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Entorses (à la cheville et à la morale)

Chapitre 4

Le Nouvel An

Inceste
Puis le jeudi, il s’arrêta de neiger. Le soleil revint le lendemain. La température était toujours en dessous de zéro, même à 13H00. La neige qui s’était accumulée sur les routes ne fondait donc pas. Pas de nouvelle de l’électricité, toujours absente de nos prises. Le vendredi, je m’armais d’une pelle et dégageai nos voitures ainsi que le chemin d’accès du chalet jusqu’à la petite route qui le desservait. Puis nous appelâmes le maire dont nous avions le numéro de mobile pour savoir quand était planifié le passage du chasse-neige devant chez nous. Nous eûmes d’abord plusieurs fois sa messagerie mais ma mère finit par le coincer le lendemain à un moment où il avait allumé son portable. Lui aussi devait économiser sa batterie. La réponse du sympathique édile fut assez vasouillarde. Nous devinâmes qu’il n’avait pas prévu de rotation du chasse neige communal par chez nous. Il est vrai que nous devions être les seuls êtres humains au bout de trois kilomètres d’une route ne desservant que quelques résidences secondaires qui n’étaient occupées quasiment qu’en été. Je pris alors le téléphone des mains de ma mère et lui jouais la grande scène du deux. Ma mère avait chuté et avait sans doute une fracture, car sa jambe avait enflé et était devenue toute bleue. Elle souffrait beaucoup et nous n’avions rien pour soulager sa douleur. Je le sentis hésiter un peu, mais face à un planning qui n’avait déjà pas dû être facile à mettre sur pied, ça n’était pas encore suffisant. Comme nous n’étions pas prévus, passer chez nous signifiait déprogrammer quelqu’un d’autre. Il devait regretter d’avoir allumé son portable à ce moment-là.Je jouais alors mon va-tout.― Ecoutez, je comprends vos contraintes, mais là, je suis vraiment inquiet. Elle a de plus en plus mal, et elle ne peut plus marcher. Si elle n’est pas soignée rapidement maintenant, elle risque de boiter toute sa vie. Je ne sais pas si votre commune est couverte pour ce genre de sinistre, je ne sais même pas si ça relève de la commune ou de la responsabilité personnelle du maire. Vous avez une assurance pour ça ?Il n’en savait rien, bien sûr, mais je l’avais suffisamment effrayé pour qu’il se replonge dans son planning. Il nous promit de faire passer le chasse-neige le lundi matin, « tôt ». J’aurais préféré le lendemain (le dimanche, donc,) mais je compris que je n’avais pas intérêt à jouer les jusqu’au-boutistes.Je le remerciai chaleureusement, en insistant toutefois sur le fait que, vu l’état de santé de ma mère, c’était vraiment la dernière limite. J’avais conscient que je n’étais pas en train de m’en faire un ami, mais il promit.

* * *

Et, chose à laquelle nous ne nous attendions pas vraiment, il tint parole. Le jour n’était pas encore levé, ni nous non plus, lorsque nous entendîmes un bruit de moteur qui nous fit chaud au cœur. Nous nous rendîmes alors compte que depuis une semaine, les seuls sons qui arrivaient à nos oreilles étaient nos voix et le crépitement du feu dans la cheminée. Nous entendions distinctement au travers du double vitrage la pétarade du vieil engin fatigué. Je jurerai presque avoir senti l’exquise et suffocante puanteur du moteur diesel. Je la trouvais presque plus savoureuse que l’odeur de la dinde de Noël après deux heures passées dans le four.Je me précipitai à la fenêtre de la cuisine et aperçus les feux du chasse neige. Il n’était sans doute pas encore 7H00 du matin. Le maire avait réussi à nous caser dans son planning en convainquant son employé de rogner un peu sur sa nuit.Laura me rejoignit à la fenêtre et je sentis sa poitrine se coller sur mon dos. C’était inattendu, mais je mentirai si je disais que je trouvais ce contact désagréable. Sandrine et Manon étaient restées couchées, toutes deux handicapées, l’une par sa cheville, l’autre par son pyjama récalcitrant, et nous demandaient de décrire la scène.Je m’habillai à la hâte et sortis à la jonction entre le chemin d’accès et la petite route communale. Je croisais le vieil employé alors qu’il engageait son engin sur notre propriété, pour faire sauter la congère que son passage avait créée et faire demi-tour. Nous échangeâmes un signe de la main et il disparut bientôt de ma vue, la puanteur et le tintamarre persistant un peu plus. C’est depuis ce jour-là que le boucan d’un moteur mal réglé et l’odeur du gasoil sont pour moi synonymes de bonheur.De retour à l’intérieur, je pris ma douche avec ma mère selon notre habitude maintenant bien établie. Mes sœurs nous succédèrent, puis nous rassemblâmes nos bagages et remplîmes le coffre des deux voitures. Manon eut en ligne le système de réservation de la SNCF et nous informa qu’elle prenait son train depuis Bordeaux. Mes deux sœurs confirmèrent leur soirée respective. Back to civilisation.A 11H30, nous étions partis. La descente ne fut pas si simple que ça, mais nous restâmes sur la route, qui s’avéra parfaitement praticable une fois de retour dans la vallée. Nous fûmes émus devant un feu tricolore en état de marche. Ici, l’électricité était revenue. Peut-être même n’avait-elle jamais disparu.Nous déposâmes Manon à la gare Saint-Jean, puis je ramenais Sandrine et ses bagages dans ses appartements.― Qu’est-ce que tu vas faire ce soir ? Lui demandai-je.― Je ne sais pas trop. Je ne crois pas que je vais sortir, plaisanta-t-elle. En fait, je n’avais rien prévu de spécial. Je trouverai bien un truc regardable à la télé.― Tu m’inviterais ?― Toi ? Mais tu n’avais pas prévu de réveillonner avec des copains ?― Oui, mais j’ai annulé depuis. Et pour tout dire, je n’avais déjà pas trop envie d’y aller. Je crois qu’il va me falloir me réhabituer petit à petit à la foule et au bruit. Mais bon, si ça ne te dit rien, ce n’est pas grave. Moi aussi j’ai une télé.
― Mais non, tu es bête, bien sûr que tu es le bienvenu, affirma-t-elle et se pendant à mon cou.― Je vais passer chez moi et faire les courses. Dis-moi ce que tu veux que je ramène.Je l’aidais à monter au troisième étage (l’ascenseur nous facilita grandement la vie). Pendant que je montais ses bagages, elle me griffonna une liste, que j’abondai de mon propre chef au supermarché. Je rajoutai deux bouteilles de champagne, des amuse-gueules pour au moins deux apéros et de quoi manger le lendemain.Je fus de retour à son appartement vers 19H00.― Oh ! M’exclamai-je. Tu n’es pas encore couchée ?Elle éclata de rire.― C’est vrai qu’il va falloir s’habituer à un autre rythme de vie. Je ne sais pas si je tiendrais ce soir jusqu’à minuit.Je l’aidai à préparer le repas. Enfin, je fis surtout en sorte de ne pas trop la gêner, ce qui n’était déjà pas si mal. Vers 20H00, nous attaquâmes l’apéro en discutant tranquillement.― Drôle de semaine, tu ne trouves pas ? Me demanda-t-elle.Je ne savais pas trop à quoi elle faisait allusion. A la panne d’électricité ? Au fait que nous étions restés 10 jours bloqués dans le chalet sans chauffage ? A son entorse ? A nos douches communes ? Mais quel que soit le bout par lequel on l’abordait, il est vrai que cette semaine avait été exceptionnelle.― Oui, elle sortait vraiment de l’ordinaire. Dès le redoux, il faudra que j’y retourne, pour m’assurer qu’il n’y a pas de dégâts et remettre le chauffage hors gel.

* * *

Le repas n’avait rien d’exceptionnel (une préparation surgelée au poisson), mais nous l’avions accompagné d’un très bon vin blanc de la région. Et surtout, dans l’appartement de ma mère, il faisait chaud. J’avais abandonné le pull, Sandrine avait passé une robe sans manche avec un décolleté qui, s’il n’avait rien à voir avec celui de Manon en tenue nocturne la semaine écoulée, laissait tout de même apercevoir un peu le galbe de ses seins et quelques bouts de son soutien-gorge. Nous prîmes notre dessert, puis finîmes la soirée assis sur le canapé, en achevant la bouteille de champagne. Nous avions mis la télé en sourdine, et à minuit tapantes, nous échangeâmes un baiser sur les deux joues.― Bonne année, mon chéri. Je te souhaite plein de bonheur, et, qui sait, peut-être de rencontrer une fille qui te plaira vraiment ?― Bonne année à toi aussi, maman. J’espère que ta cheville se remettra rapidement. Je n’en doute pas, d’ailleurs. Et toi aussi, tu pourrais rencontrer un Jules à ton goût… Tu es trop jeune pour rester seule.Elle fit un geste évasif.― Oh, tu sais, je suis très bien comme ça.Je n’en croyais pas un mot mais ce n’était ni le jour ni l’heure pour entamer une dispute.― Bon, je crois que je vais y aller, conclus-je. Tu m’invites demain midi ?― Oui, bien sûr que je t’invite. Surtout que c’est toi qui a fait les courses. Mais je trouve qu’on a un peu trop bu. Je préfèrerai que tu restes là cette nuit.J’étais conscient que je ne m’étais pas vraiment limité au niveau de la boisson. Alors pourquoi ne pas rester ?― Je n’ai pas préparé la chambre d’amis et n’ai aucune envie de le faire maintenant. Alors, si ça ne te gêne pas de partager ma couche une nuit de plus…Non, ça ne me gênait pas.Je la transportais jusque sur son lit, dégottais en suivant ses instructions un pyjama qui ressemblait comme un frère à celui qu’elle portait au chalet et la laissais seule quelques minutes pour se changer.De retour dans la chambre, je me déshabillais en conservant mon slip et me couchais à mon tour. Je faillis, par pur réflexe pavlovien, glisser ma main sous sa veste pour empoigner un sein, comme j’avais pris l’habitude de le faire ces dernières nuits avec Manon, mais je m’en abstins à temps.― J’espère que nous n’aurons pas trop chaud, lui murmurai-je.― Ce n’est pas grave. Je crois que je m’y adapterai.Nous ne tardâmes pas à nous endormir.

* * *

Le jour était levé lorsque nous émergeâmes. Le réveil affichait un peu plus que 9H00 du matin.― Bien dormi ? Lui demandai-je.― Très bien, et je n’ai pas eu froid.― Moi non plus.― Mais j’ai envie de faire pipi. Entre le vin blanc et le champagne…― OK. Donc, on va prendre la douche ?Elle ne répondit pas mais me renvoya un sourire. Je rabattis la couette sur ses pieds et commença à défaire les boutons de son pyjama. Ce geste qui était devenu banal dans nos têtes à têtes dans cette salle de bains glaciale, presque chaste dirais-je, prenait une tout autre signification alors que je l’accomplissais dans sa chambre et quelle était allongée sur son lit. Elle aussi devait sentir un changement, car elle paraissait plus gênée que ces derniers jours. Je ne jouais pas cette fois-ci avec le tissu sur ses seins, mais sentis quand même mon excitation et les dimensions de mon sexe grandir.Je fis glisser son pantalon le long de ses hanches puis de ses jambes. Puis je retirai mon slip. Je me levais, un peu pour camoufler mon embarras. J’ouvris les doubles rideaux, ce qui fit entrer dans la chambre la lumière de ce premier jour ensoleillé de l’année. Puis je me dirigeai à nouveau vers elle, glissai mes bas sous son corps tandis qu’elle s’agrippait à mon cou.Sa salle de bains était équipée d’une douche à l’italienne avec un carrelage antidérapant. Autant dire que le risque de glisser était minime. Mais nous fîmes comme si les conditions étaient les mêmes qu’au chalet. Elle avait noué ses bras autour de mon cou. Cette position mettait particulièrement en valeur sa poitrine. J’ouvris l’eau en dirigeant la douchette vers le bas, jusqu’à ce que la température cible soit atteinte. Je basculai alors le jet sur le pommeau central.Nous retrouvâmes nos gestes habituels. Elle m’enlaçait tandis que je promenais mes mains savonneuses puis seulement mouillées partout sur son corps. Je m’occupai soigneusement de son sexe et de sa raie. Nous fîmes durer ce moment nettement plus longtemps qu’au chalet. L’eau et l’air étaient chauds, et nous étions si bien. ― Je crois que nous sommes propres, là… Me fit-elle remarquer.Je coupai l’eau, allais prendre une grande serviette et entrepris de l’essuyer. C’est alors que nous entendîmes le téléphone sonner.― C’est sûrement les filles, me dit-elle. Emmène-moi dans la chambre.Je la déposais délicatement sur le lit. Elle roula vers un chevet pour attraper le combiné sans fil qui reposait sur son chargeur.― Allo !Apparemment, c’était bien Laura. S’ensuivit le traditionnel échange de vœux, puis quelques banalités sur le retour parmi la civilisation.Sandrine était allongée sur un côté, ses fesses tournées vers moi. Cette croupe ainsi offerte à ma vue m’excitait au plus haut point. J’avais envie de la caresser.― Non, ça va, j’arrive à me débrouiller toute seule. Et puis ça fait déjà une semaine. Je n’ai presque plus mal. Je n’en croyais pas mes oreilles. Elle avait décidé de faire croire à Laura qu’elle était seule. Mais pourquoi ? Je captai son regard et lui mimait mon incompréhension. Elle me sourit et me fit signe de ne pas me manifester. De frustration, je posai mes mains sur ses hanches et commençai à la chatouiller.Elle se tortilla en s’efforçant de n’émettre aucun son incongru. Puis elle s’allongea à plat ventre pour protéger son abdomen de mes attaques. Je ne pus résister et entrepris de lui mordiller le derrière. Elle gigota de plus belle, ce qui eut pour effet de mettre en contact mes lèvres avec sa chair et la naissance de son sillon. Je troquais alors les mordillements pour des petits baisers que je déposais partout sur ses fesses, sur sa raie, vers son sexe. Elle s’agitait un peu moins― Moi aussi je t’embrasse, Laura. Et elle raccrocha. La scène était la suivante : elle gisait à plat ventre sur son lit, nue et les jambes légèrement écartées, tandis que je lui embrassai le postérieur.― Qu’est-ce que tu fais ? Me demanda-t-elle.Elle le savait parfaitement. Je ne me sentais pas obligée de lui répondre.― Pourquoi tu n’as pas dit à Laura que j’étais là avec toi ?― Parce que…Elle ne trouvait pas les bons mots pour continuer son explication.― Tu as honte de moi ? Lui demandai-je.― Non bien sûr que non. Mais je crois que le fait que nous prenions la douche ensemble, les filles, ça les gênait.― Et toi, ça te gênait ?― Non, moi j’aimais bien. J’aime toujours bien, rectifia-t-elle.― Tu es très belle et très désirable.Je posai une main sur sa fesse et l’écartai légèrement dégageant sa raie. J’y glissai alors ma langue jusqu’à ce qu’elle entre en contact avec sa rondelle.― Ah ! Gémit-elle. Qu’est-ce que tu fais ?― Rien de spécial. Mais dis-moi si je fais quelque chose qui te déplait. Elle ne dit rien, mais finit par se retourner sur le dos, présentant à ma vue sa vulve et son pubis. Je glissai mes doigts dans sa toison et me mis à la ratisser, un peu, un peu comme un peigne. Je glissai ma langue en direction de ses petites lèvres qui dépassaient de sa fente. Elles étaient mouillées et je commençais à les lécher délicatement.― Dis-moi, ça fait combien de temps qu’aucun homme ne s’est aventuré par-là ?― Ahhh ! Gémit-elle, en guise de réponse.― Longtemps ? Insistai-je ?― Tr… Trop Long… longtemps.J’y allais alors franchement, glissant ma langue dans son vagin, aspirant dans ma bouche ses petites lèvres. Puis ma langue dégagea son clitoris et se mit à le lécher. Elle ne tarda pas à jouir, tressautant et se cabrant.Je voulais continuer à lui sucer l’entrejambe, mais elle m’en refusa l’accès. ― Non, arrête !― Tu n’as pas aimé ? Lui demandai-je.― Si, beaucoup. Mais laisse-moi un peu respirer.Ainsi, ce n’était pas un congédiement définitif, mais une interdiction d’accès que j’espérai le plus temporaire possible.Quittant son entrejambe pour ne pas être top tenté, je me redressai à sa hauteur et entrepris de lui caresser les seins.― Tu es vraiment très belle et j’ai très envie de toi.― C’est vrai ? Demanda-t-elle d’un ton qui exprimait à la fois la surprise et peut-être aussi un peu d’espoir.― J’ai envie de te faire l’amour, lui confiai-je.― Mais pourquoi ? Je suis sûre que tu peux avoir toutes les filles de ton âge que tu veux. Alors pourquoi perdre ton temps avec moi ?― Mais parce que je t’aime. Le fait que tu sois ma mère ne fait pas de toi un être asexué. Ça n’empêche pas que tu aies des seins magnifiques, par exemple, lui dis-je en pinçant ses tétons. Je ne crois pas qu’il y ait deux sortes d’amour. Un réservé à sa famille, à sa mère, et qui serait purement chaste, un autre pour les femmes extérieures à ce cercle, et qui seul serait consommable. Je suis désolé. Je t’aime et j’ai envie de toi.Elle était troublée, ça se voyait, mais laissait ma main caresser sa poitrine.― Et toi, tu ne dis rien ? La relançai-je.― Que veux-tu que je te dise ?― Par exemple ce que tu ressens.― C’est compliqué. Je suis bien avec toi. J’aime quand tu me caresses. Mais je me sens gênée aussi. Je me dis que nous ne devrions pas.― Ton corps dit oui et ta tête dit non, c’est ça ?― C’est un peu ça, oui.― Et te connaissant, tu vas trancher en faveur de ta tête.Elle ne répondit pas.Je sentis une chape de tristesse me tomber dessus. J’étais si bien cinq minutes auparavant. Je ruminai nos derniers échanges pendant quelques minutes, continuant à lui caresser la poitrine, comme machinalement.― Finalement, je ne vais pas déjeuner avec toi aujourd’hui. Ce serait un peu trop dur pour moi. Et c’est la dernière fois que nous nous retrouvons tous nus dans les bras l’un de l’autre.― Thomas… ― Mais si tu veux bien, restons un peu comme ça. Tu veux bien ?Elle ne répondit pas. J’insistai.― Tu veux bien ?Et elle fondit en larmes et s’agrippant à mon cou.― Ne pleure pas, je t’aime toujours, et je resterai ton fils.― Serre-moi dans tes bras, bredouilla-t-elle.Je m’exécutai. Je basculai sur le dos en l’enlaçant dans mes bras. Je sentais ses seins sur ma poitrine et ne pus m’empêcher de lui caresser les fesses. Elle me laissa faire.Du temps passa. Je la fis pivoter sur le dos et entrepris de l’embrasser dans le cou, puis sur ses tétons que je mordillai un moment. Je descendis ensuite en déposant de petits baisers à hauteur de son nombril, puis de sa toison.Puis je collai ma bouche sur ses petites lèvres et restais quelques minutes ainsi, à lécher ses petits morceaux de chair. Elle mouillait et m’encourageait en plaquant ma tête sur son entrejambe. Je buvais littéralement à sa fontaine intime. Puis ma langue s’occupa de son clitoris et elle ne tarda pas à jouir.Je sentis son corps peu à peu se détendre. Je me levais, me rhabillais et rentrais chez moi.
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