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Entre cousins

Chapitre 1

Hétéro
L’exploration de certains fantasmes peut faire peur. Celui-ci me faisait très peur, au point que je croyais ne pas l’avoir.
De retour de vacances, voici le récit d’une semaine plus que troublante passée dans la nature (ou presque) avec ma cousine Marie que je ne connaissais que très peu. Nous avons trois ans d’écart, elle étant plus jeune, et nous avons grandi loin l’un de l’autre.
De passage en célibataire dans le village où elle habite, pour des raisons professionnelles, d’une région magnifique, riche de nature, de relief et de petit lac, de cascades... un petit coin de paradis, quoi... je décide de lui rendre visite. Elle habite dans une sorte de chalet éloigné de tout, en hauteur au milieu des pins. Elle y vit en collocation avec deux amis que je n’allais pas tarder à rencontrer.
Marie est blonde, avec des reflets roux, aux cheveux bouclés et aux yeux bleus. Elle est assez grande, comme moi et très sportive, ce qui lui confère des formes assez musclées, sans pour autant nuire à se féminité. Elle a le visage ovale et le teint pâle et une très jolie bouche pulpeuse. Quant au lien de parenté, c’est la fille de la sœur de ma mère, donc le lien de parenté reste proche. Voilà pour la présentation.
Elle est venue me chercher à une gare routière, et bien que je ne l’aie pas vue depuis presque 10 ans (j’avais 22 ans, elle en avait 19), nous nous sommes reconnus tout de suite. Elle est la même et en même temps très différente, un mélange assez complexe de sentiments se chevauche : l’impression d’être avec une inconnue et en même temps si familière... bref.
Je fais un aparté ici pour dire que je ne suis pas à ce stade attiré par Marie, et ce, même si elle n’avait pas été ma cousine.
Nous arrivons dans cette maison, pas très grande, avec deux niveaux et très chaleureuse comme le sont les demeures de montagne. Je rencontre ses deux amis : Xavier et Jérôme. Le premier est un type trapu, velu, brun, rugbyman très sympa, et le second est grand et athlétique, blond, aucun rapport si ce n’est qu’il est aussi très sympa. En fait, tous trois sont très gentils et le courant passe immédiatement. Nous sommes mardi. Je repartirai dimanche. Par souci de synthèse et pour raconter le plus intéressant (pour vous) de cette histoire qui touche à mon intimité, je vais mettre fin à cette introduction ici et commencer ce récit pour de bon.

Mercredi.
Levé tôt pour aller faire un footing dans les bois escarpés des alentours tous les quatre. Le voyage et le boulot m’ayant fatigué au plus haut point, j’ai passé la journée de mardi à discuter tranquillement pour faire connaissance avec mes hôtes et surtout me reposer. Ce footing est une tradition chez eux. Nous partons avec un sac à dos fait pour courir et de bonnes chaussures. Ils font ça tous les jours ; pour ma part, même si ça décrasse, je l’ai senti passer.
Au bout de 40 minutes d’un circuit qui m’a complètement perdu, nous arrivons à un petit lac surmonté d’une cascade, entouré d’arbres et encastré dans une petite vallée, complètement isolé. Et maintenant, baignade... Je me sens excité à l’idée de me baigner, mais là où mes amis se déshabillent sans problème, je me sens obligé de les suivre malgré ma réticence à l’idée de me retrouver nu devant eux. Que Xavier et Jérôme se retrouvent nus, bon OK, je le conçois... mais Marie, elle ne semble pas gênée non plus.
Marie me regarde, souriante :
— Tu te baignes pas ?
Et elle enlève son sac pour le déposer nonchalamment au sol. Puis elle retire ses baskets, et d’un coup son haut justaucorps et son legging court pour dévoiler à mes yeux l’intégralité de son anatomie sculptée superbement par la pratique d’une activité physique intense et par la proximité de la nature.
Elle est fine. On remarque d’abord son dos fait de fins petits reliefs, et ses seins ronds maintenus, pas très gros, mais pas inexistants, son ventre où se dessinent ses abdos, mais pas trop marqués, et ses longues jambes bien formées alors que son cul ferme a des allures de fruit que l’on rêve de cueillir...
Quand elle plonge sans hésiter dans ce petit lac pour rejoindre les autres, je me décide à les suivre. J’ai malheureusement une légère érection un peu honteuse que je ne pourrai pas masquer. Tant pis...
Je me déshabille et je saute rapidement dans l’eau dans le but de rendre invisible ma protubérance... Peine perdue, tout le monde me regarde... Je plonge, l’eau est froide... très froide, et l’effet revigorant est intense... De quoi perdre mon érection... Trop tard : j’ai le droit à une réflexion de ma cousine :
— Wah, il est bien monté, le cousin !
Ils rient et puis l’attention se détourne et chacun batifole comme il veut dans l’eau fraîche et pure...
L’expérience de bander pour sa cousine est étrange, mais elle l’est encore plus quand la cousine en question remarque et me complimente sur mon anatomie...
J’en aurais fait tout autant, mais nul besoin : ma réaction morphologique en témoignait sans que je n’aie à dire quoi que ce soit. C’est la réaction que j’ai choisie : ne rien dire, ne pas réagir... J’étais tout simplement gêné. Et à la sortie de l’eau, ce fut pire encore...
La vue du corps de Marie avec la chair de poule m’excitait. Je pouvais voir le duvet roux qui surmontait en fin lignage vertical la fente de son sexe, ses tétons durcis...
Et mon pénis de nouveau au garde à vous...
Marie me regarde en souriant et à nouveau me complimente d’un rictus, l’air de dire "joli !"...
Je constate que Xavier, gâté par la nature lui aussi, affiche une belle érection, et la vigueur de Jérôme – qui a un sexe un peu plus petit – se tient aussi dressée par la situation...
Tout est normal... Retour en marchant au Chalet, le chemin étant tracé en cercle, nous fûmes plus rapidement de retour que je ne le pensais, bonne nouvelle...
Plus tard, Marie me prit à part pour me parler :
— Dis, faut pas que tu t’inquiètes ou que tu sois gêné. Ici, c’est comme ça : on vit au milieu de la nature, alors on n’a pas de pudeur entre nous ; c’est normal pour nous. Je sais qu’en ville c’est différent, mais sens-toi libre ici.
Bien sûr, ce n’est pas de la pudeur, mais un sentiment étrange lié au lien familial. Cependant, l’attention de ma cousine de venir me parler en toute franchise me mit à l’aise, et c’est naturellement que j’oubliai cette gêne. Je me dis « Ma cousine est une femme, une belle femme ; elle est susceptible de provoquer cela chez moi, le lien familial n’y fait rien. »
Le soir, c’est encore autre chose. Nous avons regardé un film tous les quatre, et au fur et à mesure que le film avançait, Marie s’est retrouvée sur l’épaule de Jérôme qui finira doucement par déposer sa main sur son sein, par-dessus l’épaule de ma cousine... et Xavier commença à masser les pieds de Marie.
Sans faire attention à moi, ils se prélassaient tous les trois sur le canapé d’angle du salon, avec moi au bout. La journée me pesait et je pris la décision d’aller au lit, dans l’une des quatre chambres de la maison, au bout du court couloir qui mène au salon.
Je m’allongeai, et des bruits se firent entendre... des gémissements... Je ne savais pas qui je voulais persuader en étant seul, mais pour "vérifier" ce que je savais, je me levai sans faire de bruit et j’ai constaté de mes yeux la situation... Visiblement, Marie était en ménage à trois avec Jérôme et Xavier...
Il était difficile de se mouvoir sur du parquet sans faire de bruit, j’ai donc décidé pour satisfaire mes instincts de voyeur de rester éloigné dans l’ombre du couloir. Mais la scène était claire...
A l’angle du canapé, Jérôme contre qui était adossée Marie, les seins de cette dernière étant goulûment malaxés par Jérôme...
Le dossier du canapé m’empêchait de voir ce qui se passait plus bas, mais le dos rond de Xavier que je distinguais ne laissait guère de mystère... Il était affairé, le visage entre les jambes de ma cousine, des jambes qui tentent de joindre le ciel à ce moment...
Je fus pris d’une très forte érection...
Quand Xavier se leva, je distinguai son sexe dressé, large et fier...
Ses deux partenaires ne bougeaient pas, mais lui se tenait la queue pour l’apporter à la bouche de Marie qui s’en saisit des deux mains pour le branler pendant que sa langue et ses lèvres caressaient le gland du rugbyman...
Seules les lumières de la télé éclairaient la scène, mais c’était suffisant pour voir ce qui se passait...
Je ne savais pas quoi faire, tenté d’aller me coucher, mais aussi tenté de regarder... Et finalement, je vis Xavier tourner sa tête vers moi en souriant... Trop occupé, il se concentrait sur la pipe que lui administrait ma cousine. Jérôme considérait la scène calmement ; il aimait manifestement regarder... Je m’appuyai sur le mur du couloir et tournai la tête à droite pour regarder. Un mouvement s’organisait. Marie se retourna, essoufflée. Elle s’agenouilla devant Jérôme puis, à quatre pattes, elle offrit son cul à Xavier qui s’en saisit de ses deux paluches pour lui administrer à son tour une gourmandise, une levrette bien virile... Jérôme ne faisait que regarder... Marie soutenait le regard de Jérôme quand ses cris aigus commencèrent à traverser la pièce pour se réverbérer contre le bois qui structure la maison... puis Xavier ralentit... C’est à ce moment-là que Marie se pencha sur Jérôme...
Je n’ai pas voulu me masturber dans le couloir ; je suis rentré dans ma chambre, j’ai laissé la porte ouverte, et j’ai écouté les petits cris perçants de ma cousine provoqués par les multiples plaisirs que lui donnaient ses deux partenaires... Je n’ai fait qu’imaginer la scène... et je me suis branlé. Puis j’ai arrêté d’imaginer les deux gaillards qui la baisent pour m’immiscer dans mon propre fantasme : Marie jouissait, ses cris réels me parvenaient à l’oreille, et dans mon demi-sommeil c’est moi qui la baisais... Ma queue durcie tremblait sous mes coups de poignet... J’ai éjaculé sur mon torse en imaginant que je la baisais par derrière en lui tenant les cheveux...
Puis j’ai fermé la porte ; ils n’avaient pas fini...Je n’ai pas trouvé le sommeil, j’étais troublé...

A suivre...
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