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Entre deux mondes.

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je suis encore là à attendre, à réfléchir, sa proposition me déstabilise après tout. Il m’a parlé d’un ton si détaché, comme si ma vie en dépendait et pourtant, sa proposition fait plutôt mec à tirer un coup d’une nuit. Je suis encore dans mes pensées quand Julie arrive sur la banquette en me poussant du coude,
— Bah alors ? Tu ne t’amuses pas ? Une proposition indécente peut-être, me lâche-t-elle avec un clin d’œil.
Elle a le chic pour tout deviner, c’est perturbant, pensais-je
— Tout à fait Julie, une proposition indécente et originale, j’hésite vraiment à y aller.
Julie me contemple, avec son regard espiègle, en rigolant, elle me demande ce que je fais encore là. Je regarde mon portable, dix minutes se sont déjà écoulées, j’embrasse Julie sur la joue, la remercie de cette magnifique soirée et me décolle de la banquette, je reçois une tape amicale sur les fesses. Le club est assez grand, je décide d’enlever mes talons pour pouvoir marcher un peu plus vite et être au rendez-vous au bon moment. Vu que mes foulées se sont agrandies, ma robe ne cesse de remonter et de dévoiler ce qui est censé rester caché, j’essaye de me frayer un chemin parmi toutes les nanas complètement en chaleur devant les spectacles qui s’enchaînent, un homme tente de m’aborder, mais je l’expédie vite fait en lui disant que je préfère les crustacés, rapide et efficace, le gars me lâche, un peu dépité.
J’arrive enfin à la sortie du club, j’ai la sensation d’avoir fait le parcours du combattant, mais l’homme mystérieux est bien là, il m’attend devant une grosse berline noire aux vitres teintées. Sans afficher un grand sourire, je vois quand même que l’homme est satisfait de mon choix, il me tend une main que je prends, il m’ouvre la portière arrière, je monte dans la voiture en essayant d’être la plus gracieuse et sensuelle possible. La portière se referme derrière moi et mon intrigant gentleman fait le tour et s’installe à côté de moi. Un chauffeur nous conduit, voyant mon étonnement, le gentleman m’explique que ce sera plus simple de tout m’expliquer si ce n’est pas lui qui conduit, peu convaincue, je suis attentive à ses gestes et j’attends qu’il m’explique. Voyant que je ne le lâche pas du regard, l’homme décide enfin à m’expliquer les termes un peu vagues qu’il m’est dit au club.
— Je m’appelle Lord Suriel, de la maison O’fnora, cela se situe dans la contrée Elala.
À ces mots, je le regarde en réprimant un fou rire, ce type a trop bu ! Je lui lâche un hum hum pour lui faire comprendre que je ne le crois pas et que je pense que le pauvre ne tolère pas tellement l’alcool.
C’est avec une voix beaucoup plus forte et sévère qu’il continue :
— Je comprends que tout ceci te semble abracadabrant, mais pourtant, si je te dis que tu fais partie du monde qui est le mien, cela te paraît si étrange que ça, tu as été adoptée à l’âge de trois ans, tu as été retrouvée à la porte d’un couvent, ne sois pas surprise que je sache tout ça, c’est moi qui t’ai déposée.
Comment a-t-il bien pu savoir mon passé, je ne l’ai dit à personne, a priori ma mère était une pauvre fille complètement perdue dans sa tête et sa vie qui a eu la décence de me laisser à une meilleure famille, je trouve son histoire vraiment tirée part les cheveux, c’est invraisemblable.Me voyant dans mes pensées, Suriel décide de me faire revenir à la réalité.
— Bon puisque tu sembles sceptique, rien de tel que de te le montrer, mais avant, je t’avais dit que tu devais être mienne.
Il commence à déboutonner son pantalon, il en sort une verge d’une taille plutôt correcte, je m’attendais à un phallus digne des hentaï, vu son histoire. Je sens que sa main passe derrière ma tête et m’appuie dessus pour me guider vers la descente, il ne pouvait pas être plus explicite, je suis son mouvement, instinctivement, j’ouvre la bouche et commence à prendre, sucer son gland, je joue avec ma langue, le lui introduis l’entrée de son méat, autour de la corolle. Ses gémissements me poussent à m’enhardir, je commence un long va-et-vient jusqu’à la base, je m’applique à lui faire une gorge profonde, et une fois bien calée à déglutir, il me lâche un « oh part Gaïa !» je suppose que cela lui plaît.
Je continue dans ma lancée quand sa main vient m’imprimer un rythme assez soutenu. À force de me forcer la bouche, je ne retiens plus la salive qui commence à couler le long de mon menton, je me sens vraiment comme une chienne, il a réussi à réveiller mon côté bête de sexe, en même temps qu’il me fait faire des allers-retours, je tire la langue et m’attarde de temps à autre sur ses couilles. Lassé que je le suce, il me tire les cheveux en arrière et me fait signe de le chevaucher, voyant ma réticence, il comprend qu’un préservatif sera nécessaire, il me délaisse quelques secondes, le temps de s’équiper. On n’est jamais trop prudent et hors de question qu’un inconnu me refile ses MST. Son attention de nouveau sur moi, il me prend les cuisses sans ménagement et m’installe à califourchon, j’attends avec impatience qu’il me prenne, j’avoue que la situation m’a pas mal excitée, mais rien ne vient. Au lieu de ça, il me place deux doigts dans la bouche et récupère un peu de salive sur mon menton, il me regarde droit dans les yeux et je ne peux détourner le regard, je sens alors les deux doigts rentrer dans mon vagin, un sourire apparaît sur les lèvres de mon amant d’une nuit, enfin la glace commence à fondre, il doit être satisfait de l’effet qu’il me procure. Les deux doigts ne tardent pas à se frayer un chemin dans mon vagin, je les sens faire des allers-retours puis s’arrêter au niveau de mon point G, le stimulant, je ne peux me retenir de gémir, je me plaque vite les mains sur la bouche pour ne pas que le chauffeur nous entende.
— Ne t’inquiète pas, il a l’habitude et c’est un peu tard pour être discrète, vu comment tu m’as sucé.
Je rougis face à de tels mots sortant de sa bouche. Satisfait de sa préparation et l’abondance de cyprine, il place sa verge à l’entrée de ma chatte et me fait descendre d’une lenteur tellement frustrante, j’ai envie de me faire baiser, d’entendre les peaux claquer, il me maintient tellement fermement que je ne peux même pas dire que je vais dominer. Sentant mon impatience, il donne un grand coup de reins qui lui permet de s’enfoncer tout entier, je ne peux réprimer un cri de plaisir et de satisfaction. C’est alors qu’il me tire les cheveux sur le côté pour me mordre le coup, j’ai l’impression que mes sensations sont décuplées, serait-ce dû à mon abstinence ou alors mes frustrations de la journée ?
Je réprime mes pensées pour ne savourer que l’instant présent, après tout, mon partenaire est très doué en la matière, je profite, je sens quelque chose en moi gonfler en même temps que mon plaisir, j’ai l’impression que ma vessie va exploser, il le sent et sourit à nouveau, il rapproche sa bouche de mon oreille et me murmure :
— Jouis pour moi et bon voyage.
Sur ces mots, un dernier coup de reins et un doigt faisant intrusion dans mon anus me font hurler de plaisir et enfin arriver à l’orgasme.
*****
Je me sens bizarre, comme l’impression d’avoir abusé sur l’alcool hier soir, enfin vu tous les mojitos et les sex on the beach que j’ai pris, ce n’est pas tellement étonnant. J’essaye de mettre un pied par terre, me pensant dans mon lit, mais a priori, j’ai dû tomber pendant la nuit, j’ai l’impression d’être déjà par terre... sous mes doigts, je sens quelque chose de rêche, je n’ai pourtant pas mis de tapis sous mon lit. Je me relève avec difficulté, tout tourne, j’ai vraiment une sacrée gueule de bois. Afin d’essayer de rester en équilibre, je cherche le mur de la main, normalement, il doit être à proximité. Une autre odeur me donne la nausée, il faut vraiment que j’aère.
Ma main rentre enfin en contact avec le mur, j’ai un mouvement de recul, il est fait de pierre, il est froid et il suinte. Mais où suis-je ? J’essaye de m’habituer à l’obscurité, une fois que mes yeux ont décidé de coopérer, j’arrive à discerner un peu mon environnement. La pièce est petite, faite de pierre, j’arrive à distinguer deux torches de part et d’autre, ce que j’ai pris pour un tapis est en fait une paillasse, l’odeur est juste immonde, un mélange d’urine et d’excréments ainsi que de cadavre en décomposition.
Beurk, c’est répugnant.
Je me rends compte que j’ai froid, effectivement mes chaussures ne sont plus là, je n’ai plus de bas et ma robe n’est plus là non plus, je distingue plutôt une forme de chemise de nuit toute en lambeau, son odeur est répugnante, j’espère tellement que cela ne vient que de moi. Que s’est-il passé ? J’entrevois une porte, je me précipite dessus, merde, elle est fermée, que cela ne tienne, je tambourine sur la porte de toutes mes forces et je hurle qu’on vienne me chercher. Autant Suriel m’a bien prise, mais alors question hospitalité, ça reste à revoir.Je suis fatiguée, mes mains sont écorchées, je suis résignée à attendre, je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, des cris se font entendre de temps à autre, je me résous à m’allonger sur cette paillasse qui me dégoute. Je profite de ce temps pour faire une introspection, après tout, autant s’occuper à quelque chose.
Un bruit de pas se fait entendre, je sursaute, j’avais dû m’assoupir, les pas se rapprochent, serait-ce pour moi ? Va-t-on me torturer ? Je sens une boule grossir dans mon ventre, une nausée me prend, est-ce que j’ai peur ? Indéniablement, je me redresse. Une clé se fait entendre dans la serrure de la porte, d’un bon comme un animal prêt à attaquer, je me relève, elle s’ouvre dans un immonde grincement, à croire que tout a été étudié pour être lugubre, ici même, le manoir de Paris ne fait pas si peur. Une gigantesque masse fait son entrée, il a une torche à la main qui permet de deviner que c’est un bourreau, il a une énorme capuche noire qui recouvre entièrement son visage, seuls deux trous sont faits dans le tissu pour qu’il puisse voir, j’arrive à y distinguer deux petits yeux noirs. Il est habillé tout de noir aussi, on dirait la mort qui vient vous chercher.
Je suis pétrifiée dans le coin de ma cellule, ma bravoure est partie aussi vite qu’elle est venue et je n’ose plus bouger, sa main, gigantesque, attrape mon bras, on croirait presque que je suis une poupée de chiffon. Il me guide vers la sortie, nous avançons dans un couloir où des torches sont espacées de manière régulière, des portes semblables à celle de ma cellule sont placées entre les torches, derrière certaines, j’entends des gémissements, des pleurs ou des cris, les poils de mon corps se redressent et un frisson me parcourt, mes yeux ont du mal à se faire à la luminosité, j’ai dû y passer un sacré bout de temps dans cette cellule...
Nous arrivons enfin devant une porte où deux serpents joliment sculptés dans la pierre s’entrecroisent, l’entrée fait au moins trois mètres de haut, je remarque que des incrustations de pierres ont été faites tout le long des serpents, des rubis sont placés au niveau des yeux, je reste émerveillée et intriguée par ce qui se cache derrière, il ne me faut pas attendre plus longtemps, le type tire sur la langue d’un des deux serpents, la porte coulisse vers le bas, il me pousse dans la pièce, on dirait une sorte de salle d’eau, je remarque tout de suite que la température environnante est agréable, il y fait bon, la salle parait grande, en son centre, un bassin est présent, vu d’ici, il a l’air d’être profond, de grands robinets sont superposés en son milieu, le bourreau me pousse et je comprends que je dois avancer jusqu’au bassin.
J’y arrive enfin, on dirait plutôt une mini-piscine, vu la profondeur, des marches sont présentes pour pouvoir aller jusqu’au robinet, je reste stoïque devant et j’attends les instructions. Le géant me pousse, je descends les marches puis tourne un des robinets, un énorme bruit de tuyauterie se fait entendre, de l’eau marron commence à sortir en filet par les robinets du bas, puis le jet s’intensifie et devient clair, à la suite, les autres robinets font de même, une vraie fontaine. J’admire ce spectacle, au point que j’en oublie le colosse derrière moi, celui-ci tire ma guenille vers le haut, je résiste, hors de question que je me mette nue devant lui ! Comprenant mon refus, celui-ci fait preuve de force et me l’arrache, je recouvre ma poitrine et mon intimité de mes bras, il me retourne, il a une vue sur mes fesses, je me demande s’il en profite pour me mater.
Sa main appuie sur mon épaule, il me fait m’asseoir sur les marches, l’eau est montée, vite elle m’arrive au niveau du nombril, encore pudique, je continue à cacher mes seins, mais en vain. Le géant me les enlève et vient poser les siennes à la place, il commence à m’agacer les tétons qui ne tardent pas à pointer et à être durs, je sens le plaisir qui commence à monter, je sens de petits picotements le long de mon échine jusque dans mes reins, j’essaye de refuser ce plaisir, je ne veux pas lui montrer le plaisir qu’il me procure, ce n’est pas possible, je me rends compte qu’il est plutôt tendre avec moi.
Une fois mes tétons dressés, je sens ses mains descendre le long de mon ventre et trouver mon intimité, il m’écarte les cuisses et vient me frotter délicatement mon bouton de plaisir, je pousse un gémissement en lâchant ma tête en arrière, celle-ci atterrit sur son épaule, loin de le décourager bien au contraire, mon bourreau s’enhardit, je sens un doigt glisser le long de ma fente et pénétrer et doucement, il fait quelques aller-retour en moi tout en stimulant mon clito. Le plaisir m’inonde, je pousse de profonds soupirs, des gémissements s’échappent de ma bouche, je reste là sans bouger, laisser un inconnu muet me donner du plaisir. Je sens vite qu’un deuxième doigt vient se joindre au premier, puis un troisième, il me stimule mon point G, de son autre main, il m’appuie sur la vessie, plus il s’acharne et plus j’ai l’impression que celle-ci va exploser.
J’arrive à l’orgasme, mais celui-ci me le refuse, je reste à geindre et le supplier de me faire jouir, je resserre les jambes pour me faire une auto stimulation, mais il m’en empêche. Il me soulève comme si je pesais à peine quelques kilos, il me lève à bout de bras et cale mes cuisses autour de son cou, si bien que sa langue se place juste au niveau de la source de mon plaisir. Je sens sa langue taquiner mon clito, le faire rouler, puis donner de la pression, mes gémissements sont passés à des cris intenses, j’ai envie de jouir, mais à chaque fois que l’orgasme commence à m’envahir, celui-ci arrête ses caresses buccales. Ça devient de la torture, il plaque sa bouche contre mon vagin, je sens sa langue me pénétrer et me lécher de l’intérieur, puis encore une fois au moment où je suis proche de jouir, s’immobilise et me laisse frustrée, j’en pleure, je n’en peux plus, je veux jouir, je le supplie, l’implore, mais en plus d’être muet, j’ai l’impression qu’il est sourd.
Il me décroche de son cou, mais continue à me porter, nous quittons la salle d’eau par une porte que je n’avais pas remarquée dans un coin, bien plus petite que la salle précédente, elle est cependant beaucoup plus lugubre, une ambiance feutrée, maison close se dégage, une table avec des liens aux quatre coins sont présentes en plein milieu de la pièce, idéalement située, une ouverture dans le plafond laisse passer les rayons de lune inondant la table de lumière, une vraie mise en scène. Il me soulève par dessus son épaule comme un sac et me bascule sur la table.
— NOOOOOOOON, NOOOOOOON, s’il vous plaît, m’attachez pas !!! crié-je.
En vain, mon corps est plaqué et mes mains sanglées, il s’attarde sur mes pieds, j’ai l’impression de faire le grand écart, mon intimité est outrageusement dévoilée à ses yeux, des larmes coulent, je me sens humiliée. Il se déplace à mes pieds, ses doigts refont intrusion en moi, mon excitation me trompe, je mouille et il se plaît bien à me montrer ses doigts recouverts de mon fluide corporel. Il s’éloigne, j’entends des bruits métalliques comme des chaînes, je ne peux rien voir, sa silhouette me cache la vue, quand il revient vers moi, tout va très vite, il me pince les tétons, fort, je hurle :
— J’AI MAL STOP !! STOP S’IL VOUS PLAIT.
Mon "s’il vous plaît" se perdant dans mes larmes, et une douleur vive sur mon téton gauche se fait sentir, paniquée, je bouge dans tous les sens. En relevant la tête, j’aperçois une pince en métal qui a emprisonné mon petit bout de chair, je n’ai pas le temps de me rendre compte que le droit subit le même sort. Je me tortille, mes tétons sont en feu, plus je bouge plus j’ai mal, mais cette douleur est vite remplacée par mon excitation, je me rends compte que cela me donne du plaisir et me plaît, j’essaye de me calmer et d’essayer de contrôler ma respiration, pour apaiser la boule qui grossit dans mon ventre, due à mon excitation, je le sens revenir vers mon clito et je me dis que s’il va me stimuler à cet endroit, je n’arriverais pas à me retenir de jouir, mais une voix l’interrompt :
— Mets-lui dans le cul, elle aime ça.
Je reconnais cette voix, c’est celle de Suriel, je panique un peu de leur montrer que leur jeu me plaît et m’excite.
— Mais qu’est-ce que c’est que ce jeu, je veux que ça s’arrête !
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que la phalange du bourreau s’enfonce dans mon anus, je ne peux retenir un gémissement de plaisir, j’entends un froissement de tissu, Suriel est près de mon oreille et me chuchote :
— Tu vois ma belle, tu aimes ça.
Effectivement, il faut que je m’y résigne, j’aime ça. J’entends quelque chose en métal se poser à mes pieds, le colosse incité par mes gémissements et ma résignation passe une deuxième phalange dans mon œillet, je sens encore cette sensation dans mon ventre, cette envie d’uriner qui monte encore.
Les deux comparses doivent le sentir, je sens Suriel se déplacer vers mes pieds, quant à mon tortionnaire, il change de trous, trois doigts d’un coup dans le vagin, il commence à faire des aller-retour de plus en plus forts, mais tout en gardant une certaine lenteur, quand mes gémissements se font de plus en plus intenses annonçant mon orgasme imminent, le bourreau appuie fortement sur ma vessie et d’un coup sec retire ses doigts, je sens un jet sortir de mon vagin sans que je puisse le contrôler, je crie ma jouissance, mais un autre son se fait entendre, un bruit d’eau qui coule dans un seau. Ils ne sont quand même pas en train de recueillir mon fluide, mais mon esprit est embrumé par cet orgasme qui m’a ravagée et laissée pantelante. Enfin, ma torture se termine, je suis vidée et épuisée, ma tête repose sur la table, je suis incapable de la lever.
— Va la laver et retrouvez-moi dans mon bureau.
Sur ces mots, Suriel nous quitte, le colosse me détache et me porte, je ne peux émettre aucune résistance, j’ai l’impression que mon corps ne répond plus à aucun mouvement, même réfléchir est trop dur, pourtant j’ai peut-être raté l’occasion de m’évader, mais à quoi bon, je ne sais même pas où je suis ni où est la sortie, j’arrive quand même à jeter un œil derrière moi
Étrange, le seau n’est plus là ...
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