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Entorses (à la cheville et à la morale)

Chapitre 3

La semaine de Noël

Inceste
Notre lever fut semblable aux précédents, peut-être un peu décalé dans la matinée, car nous nous étions couchés la veille exceptionnellement plus tard que les poules. Il est probable que les deux bouteilles de champagnes auxquelles nous avions fait un sort à quatre n’avaient pas facilité notre endormissement.Je somnolais encore lorsque Manon commença à remuer et fit en sorte que j’ouvre les yeux à mon tour. Réglé comme un métronome, le jour s’était déjà levé, si bien que j’apercevais très distinctement les seins de ma sœur dans l’entrebâillement de son pyjama.― Comment ça se fait que mon pantalon est sur mes chevilles ? Murmura-t-elle.Le fait qu’elle ait formulé sa question à voix basse témoignait qu’elle en connaissait la réponse. Elle n’insista pas et se contorsionna discrètement pour le remonter sur ses hanches. Ma mère et Laura se réveillèrent à leur tour.  ― J’irai bien me doucher, déclara Sandrine après avoir musardé quelques minutes sous la couette.Je compris l’allusion, me levais et la transportai dans la salle de bains dont je ne fermai pas complètement la porte. Voilà, nous y étions, et nous étions aussi gênés l’un que l’autre. Techniquement, ce n’était pas très compliqué : je devais prendre ma douche avec ma mère, et éviter qu’elle ne tombe. Sauf que c’était ma mère. Je me dis que je devais dédramatiser la situation.Je la fis assoir sur la chaise que nous avions laissée dans la salle de bains et entrepris de défaire ses bandes. Rien à signaler de ce côté-là. Puis je me déshabillai le plus naturellement du monde. Elle marqua un temps d’hésitation, et j’entrepris du coup de déboutonner sa veste. Ma main se glissa entre ses seins tandis que je passais de bouton en bouton, puis je lui enlevai sa tunique. ― Accroche toi à mon cou.Je me redressai un peu, la soulevant de sa chaise et fis glisser son froc sur ses chevilles. Elle ne portait pas de culotte pour la nuit. Elle était nue. Je l’aidais à se lever, la serrant contre moi. Je sentais la pression de ses seins sur mon torse. Je descendis dans le bac et l’attirai à nouveau vers moi. Craignant sans doute de chuter à nouveau comme la veille, elle se cramponnait à mon cou. Mon sexe avait durci et s’appuyait sur son nombril. Je me dis que je devais sa vigueur à la fameuse érection matinale, mais je n’étais pas dupe. La vision du corps nu de ma mère et surtout le côté tabou de la situation étaient seules à l’origine de mon regain de forme. Mais cet état de fait ne semblait pas trop la perturber. A vrai dire, je ne parvenais pas à capter son regard, signe sans doute qu’elle n’était pas parfaitement à l’aise.― Tu devrais faire pipi dans la douche, lui murmurai-je.Elle leva les yeux, étonnée par ma proposition, et finit par esquisser un sourire. Puis je sentis un liquide chaud me couler le long de la jambe jusque sur mes pieds. ― Maintenant, le moment le plus dur, je vais ouvrir l’eau.J’orientai la douchette vers mon visage, pus mouillait rapidement nos deux corps, des épaules jusqu’aux orteils. Je m’empressai de refermer le mitigeur. ― Ça va ? Lui demandai-je. ― Elle est froide, me répondit-elle, sans surprise.― Je vais te lâcher, alors tiens-toi bien à moi. Et attention au savon, ça peut glisser.J’entrepris alors de lui savonner le dos, puis le ventre et les seins, les fesses, les cuisses et les jambes. Je glissai une main savonneuse sur son sexe et sur sa raie. Je ne lui avais pas demandé son avis mais elle ne dit rien, ne protesta pas.Je me savonnais à mon tour. Elle s’était un peu éloignée de moi pour me laisser manœuvrer, ses bras toujours autour de mon cou. J’avais une vue imprenable sur son anatomie. Ma mère était encore une femme très sexy. Puis je reposai le savon dans son support et la serrai à nouveau contre moi. Ce geste n’avait aucune autre justification que de sentir à nouveau ses seins contre ma poitrine.― En fait, le pire, c’est maintenant : le rinçage. A moins que tu préfères rester comme ça ? Plaisantai-je. Elle me fixa dans les yeux et me sourit. J’ouvris l’eau et commençai par me rincer. Puis je m’attaquai à ma compagne de douche. Je lui rinçai d’abord les jambes, pour qu’elle s’habitue à la fraicheur de l’eau, puis attaquai ses épaules. Je ne sais si cela permet d’évacuer l’eau savonneuse plus rapidement, mais je m’aidai de mes mains. Passant sur ses seins, je sentis leur pointe durcie, sans doute un effet du froid. Pendant tout le temps que dura le rinçage, elle se cramponnait à moi pour ne pas glisser. Ce contact permanent et multiple m’excitait. Nous avions trouvé une répartition des tâches qui me convenait parfaitement. Elle faisait en sorte de rester accrochée à moi et de ne pas tomber, ce qui mobilisait ses deux bras, et moi je m’occupai intégralement de sa toilette. Le jet et mes mains s’occupèrent ensuite de son pubis et de son postérieur. J’agissais comme j’imagine qu’elle le faisait elle-même, n’hésitant pas à insérer mes doigts entre ses fesses et à lui frotter le sexe. Il me semble qu’à un moment donné elle rectifia sa position pour écarter les jambes. Puis j’arrêtais l’eau.― Te voilà toute propre. 
― Merci, me répondit-elle.― Tu as un corps magnifique, ajoutai-je sans pouvoir m’empêcher de fixer ses seins.― Je pense que tu exagères un peu, mais c’est quand même gentil de me dire ça.Je pris la serviette et commençait à la frotter.― Pas trop froid ? Lui demandai-je.― Non, ça va. Je craignais que ce ne soit pire.Je l’aidai à sortir de la cabine de douche et à s’assoir. Et c’est là que je me rendis compte que j’avais oublié nos habits. Je le lui dis.― Je crois que j’ai oublié d’emporter de quoi nous vêtir !― Tu veux que je reste comme ça ? Osa-t-elle.― Pourquoi pas ? Tu es si belle ! Mais il fait trop froid. Je reviens.J’enfilai à la va-vite mon pantalon de pyjama et glanait sur les fauteuils mes habits et les siens. Je lui tendis d’abord son soutien-gorge qu’elle positionna et agrafa avec dextérité. Puis elle enfila son sweet-shirt.Je ne m’étais pas encore rhabillé et je me rendis soudain compte que, étant debout alors qu’elle était assise, mon sexe en semi-érection se dressait juste devant ses yeux. Je me précipitai alors sur les bandes et les refixai sur ses chevilles. Puis je finis de l’habiller comme la veille. Enfin, je me vêtis à mon tour.

* * *

Je la ramenai dans mes bras dans la salle commune. Mes sœurs étaient parfaitement réveillées mais encore couchées.― Pas de problème ? Nous interrogea Laura.Ce fut ma mère qui lui répondit :― Aucune chute et nous sommes tout propres !Je voyais bien à leur regard que quelque chose les tracassait. Elles savaient que nous nous étions douchés ensemble, et je pense que ça les choquait. Mais si elles avaient voulues, elles auraient pu éviter ça, il aurait suffi qu’elles se portassent volontaire pour aider Sandrine. Je pense que ce qui les surprenait le plus était que notre mère semblait rayonnante, heureuse.Mes sœurs nous succédèrent dans la salle de bains. La matinée fut consacrée à préparer le repas du jour de Noël, une incontournable dinde trouva bientôt sa place dans le four. Je désertai la cuisine, laissant ces dames s’occuper du volatile, et réalimentai notre provision de bois de chauffage.Le repas assez tardif (c’est long à cuire, une dinde,) fut accompagné d’un excellent vin rouge sur lequel nous ne lésinâmes pas. L’après-midi se passa, à cuver et à somnoler. Nous n’avions même pas la force de nous lancer dans un quelconque jeu de société.Puis vint le repas du soir et bientôt le coucher. La routine, quoi. Nous étions désormais rodés.Laura puis Sandrine furent les premières à s’endormir, comme en témoignaient leur respiration. Manon se tourna alors vers moi pour m’interroger :― Vous avez pris la douche ensemble et tous nus ?― Ben oui, et alors ? Comment tu voulais faire autrement ?― Et Maman, ça ne l’a pas gêné ?― Je crois que ce qui la gêne le plus, c’est de dépendre de quelqu’un d’autre, pour aller aux toilettes, par exemple. Mais pas de se retrouver nue sous la douche avec un bel Apollon comme moi.― Ça va, les chevilles ?― Les miennes oui. Celle de Maman, il faudra encore quelques jours pour qu’elle puisse remarcher toute seule. Sinon, elle risque de traîner ça plusieurs semaines, voire plusieurs mois.Manon ne trouva rien de plus à ajouter.Excédée, elle me tourna le dos, s’empara de ma main à l’aveugle et la colla d’autorité sur son sein.Je ne trouvai rien à y redire.

* * *

La semaine s’écoula, à la fois monotone et excitante. Nous n’avions pas beaucoup de distractions, et menions une vie réglée comme du papier à musique. Mais, pour moi en tous cas, dans cette routine s’inséraient des séquences plus stimulantes. Avec Manon d’abord, qui, de plus en plus, laissait faire à son pyjama tout ce qu’il voulait, découvrant fréquemment une fesse ou un sein, quand ce n’étaient pas les deux. Je profitai du spectacle, surtout au réveil, et elle ne semblait pas s’en offusquer. Le coucher était devenu l’occasion d’un contact plus tactile. Je ne tardais pas à prendre l’initiative de glisser ma main sous sa veste pour empoigner un sein à nu. Elle sembla trouver ma hardiesse à son goût, aussi renouvelle-je l’expédition chaque soir. J’adorais ce contact et sentir ses pointes durcir entre les doigts. Mais mes attouchements n’allèrent pas plus loin et je n’eus pas à nouveau l’occasion d’enfouir mes doigts entre ses cuisses.Dès notre deuxième douche commune, je sentis ma mère beaucoup plus détendue que le jour de Noël. Elle me laissait toujours lui déboutonner son pyjama, ce qui me donnait l’occasion de frôler ses seins et de mettre en scène la mise à nu de ses mamelons. Par exemple, une fois tous les boutons dégrafés, je plaquais chaque pan de la veste sur son corps et les tirai vers l’extérieur. Dans un premier temps, ils entrainaient ses seins dans ce mouvement. Puis, alors que j’écartai encore le tissu, ses mamelles résistaient et restaient en place. Sa chair était de plus en plus dénudée. La pression du textile sur ses tétons les faisait durcir. Puis ses nibards se libéraient enfin du pyjama et revenaient soudainement en position centrale, leur pointe dressée en avant. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’ils bondissaient, mais c’était un peu l’idée.― A quoi tu joues ? Me demanda-t-elle la première fois que je la déshabillais ainsi. Mais elle ne protesta pas plus que ça, et je recommençai le même manège le lendemain, cette fois sous son regard amusé.Une fois nus tous les deux, lavage et rinçage suivaient le même déroulement. Elle veillait à son équilibre en se cramponnant à moi, et je lui faisais sa toilette. Mes mains avaient accès à toutes les parties de son corps, sans restriction. Il me semble que ça ne la gênait pas, et même qu’elle y trouvait un certain plaisir.
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