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l'ennui quand ça vous prend

Chapitre 1

la journée des premières

Travesti / Trans
Mars 2020, nous sommes confinés, ma boîte ferme, le magasin de ma copine aussi, on se retrouve coincés dans notre 40m2 au sixième étage. Notre coin de liberté, notre balcon où l’on tient à peine à deux pour fumer.
Les journées sont longues, l’ennui arrive vite. Nous tournons en rond comme la plupart des gens, les sorties pour les courses se font a minima, ayant une santé fragile, on ne veut pas prendre de risque. Sophie et moi on se fait livrer les courses, elle sort au tabac pour faire le plein de clopes et moi je me contente d’une balade d’une heure dans le parc en bas pour prendre l’air.
Les journées passent et se ressemblent, jeux vidéo, télé lecture, on se laisse aller. Ma santé fait que je suis menu, 49 kilos, pas très grand, 1m68, des yeux verts et un teint pâle. Sophie est un peu plus grande, 1m70, 51 kilos, et des yeux en amande marrons. Les joggings ont remplacé ses petites robes ou jupes qu’elle porte pour aller au travail, quant à moi, c’est la même chose, enfin presque, j’ai remplacé mon éternel jean, t-shirt par le jogging et un t-shirt.
Un matin alors qu’elle remplit son passe pour sortir, je lui fais la réflexion qu’elle pourrait s’habiller un peu mieux pour sortir.
— Tu crois que je vais fournir un effort pour une sortie d’une heure, pas question. Tu ne fais pas plus d’effort pour t’habiller toi non plus.— Je ne sors presque pas de l’appart.— Et alors ? Je fournirais un effort si toi aussi tu en fais.— OK tu as raison.— Bon je file, à tout à l’heure.— A tout à l’heure, surtout tu n’oublies pas les clopes.— Ne t’inquiète pas, ça je vais pas les oublier, besoin d’autre chose ?— Je ne vois pas. Si, tu devrais te racheter de la cire, tu commences à ressembler à un yéti avec tes jambes poilues.— Très drôle.— Ce serait pas mal quand même.
Elle s’en va et je retourne à mon occupation du moment, mon jeu vidéo. Je ne l’entends pas rentrer, ayant mis mon casque pour jouer. C’est quand elle se plante devant la télé que je m’en rends compte.
— Ça va, tu vas te lever de ton fauteuil ?— Pardon, je ne t’ai pas entendue rentrer.— Tu descends à la voiture, il y a encore des sacs à monter.— OK.

Après avoir fait deux aller/retour à la voiture pour tout déposer dans le hall puis dans l’ascenseur, tous les sacs sont enfin dans l’appart. Nous commençons à ranger.
— Ce sac c’est pour la salle de bain, on le fera après.— Il est gros, tu as prévu un siège.— Non, mais tu as raison, on se laisse aller, alors j’ai pris quelques trucs pour prendre soin de nous.— Cool, je peux voir ?— Après. On range tout et ensuite je te montre.— Oui chef.
Après avoir rempli nos placards, elle attrape le dernier sac et je la suis à la salle de bain.
— Alors j’ai pris de la cire, de la crème épilatoire et des rasoirs.— Vu la quantité, on va pouvoir épiler toutes les voisines, tu comptes ouvrir un salon ?— Ensuite j’ai pris des soins pour la peau, des sels de bain et des huiles pour nous détendre.— C’est cool, mais les sels de bain au jasmin et les huiles parfumées à la rose, framboise ou vanille tu les gardes pour toi, je resterais au bain classique.— C’est vrai que j’ai plus pensé à moi pour les parfums.— Ce n’est pas grave.— Après tu pourras quand même essayer.— On verra.
Donc nous retournons au salon.
— Tu veux manger quoi ce midi ?— J’ai pris du jambon frais, si tu fais de la purée, ce sera nickel.— Alors pour madame, ce sera jambon frais et purée accompagnée de son verre de coca.— Merci monsieur.
J’ai pris l’habitude de faire à manger à la maison, et c’est avec plaisir que je laisse Sophie regarder les infos qui pour ma part me saoulent.
— Madame votre déjeuner est prêt.— Merci monsieur. Après le repas, j’ai prévu de m’occuper de moi, si tu veux après, je te fais un massage, mais uniquement après ta douche.— Merci ce serait cool, j’ai pas mal de douleurs en ce moment.— Je vois bien, tu as du mal à bouger.
Elle finit son repas et file dans la salle de bain, je sais qu’elle en a pour un moment, elle a allumé la musique, après une bonne demi-heure, j’entends l’eau couler dans la baignoire, elle va prendre un bain, j’ai encore une bonne heure à passer sur mon jeu.
— Ça fait trop du bien.
Je lève la tête, elle porte un minishort, un top fine bretelle, je remarque immédiatement ses jambes brillantes et l’absence de tous poils.
— Sexy, ma chérie.— Tu devrais prendre un bain chaud aussi, ça te fera du bien.— Tu as raison.— Je te le prépare, je t’appelle quand il est prêt.— Merci mon cœur.
10 minutes après, elle m’appelle, elle a mis ma playlist sur l’enceinte, la vapeur sort de la baignoire et une douce odeur se fait sentir.
— Je t’ai mis les sels de bain, ils sont censés détendre les muscles.— Bon on verra, de toute façon, ça ne pourra pas être pire que là.
Ma maladie me provoque des douleurs musculaires et la kiné ne peut pas venir plus d’une fois par semaine à l’appartement, au lieu de mes trois séances hebdomadaires habituelles.
— Je te laisse, tu m’appelles, je t’aiderais à sortir.— Merci.
Je profite de ce moment de détente et somnole dans le bain, j’y ai passé plus d’une heure et Sophie finit par venir voir ce qui se passe.
— Ben alors tu veux plus sortir, l’eau doit être froide.— Oui en effet je somnolais.— Je t’aide à sortir ?— Oui je suis un peu tétanisé.
Après m’avoir aidé à me laver et me rincer, elle m’aide à sortir du bain.
— Tu sens bon.— Oui ce n’est pas si prenant que ça. Je n’aurais pas dû rester si longtemps dans le bain.— Tu as mal ?— Oui aux jambes.— On va sortir la table à masser et je m’occupe de toi.
Elle prépare tout, je m’allonge juste avec une serviette posée sur les fesses. Elle prend la crème du kiné et commence à me masser la jambe droite.
— Je ne sais pas comment fait ta kiné pour supporter de te masser avec ces poils. — Elle a l’habitude, tu sais.— Oui, mais ça colle, ce n’est pas très agréable.— Je suis désolé.
D’habitude je me masse les jambes seul ou alors c’est la kiné qui le fait. Sophie m’aide à certains moments de la journée, mais pas pour ça habituellement. Elle finit son massage qui me soulage bien.
— Je ne ferais pas ça tous les jours.— C’est gentil de l’avoir fait, ça m’a soulagé. — Prochain coup, c’est sans moi ou sans les poils.— Haha trop drôle.
Nous profitons du reste de l’après-midi pour nous câliner dans le canapé. Je caresse ses jambes toutes douces et nous finissons dans le lit. Alors que les journées passent, ma kiné m’appelle pour me signaler qu’elle a choppé le COVID et qu’elle est très mal. Elle n’a pas pour l’instant pu trouver de remplaçant pour passer chez moi.
— Je ne vais pas pouvoir rester sans massage profond plusieurs semaines.— Je sais bien mon chéri, je ferais de mon mieux, mais les poils vraiment c’est chiant.— Je vais me débrouiller on verra bien.
Après une semaine, je suis bloqué, si j’arrive à me masser les cuisses et les mollets correctement, je ne peux pas me masser le bas du dos. Et je commence à souffrir et avoir du mal à bouger. Sophie me propose un massage et me fait encore cette même réflexion. Je suis d’accord avec elle, mais de mon côté ayant l’habitude, ça ne me dérange pas.
— Sophie je comprends, si tu veux je passe un coup de tondeuse sur mes poils.— OK on verra bien.
Je passe donc un coup sur mes poils, c’est étrange de faire ça. Après quelques jours, je dois recommencer. Et encore, ça devient pénible. Alors j’essaye le rasoir, du coup plus de poils, mais la repousse est rapide.
— Tu devrais essayer la cire, ça repoussera moins vite.— Tu crois.— Ben oui, puis maintenant qu’ils sont courts, ça ne te fera pas trop mal.— C’est rassurant ton truc.— Ecoute, déshabille-toi et installe-toi sur la table de massage et je m’occupe du reste.— OK.
Je m’installe et subis son épilation en règle, mais en plus des jambes, les fesses, le dos et le devant y sont passés.
— Il ne reste que deux zones à faire.— Ah bon.— Oui tant qu’à faire, on va s’occuper de tes dessous de bras aussi.— Non c’est bon.— Allez laisse-toi faire, regarde tu n’as plus un poil à part là.
Elle minaude, me fait des petites moues, j’éclate de rire.
— Bon OK, mais juste une fois.— Tu verras c’est pas mal aussi quand il fait chaud.
Et effectivement, je sens moins la transpiration et c’est plutôt agréable, car il fait chaud à l’appart. Quatre semaines avant qu’elle me dise de recommencer, c’est mieux que le rasage hebdo. J’ai donc droit à ma séance d’épilation, massage, crème, j’y prends beaucoup de plaisir. Sauf que ce printemps est vraiment chaud, je n’ai pas de short, car je n’ai jamais aimé qu’on voit mes jambes. Sophie porte à nouveau ses petites jupes, robes légères ou shorts. Je suis passé mon temps en caleçon dans l’appart et sors en jean ou jogging. Un après-midi, on décide de faire une balade dans le parc en bas de l’immeuble. Il fait 32° dehors.
— Tu vas avoir trop chaud en jean.— Tu sais bien que je n’ai rien d’autre.— Tu veux un short ?— Je n’en ai pas.— Je t’en prête un si tu veux.
J’ai vraiment chaud et sortir en jean ne me fait pas rêver ni rester enfermé on respire plus à l’appart.
— Ecoute on sort une demi-heure ça ira et tu seras vraiment plus à l’aise.— Va pour le short.
Elle prend un petit short en jean dans un tiroir. Il n’est pas super grand.
— Celui là sera pas trop moulant.— On va essayer.— Il te va super bien, joli petit cul.— C’est vrai en plus.— Avec tes jambes toutes lisses, ça te va vachement bien.— Oui bon ça va aller. On y va ?— Let’s go darling.
Notre balade est agréable, je n’ai pas chaud. Sophie profite d’une pause sur un banc pour me caresser les cuisses.
— J’en profite pour une fois, c’est tout doux.— Ce n’est pas désagréable j’avoue.— Bon donc tu porteras des shorts maintenant alors.— Tu sais bien que je n’aime pas.— Oui, mais là tu aimes ?— Oui, mais là on est entre nous.— C’est vrai que tes jambes font plus penser à des jambes de filles que de mec, mais ce n’est pas grave, tu sais. — J’ai toujours été complexé à ce sujet.— Mon chéri il ne faut pas. Tu as de jolies jambes fines, beaucoup de femmes adoreraient avoir les mêmes.— Oui, mais je suis un mec.— Un mec dans un minishort et tout épilé. Et pas que le short d’ailleurs.
Ah oui, je ne vous avais pas précisé. Le minishort et un caleçon qui déborde c’est moche. Du coup en plus du short j’ai eu le droit à une petite culotte. Mais ça personne à part Sophie ne le sait, forcément c’est une des siennes. J’ai eu droit à une noire, sa dernière de propre, après c’était rose ou bleu pâle. Vous savez quoi, une culotte de fille ça passe son temps à vous rentrer entre les fesses quand vous marchez. Et donc j’ai passé du temps à tirer dessus. En rentrant, on fait un détour par le tabac, comment vous dire que je n’étais pas vraiment à l’aise surtout quand on a croisé une voisine qui m’a détaillée.
— Tu crois qu’elle a remarqué que c’était un short à toi.— Ce n’est pas grave. Elle s’est juste retournée pour voir ton petit cul.— Pas grave pour toi peut-être.— Arrête, tu ne vas pas te vexer pour ça.— Bon on rentre vite.— OK.
Il se passe plusieurs jours, notre routine est identique, petite sortie dans le parc du bâtiment. J’ai pris l’habitude de sortir en short, Sophie m’en a trouvé un au supermarché, mais trouver du 36 homme est compliqué. Donc elle me prête un des siens quand le mien est à laver. A l’appart, je lui pique souvent des shorts en tissus légers, j’ai même osé un cycliste que j’ai trouvé super confortable. On plaisante souvent en disant que je suis de plus en plus souvent habillé en fille. Je me suis essayé aussi au top fines bretelles. Ce genre de tenue est moins chaude que mes fringues de mec. Un soir alors que l’on ne savait pas quoi faire, rien à la télé, pas envie de jouer, on regarde au hasard des vidéos sur le Net. On tombe sur la vidéo d’un jeune gars qui se maquille et s’habille en fille.
— Je suis certaine que je pourrais te transformer en fille.— Tu as vu la tonne de maquillage qu’il se met.— Avec toi ce serait plus simple, tu as le teint clair. Pas lui.— Tu déconnes.— Non ce serait drôle, tu me piques déjà tellement de fringues.— Attends, juste des shorts et quelquefois un top.— Oui et mes culottes quand tu mets un minishort.— Ce n’est pas pour ça que je veux être une fille.— Non, mais il manquerait juste le maquillage.
C’est vrai que mes cheveux ont poussé depuis le début du confinement, mais bon on passe à une autre vidéo, vers 23h, on décide d’aller se coucher. Sophie revient sur la vidéo.
— Je suis certaine qu’en te maquillant et te coiffant, j’arriverais à te transformer en fille.— Je ne me vois pas du tout en fille.— Ce serait juste drôle d’essayer, c’est tout. — Pour le prochain carnaval, on verra ça.
Là-dessus, nous nous endormons tranquillement. Le lendemain matin, je ne trouve pas mon short ni Sophie qui est à la cuisine en train de préparer le café.
— Chérie tu as vu mon short ?— Oui, je l’ai croisé dans le panier à linge hier soir avant qu’il décide d’aller se laver.— OK, tu en aurais un pour moi ?— Regarde dans le tiroir, il doit y avoir le cycliste, je crois, je ne l’ai pas mis cette semaine.
J’ouvre le tiroir, bon alors, pas de cycliste, pas de short en jean, il reste un short en éponge rose, et un short noir avec une broderie fleur rouge. Les restes sont plus des shorts de sport ultra-moulant.
— Mon cœur, il n’y est pas.— J’arrive. Tu m’agaces quelquefois, prends ce qu’il reste.— Ce n’est pas grave, je vais mettre un survêt.— Bon alors voyons ça ! L’éponge est super confort, tu devrais essayer autrement le noir en lycra que je mets pour le sport. Tu adores quand je le porte.— Je ne me vois pas trop là-dedans.— Fais comme tu veux. Le petit-déj est prêt, tu me rejoins une fois habillé.
Je regarde le short éponge, bof, le short sport bon on essaye, déjà le caleçon dépasse, il remonte sur les fesses.
— Je peux te piquer une culotte ?— Pour quel short ?— Le sport.— Ça se porte sans normalement. Mais je n’en ai plus de propre vue qu’on est 2 à les mettre maintenant. Mais si veux vraiment un truc tu prends dans le tiroir du haut ce que tu veux.
J’ouvre son tiroir à lingerie, en effet plus de culotte, mais des shortys en dentelle, des strings et quelques belles autres pièces que je lui ai offerts ou qu’on a achetés ensemble. Je regarde, essaye de pas trop déranger son rangement, une pièce attire mon regard, je le prends en main. C’est un string gris en dentelle. J’hésite, mais une envie de le mettre me prend, je le passe, enfile très vite le short tant qu’y être un top à fines bretelles rouge. Etrange sensation, la ficelle dans les fesses, je jette un œil dans le miroir, on ne voit rien, c’est comme si je n’avais pas de dessous. Je rejoins Sophie dans la cuisine.
— Ça y est enfin tu deviens pire que moi pour t’habiller le matin.— Il va falloir me trouver un autre short au moins.— Je vais voir si je trouve sinon on commandera sur le Net.— OK.— Mais dis-moi tu n’as rien mis du coup sous le short.— Heu si en fait.— Ah bon ? Je ne vois pas de marque. Non c’est ce que je crois ?— Oui.— Et après tu ne veux pas être transformé en fille alors que là tout ce que tu portes est à moi.— Je sais bien.— Je voudrais pouvoir essayer au moins une fois, tu portes presque tous les jours mes fringues alors pourquoi pas y aller à fond au moins une fois.— Tu insistes vraiment.— On a quoi d’autre à faire et puis on va s’amuser, ça va nous changer, on ne fait rien depuis des semaines.— Bon on déjeune et si tu veux bien après mes massages, je suis d’accord pour te faire plaisir.— Super on va bien s’amuser tu vas voir.— J’en doute, mais je vois que tu en as envie et c’est pour te remercier de ce que tu fais pour moi.— Je ne fais pas les massages pour ça.— Non je sais bien, mais je t’aime et je veux te faire plaisir.— Moi aussi je t’aime.
Je m’installe sur la table pour mes massages, après les jambes, elle passe au dos, elle descend le short.
— Petite coquine qui a enfilé un string.
Elle commence à jouer avec en le remontant faisant entrer la ficelle à fond entre mes fesses, puis elle relâche la pression avant de recommencer, je me tortille sur la table. C’est surtout l’érection qui me gagne heureusement cachée, car je suis allongé sur le ventre qui me fait réagir.
— Arrête ça.— Au, mais dis donc tu ne serais pas un peu sensible.— Ça va, tu me rentres carrément le string dans les fesses.— Ben c’est comme ça qu’on porte un string, haut sur les hanches avec la ficelle bien rentrée entre les fesses.— Entre les fesses, mais pas à les couper en deux.— Chochotte.
Nous partons dans un éclat de rire, elle finit le massage du dos puis me demande de me retourner, quelques caresses sur mon sexe à travers la dentelle réveillent immédiatement mon sexe et elle me fait alors une fellation qui me fait exploser puissamment. Une fois remis, file sous la douche. Elle m’accompagne, elle me lave les cheveux avec son shampoing et me lave avec son gel douche. Je sens comme elle. Je fais de même pour elle et nous nous séchons mutuellement.
— Nous sommes prêtes, on va choisir nos tenues.— OK je te laisse faire, je t’ai promis, alors tu choisis.
Nous allons nus dans notre chambre, elle ouvre son armoire, jette une petite robe à fleurs sur le lit puis fait défiler les cintres. Elle en sort un sur lequel sont accrochées une blouse sans manche rose puis une autre avec une petite jupe. Elle va ensuite à la commode, ouvre le tiroir à lingerie que j’ai exploré plus tôt. Elle prend plusieurs choses et les jette sur le lit.
— Je m’habille d’abord et après ce sera toi.— D’accord.
Je la vois enfiler un shorty, son soutien-gorge assorti et la petite robe. J’en déduis que la jupe et la blouse sont pour moi ainsi que la lingerie qui reste. Un string rose, le soutien-gorge, un porte-jarretelles et des bas.
— Bon c’est à toi enfile le string tu sais comment faire maintenant. Je t’aiderais pour le soutien-gorge.
Après avoir enfilé le soutien-gorge, elle me l’attache dans le dos puis règle les bretelles. Elle m’attache le porte-jarretelles en glissant les attaches dans le string.
— Si tu les mets par-dessus, tu ne peux pas baisser ta culotte enfin ton string.— Merci pour cette précision.— C’est pour toi quand tu en auras besoin. Assois-toi sur le lit, je vais te passer les bas.
Après les bas et les avoir attachés, je mets la blouse et la jupe. Je regarde ma silhouette dans le miroir. C’est étonnant comment la jupe peut souligner les courbes, elle est taille haute.
— Je vais juste te mettre des collants dans le soutien-gorge pour gonfler ta poitrine.— C’est saisissant déjà de se voir comme ça.— On fait la même taille de fringue donc forcément ça te va. Juste il te faudrait un peu de hanches, mais comme la jupe est stretch et moulante ça va. Et pour tout dire ça te va super bien.— J’avoue je me trouve pas mal.— Allez la belle au salon, tu t’assois sur un tabouret je reviens.
Elle file dans la salle de bain et en ressort avec sa trousse à maquillage, d’autres produits et son matériel de coiffure. Elle pose le tout sur le bar et me tourne face à la fenêtre.
— C’est mieux avec la lumière du jour. Maintenant tu bouges plus et tu me laisses faire.— Bien ma chérie.— Ça va durer un petit moment alors tu ne bouges pas, je ne voudrais pas m’y reprendre à plusieurs fois.
Une fois son maquillage terminé, elle passe à la coiffure, elle humidifie mes cheveux, les coiffe, sort son fer et me boucle les cheveux.
— C’est terminé. Tu es super belle.— Tu plaisantes.— Non viens te voir dans la chambre je n’en reviens pas moi-même.
J’arrive devant le miroir, le choc en effet je ne me reconnais pas, les cheveux ondulés, le visage, mes yeux ma peau, je suis une fille, je regarde une fille dans le miroir tout en sachant que c’est moi.
— Ce n’est pas possible.— Je savais que je pourrais te faire ressembler à une fille, mais là c’est vraiment une jeune femme. Tu es une très jolie jeune femme en plus.— Je... je ne sais pas quoi dire.— Je vais me maquiller à mon tour.— OK.
Je ne peux détacher mon regard du miroir, je me tourne et me retourne, c’est fou. Je m’approche du miroir, observe mon maquillage, ma coiffure, ma tenue.
— Je suis prête.— Tu es très jolie mon amour.— Toi aussi tu sais que tu es belle.— Je ne réalise pas.— Je te l’avais dit, tu as tout pour faire une jolie fille, en voilà la preuve. Il faut que je te prenne en photo.— OK.
On a passé un moment à prendre des photos, des selfies, je suis très à l’aise dans ma tenue. En fait je me trouve belle. Sophie ne cesse de me le dire en parlant de moi au féminin. On passe une bonne partie de la journée ainsi, vers 19h30, on tombe en panne de clope.
— Merde on a plus de clopes, faut descendre au tabac.— Pas comme ça en tout cas.— Il va fait nuit, je n’y vais pas seule et le temps de te démaquiller ce sera fermé.— Je ne vais pas y aller dans cette tenue.— Allez, sinon pas de clope pour ce soir.— Tu as vu comment je suis habillée.— Comme moi hihi.— Mais...— Tu ressembles vraiment à une fille, personne va te calculer. Tu resteras à côté de moi, je parlerais.— Bon OK.— Super je suis contente.
Nous sommes arrivés juste avant la fermeture du tabac, le temps de prendre nos deux paquets et nous reprenons le chemin de l’appartement en prenant notre temps. Ce n’est pas désagréable de sentir la fraîcheur sous la jupe. Mes pas sont petits, mais j’arrive à suivre Sophie. Elle me prend la main.
— Alors mon cœur, ça va ?— Oui ça va.— Cette petite balade te plaît ?— C’est sympa surtout il n’y a personne.
En rentrant à l’appartement, Sophie me prend dans ses bras et m’embrasse.
— Tu es très belle, j’adore ça te voir en fille.
Sa main remonte ma jupe et commence à me caresser, il ne faut pas longtemps pour me faire réagir. Mon sexe se sent d’un coup à l’étroit dans le string elle le sort et continue de me masturber. Mon cœur s’emballe, je jouis rapidement. Sophie continue ses caresses, elle étale mon sperme, elle me pousse sur le canapé, me fait écarter les jambes, la jupe à la taille. Elle ne caresse plus mon sexe, mais maintenant ma raie, je suis excité comme jamais. Elle arrive au niveau de ma rosette, commence à jouer doucement autour, fait de légères pressions dessus. Je sens un peu plus de pression dessus.
— Je peux ?
Un seul mot sort de ma bouche :
— Oui.
Elle accentue sa pression et son doigt entre en moi, sensation étrange au début, mais rapidement ses mouvements, ses va-et-vient je sens un autre doigt entrer, la sensation est plus forte ainsi que la pression.
— Détends-toi ma chérie.— Oh ouiii.
Je suis surpris par ce que je viens de dire, cela encourage Sophie qui agite ses doigts plus rapidement. Je gémis, je prends plaisir, mon sexe a retrouvé de sa vigueur.
— Oh mon Dieu c’est bon.— Tu veux sentir plus ?— OUIIIIII Sophie c’est bon.— Je reviens ma belle.
Elle retire ses doigts, je me sens vide, elle revient de la chambre avec son gode.
— Tu es sûre ?— Oui ma chérie.— Je vais y aller doucement.
Elle présente le gode, pousse pour me prendre, il est plus gros que ses doigts, j’ai un peu mal lorsqu’il me pénètre, elle marque une pause. Elle vient m’embrasser.
— Tu veux vraiment continuer.— Oui c’est trop bon continue.— OK ma chérie.
Je ne réagis pas à son emploi du féminin je suis tout à mon plaisir. Elle commence de longs va-et-vient avec le gode. Elle le fait entrer entièrement en moi, je gémis de plus belle, je n’ai jamais ressenti autant de plaisir. Quand j’explose de nouveau je suis en sueur, mon cœur palpite, j’ai des crampes.
— Je t’aime mon cœur.— Merci ma chérie, moi aussi. Je suis contente que tu aies aimé.— C’est incroyable comme sensation.— Ça avait l’air en tout cas à te voir te tortiller et gémir dans les aigus. Une vraie gonzesse.— Je ne me suis pas entendue, j’ai perdu le contrôle.— Tu étais sublime ma chérie.— Ta chérie ?— Oui tu es une vraie fille ce soir, première fois en fille, première sortie en fille, premier orgasme de fille. Tu as perdu ta virginité ce soir ma chérie.— Je t’ai laissé faire, je n’ai pas pu résister.— C’est bien d’avoir lâché prise ma puce. Mais bon là tu va filer sous la douche tu pues le sperme, et tu mets tout à laver. Je vais te préparer une tenue. Tu trouveras le produit démaquillant sur la tablette c’est le flacon bleu tu le fais avec des cotons.— OK.
Une fois dans la salle de bain, je me démaquille et file sous la douche, ça fait un bien fou. Je me sèche, m’enroule dans une serviette et file dans la chambre, je fais un bisou en passant à Sophie qui nous prépare le repas. Posé sur le lit un shorty jaune et une robe. Je les enfile et rejoins Sophie.
— Ça va ma belle ? Comment tu te sens ?— J’ai un peu mal au cul, mais je me sens bien, heureux.— Heureux ou heureuse ?— Ce soir on va dire heureuse.— Je suis contente ma puce.— Sophie ?— Oui ma chérie.— Je t’aime.
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