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entre frères

Chapitre 1

Gay
Avec mon grand frère Yvan, on est très libre. Ou plutôt, c’est lui qui est libre. Il se ballade souvent à poil à la maison, même en présence de nos parents. C’est dire que je connais vaguement son anatomie, je dis vaguement, car je n’ai jamais voulu jusqu’ici faire le voyeur et surtout, parce que si je l’avais observé plus en détail, la comparaison avec la mienne, m’aurait complexé plus que je ne le suis déjà…Yvan est aussi exhibitionniste. Enfin, je le pense, il se caresse parfois sans honte, en ma présence, car on partage la même chambre. Bien sûr, reluquer un mec, fusse-t-il mon frère, en train de se palucher, ça m’excite, mais devant moi, il ne va jamais jusqu’au bout de ses branlettes, il s’éclipse généralement aux toilettes, et je fantasme tout seul sur ma chaise ou dans mon lit en pensant au plaisir qu’il se donne. Je l’imagine alors se caresser méchamment jusqu’à jouir dans de fortes et abondantes éjaculations. Un après-midi, pourtant, Yvan est allé plus loin. Il s’est allongé de façon indécente sur le lit, à demi nu, les cuisses écartées. C’était sa façon de me faire comprendre qu’il voulait se faire un énième petit plaisir. J’avoue que j’apprends beaucoup en le regardant se caresser. Certes, moi aussi, je me branle, au moins une fois par jour, souvent deux ou trois fois, mais ma verge est encore enfantine et pratiquement imberbe, au contraire de certains de mes copains déjà formés, qui ne se gênent pas pour exhiber leur épaisse queue velue, lors des séances de sport, ou à la piscine. Mon frère Yvan, à dix-huit ans passés, n’est plus puceau. Il m’a d’ailleurs raconté en détail son dépucelage avec sa copine Léa, en m’abreuvant de conseils pour le jour où ça m’arrivera…. Ce que je souhaite, c’est devenir aussi expert que lui et surtout avoir un sexe aussi bien foutu que le sien, surtout quand il bande... D’ailleurs, je me garde bien moi, de le lui montrer, non pas par pudeur, mais à cause d’une certaine insatisfaction d’être encore doté à mon âge, d’une queue aussi ridiculement fine, avec mes deux petits testicules encore stériles, pas plus gros que des olives….Yvan s’était couché sur le dos, et il retira promptement son débardeur, laissant paraître un torse, rasé de quelques jours déjà. Il se rase Yvan, je n’ai jamais su pourquoi, moi qui l’envie tant d’être poilu, juste ce qu’il faut... D’autant qu’il est roux, mon frère, et le duvet de son torse et de ses jambes est plus claire encore que ses cheveux.— Aujourd’hui, regarde bien frérot, je vais bander sans me toucher le sexe… C’est tout un art, tu sais…— Comment tu peux arriver à ça? lui demandais-je, incrédule.— Laisse moi me concentrer, maintenant, plus un mot s’il te plaît et zieute!Encore un de ses trucs qui me fait tant marrer, il m’apprend plein de choses mon frère… Mais là, bander sans se toucher, il est fort s’il y arrive…Yvan portait un boxer, et je devinais par sa forme bombée, que son sexe était encore flasque avec le gland rentré. Quand il porte un boxer, je remarque tout de suite s’il a la queue décalottée ou non.Il écarta plus indécemment encore ses cuisses, ce qui mit en valeur ses deux couilles qui formaient un bon paquet. Il ferma les yeux et respira fort. Puis, de ses deux mains, il se mit à caresser ses tétons. Étrange!Yvan en fait, se les triturait, il se les pinçait, puis avec un doigt il se les faisait durcir par des caresses circulaires. Jamais encore vu ça… Ses petits tétons prenaient eux aussi du volume et très vite, ils pointèrent comme des seins de femme.Et c’est vrai que son sexe se gonfla peu à peu. Je le devinais à travers le boxer se réveiller, se relever doucement, puis, se frayer un passage dans le tissu, pour se redresser progressivement, inéluctablement. Yvan gémissait. Se tripoter les tétons lui faisaient autant d’effet que s’il se tripotait la queue. Bientôt, le gland apparut timidement. On le devinait pointer sa tête, mais à mon avis, il n’était pas complètement sorti… Yvan, alors retira son boxer. Sa verge m’apparut dans toute sa force et la peau du prépuce finit par se dérouler, comme une banane qu’on épluche, pour laisser sa liberté au gland qui s’étira alors sur son nombril. L’érection était réussie!— Alors là, chapeau, Yvan, je sais pas si j’arriverai…Yvan ne me répondit pas et il poursuivit sa masturbation. D’enfer, il se branla… Avec douceur et avec violence, il se cabra, se mit assis, puis de nouveau, s’allongea, il gémissait de plus en plus fort.Je commençais moi aussi à sentir des frissons bienfaisants, j’étais en slip et mon sexe se cabra d’un coup. J’avais envie de me branler, mais je ne voulais pas montrer à mon frère comment je faisais. Pourtant, là, ça finissait vraiment par me perturber.Yvan me fixa dans les yeux, comme s’il m’implorait de venir le caresser… Jamais fait ça, branler un mec, mon frère en plus… Je m’approchais un peu plus de son corps et de sa verge que je n’avais jamais encore vue de si près. Yvan cessa de se branler et retira les mains de son sexe pour me laisser apprécier ses parties génitales en pleine folie. Je n’aurais jamais imaginé qu’il ait pu avoir des poils roux aussi longs et frisés. Ils formaient des boucles autour de son sexe et remontaient bien au delà, vers son nombril. Sa bite se redressait toute seule, en frémissant. Ses deux grosses couilles collées l’une à l’autre étaient également velues, mais ses poils roux étaient là plus clairsemés. Mater ainsi la nudité de mon frère livré à un plaisir total, sans tabou, m’excitait. C’est comme s’il s’était complètement abandonné à moi, il semblait m’appartenir désormais. Mon frère glissa une main dans mon slip, une main froide derrière mes fesses et il me les caressa doucement, presque tendrement. J’étais perdu, tétanisé, mais ivre de désir et de plaisir. De doux frissons me parcoururent un peu partout. Yvan poursuivit ses caresses en s’attardant sur la raie du cul à l’entrée de mon anus, des sensations nouvelles pour moi qui accrut encore mon plaisir. Puis il mordilla ma queue raide, encore dissimulée dans le slip, avant de la lécher et d’en avaler le bout avec le coton blanc du slip. Je sentais ma queue désormais humidifiée par la salive de mon frère. Je frissonnais dans l’espoir qu’il retire mon slip. Il le fit d’un mouvement lent et progressif. Je ne bougeais plus et fermais les yeux. Il baissa d’abord le slip pour faire apparaître mon pubis, depuis peu recouvert d’une fine toison brune, sur lequel il posa un chaste bisou, puis il le baissa plus bas encore, laissant sortir ma bite qui se raidit en dessinant de légers mouvements de bascule. Je bandais fort et j’en ressentais une certaine honte. Je venais d’offrir pour la première fois à la vue de mon frère mes parties génitales. — Vigoureux ton sexe frérot, t’es plus un bébé, à ce que je vois… Mais il est vrai que tu vas sur tes seize ans quand même...Je peux sortir ton gland?Sans même que je puisse répondre, je sentis mon sexe désormais mis à nu, avalé dans une cavité chaude et humide. Mon frère avait gobé ma queue et il allait me sucer. Yvan happa mon gland avec sa langue. Quelle volupté… Jamais connu un tel plaisir, mon petit sexe était désormais livré à sa bouche gourmande, je le sentais aspiré dans un gouffre bienfaisant, il coulissait dans des va et vient exquis, entre ses joues, sa langue et ses lèvres qui s’activaient. C’était moi, à présent qui respirais fort, je haletais en fait, j’en pouvais plus. J’avais chaud et mon cœur battait la chamade.Yvan, toujours allongé, me prit alors ma main et me la posa sur son sexe. Il était dur, gonflé et aussi frémissant que le mien. Je touchais pour la première fois un vrai sexe d’homme, pas très loin de l’extase et de la jouissance. Il allait sûrement éjaculer. Je jouis lorsque je me masturbe mais je n’éjacule pas encore, et j‘ignore comment le sperme est fait. Mon frère allait sans doute me montrer. Je me mis à genoux près du lit et je commençais à le caresser d’une main hésitante, ma tête penchée sur son sexe. Il se laissa faire et m’encouragea même d’un sourire. Je reproduisis avec sa queue, ce que finalement je faisais avec la mienne. Je branlais bien sans doute, car Yvan me murmura, « oh, super, continue, frérot ». Je pris ses grosses couilles soyeuses dans mes mains et je les câlinais délicatement. Yvan gémit encore et me redemanda des caresses. Je sentis que sa jouissance n’allait pas tarder. Il était tendu et m’implora de continuer, sa respiration était de plus en plus saccadée et sonore. Il ferma les yeux et haleta. Je savais que son sperme allait très vite me juter à la figure et je m’écartais un peu, tout en continuant de le branler. – Bien, continue comme ça frérot, continue de me branler à cette cadence, n’arrête surtout pas, même quand j’aurai joui…Il s’arrêta de parler et gémissait de plus belle, alors que je maintenais les caresses dans le rythme qu’il me demandait. Soudain, je vis des jets puissants jaillir de son gland, du liquide lourd et blanchâtre venir s’écraser sur sa peau et couler le long de sa verge. J’étais impressionné par tant de liquide déversé, j’avais la main poisseuse, mais je n’ai pas osé la porter à ma bouche pour savoir quel goût ça avait. Tant pis!Les jets devinrent peu à peu moins puissants, mais du sperme, y’en avait partout, sur son ventre, ses cuisses imberbes et dans les poils de son pubis. Yvan soupira et resta un long moment à reprendre ses esprits. Puis, il me remercia et me fit jurer de ne rien dire aux parents. Tu parles, j’étais trop content d’avoir progressé dans ma connaissance du sexe de l’homme… Mais je fis la pute et lui demanda une compensation… Il comprit tout de suite.— Salaud ! tu veux que je te branle aussi…-Ben, oui, y’a pas de raison…Je n’avais pas débandé, et je n’avais plus honte désormais de mon propre sexe de gamin que mon frère venait de découvrir. Yvan me branla, mais sans grande motivation. En me pinçant le gland, il me fit presque mal.-Non, non, pas comme ça, tu fais mal, suce moi plutôt, comme tout à l’heure!Je ne lui laissais pas le choix, je le fis s’agenouiller et j’approchai de ses lèvres, mon sexe dur et frémissant. Il ouvrit la bouche, et j’enfonçais ma tige en feu tout au fond de son gosier. Vu sa longueur réduite, Yvan pouvait bien se l’avaler toute entière…— Vas-y, suce moi bien comme il faut, et n’ai pas peur, je n’éjacule pas encore, moi...— Ah bon, me fit-il surpris en relevant la tête, tu jutes toujours pas? Ta bite est bien dure pourtant…— Tu fais bien, mon frère, de penser que je suis plus un gamin… Je saisis sa tête entre mes deux mains et lui enfonçais violemment mon sexe dans sa bouche entrouverte.— Parle plus et suce, lui ordonnais-je.Je pense qu’il a pris du plaisir, car sa queue soudain se cabra, gonflée à l’idée de se faire dominer par un puceau tèl que moi. Il se masturba d’une main, tout en me suçant comme un dieu. Je donnais de forts coups de reins dans sa bouche généreuse, des coups de reins virils, je me branlais dans sa bouche, et je masturbais ma bite en feu sur ses lèvres, son nez, son visage. Lorsque je sortais de sa bouche pour ne pas jouir tout de suite et prolonger mon plaisir, Yvan en profitait pour me malaxer les couilles, il les avala, l’une après l’autre, puis toutes les deux en les tortillant de sa langue chaude et humide.— T’a déjà une légère toison sur le pubis, frérot, regarde cette petite touffe de poils sombres qui tapisse ta queue, ça pousse, ça pousse, me dit-il en faisant coulisser avec délice mon gland dans sa peau protectrice, laissant mes couilles mouillées, reprendre leur place initiale. J’étais aux anges.Je ne pus bien longtemps me retenir et je jouis comme un fou, dans sa bouche, comme jamais j’avais joui auparavant. Je jouis en plusieurs saccades, à chaque coup de rein viril dans sa bouche. Je râlais de plaisir, tandis que lui continuait sa branlette. Il éjacula bruyamment, une nouvelle fois de quelques jets blanchâtres qui s’élevèrent haut dans le ciel avant de retomber sur le parquet en gouttes collantes, ce qui activa encore ma frustration de ne pas pouvoir juter comme lui.Mais, bon, nous étions tous deux apaisés et nos sexes encore frémissants perdaient de leur vigueur. Le mien surtout qui pendait déjà, le nez vers le bas, tandis que la queue de Yvan restait à l’horizontal, le gland encore couvert de gouttes de sperme. Je les lui raclais avec mon index et je les portais à ma bouche, avec curiosité.— La prochaine fois, c’est toi qui me suceras, et tu boiras mon foutre jusqu’à la dernière gorgée, je te le promets, me dit-il en souriant.Il n’y eu jamais de prochaine fois, mais je n’aurais jamais pensé que se caresser le torse pouvait conduire à tant de volupté…
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