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L'ensorcellement

Chapitre 3

Zoophilie
*** Partie 3 ***
Une petite semaine passa après ma toute première sodomie avec mon toutou. Je ne représentais désormais plus rien pour mon chien, à qui j’appartenais définitivement. Il me montait comme il voulait et quand il voulait, s’il souhaitait me casser me le cul juste pour m’humilier, il le faisait. J’étais aux ordres, soumise et dominée depuis la première fois qu’il m’avait saillie, et ça ne s’arrêtait pas. Il m’arrivait parfois de ne pas avoir envie de sexe, mais je ne pouvais rien faire si Zanko décidait du contraire : c’était lui le mâle, le patron, et c’était lui qui prenait toutes les décisions me concernant. Et d’ailleurs, il n’allait pas tarder à en prendre une très importante.J’étais au téléphone avec mon chéri, Paul. Mon chien était assis plus loin, me fixait de ses yeux jaunes. Lorsque je raccrochai, il prit la parole :— Lisa, ma chère chienne, il va falloir que tu quittes ton homme.— Je te demande pardon ?— Tu m’appartiens, et je ne supporte plus de te voir avec quelqu’un d’autre que moi. En plus, tu t’absentes pour aller le voir, et je ne peux pas te baiser comme tu le mérites, du coup.Là, il allait trop loin et je devais le lui faire comprendre.— Ca, c’est hors de question. Ok, tu m’as conquise, mais y a un moment où j’aimerais bien garder un minimum d’autonomie et voir des gens de ma race !— Tu feras ce que je te dis, sale pute ! dit-il en montrant les crocs.— Non, va te faire voir, Zanko !Il bondit alors sur moi, et il s’occupa donc de moi pendant l’heure qui suivit, me rappelant à chaque coup de boutoir que j’étais sa chienne docile. Je jouis comme habituellement, et je ne pus me résoudre à lui désobéir.— Haaaa ! Ouiiii, mon Zanko, oui, je te promets que je me séparerais de lui !Quand je fus pleine et remplie, et que je m’effondrai sur le sol comme une loque, il me susurra à l’oreille :— J’ai un plan. Dis à ton homme de venir samedi à la maison. Voici ce que l’on va faire…Samedi, Paul arriva donc à la maison. Je lui ouvris la porte et l’accueillis dans une tenue extrêmement appropriée : un superbe soutien-gorge en dentelle, un string ficelle et un porte-jarretelle noir sublime.— Salut chéri ! lui fis-je en souriant sensuellement.Il siffla devant moi.— Ouah, en quel honneur ?— C’est une surprise.Je l’attrapai par le bras et l’emmenai directement dans ma chambre. Là, je le poussai sur le lit. Je sortis une paire de menottes roses.— Dis-donc, tu es excitée aujourd’hui, me dit-il. Tant mieux, j’adore ça !Je l’attachai à un des barreaux du lit avec la menotte, il ne pouvait donc pas s’enfuir. Je me mis debout devant lui. Je retirai lentement mon string, puis mon soutif. J’étais quasiment nue, ne gardant que le porte-jarretelle. Je lui jetai dans la figure mes deux sous-vêtements, puis lui murmurai :— Maintenant, tu vas pouvoir mater.Derrière moi, j’entendis Zanko rentrer dans la pièce.
— Salut ! dit-il en direction de Paul.Ce dernier faillit s’étouffer.— Ton chien parle ???— Oui, et il ne fait pas que ça, répondis-je en souriant.Je me mis à quatre pattes, montrant ma croupe à mon chien. À partir de maintenant, mon rôle était terminé, et c’était Zanko qui prenait les commandes des évènements. Mon chien avança vers moi, et il dit à Paul :— Ta meuf, c’est MA meuf, maintenant ! J’en ai fait ma petite chienne personnelle, et je vais te le montrer.Là, avant même que Paul ne puisse répondre, Zanko sauta et atterrit sur mon dos. Il lui fallut moins d’une seconde pour enfiler son énorme mandrin au fond de mon vagin. Je poussai un petit cri de surprise, puis il commença directement ses mouvements de va-et-vient.— Arrête ! hurla Paul en se débattant comme un enragé. Espèce de monstre, laisse-la !Pendant qu’il continuait à me donner de gros coups de bite (je commençais d’ailleurs à me chauffer d’excitation), Zanko lui répondit :— Oh non, je vais la faire grimper au rideau, ta nana ! Ecoute ses gémissements de catin !Effectivement, maintenant, je gémissais plus fort, et je commençais à entrevoir les étoiles. Après avoir été prise un nombre incalculable de fois par mon chien, j’en venais à jouir très rapidement, ce qui me rendait complètement folle de lui et de sa grosse bite démesurée. Mes yeux étaient posés sur Paul, mais je ne le regardais pas vraiment, trop occupée à jouir.— Lisa ! Je t’en supplie, arrête ça ! C’est un cauchemar ! se lamentait Paul, qui comprit qu’il ne pouvait pas se détacher et était forcé de regarder la scène.Pendant que je tirais la langue de plaisir, Zanko me griffa le haut du dos et m’ordonna :— Réponds à ton futur ex-petit copain !J’obéis, dominée par ma bête.— J’adore sa grosse bite ! Paul, il me fait du bien ! J’adore ça ! Oh ouiiiiiii ! hurlai-je alors qu’il me mit un plus gros coup de boutoir.— Tu n’es qu’une grosse salope ! me cracha Paul.— Ouiiiiii, une salope ! lui confirmai-je.— Ouais, c’est une belle petite chienne qui aime la bite, intervint Zanko. Mais il faut la mériter, cette petite, et surtout avoir l’outil adéquat pour la baiser. Désolé, mec, mais tu n’as pas mon niveau ! Maintenant, ferme-la et écoute ta sale pute de nana jouir !Je criai, maintenant, de bonheur et de plaisir. Je venais d’enchainer trois orgasmes, c’était divin ! Chaque baise était ainsi : je finissais toujours par jouir, parce que mon chien Zanko était le meilleur amant du monde, et qu’il savait y faire avec sa bite !J’étais toujours située à quatre pattes, bien cambrée pour accueillir au maximum le gigantesque gourdin de mon amant. Ce dernier me maintenait contre lui fortement, je sentais ses poils durs sur mon dos. Son bassin faisait de grands mouvements en avant et en arrière. Il me mettait de gros coups et cognait tout le temps contre mon utérus ! À chaque coup de boutoir, je poussais un cri de jouissance.Quant à Paul, il tentait toujours de virer la paire de menotte, en vain. Ce qu’il voyait avait l’air de le choquer profondément, mais je ne m’en souciais guère, avec ce qu’on me mettait dans le ventre.— Tu as vu dans quel état je mets ta meuf, mec ? le provoqua Zanko. C’est une putain de salope ! Je me régale à la tringler !Paul était blanc, il ne savait comment réagir, tout cela devait lui paraitre irréel.— Haaaa ! explosai-je. Baise-moi ! Baise ta femelle, mon Zanko chéri ! J’adore ça !— Tu vois, c’est elle qui insiste ! Aussi, je me plie aux envies de ma femelle !Il continua de me bourrer durant de longues minutes, jusqu’à ce que je sente son nœud grossir et Zanko s’immobiliser.— Ha ! Ha ! Oui, je la sens !Sa boule atteignit la grosseur d’une pomme, elle écartait mon vagin dangereusement, mais j’avais l’habitude, de toute façon. Cela faisait un moment que Zanko m’avait ouvert la chatte et le vagin. Puis Zanko, comme à son habitude, me lâcha et fit passer ses pattes avant au dessus de moi. Il me tourna le dos, et nous fûmes reliés l’un à l’autre uniquement grâce à son sexe épais coincé dans ma chatte. Sans le vouloir, je soufflai alors à Paul :— C’est le moment que je préfère !Il explosa d’un coup, et tout le sperme accumulé dans ses couilles se déversa en moi, dans mon vagin et dans mon utérus. Je poussais un hurlement de jouissance et levai ma tête au plafond en jouissant comme jamais.Aujourd’hui, Zanko était en forme, et je le sentais : c’était un véritable torrent de foutre qui partait à l’assaut de mon utérus. Il m’avait déjà rempli entièrement la chatte en l’espace de dix secondes et comme il faisait le bouchon avec mon nœud et son sexe, la totalité de sa semence restait en moi. Moi, j’avais l’impression qu’on m’avait mis un tuyau d’arrosage dans le vagin. Jamais je n’avais ressenti telle quantité de sperme. Le fait d’être observé en train de copuler ainsi avec mon chien me fit jouir énormément : je rentrais dans un état d’euphorie, dans lequel je ne sentais rien d’autres que le foutre et le sexe de mon amant.— Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Hiiiiiiik ! Remplis-moi, ouiiiiii ! J’adore çaaaaaa !Mon ventre grossit légèrement devant l’énorme quantité de sperme brûlant que Zanko me léguait. C’était incroyablement bon de se sentir pleine et au summum du plaisir ainsi. Je décidai de ce moment pour me promettre de devenir véritablement la chienne de Zanko, et que ce dernier avait eu raison de vouloir supprimer ma relation avec Paul. Zanko devenait mon homme, et cela apparaissait comme une évidence, désormais. Ce n’était plus une petite aventure sexuelle zoophile, c’était en train de devenir plus : je tombais amoureuse de Zanko, en fait.Sa boule diminua de taille avec le temps et le liquide qui pénétrait mes entrailles. Puis soudainement, Zanko parvint à se retirer de moi. Je m’allongeai sur le sol, tandis qu’une cascade de sperme jaillit de ma chatte très ouverte. Je bavais sur le sol, encore en pleine euphorie.— Bwah ! disais-je. Trop bon !Je vis Zanko approcher de Paul.— Voilà comment on traite une sale petite pute, mon gars. À présent, tu vas partir car la suite ne te regarde plus. Je dois encore casser le cul à ta chérie. Tu ne vas plus jamais t’approcher cette maison. Tu n’approcheras plus jamais Lisa, car c’est ma chienne maintenant ! Si tu désobéis, je te retrouverais et te tuerais. Il montra les crocs et d’un énorme coup de mâchoire, brisa la paire de menotte en mille morceaux. Paul se leva courut vers la sortie.Zanko me lécha le visage.— Alors ma belle, tu as aimé ?— Oui, mon Zanko. Tu es merveilleux, je t’aime !— C’est ça, en attendant, remue-toi et remets-toi à quatre pattes, je vais m’occuper de ton cul, cette fois !La suite resta entre Zanko et moi.
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