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L'énigme Koliza

Chapitre 1

Hétéro
Les yeux au plafond, allongé dans son lit, je viens de coucher avec Koliza et j’ai pris un pied géant. Les yeux au plafond, je sais que ce rapport sera suivi de quelques autres. Peut-être de quelques dizaines. Peut-être de quelques centaines. Les yeux au plafond, j’envisage que Koliza soit la dernière.
Je n’aurais jamais imaginé cela quand, cinq mois auparavant, Koliza avait emménagé dans un immeuble à proximité du mien. Dès la rentrée de janvier, elle a commencé à emprunter le même chemin que moi pour emmener sa fille à l’école. Celle-ci est âgée de 5 ans et Koliza l’accompagnait matin, midi et soir. De mon côté, je ne travaillais pas les jeudis. C’était uniquement ce jour-là que nous nous croisions. Koliza a commencé à me saluer à partir du mois de mars.
Auparavant, j’avais surtout été rebuté par sa corpulence. Sous la poitrine, le corps de Koliza n’était que rondeurs. Du ventre, des fesses larges et grosses, des cuisses volumineuses. Impossible de parler de culotte de cheval à ce niveau-là. C’en était d’autant plus impressionnant que Koliza ne portait que des leggings. Je pensais qu’elle avait un problème hormonal.
Mais à partir du moment où elle m’a salué pour la première fois, je ne peux expliquer pourquoi j’ai commencé à la regarder différemment. Était-ce en raison de ses magnifiques yeux verts ? De son merveilleux sourire ? De sa longue chevelure noire ? De cette douceur qui émanait d’elle ? Probablement un peu de tout ça.
Je me souviens avec précision de ce magnifique jour d’avril. A midi, j’attendais mon fils au milieu d’autres parents et grands-parents, parmi lesquels se trouvait Koliza. Sa fille était sortie juste avant mon fils et Koliza s’était retrouvée juste devant moi sur le chemin de la maison. Mon fils discutait avec un copain et moi, je n’avais d’yeux que pour ce très large cul dont le gras frémissait à chaque pas. En transparence de son leggings noir, je devinais un tanga du même coloris. Au bout de chemin, je bandais comme un âne et cela m’avait quelque peu déstabilisé. Je n’avais en effet jamais été attiré par une femme de la corpulence de Koliza.
Il s’était encore déroulé trois semaines avant que nous n’allions plus loin que les "Bonjour". Pour la première fois, Koliza n’était pas accompagnée de sa cadette pour ramener son ainée à l’école après la pause de midi. J’avais profité de ce changement :— La petite ne vous accompagne pas aujourd’hui ?— Non, elle être chez son papa.
Son sourire m’avait fait bégayer. Sur le chemin du retour, j’avais appris que leur séparation était la raison du déménagement de Koliza et des fillettes. Le français hésitant de Koliza la rendait plus touchante à mes yeux. Au moment où nos chemins devaient se séparer, j’avais proposé à Koliza de poursuivre notre balade. Je n’aurais pas pu la surprendre plus que cela. A son tour, elle avait bafouillé avant de d’accepter. Nous avions fait le tour du parc puis nous nous étions assis sur un banc. Koliza m’avait raconté sa jeunesse au Kosovo, son pays, la guerre et la nécessité de s’en aller. Dans un premier temps, une cousine les avait accueillis et hébergés puis ils avaient trouvé un appartement. Pourtant, après seulement une année de vie commune dans ce nouveau pays, Koliza et son mari s’étaient séparés.
Koliza n’avait appris que les rudiments de la langue française au gré de quelques cours donnés aux réfugiés. Sans travail, elle avait eu très peu l’occasion d’échanger avec des personnes francophones. Quand bien même elle se faisait facilement comprendre, je sentais que cela la gênait et la frustrait. Je lui avais demandé si elle voulait que je la corrige. Elle m’en avait supplié. Sans nous en rendre compte, nous avions passé l’après-midi dans le parc et nous aurions volontiers prolongé nos discussions s’il n’avait pas été l’heure de retourner chercher nos enfants. La semaine suivante, nous avions échangé en attendant les enfants à l’école. J’avais des obligations l’après-midi alors qu’il ne faisait aucun doute que Koliza aurait apprécié le même après-midi que la semaine précédente, même en présence de sa cadette.
A-t-elle pensé que c’était la présence de cette dernière qui m’avait fait renoncer à passer du temps avec elle ? Ce n’était absolument pas le cas, pourtant, la semaine d’après, Koliza m’avait fait elle-même remarquer l’absence de sa fille cadette. Il faisait un temps affreux ce jeudi-là. Il pleuvait de trombes d’eau, la température avait chuté et un vent violent soufflait. Si violent que le parapluie de Koliza n’y résista pas. Je l’avais raccompagnée jusqu’à chez elle.— Tu montes boire un thé pour toi réchauffer ?— Avec plaisir.Koliza habitait un petit appartement avec deux chambres, une petite cuisine et un salon attenant assez vaste. Elle m’avait indiqué de m’asseoir sur le canapé. Nous avions bu plusieurs tasses de thé et beaucoup parlé. Nous avions échangé nos adresses mail pour que je lui transmette des exercices quotidiens car Koliza avait débuté une méthode d’apprentissage. Avant de retourner chercher nos enfants, elle m’avait enlacé et remercié. En rentrant chez moi, j’avais expliqué la situation à une amie enseignante et elle m’avait envoyé divers exercices d’évaluation.
En trois semaines, Koliza allait parvenir à atteindre un niveau B2 en compréhension et en expression. Malgré des lacunes en écriture, elle avait fait des progrès fulgurants. J’en avais été bluffé.
Mi-juin. En ce jeudi matin chaud et ensoleillé, j’arrive à l’école pour y déposer mon fils. Koliza est là. Pour la première fois, elle n’est pas en leggings mais en jupe. Une petite jupe noire, plissée et évasée, qu’elle porte avec un débardeur blanc au col en V aguicheur. Mon fils file en me disant à peine au revoir. Je salue Koliza et la complimente pour sa tenue. Elle rougit. Nous papotons quelques instants et je lui propose de m’accompagner au supermarché.
Si cela me fait bizarre de faire les courses avec une autre femme que mon ex, il en est de même pour Koliza. Surtout que nous n’avons pris qu’un seul caddie. Nous le remplissons allègrement. Au rayon cosmétique, j’achète une boite de préservatifs. Koliza dit que cela pourrait être utile. Avant de faire remarquer que la date de péremption est de 5 ans et qu’elle a largement le temps de les utiliser. Éclats de rire. En rentrant, je l’aide à monter ses victuailles chez elle et nous convenons de nous retrouver quelques minutes plus tard pour aller nous balader avant d’aller chercher les enfants.
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