avait des limites.Mais jusqu’à présent je n’y prêtais pas attention puisque nous bavardions, mais mon regard descendit involontairement sur son pantalon et je vis une bosse le déformer. Mon Dieu ! Quelle bosse !Je remonta vite mon regard, trop tard, Abdallah s’en était rendu compte et il se leva, se mit devant moi, abaissa son bas de survêtement et m’exhiba, une nouvelle fois, son sexe en érection. J’avais son sexe énorme, long, marron et bien raide à quelques cm de mon visage .— « Habille-toi s’il te plaît , je vais partir il vaut mieux, ce n’est pas possible que tu me fasses ce coup là. » déclarais-je tout en me levant.Il me saisit alors la main et la plaça sur sa queue raide .— « Elle est comme ça chaque fois que je te vois . »Pour reprendre le dessus, pour ne pas montrer mon trouble, je lui mis une gifle.Abdallah se mit à pleurer.Je voyais les larmes couler sur ses joues, je voyais la marque ma main, j’avais dû lui faire mal.Il posa son visage sur mon épaule.J’étais mal, je me disais que j’y avais été un peu fort... Abdallah me pris dans ses bras me serrant contre lui, je fis de même par affection pour le consoler.Mais il y avait un hic ! Le hic était que je sentais son sexe raide contre mon ventre.— «Habilles-toi !» lui dis-je sur un ton sévère.Mais au lieu de ça, il se recula et commença à se masturber tout en me regardant droit dans les yeux .— «Même ton fils fait ça en pensant à toi, il me l’a dit, il m’a décrit ton corps, nous parlons souvent de toi, de tes seins, de ton cul et de ce que nous pourrions lui faire subir .»Était-ce une provocation ? Je n’en croyais pas mes oreilles, mon fils m’espionnerait et se masturberait en pensant à moi et raconterait des cochonneries en fantasmant sur mon corps, c’était impossible, pas Raphaël. — «Ne fais ça, s’il te plaît, tes parents vont arriver et ça va faire un scandale si on nous trouve tous les deux dans cette situation.»Puis je réalisais que j’étais coincée, je ne m’en étais pas rendue compte, mais le seul passage pour partir était bloqué par Abdallah qui se rapprochait petit à petit un peu plus.Il me saisit de nouveau ma main pour la poser sur sa (magnifique) queue .A partir de là, je ne sais pas pourquoi mais mes doigt enveloppèrent sa hampe, la tâtèrent, à cet instant je commençais à le masturber, ma main faisant des va-et-vient sur ce morceau de chair qui m’attirait fortement.Les idées se chamboulaient dans ma tête, je trouvais son sexe superbe, gros, long pour un garçon de son âge et je me disais que j’étais une salope de lui faire ça. Je me suis mise à genoux .Quelques petits coups de langue le long de cette colonne marron, j’aspirais ses bourses, je remontais avec ma langue le long de sa queue pour aspirer son gland dans ma bouche qu’il remplissait presque, en même temps je déboutonnais et enlevait ma robe, me retrouvant en sous-vêtement .Non sans mal, il dégrafait mon soutien gorge pour me malaxer les seins.Que ça faisait longtemps, même si c’était fait maladroitement, qu’on ne s’était pas occupé de moi comme ça et surtout montré un tel intérêt.— « Je veux te bouffer la chatte, allonge-toi sur le canapé.» m’ordonna-t-il.Je n’étais plus moi-même, comme dans un état second, j’acceptais rapidement, sans me poser de question. Je m’allongeais sur ce canapé, écartant le plus possible mes jambes.Abdallah prit place sur moi s’allongeant de tout son long son corps musculeux sur le mien. Ça me changeait de mon homme.Mais Abdallah n’avait vraiment pas l’habitude d’avoir des relations sexuelles, ce qui était, je suppose, normal à son âge, il n’en était qu’au début de sa sexualité.Malgré son manque d’expérience, sa langue léchait mon intimité, elle courait de partout, du clito à mon vagin, de mon vagin à mon clito, sans trop malheureusement s’y attardait dessus malgré mes conseils.Deux de ses doigts fouillaient mon vagin, il osa même en enfoncer un dans mon anus.J’étais trempée dans tous les sens du terme, entre l’excitation et la chaleur . Même les vitres ouvertes du salon n’y changeaient rien.Par contre, je me forçais pour ne pas crier mon plaisir afin de ne pas «alerter» ses voisins.— « Je vais jouir ! » me lançait-il tout à coup d’une voix troublée.Ne me sentant pas d’avoir son sperme en bouche, je le fis se lever rapidement.Une fois debout devant moi, je me plaçais à genoux, je le masturbais rapidement et il ne fallut pas longtemps pour qu’il crache et répande, en bonne quantité, son sperme sur moi.J’en avais de partout, un peu sur le visage mais le gros de sa semence coulait sur mes seins, mon ventre, je sentais même le sperme se dirigeait vers mon pubis, et lorsque je regardais, j’en voyais même sur mes cuisses .C’est alors qu’Abdallah entendit des claquement de portières dehors. C’était ses parents . Pas le temps de me doucher, alors, sans me laver, je m’habillais à toute vitesse.Je descendais rapidement les escaliers lorsque je croisais Mariama et son mari. — «Coucou Carole, qu’est ce que tu fais là ? » Me demandait Mariama après que son mari et elle m’aient embrassé.— «Rien de particulier, je passais dans le quartier et je me suis dit que j’allais venir te faire un coucou mais Abdallah venait juste de me dire que vous étiez aux courses. » — «Montes boire un verre, maintenant qu’on est là.»— «Non, c’est gentil merci mais je vais rentrer, je ne m’étais pas rendu compte de l’heure.»Seule excuse bidon que je venais de trouver, pour vite partir, je sentais le sperme coulais sur mes cuisses et ma robe même ample, n’allait pas tout cacher indéfiniment.Je regagnais ma voiture et rentra à la maison.Peu avant d’arriver chez moi, je me suis arrêtée dans une rue et, en repensant à ce que je venais de faire, je me suis mise à pleurer …
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