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Entre amis d'enfance

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Nous restâmes dans cette position - moi entre les jambes d’Emma et Julien dans sa bouche - pendant un certain temps. Julien commençait à se lasser de sa fellation : « Tu comptes gardait sa chatte pour toi tout seul ? ». Je ralentis mes mouvements et fixa Julien droit dans les yeux tout en continuant avec un rythme plus léger mes assauts. « Non je te laisse la place. C’est demandé si gentiment ! »

Malgré ma remarque à Ju, ça m’arrangeait de faire une pause car je sentais que je ne tiendrais pas beaucoup plus longtemps et il était hors de question d’éjaculer le premier.
Je me retirai donc et m’assis sur un fauteuil qui se trouvait dans un des coins de la chambre et qui me donnait une vue « de dos » sur mes camarades. Julien, qui contrairement à moi était resté debout, s’était allongé sur Emma pour la prendre en missionnaire. Il lui imposa également un rythme assez rapide qui avait l’air de combler Emma à en juger par ses cris de plaisir. Je me masturbais lentement pour maintenir mon érection bien que le spectacle auquel j’assistais n’eût pas réussi à me faire débander. Au contraire. J’avais néanmoins l’impression d’être de ces voyeurs qui prennent plaisir à regarder leur femme se faire baiser par un autre alors qu’eux restent tranquillement dans un coin sans faire un bruit. J’aurais bien voulu aller me faire sucer par Emma mais j’étais encore un peu trop proche de l’explosion pour m’y risquer alors je me contentais du rôle du voyeur. De là où j’étais je ne voyais quasiment pas Emma. Je voyais seulement ses jambes se balancer en l’air tandis que j’avais une vue directe sur le dos et le petit cul de Julien ainsi que sur ses couilles et sa bite qui apparaissait et disparaissait toutes les secondes. Je constatais avec un peu d’amertume que malgré la fellation dont il avait eu droit il y a quelques minutes et les coups de reins auxquels il s’adonnait maintenant, il n’avait pas l’air d’être sur le point de gicler. Jamais je n’aurais imaginé que Julien cachait une telle endurance au lit.

Je décidai quand même de reprendre une place au sein de cette partie de jambe en l’air. Je m’allongeai à côté des deux tourtereaux, ils étaient trop occupés pour remarquer ma présence alors je dus moi-même prendre la main d’Emma pour l’amener jusqu’à mon sexe. Elle se mit à me branler automatiquement. J’étais revenu de mon orgasme imminent, la main d’Emma ne risquait donc pas de me faire exploser, ses mouvements étaient d’ailleurs assez maladroits étant donné la situation dans laquelle elle était. Je tentai de glisser une main au milieu des deux amants pour essayer d’atteindre le sein d’Emma mais le torse de Julien m’en empêcha. Je commençais à m’impatienter, lui qui me reprochait de garder la chatte d’Emma pour moi tout seul voilà qu’il ne la lâchait plus. « T’es pas fatigué mon Juju ? » lui dis-je. Il tourna sa tête, qui depuis que je m’étais allongé était restée enfoncée contre le lit à côté de celle d’Emma, dans ma direction. Il avait les joues rouges, de la sueur perlait sur son front, il avait le souffle court et pourtant il me lança un sourire comme-ci il attendait mon signal pour pouvoir se reposer. Après ma remarque il arrêta ses coups de reins mais resta dans Emma. Emma tenait toujours ma bite dans sa main mais elle ne me branlait plus. Ils restèrent immobiles l’un sur l’autre pendant quelques secondes. Leurs respirations étaient le seul bruit dans la chambre. Julien finit par se décaler et s’allongea de l’autre côté d’Emma. Je pouvais de nouveau regardait le visage de l’instigatrice de cette situation qui avait était trop longuement caché par la tête de l’autre mâle de ce plan à trois. Elle aussi perlait de sueur et avait les joues rouges. Ses cheveux étaient un peu en pagaille mais ça lui donnait un côté sauvage qui me fit rire. Je m’approchai de son visage et l’embrassai sur la joue, elle sourit et passa sa main dans mes cheveux.

Aucun de nous n’avait dit un mot depuis cinq bonnes minutes mais par une sorte de compréhension mentale nous sûmes que nous avions tous les trois besoin d’une pause. J’abandonnai mes deux camarades pendant un instant pour aller chercher une bouteille d’eau dans la cuisine. En revenant je remarquai la tâche laissait sur le lit par les secrétions d’Emma. Je croyais que Julien avait giclé en elle mais il me dit que non. Je fis remarquer à haute voix que pour l’instant Emma était la seule à avoir atteint l’orgasme.

« Vous inquiétez pas la soirée est pas finie les gars. Et dire que je vous ai pratiquement forcés pour participer. Vous vous êtes vite pris au jeu. Vous êtes de vrais fauves en fait !- On est gentleman on n’allait pas laisser la dame faire tout le travail. Et tu croyais vraiment être la seule qui peut être téméraire au lit ? »



Elle me répondit par un petit rire.

Julien avait repris son souffle et s’était réhydraté. Il ne bandait plus et fixait le plafond toujours allongé sur le lit à côté d’Emma. Son visage ne reflétait aucune émotion, il avait l’air perdu dans ses pensées. Ju était sans doute le plus « sérieux » de nous trois. C’est lui qui travaillait le mieux en cours et c’est aussi lui qui avait les histoires d’amour les plus solides. Cette situation devait le chambouler quelque peu. Moi non plus je ne réalisais pas vraiment même si je ne regrettais pas une seconde et que j’avais l’intention de faire durer le plaisir pour encore une bonne partie de la nuit.

« Ça-va Ju ? Tu dis rien.- Ça-va ouais. Je réfléchissais juste.- Concentre ton afflux sanguin autre part que dans ton cerveau. Regarde en bas t’es tout mou ! »

Ma remarque les fit rire tous les deux. Je n’étais plus dur comme la pierre non plus mais la vue d’Emma entièrement nue et la pensée de ce qu’on venait de faire et de ce qu’on s’apprêtait encore à faire me maintenait en demi-érection.

« La ferme. Et pourquoi tu mates ma bite d’abord ?- Parce que je suis un esthète. J’aime les belles choses ! »

Bien que je l’eus dit sur le ton de la plaisanterie, dans cette situation, à ce moment-là, Julien ne me laissait vraiment pas indifférent physiquement parlant. Je regardais sa peau qui avait l’air aussi douce que celle d’Emma et pour la première fois je me dis que je pourrais le faire avec un mec. Ou plutôt avec ce mec-là. J’avais envie de le toucher, de l’embrasser, de le lécher. Mais je me retins car je suis quasiment sûr qu’il m’aurait repoussé et que la soirée aurait tourné court.

J’étais maintenant prêt à remettre ça mais ni l’un ni l’autre de mes camarades ne semblaient se lancer alors je pris l’initiative. Je m’allongeai sur le lit à côté d’Emma et lui embrassai son sein. Je suçais et mordillais son téton, ce qui lui donnait des petits gémissements, quand je vis que Julien avait commencé à faire de même à son autre sein. Elle passa ses mains à l’arrière de nos têtes comme-ci elle nourrissait deux gros bébés.J’avais une envie folle de retrouver le goût de sa chatte alors je me suis mis à descendre progressivement en partant de son sein. Je continuai à embrasser son corps sur le chemin jusqu’à son sexe : le haut son ventre, son abdomen, sa hanche, j’arrivai à la cuisse que je mordis au passage avant de la faire passer au-dessus de moi pour arriver enfin à son entrejambe. Je commençai par lécher le contour de son vagin. À peine ma langue toucha sa peau qu’elle eut un frémissement, comme un coup de jus qui témoignait de la sensibilité de la zone. Elle était toujours humide, l’odeur et le goût avaient un effet aphrodisiaque ce qui décuplait mon excitation. Je passai donc ensuite à la zone clitoridienne et commençai à l’embrasser. J’accompagnais chaque baiser par un léger coup de langue pour essayer de repérer son clito. Après quelques baisers chercheurs je sentis nettement le contact du bouton magique et le gémissement qu’elle eut me confirma la découverte ou plutôt la redécouverte du point sensible. Je lui suçai et lui embrassai le clito aussi soigneusement que possible malgré mon excitation qui me donnait une furieuse envie de lui dévorer sans ménagement sa petite chatte. Mais mon expérience m’empêchait d’être trop brusque pendant l’affaire ; une de mes premières expériences avait d’ailleurs tourné au fiasco à cause de ma précipitation. Emma me demanda de ne pas oublier de m’occuper des autres parties de sa chatte et de laisser un peu de repos à son clito. Je levai la tête pour la regarder une seconde, elle me fit un grand sourire pour m’encourager j’imagine. Je remarquai au passage que Julien s’occupait toujours de ses seins : il en gérait un avec sa bouche et l’autre avec sa main. Je replongeai dans l’entrejambe de mon amante pour obéir à sa requête. Je passais ma langue autour de ses lèvres ainsi qu’à l’entrée de son vagin que je pénétrais légèrement avec la pointe de ma langue. Emma gémissait. Elle me caressait les cheveux et faisait bouger ses hanches pour accompagner ma bouche. Malgré sa remarque sur le besoin de repos de son clito je ne pus m’empêcher de continuer de le titiller avec mon pouce. Je glissai également mon autre main entre ses fesses pour atteindre son petit trou. J’appuyais et tournais autour de son anus avec mon majeur sans toutefois lui enfoncer. Julien lui avait certes léchait tout à l’heure mais je ne savais pas si elle avait déjà été pénétrée à cet endroit et je ne voulais pas lui faire mal. Quand d’un coup :

« J’ai envie d’essayer quelque chose. Je veux que vous me preniez tous les deux en même temps. ». Après la demande de plan à trois c’était la deuxième annonce-choc de la soirée.

« T’es sûre ? Tu l’as déjà fait seulement par-derrière au moins ? Je lui demandai.- Pas avec un mec mais me mettre un sex-toy dans le cul j’ai déjà fait. Et même un sex-toy dans ma chatte et un dans mon cul j’ai déjà fait.- C’est pas la même chose deux godes et deux bites !- Mes godes sont plus gros que vos bites je te signale. Et un plan à trois sans double pénétration c’est pas un vrai plan à trois. » Elle ajouta en riant.

L’idée de la prendre en sandwich m’excitait au plus haut point. De toute façon on avait été trop loin pour se sentir dépasser par ce genre de fantasme. Néanmoins malgré ses histoires de sex-toys j’avais vraiment peur qu’on lui fasse mal.

« T’en penses quoi toi ? Demandai-je à Julien.- Moi je suis partant. De toute façon si elle a mal on arrête et puis c’est tout.- Voilà. Et puis c’est pas la peine de me pilonner sauvagement dès le début, vous y allez crescendo. » Ajouta Emma.

Ils réussirent à m’enlever les quelques appréhensions que j’avais. C’est vrai qu’on pouvait s’arrêter au moindre problème.

On décida de la position : Julien sera en dessous d’Emma allonger sur le dos, elle sera allongée sur lui et moi je la sodomiserai par-derrière. Mais avant cela je dis à Emma de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécuta et me tendit son cul comme une offrande. Je voulais voir si elle pouvait prendre une bite par-derrière. Elle écartait ses fesses de ses deux mains ce qui m’offrit une parfaite vue sur son petit trou. Comme tout à l’heure je passai mon pouce dessus, j’appuyais dessus et tournait autour mais sans le rentrer. C’était certain que son cul ne pouvait pas accueillir une bite immédiatement, je n’osais même pas y rentrer un doigt tellement il était serré. Il allait falloir détendre son trou avant de passer à la DP.

« Si tu savais que t’avais l’intention de te faire sodomiser ce soir t’aurais pu anticiper et passer la journée avec un de tes joujoux dans le cul, histoire que je puisse t’enfiler sans problème.- Désolé je suis pas aussi prévoyante ! »

J’allai chercher un tube de lubrifiant qui était dans ma salle de bain. D’habitude quand je sais que la soirée va être chaude je mets mon tube quelques heures dans le frigo pour le sortir au dernier moment. Ça donne une sensation de fraîcheur au moment de la pénétration que j’adore et que mon ex appréciait particulièrement. Mais là cette partie à trois improvisée ne m’avait pas laissé le temps de préparer quoi que ce soit. Enfin bref. Je m’apprêtais à lubrifiait son petit trou lorsqu’elle m’interrompit : « Utilise ta langue d’abord ! ». Je me demandai si c’était ma langue dont elle raffolait ou si elle était juste accro à se faire lécher les orifices. Les mecs sont réputés égoïstes pour leurs demandes systématiques de fellation mais Emma était de toute évidence une militante pour la parité homme-femme dans le domaine préliminaire. Je laissai donc le lubrifiant de côté pour le moment et me mis au travail. Bien que je répondais (volontiers) à ses demandes je ne voulais pas qu’elle croit qu’on était dans un rapport maîtresse-esclave alors pour faire acte d’impertinence je lui mordis assez violemment sa fesse ce qui lui arracha un cri des plus sincères. Ce qui enchanta au passage mon léger côté sado. Passé cette petite incartade je dirigeai ma langue vers sa rondelle. Je léchais son trou de bas en haut, de haut en bas et dans le sens des aiguilles d’une montre. J’essayai également de la pénétrer avec ma langue mais je ne parviens qu’à rentrer la pointe à cause de l’étroitesse de son orifice ainsi qu’au manque de force de ma langue. Je tenais ses fesses fermement dans mes mains que je malaxais en même temps que je la léchais. J’entendis également certains bruits qui me disaient qu’Emma était en train de sucer langoureusement Julien. Après plusieurs minutes, je conclus mon anulingus par une fessée. Mon excitation devenait trop forte il fallait que je passe à l’étape supérieure. En relevant ma tête de ses fesses j’eus la confirmation que les bruits que j’entendais provenaient bien de la bouche d’Emma qui glissait sur la queue de Julien. Je retrouvai mon lubrifiant et j’en déposai une noisette sur la rondelle d’Emma. Avec mon pouce j’étalai le gel sur l’orifice et je finis par rentrer lentement mon majeur à l’intérieur de son cul. Emma poussa un petit cri qui fut étouffé par la bite de Julien. Je faisais des va-et-vient avec mon doigt ; son cul était tellement serré que j’avais l’impression de m’amuser à faire glisser une bague trop petite sur mon doigt. Après un temps je décidai d’insérer également mon auriculaire. Il passa tout juste mais il passa. Tout en continuant les va-et-vient je faisais tourner ma main pour mieux la dilater. Emma avait arrêté de sucer Julien, elle avait calé sa tête contre sa cuisse et s’était mise à le branler. Elle gémissait au rythme de mon doigté ce que je trouvais hyper excitant. Pour preuve je n’avais pas touché ma bite depuis un moment et pourtant j’étais plus que dur.

« T’es prête ? Je vais pouvoir te la mettre maintenant. - Oui vas-y mais pas d’un coup non plus. Fais ça bien. - Je sais t’inquiète pas. »

Je posai mon gland sur son anus et commençai à l’enfoncer délicatement, petit à petit. Je m’arrêtai juste après avoir rentré mon gland pour lui demander si ça allait. « Oui continue, va jusqu’au bout. » me répondit-elle. Je continuai donc mon chemin dans son cul. C’était une première fois pour moi aussi, je n’avais jamais mis plus que mes doigts dans le cul d’une fille. La sensation était très agréable, bien que mes mouvements étaient délicats, l’excitation et l’étroitesse de son anus qui me pressait la bite auraient pu me faire jouir à n’importe quel moment, je contenais l’explosion en essayant de calmer mes pensées. J’avais à présent réussi à rentrer ma queue toute entière et après quelques va-et-vient, je commençai les coups de reins un peu plus soutenus. Je tenais ses hanches des deux côtés et les gémissements d’Emma accompagnaient mon rythme. Je lui arrachais des « AH ! » à chaque fois que je la pénétrais entièrement et que mes couilles atteignaient son périnée. Julien prit la tête d’Emma et amena sa queue à sa bouche. Emma l’accepta volontiers, elle n’avait pas besoin de faire grand-chose car c’est Julien qui bougeait le bassin et donner l’impression de lui baiser la bouche. Tout en restant dans la bouche d’Emma il bascula sa tête en arrière comme s’il était en extase. Je le comprends, la scène était jouissive. Imaginez avoir vos deux meilleurs amis se lâcher, se livrer physiquement et sexuellement à vous. Les entendre gémir et prendre du plaisir grâce à vous. J’aurais pu rester dans cette chambre avec mes deux complices pour l’éternité. J’étais toujours dans le cul d’Emma. Mes hanches bougeaient toutes seules à présent, j’avais l’impression que son cul était fait spécialement pour moi. Après tout à part deux trois sex-toys j’étais le seul qui avait pénétrer dans ce lieu.

« Bon moi aussi j’ai envie d’elle. C’était une double pénétration qu’on visait pas une sodomie pour toi tout-seul. » me rappela Julien. C’est vrai qu’avec tout ça j’en avais oublié la DP.

« T’es prête à te prendre deux queues Emma ? Dis-je à haute voix.- Ouais allez-y j’en peux plus d’attendre. Je vous veux tous les deux. » Dit-elle entre deux souffles

La sodomie et la fellation de Julien lui avaient consommé pas mal d’énergie. Mais elle n’abandonnait néanmoins pas son idée de se faire prendre par deux mecs. Je me retirai donc quelques instants pour laisser Julien se placer. Il s’allongea au milieu du lit avec sa queue pointée vers le plafond. Emma était debout au-dessus puis elle s’accroupit lentement, attrapa sa bite et se la rentra dans la chatte. J’arrivai dans le dos d’Emma, je la pris par le cou et je la poussai vers l’avant de façon à ce qu’elle soit allongée sur Julien pour que je puisse mieux la prendre par-derrière. Je lui dis d’écarter ses fesses, je gardai une main à l’arrière de son cou, l’autre sur ses reins et je la pénétrai.

« Oh putain. J’ai l’impression d’être carrément pleine. Je sens vos deux bites à l’intérieur de moi.- T’as mal ? Lui demandai-je- Un peu mais ça-va. Allez-y doucement quand même ou vous allez me casser en deux. »

Une fois au fond, mes couilles touchaient celles de Julien qui avait déjà pénétré le vagin d’Emma de tout son long. La sensation d’avoir mes boules qui frottaient contre celles de Ju me procura un frissonnement qui me traversa le dos de bas en haut. Nous commençâmes donc à nous activer Julien et moi. D’abord lentement comme convenu. La sensation était magnifique. Malgré le travail que j’avais précédemment effectué son cul restait bien étroit. Je pouvais également sentir la queue de Julien à travers la paroi ce qui était terriblement excitant. Nos mouvements s’accéléraient petit à petit quasiment mécaniquement comme un train à vapeur. Nous finîmes par atteindre un rythme infernal. Nous étions littéralement en train de la pilonner de toutes nos forces chacun de notre côté. Nos couilles s’entrechoquaient à chaque passage pour finir par claquer contre Emma. Mais les bruits de nos coups n’étaient rien comparés à ses cris. Elle n’avait plus aucune retenue. Les pénétrations précédentes elle s’était contentée de légers cris et de gémissements sensuels qui accompagnaient nos cadences respectives. Mais cette fois elle était comme en transe. Elle hurlait de tous ses poumons ce qui raisonnait dans tout l’appart. Je craignais même que l’épaisseur des murs ne réussisse à garder les voisins dans le secret.

« Putain défoncez moi. Baisez-moi. Enculez-moi. » nous hurla-t-elle entre deux cris. Je ne m’attendais pas à entendre Emma parler comme ça. D’ordinaire elle pouvait parler crûment mais elle avait une douceur naturelle qui montrait que ce n’était pas habituel. Cette fois les injures sortaient du fond de ses tripes. J’ai pensé pendant une demi-seconde à lui balancer des insultes pour lui répondre, ce qui parfois peut rajouter du piment dans le feu de l’action, mais j’abonnai vite l’idée. J’avais déjà injurié des copines pendant l’acte ce qui les avait excitées mais avec Emma je ne pouvais pas. Certes j’appréciais les quelques épreuves de forces que nous avions eues pendant cette nuit, certes j’avais également apprécié la dominer physiquement par moment. Mais l’insulter tenait de la pure humiliation et je sais que je n’y aurais pris aucun plaisir.

Après de longues minutes de baise intensive, je ne tenais plus et dans un râle de plaisir je finis par jouir plusieurs longs jets de sperme dans le cul d’Emma. Je ne m’étais pas masturbé depuis un moment alors mon éjaculation était plus que conséquente. À ma surprise Julien jouit quasiment en même temps que moi à l’intérieur de sa chatte. Je me retirai et me laissai tomber sur le lit à bout de souffle avec le cœur battant à mille à l’heure. Julien attrapa Emma par la taille et la décala légèrement pour l’allonger entre nous deux. Elle était à moitié couchée sur moi, nos deux peaux qui étaient couvertes de sueur se collaient l’une contre l’autre. Elle tremblait de tout son corps du traitement qu’elle venait de subir et à cause aussi sans doute des orgasmes qu’elle avait eus. J’avais une envie folle de la serrer contre moi mais mon corps refusait de bouger pour l’instant alors je me contentai juste de l’embrasser sur l’épaule.



( Suite et fin bientôt. )
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